Plaies chroniques chez la personne ge - PowerPoint PPT Presentation

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Plaies chroniques chez la personne ge

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m decins coordinateurs et conseillers et personnel soignant au sein des MRS ... les affections aigu s (augmentant le m tabolisme et les besoins en oxyg ne) ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Plaies chroniques chez la personne ge


1
Plaies chroniques chez la personne âgée 
  • causes et mesures préventives

2
Léquipe rédactionnelle du FORMULAIRE MRS est
heureuse de mettre à votre disposition un outil
destiné à informer médecins généralistes, médecins
coordinateurs et conseillers et personnel
soignant au sein des MRS Les diapositives
suivantes correspondent au FormulR/info de
septembre 2007. Lordre de lecture est respecté.
3
Pour toutes formations, discussions ou autres
renseignements complémentaires, directions et
médecins coordinateurs et conseillers de MRS
peuvent sadresser au Dr Joel
BAGUET j.baguet_at_tele2.be 0497879991
4
Plaies chroniques chez la personne âgée
  • escarres de décubitus,
  • ulcères veineux,
  • ulcères artériels,
  • pied diabétique
  • skin tears.

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Première partie
  • Les escarres de décubitus

6
Escarres de décubitusou de pression
  • caractère chronique gt qualité de vie traitement
    coûteux
  • Éventuellement complications mutilantes décès
    du patient.

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Définition - physiopathologie
  • altération dégénérative des tissus
  • causée par une hypoxie.
  • due à une déformation causée par une force de
    pression (appliquée perpendiculairement au tissu)
    ou une force de cisaillement (parallèlement au
    tissu) mais souvent par une combinaison de ces
    deux facteurs
  • Une friction (force de cisaillement) gt pas
    descarres mais excoriations ou phlyctènes quand
    la force de friction est supérieure à la force
    d'adhésion de la peau au tissu sous-cutané. Des
    mesures préventives visant à lutter contre la
    friction (utilisation d'un film protecteur) ne
    diminueront donc pas le risque d'escarres.

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Localisations/Prévalence
  • deux sur trois bassin (sacrum) et membres
    inférieurs (talons, malléoles et grand
    trochanter) .
  • les omoplates, les coudes, larrière de la tête,
    les côtes, etc.
  • dépendent de la position du patient.
  • En 2000, dans nos MRS, 11.4 des résidents
    souffraient descarres

9
Lestimation du risque
  • échelles de risque très peu comparables.
  • échelle de Braden, souvent utilisée mais
    meilleure valeur prédictive que lexpertise
    clinique de linfirmier(e)??
  • Items perception sensitive, humidité, activité,
    mobilité, alimentation et friction/cisaillement.
    Chaque item est coté de 1 à 4 , excepté litem
    friction/cisaillement, coté de 1 à 3 (le score
    le plus élevé reflétant le meilleur état).
    Maximum théorique 23. Le seuil de risque 18.
  • échelle de Norton, 1962, mais toujours
    dactualité!!

10
(No Transcript)
11
Principaux facteurs de risque
  • les plus importants limmobilité (incapacité de
    changer de position sans laide dune tierce
    personne) et la limitation de l activité.
  • ceux mentionnés dans les échelles,
  • les problèmes liés à lâge tels les affections
    systémiques chroniques, les fractures (de la
    hanche), la peau déshydratée, etc.
  • les troubles de la sensibilité (par ex. en cas de
    neuropathies, de baisse de conscience)
  • les atteintes vasculaires périphériques,
  • les affections aiguës (augmentant le métabolisme
    et les besoins en oxygène),
  • lanémie,
  • une mauvaise alimentation
  • la déshydratation
  • Certains médicaments sédatifs, analgésiques,
    AINS,

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Mesures préventives
  • Pas de preuves scientifiques mais opinions
    dexperts!!
  • valeur relative des échelles gt expertise de
    linfirmier(e) dialogue médecin/infirmier(e)
  • LE grand principe réduire lintensité et la
    durée des forces de pression et de cisaillement
  • réduire lintensité augmenter la surface de
    contact
  • l'épaisseur et la compressibilité des tissus
    corporels soumis à pression, déterminent en
    partie la proportion dans laquelle la pression
    peut se redistribuer dans les tissus.
  • des dispositifs qui réduisent la taille de la
    surface de pression (par ex. des coussins en
    forme danneau) ne diminuent dès lors pas la
    pression.   

13
La réduction de pression peut se faire de
différentes façons 
  • adapter le positionnement du corps,
  • matelas à réduction de pression,
  • coussins à réduction de pression,
  • protection des talons.

