DIC9315, Sujet sp - PowerPoint PPT Presentation

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DIC9315, Sujet sp

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L intelligence collective Adapt de Nanda Gopal S et autres sources sur l Internet cr er des fourmis Tant que objectif non atteint, pour chaque fourmi La ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: DIC9315, Sujet sp


1
DIC9315, Sujet spéciaux en intelligence
artificielle et reconnaissance des
formesLintelligence collective
  • Adapté de Nanda Gopal S et autres sources sur
    lInternet

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Lintelligence collective
  • IA classique la cognition est une activité
    individuelle sans influence de groupe au moment
    de son exercice.
  • E.g. une personne qui pense à un problème, un RNA
    qui classifie des données, un régulateur flou,
    etc.
  • Lintelligence collective ajoute au comportement
    individuel, jugé insuffisant (primaire),
    linfluence du groupe.
  • E.g. le comportement social dun individu
  • Lintelligence collective reflète lémergence
    dun comportement global en partant dun groupe
    dagents simples et identiques
  • Dumb parts, properly connected into a swarm,
    yield smart results Kevin Kelly

3
Agents, nuées, volées, et autres essaims
  • Agent entité autonome au comportement statique
    en général, qui peut interagir avec son
    environnement et échanger de linformation avec
    dautres agents
  • E.g. un robot
  • Essaim groupement dagents dans lequel
    léchange dinformation influe sur le
    comportement individuel, permettant la
    réalisation dobjectifs globaux hors de portée
    dun agent.
  • E.g. colonie de fourmis

4
Une Définition plus technique
  • Kennedy Eberhart
  • A swarm is a population of interacting elements
    that is able to optimize some global objective
    through collaborative search of a space
  • Interactions that are relatively local are often
    emphasized
  • There is a general stochastic (or chaotic)
    tendency in a swarm for individuals to move
    toward a center of mass in the population

5
Système multi-agents Intelligence en essaim ?
  • Oui et non
  • Système multi-agents
  • Les agents effectuent des sous-tâches facilement
    identifiables au but final
  • Peuvent adapter leur comportement
  • Lobjectif final est connu de certains
  • Système en essaim
  • Les agents effectuent des tâches sans relation
    apparente avec le but final
  • Leur comportement est statique
  • Personne ne connaît lobjectif

6
Groupements naturels
7
Charactéristiques communes aux essaims
  • Composés dagents simples
  • Décentralisés (aucun superviseur)
  • Comportement émergent (non préétabli)
  • Robustes, la tâche est complétée même si des
    individus échouent
  • Flexibles
  • Peuvent répondre à des changements externes

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Les techniques
  • Deux approches
  • La belge avec les colonies de fourmis (Dorigo
    et al.,1989)
  • Sinspire des activités routinières dans une
    colonie de fourmis
  • Létats-unienne avec les essaims
    particulaires (Russel et Eberhart, 1995)
  • Sinspire du comportement social des individus
    (particules) dans un essaim en mouvement.
  • Sapparente aux algorithmes génétiques selon
    certains

9
Les techniques
  • Algorithme à colonie de fourmis (Dorigo 1991)
  • Algorithme initial
  • Inspiré du comportement social des fourmis.
  • Adapté aux problème combinatoires statiques
  • Commis voyageur Trouver le court chemin pour
    traverser un ensemble de villes en ne traversant
    jamais la même ville deux fois.
  • Planification de tâches en usine Organiser les
    tâches afin de minimiser les temps de production
    et maximiser lusage des machines.
  • Coloriage des graphes Colorer un graphe de
    manière à ce que deux couleurs adjacentes soient
    différentes et que le nombre de couleurs est
    minimal

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Les techniques
  • Optimisation à colonie de fourmis (ACO)
  • Version plus récente de lACF
  • Sapplique aussi aux problèmes combinatoires
    dynamiques (les paramètres varient avec le temps)
  • Routage dans les réseaux téléinformatiques
  • Réseaux de type Internet les paquets dun même
    message peuvent suivre des routes différentes
  • Réseaux orientés connexion tous les paquets
    suivent la même route
  • Équilibrage du trafic dans les réseaux
    téléinformatiques

