Title: INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS
1INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS
CENTRE HOSPITALIER DE LA CÔTE BASQUE 64100 BAYONNE
- Compétence 4 mettre en place des mesures à
visées diagnostic et thérapeutique - EU2.5.S3 Processus inflammatoires et infectieux
- RAPPELS sur les mesures disolement
- Compilation présentée / jMM novembre 2011
- Promotion 2010/2013
2Objectifs
- Connaître les buts des isolements
- Définir isolement
- Septique
- Protecteur
- Savoir mettre en œuvre les précautions
nécessaires suivant le type disolement - Être en mesure de restituer les différents types
disolements septiques
3introduction
- COMME TOUJOURS en matière dhygiène et de soins
infirmiers, il convient de faire évoluer ses
pratiques et de remettre à jour ses connaissances
en lien avec les derniers référentiels existants - CE COURS constitue donc un Rappel des
enseignements de lUE 2.10 .S1 (selon
luniversité de tutelle ) et doit vous faire
prendre conscience que les connaissances doivent
être en permanence remobilisées pour agir en
situation pratique et professionnelle - Ici AUSSI il faut apprendre à désapprendre
car les pratiques de terrain ont parfois tendance
à présenter des écarts avec la théorie idéale et
le devoir de tout soignant étant de se former et
de sinformer AFIN de composer avec les moyens
et les ressources disponibles
4(No Transcript)
5(No Transcript)
6ISOLER C'EST ETABLIR DES BARRIERES A LA
TRANSMISSION DES MICRO-ORGANISMES
7 8ISOLEMENT
SEPTIQUE
9Isolement Septique
- FAIRE BARRIERE A LA DIFFUSION DE LAGENT
INFECTIEUX, A PARTIR DU PATIENT ET/OU DE SON
ENVIRONNEMENT
10ISOLEMENT SEPTIQUE définition
Eviter la transmission dun agent infectieux,
connu, ou présumé, à partir dun patient infecté
ou porteur identifié, à des individus non
infectés et non porteur, mais réceptifs ( autres
patients, membres du personnel, famille ou
visiteur)
11ISOLEMENT
PROTECTEUR
12Isolement Protecteur
- FAIRE BARRIERE A LENTREE DE LAGENT INFECTIEUX,
DANS L ENVIRONNEMENT IMMEDIAT DU PATIENT
13ISOLEMENT PROTECTEUR Définition
Eviter la transmission de tout agent
potentiellement infectieux à des patients
fragilisés ou immunodéprimés
14Afin de réaliser ces isolements des mesures
essentielles seront mises en oeuvres
15- PREVENTION DE LA TRANSMISSION CROISEE Niveau 2
PRECAUTIONS COMPLEMENTAIRES - Cours préparé par
- J. NUNES - Service dhygiène du CHU de Bordeaux
- C. GAUTIER ARLIN, Bordeaux
16La place des précautions complémentaires
- Quel que soit la situation ou le statut
infectieux du patient - Toujours appliquer les Précautions Standard
- Si risque particulier
- Ajouter des précautions complémentaires selon la
voie de transmission du microorganisme - précautions Contact
- précautions Gouttelettes
- précautions Air
17Evolution du concept disolement
1998 1999 Circulaire DGS/DH n 98/249 du 20 avril 1998 Ministère de la santé CTIN CTIN/SFHH (Comité technique national des infections nosocomiales et Société française dhygiène hospitalière) Précautions standard Double objectif Protéger le patient en diminuant le risque de transmission de micro-organismes Protéger le personnel 100 Recommandations pour la surveillance et la prévention des Infections nosocomiales (IN) Maîtrise de la diffusion des BMR Isolement septique
18Recommandations françaises
- Isolement septique
- (Guide isolement - CTIN SFHH, 1998
Maîtrise de la diffusion des BMR CTIN, 1999) - isolement géographique(chambre seule, cohorting)
- isolement technique mesures barrières
- gants
- protection de la tenue
- masque
- lunettes
- déclinaison en fiches opérationnelles
19Recommandations françaises
- Consensus formalisé dexperts
- Guide Prévention de la transmission croisée
précautions complémentaires contact SFHH
Avril 2009 - Les précautions complémentaires gouttelettes et
air sont en cours de réactualisation
20Les précautions contact Pour quels contacts ?