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Adapter le position du corps1. position couchée
  • en semi-Fowler à 30 sinon position dorsale
  • Plus la tête du lit est élevée, plus la surface
    de contact est réduite et plus la pression
    augmente.
  • La pression en décubitus latéral gt dorsal donc
    courte durée
  • décubitus latéral à 30 préférable que à 90
    placer un coussin entre les jambes
  • décubitus ventral idéal mais pas applicable à
    tous.
  • La mobilisation alternée si rigoureuse, jour et
    nuit, sept jours sur sept. L'intervalle entre
    deux changements de position ne peut excéder 4
    heures si le patient est allongé sur un matelas à
    réduction de pression et 2 heures si ce n'est pas
    le cas.

15
Adapter le position du corps2. position assise
  • plus de risque d'escarres que la position couchée
    gt pas une raison pour laisser au lit les patients
    avec une certaine mobilité!!
  • position assise légèrement à la renverse, les
    jambes reposant sur une banquette
  • position assise droite, les pieds sur le sol
  • limiter le plus possible la durée de cette
    position
  • vérifier fréquemment la position du patient et
    corriger un affaissement éventuel

16
Matelas à réduction de pression
  • Les matelas ne peuvent réduire la pression quen
    agrandissant la surface de contact.
  • Il existe
  • des systèmes statiques et
  • des systèmes dynamiques.

17
Matelas à réduction de pression 1. systèmes
statiques
  • La nature et la composition du matériau modifient
    la forme et la consistance du matelas soumis à la
    pression du corps du patient
  • matelas en mousse
  • matelas à eau
  • matelas à fibres creuses
  • seuls les matelas en mousse sont recommandés
  • primordial de les combiner avec la pratique de
    mobilisation alternée.

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Matelas à réduction de pression 2. systèmes
dynamiques
  • à commande électrique
  • leur forme peut changer sous leffet de facteurs
    extérieurs (par ex. une pompe à air)
  • systèmes à pression alternée ("air fluidised")
    plusieurs compartiments à gonflement alterné
    dair. La fréquence de ce gonflement peut varier.
  • matelas à faible perte d'air ("low air loss")
  • systèmes à basse pression continue.
  • études peu convaincantes gt utiles chez les
    patients ne pouvant pas bénéficier dune
    mobilisation alternée (p.e. en phase terminale)
  • sinon matelas en mousse (p.e. matelas en mousse
    viscoélastique) pour chaque autre patient à
    risque.

19
Coussins à réduction de pression
  • coussins à air les efficaces si épais et
    surtout si compartimentés
  • coussins en mousse efficaces
  • coussins en gel pourraient augmenter la
    pression au lieu de la réduire !!
  • coussins mixtes en mousse et gel
  • coussins à fibres creuses
  • coussins à eau !! Nécessité dune position
    assise stable
  • peaux de moutons ??

20
Mesures controversées
  • Le Clinical Evidence considère que lusage de
    peaux de mouton peut avoir une certaine utilité
    en diminuant la pression sur le matelas
    sous-jacent
  • crèmes hydratantes si peau très sèche
  • lamélioration du profil alimentaire, utile? Pas
    de preuves scientifiques y afférant. La directive
    belge ne recommande pas cette mesure

21
Mesures inefficaces
  • massage (ou friction) de certaines parties du
    corps
  • mesures physiothérapeutiques
  • aucun traitement médical, ni mesure médicale ne
    savèrent efficaces dans la prévention de
    décubitus
  • crèmes et autres produits couvrants

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Mesures nuisibles
  • tampons douate fixés au coude ou au talon par un
    bandage
  • friction à la glace ou réchauffement local
    (blessures, brûlures, perte de sensibilité et
    propagation de micro-organismes)
  • anneaux gonflables ou retrait dune partie du
    matelas
  • sonde vésicale (cause descarres)
  • éosine
  • films de polyuréthane (faux plis, rebord enroulé,
    cisaillement, )
  • pansements à la glycérine
  • Hydrocolloïdes (gêne, faux sentiment de sécurité)

23
Deuxième partie
  • ulcères veineux
  • ulcères artériels
  • pied diabétique
  • skin tears

24
Ulcères de jambe
  • insuffisance veineuse chronique
  • insuffisance artérielle avec ou sans insuffisance
    veineuse.
  • artériopathie seule
  • localisation de lulcère probabilité
    dartériopathie en cas dulcère du pied gtgtgt
    ulcère de la cheville
  • anamnèse et un examen physique insuffisant
  • index cheville/bras chez tous les patients
    présentant un ulcère de jambe
  • Lindex pression systolique, mesuré dune part
    aux chevilles à laide dun doppler et dautre
    part au bras de manière conventionnelle.