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Les techniques
  • Optimisation par essaims particulaires (PSO
    Kennedy et Eberhart, 1995)
  • Utilise le concept dinteraction sociale pour
    résoudre les problèmes
  • Inspirée du comportement des essaims (bancs
    de poissons, volées doiseaux, etc.)
  • Possède les attributs des algorithmes
    évolutionnaires population, fonction
    dadaptation, règles dévolution stochastiques.
  • Converge généralement plus vite que les AG

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Lintelligence répartie 1/10
  • Les techniques montrent une intelligence répartie
  • En 1996, Maris Te Boekhorst étudièrent le
    comportement dun groupe de robots dans une
    enceinte fermée.
  • Chaque robot possédait deux détecteurs
    dobstacles (gauche droite) à portée très
    limitée

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Lintelligence répartie 2/10
  • Les robots suivaient des règles très simples
  • Si un obstacle ou mur est à gauche, tourner à
    droite
  • Si un obstacle ou mur est à droite, tourner à
    gauche
  • Si un obstacle est à droite et un autre à gauche,
    ou pas dobstacle à droite ou à gauche, continuer
    tout droit
  • Si un mur est frappé, tourner à droite ou à
    gauche au hasard
  • En un sens, chaque robot ne fait quéviter les
    obstacles

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Lintelligence répartie 3/10
  • Si une configuration initiale est donnée, quel
    serait le résultat final?
  • Ex on a 3 robots et 25 obstacles disposés de
    manière aléatoire

15
Lintelligence répartie 4/10
  • Le comportement collectif des robots a été de
    nettoyer lenceinte des obstacles
  • Pousser des obstacles droit devant eux faisait
    que les robots les groupaient sans le savoir.

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Lintelligence répartie 5/10
  • Le résultat final nétait pas prévisible a partir
    des comportements individuels
  • Il sagit dun comportement émergeant de
    lensemble des actions individuelle.
  • Après avoir modifié leur environnement, le
    comportement des robots peut aussi être affecté.

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Lintelligence répartie 6/10
  • Lintelligence répartie se retrouve chez la
    plupart des insectes, mais aussi dans les bandes,
    les troupeaux, les bancs, etc.
  • Ex. modélisation dune formation doiseaux en
    vol avec 3 règles de comportement individuel
    (Reynolds, 1987)
  • Éviter la collision avec des oiseaux voisins ou
    objets
  • Essayer de garder la même vitesse que les oiseaux
    voisins
  • Essayer de rester près des oiseaux voisins

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Lintelligence répartie 7/10
19
Lintelligence répartie 8/10
  • En cas dobstacle, le groupe se sépare en deux !
  • Ensuite, on suit le chemin le plus court pour
    contourner lobstacle !
  • À partir dun ensemble de règles très simple ont
    émergé
  • Le regroupement dindividus
  • La division en cas dobstacles

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Les colonies de fourmis et lintelligence
collective
  • Chaque fourmi est un agent aux capacités
    limitées, et aux règles de comportement très
    simples.
  • Les individus communiquent indirectement, en
    utilisant un phéromone volatile
  • Le comportement de groupe ne peut être déduit des
    règles de comportement dun individu et
    lindividu na aucune notion du comportement du
    groupe.
  • Le comportement intelligent apparaît (émerge)
    seulement en observant toute la colonie

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Les colonies de fourmis et les problèmes
doptimisation
  • Activités typiques dune colonie de fourmis et
    exemples de problèmes doptimisation équivalents
  • Trouver le plus court chemin vers la nourriture
    ? Plus court chemin dans un graphe,
    treillis, etc.
  • Tri de la nourriture, des morts, des œufs, etc.
    ? groupement des données.
  • Construction de structures ? robots industriels

22
  • Solution de problèmes de tri, groupement, etc.

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Activités de tri
  • Lobservation dun nid de fourmis révèle que
    malgré une apparence de désordre, il existe des
    objets qui sont groupés les œufs, les larves,
    les cocons, etc.
  • Si on dérange le nid, les fourmis reconstruisent
    rapidement les groupes.
  • On peut reproduire le comportement par un modèle
    très simple (Deneubourg)

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Modèle de comportement
  • Une fourmi reconnaît toujours les objets
    immédiatement en face delle
  • Si un objet est situé près dautres objets, la
    probabilité que la fourmi le ramasse est faible
    sinon la probabilité est grande
  • Si une fourmi transportant un objet voit des
    objets similaires à proximité, elle a tendance à
    lâcher lobjet.

25
Modèle de comportement
  • Les probabilités sont définies comme suit
  • Probabilité de ramasser un objet

26
Modèle de comportement
  • Probabilité de lâcher un objet transporté

27
Modèle de comportement
  • Il nexiste aucune communication directe entre
    les fourmis !
  • On observe néanmoins un comportement émergent

De gauche à droite, on note le passage progressif
dune distribution individuelle aléatoire des
objets à des amas.
28
Solution de problèmes de type plus court chemin
29
Problème du plus court chemin
  • Lorsque plusieurs sources de nourriture sont
    disponibles, les fourmis choisissent toujours la
    plus proche ! (Deneubourg 1989)
  • Idées clés
  • Les fourmis isolées se déplacent au hasard
  • Les fourmis marquent en permanence le chemin
    parcouru avec un phéromone
  • Le phéromone se dégrade avec le temps
  • Les pistes de phéromones disponibles influent sur
    le déplacement Lorsquune fourmi atteint une
    bifurcation, elle tend à prendre le chemin le
    plus marqué
  • La prise de décision est probabiliste

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Problème du plus court chemin
  • Comme les fourmis marquent le chemin à laller et
    au retour, et que le phéromone est volatile avec
    le temps, celui déposé sur les parcours courts
    est plus intense.
  • Plus intense signifie que le parcours sera choisi
    plus souvent (décision probabiliste)

31
P
Q
R
A
S
32
Algorithme des colonies de fourmis
  • Créer des fourmis
  • Population et distribution initiale statiques ou
    dynamiques et dépendent du problème
  • Quantité de pheromone initiale proche de 0
  • Tant que objectif non atteint, pour chaque fourmi
  • La laisser trouver une solution
  • Mettre à jour le niveau de phéromone

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Algorithme des colonies de fourmis
  • Créer des fourmis
  • Tant que objectif non atteint, pour chaque fourmi
  • La laisser trouver une solution
  • Probabilité de transition
  • Mettre à jour le niveau de phéromone

Quantité de pheromone
Heuristique de distance
  • À Partie dun nœud donné
  • Calculer Pij(t) pour tous les nœuds suivants
    possibles
  • Diviser lintervalle 0, 1 suivant les Pij(t)
    calculés
  • Générer un nombre aléatoire entre 0 et 1 et
    lutiliser pour sélectionner la branche à suivre

a,ß constantes
34
Algorithme des colonies de fourmis
  • Créer des fourmis
  • Tant que objectif non atteint, pour chaque fourmi
  • La laisser trouver une solution
  • Mettre à jour le niveau de phéromone

Pheromone produit par chaque fourmi k qui suit la
branche (i,j) de longueur Lk
Taux dévaporation
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Contraintes pour lutilisation
  • Le problème à résoudre doit être défini par un
    graphe
  • Exigence due au fait quon optimise un chemin
  • Pas toujours évident !
  • Doit être fini (a un début et une fin)

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Applications en réseautique
  • Réseau de télécom
  • Nœuds reliés par des branches
  • Des listes de nœuds connectés définissent les
    états
  • Des contraintes locales sappliquent aux nœuds
    afin de définir les états
  • Les branches ont un coût associé qui change avec
    le temps (phéromone) et qui sert à évaluer le
    coût total des états

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ACO pour le plus court chemin
  • Créer et initialiser le nombre maximum de fourmis
    à la source
  • Pour chaque fourmi
  • Choisir le prochain nœud dépendant du niveau de
    phéromone de la branche qui y mène
  • Déposer du phéromone sur la branche
  • Mourir à destination
  • Évaporation du phéromone

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ACO pour le routage
  • Éléments clés
  • Table de routage
  • Algorithme de routage
  • Des agents (fourmis) sont lancées dans le réseau,
    chacune allant dune source à une destination
  • Les agents mettent à jour la table de routage à
    chaque nœud
  • Linfluence dun agent diminue avec le temps de
    parcours.