25
2. Ulcères veineux
  • INSUFFISANCE VEINEUSE
    CHRONIQUE
  • hypertension veineuse lt reflux veineux lt
    valvulopathie primaire ou secondaire
  • obstruction veineuse
  • échec du fonctionnement de la pompe musculaire
    causé par lobésité ou limmobilité
  • système veineux profond, superficiel ou dans les
    deux systèmes en même temps.
  • varicosités , télangiectasies, varices, dèmes,
    la pigmentation (dermite ocre) , eczéma,
    lipodermatosclérose (durcissement et pigmentation
    brunâtre de la peau, peau brillante, tendue et
    douloureuse), atrophie blanche ( télangiectasies
    dans une zone blanche atrophiée) et ulcère
    veineux.

26
facteurs de risques
  • antécédents dulcère veineux
  • âge avancé
  • obésité
  • immobilité
  • dème périphérique
  • varices
  • thrombose veineuse profonde
  • sexe féminin (2à3 X)

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  • 50 des ulcères traités, guérissent dans les
    quatre mois, approximativement 20 nont pas
    encore cicatrisé après 2 ans et environ 8
    après 5 ans. La majorité des ulcères récidivent
    au moins une fois
  • peuvent survenir spontanément ou après traumatisme

28
Mesures préventives
  • traiter linsuffisance veineuse chronique déjà
    aux premiers stades.
  • thérapie de compression dans chaque forme
    dinsuffisance veineuse chronique.
  • bandages à élasticité variable
  • bas élastiques
  • Pressothérapie, pompes de compression
  • bas élastiques gradient de pression avec distal
    gt proximal
  • Classes de compression  valeurs niveau cheville
  • Classe I (légère)  /- 20 mmHg
  • Classe II (normal)  /- 30 mmHg
  • Classe III (forte)  /- 40 mmHg
  • Classe IV (très forte)  /-
    60mmHg
  • !! contrôler la circulation artérielle lors de la
    thérapie de compression et !! si oedème

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Si maladie variqueuse sans complications
  • intervention chirurgicale en cas de varices si
    saphènes interne ou externe
  • Pas de nouvelle intervention chirurgicale en cas
    de récidive postopératoire
  • si un traitement invasif nest pas possible, la
    thérapie de compression à laide de contention
    élastique
  • efficace pour diminuer les plaintes (douleur,
    démangeaisons, crampes nocturnes, dème,
    inconvénients esthétiques)
  • pression des bas élastiques au moins 18 mmHg

30
Si dème chronique
  • pas de recommandations univoques
  • thérapie de compression recommandée pour diminuer
    les plaintes
  • intervention chirurgicale contre-indiquée
    (aggravation des plaintes)

31
si lésions cutanées
  • Pas détudes de qualité mais contention élastique
    utile

32
Si antécédent dulcère veineux
  • Haute probabilité de récidive
  • contention élastique diminue le risque de
    récidive de moitié
  • contention élastique pendant 5 ans après la
    guérison
  • forte pression (classe III) mais moins bien
    supportés
  • chirurgie diminue lincidence dune récidive

33
Si thrombose veineuse profonde
  • TVP proximale gt syndrome post-thrombotique (60)
  • TVP distale rare
  • contention réduction de moitié
  • mobilisation précoce (associée au port de bas de
    contention) efficace
  • classe III, le plus vite possible après le
    diagnostic pour une période dau moins 2 ans.

34
Mais encore
  • phlébotoniques pas de preuves
  • diurétiques pas recommandés
  • mode de vie pas détude mais des
    recommandations gt activité physique régulière,
    maintient du membre lésé en position surélevée en
    cas dimmobilité, éviter la position debout
    prolongée, chaussures adéquates, stimulation
    dune alimentation saine, déconseiller le
    tabagisme.
  • cadre de vie sécurisant (prévention des skin
    tears)

35
3. Ulcères artériels
  • artériopathie périphérique
  • tabagisme et diabète mais aussi âge, sexe
    masculin, hypertension, hyperlipidémie, obésité
    et manque dactivité physique
  • claudication intermittente premier symptôme
  • Lévolution clinique de lartériopathie
    périphérique en 4 stades
  • Stade 1 pas de plaintes
  • Stade 2 plaintes typiques de
    claudication intermittente
  • Stade 3 douleur (excessive) au repos
  • Stade 4 Ulcère artériel ou nécrose
    artérielle menaçante au pied
  • progression vers le stade 3 ou 4 dans les 5 ans
    25
  • espérance de vie écourtée de dix ans
  • mortalité due aux maladies cardiovasculaires 3X

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Mesures préventives
  • diminuer les plaintes, améliorer la qualité de
    vie et ralentir la progression
  • diminuer le risque dautres maladies
    cardiovasculaires
  • aucun traitement
  • bons soins des pieds
  • sevrage tabagique augmente le périmètre et
    diminue la nécessité dopérer et déventuellement
    amputer
  • entraînement à la marche à pied
  • Le traitement médicamenteux de lhypertension,
    lhypercholestérolémie, le diabète
  • acide acétylsalicylique 80 mg
  • oxalate de naftidrofuryl, la pentoxifylline pas
    de preuve
  • pontage plus efficace.