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Optimisation par essaim particulaire
  • Allie au comportement individuel la pression du
    groupe et linfluence des meneurs
  • Forme de computation évolutionnaire
  • Commence avec une population aléatoire de
    particules (solutions) qui ne meurent jamais
  • Les particules se meuvent dans lespace de
    recherche en enregistrant leurs meilleurs pas
  • Elle ont une vitesse (de valeur initiale
    aléatoire)
  • À chaque itération (génération) les particules
    subissent une accélération aléatoire vers la
    meilleure solution précédente et la meilleure
    particule globale (qui peut être un voisinage)
  • PSO est robuste et efficace du point de vue
    computationnel

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Anatomie dune particule
  • Une particule est composée de
  • Trois vecteurs
  • Le vecteur x ( x-vector ) indique la position
    courante de la particule
  • Le vecteur p ( p-vector ) indique la position
    de la meilleure solution trouvée depuis le début
  • Le vecteur v ( v-vector ) spécifie un gradient
    (direction) vers lequel la particule volerait
    librement.
  • Deux fonction dadaptation
  • x-fitness indique ladaptation de x-vector
  • p-fitness indique ladaptation du p-vector

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Déplacement dune particule
  • Chaque particule est un agent élementaire qui
    enregistre les meilleures solutions quil
    rencontre sur son chemin.
  • Le déplacement dune position à une autre se fait
    en additionnant les vecteurs x et v
  • Xi1 Xi Vi
  • La nouvelle position est évaluée et,
  • si x-fitness gt p-fitness,
  • alors pXi1 et p-fitness x-fitness.
  • Une fois les position initiales déterminées, tout
    dépend du vecteur v

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Optimisation par essaim particulaire
  • Le calcul du vecteur v dépend de la meilleure
    position enregistrée de la particule et de la
    meilleure position enregistrée dans le groupe (ou
    voisinage)
  • C1 et C2 spécifient limportance de la cognition
    vs. le social.

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Swarm Robotics We Robots
  • Nouveau venu qui étudie comment concevoir un
    collectif dagent robotiques simples pour
    réaliser des tâches hors de portée des robots
    individuels
  • Projets remarquables
  • Nettoyage des nappes de pétrole à la surface de
    leau, National Science Foundation (É.U.)
  • Autonomous Nanorobotic Swarms (ANtS) , NASA
  • swarmBOTs de iRobot, Défense É.-U.
  • Unmanned Air Vehicles (UAV) , Défense É.-U.

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Quelques références
  • Dorigo M. and G. Di Caro (1999). The Ant Colony
    Optimization Meta-Heuristic. In D. Corne, M.
    Dorigo and F. Glover, editors, New Ideas in
    Optimization, McGraw-Hill, 11-32.
  • M. Dorigo and L. M. Gambardella. Ant Colony
    System A cooperative learning approach to the
    traveling salesman problem. IEEE Transactions on
    Evolutionary Computation, 1(1)5366, 1997.
  • G. Di Caro and M. Dorigo. Mobile agents for
    adaptive routing. In H. El-Rewini, editor,
    Proceedings of the 31st International Conference
    on System Sciences (HICSS-31), pages 7483. IEEE
    Computer Society Press, Los Alamitos, CA, 1998.
  • L. M. Gambardella, E. D. Taillard, and M.
    Dorigo. Ant colonies for the quadratic assignment
    problem. Journal of the Operational Research
    Society,50(2)167176, 1999.
  • Kennedy, J. and Eberhart, R. (1995). Particle
    Swarm Optimization, Proceedings of the 1995 IEEE
    International Conference on Neural Networks, pp.
    1942-1948, IEEE Press.
  • Kennedy, J. (1997), The Particle Swarm Social
    Adaptation of Knowledge, Proceedings of the 1997
    International Conference on Evolutionary
    Computation, pp. 303-308, IEEE Press.
  • Carlisle, A. and Dozier, G. (2001). An
    Off-The-Shelf PSO, Proceedings of the 2001
    Workshop on Particle Swarm Optimization, pp. 1-6,
    Indianapolis, IN.
  • Kevin Kelly. Out of Control the new biology of
    machines. 4th Estate. 1994
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