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4. Pied diabétique
  • ulcérations, infections, gangrène, amputation
    très fréquents chez les diabétiques
  • ulcères du pied sélèverait de 2,5 à 10,7 par an
  • amputations de 0,25 à 1,8
  • facteurs de risque sont  durée du diabète,
    mauvais contrôle glycémique, complications
    microvasculaires (rétinopathie, néphropathie,
    neuropathie), antécédents dartériopathie
    périphérique, malformation du pied, antécédents
    dulcères ou damputation
  • pied diabétique si sensibilité diminuée,
    malformation du pied, antécédents dulcère au
    pied ou damputation

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Mesures préventives
  • dépistage et clinique du pied diabétique
  • Rôle du personnel soignant
  • Le risque de plaies/blessures aux pieds est
    évalué annuellement à laide dun simple
    dépistage 
  • inspection soigneuse des pieds, avec une
    attention particulière pour les lésions de la
    peau et des ongles ainsi quune évaluation
    déventuelles malformations orthopédiques 
  • évaluation des anomalies statiques des pieds ou
    des orteils  têtes métatarsiennes proéminentes
    (souvent recouvertes de callosités), orteils en
    marteau, hallux valgus, chevauchement des
    orteils, antécédents damputations, pied de
    Charcot 
  • dépistage dune sensibilité réduite des pieds par
    un monofilament de Semmes-Weinstein
  • dépistage dartériopathie périphérique en
    questionnant le patient sur des plaintes de
    claudication et/ou de douleur au repos et
    palpation des pulsations artérielles du pied. Un
    pied pâle en position surélevée, devenant
    fortement rouge en le relâchant, indique une
    artériopathie sévère

39
(No Transcript)
40
Education du patient
  • veillez à lhygiène des pieds 
  • lavez soigneusement les pieds tous les jours en
    veillant à bien les sécher (évitez le
    ramollissement de la peau entre les orteils),
  • prévenez les crevasses (surtout aux talons) et
    utilisez une crème hydratante,
  • prenez soin des ongles, coupez les droits pour
    éviter quils sincarnent et arrondissez langle
    de longle à laide dune lime douce (en carton).
  • portez des chaussures et chaussettes adéquates,
    tant à lintérieur quà lextérieur,
  • prévenez les traumatismes  ne marchez pas pieds
    nus,
  • évitez le contact avec des sources chaudes,
  • nessayez pas de soigner vous-même les callosités
    et crevasses, faites appel à une pédicure ou à un
    podologue si malformation,
  • vérifiez vos chaussures avant de les chausser 
    pas de saleté ou de corps étrangers,
  • remplacez le test de douleur par un examen
    journalier du pied à laide de la vue et du
    toucher. Faites, si nécessaire, appel à un membre
    de la famille ou à un(e) infirmier(ère) à
    domicile,
  • prévenez directement votre médecin à lapparition
    dune cloque ou dune plaie/blessure
  • demandez un contrôle régulier des pieds et des
    chaussures par le médecin traitant  (contrôle
    du) suivi des mesures préventives, vérifier la
    présence de callosités, de cloques, de
    blessures/plaies et dinfections mycosiques
    (interdigitales, orteils).

41
(No Transcript)
42
5. Skin tears
  • accroc/décollement de peau/arrache
  • au niveau des extrémités
  • force de frottement ou dune combinaison de
    forces de frottement et de glissement/cisaillement
  • souvent un accident banal, souvent transferts
  • facteurs de risque sont décrits  e.a. plus de 85
    ans, sexe féminin, immobilité, utilisation
    prolongée de corticostéroïdes,
  • chaque résident de MRS représente un patient à
    risque.
  • infections, désagréments, frais importants.
  • classification de Payne et Martin (sans perte de
    tissu cutané / perte partielle dun lambeau de
    peau / perte complète).
  • très fréquents
  • temps de guérison/cicatrisation est en moyenne de
    10 à 21 jours.

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Mesures préventives
  • programmes de prévention et déducation
    réduction de 50
  • Identifiez les patients à risque
  • Etablissez un protocole de prévention
  • Informez le patient, le staff et la famille sur
    la prise en charge des patients à risque
  • Veillez à un milieu sécurisé
  • Protégez les membres (par ex. longues
    chaussettes, matériaux doux sur le lit et la
    chaise roulante, soutien des membres à laide de
    coussins,)
  • Manipulez le patient prudemment lors de
    transferts,
  • Veillez à garder lhydratation de la peau.
    Utilisez du savon doux et hydratant
  • Evitez dutiliser des pansements ou emplâtres
    adhésifs
  • utilisez du matériel à pouvoir adhésif faible
    (par ex. papier)
  • Veillez à une alimentation saine et à une bonne
    hydtratation.
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