Quand ?
- Pour tout contact avec
- Le patient (y compris la peau saine)
- Et son environnement (objets et surfaces)
- A chaque fois qu'un patient est
- Atteint d'une maladie contagieuse transmissible
par contact, - Porteur d'un agent infectieux susceptible de
disséminer lors de gestes de soins par contact, - Porteur d'une BMR transmissible par contact.
21Transmission des microorganismes du patient sur
les mains du soignant
Présence de microorganismes sur la peau du
patient ou son environnement proche
Survie des microorganismes sur les mains du
soignant
D après Pittet et coll. Lancet Infect Dis. 2006
Oct6(10)641-52
Pittet et al. Lancet Infect Dis 2006
22Hygiène des mains incorrecte
Transmission croisée entre patients
Pittet et al. Lancet Infect Dis 2006
D après Pittet et coll. Lancet Infect Dis. 2006
Oct6(10)641-52
23Les précautions contact Indications les plus
fréquentes
- Colonisations ou infections par des BMR
- Infection urinaire,
- Plaies et escarres
- Infections entériques
- Clostridium difficile, Shigelles, Salmonelles
- Rotavirus
- Affections cutanées
- Infections cutanées, herpès
- Parasitoses pédiculose, gale
- Certaines maladies infectieuses infantiles
- VRS bronchiolite
- ( gouttelettes),
- Varicelle ( air)
24Les précautions contact Bactéries
MultiRésistantes aux atb
- Il est recommandé de considérer les bactéries
suivantes comme nécessitant des PC (R84) - SARM (Staphylococcus aureus résistant à la
méticilline) - Acinetobacter baumanii résistant à limipénème
- EBLSE Entérobactérie productrice de bêtalactamase
à spectre étendu - Entérobactérie hyperproductrice de
céphalosporinase en néonat - Pseudomonas aeruginosa résistant à limipenème
associé à dautres résistances
25Les précautions contact Bactéries
MultiRésistantes aux atb
- Il nest pas recommandé de considérer les
bactéries suivantes comme nécessitant des PC
(R84) - Staphylocoque à coagulase négative
(Staphylocoque blanc) résistant à la méticilline - A. baumanii sauvage
- Pseudomonas aeruginosa sauvage ou résistant à
limipenème isolé
26Les précautions contact Bactéries
MultiRésistantes aux atb
- Il est fortement recommandé que le CLIN dans le
cadre dune politique générale détablissement
(R3) - définisse les micro-organismes justifiant de
précautions complémentaires de type contact, - définisse la politique de dépistage de ces
micro-organismes, dont les BMR en accord avec les
recommandations nationales - Il est fortement recommandé de mettre en place
une surveillance épidémiologique des agents
infectieux à haut potentiel de transmission
croisée, dont les BMR
27Les précautions contact Bactéries
MultiRésistantes aux atb
- Il est fortement recommandé davoir une stratégie
de dépistage adaptée à chaque secteur de soins
(R41) - La situation épidémiologique dun service ou dun
secteur peut justifier une stratégie spécifique
de dépistage - En situation épidémique, il est fortement
recommandé que le micro-organisme en cause puisse
faire lobjet dune stratégie de dépistage,
quelque soit son phénotype de résistance (R41) - MISE EN ŒUVRE DES PRECAUTIONS COMPLEMENTAIRES
CONTACT - (application modulable dun service à lautre et
dun établissement à lautre !)
28Les précautions contact Comment ?
- Information patient, famille, correspondants
médicaux et para médicaux
29(No Transcript)
30Les précautions contact Comment ?
- Hygiène des mains
- Réalisation FHA (R92, R93)
- Comme pour les précautions standard !
- dans toutes les indications dhygiène des mains
- immédiatement avant et après tout contact avec un
patient - immédiatement avant tout soin propre ou tout acte
invasif - après tout contact avec lenvironnement du
patient - Et systématiquement avant de sortir de la chambre
31Les précautions contact Comment ?
- Ports des Gants
- Suivre les précautions standard
- Pas de port systématique des gants de soins non
stériles (R94) - en entrant dans la chambre
- si contact avec peau saine
- avant de toucher lenvironnement proche du
patient - Attention Recommandations spécifiques pour le
Clostridium difficile et les entérocoques
résistants aux glycopeptides (ERG)
32 Les précautions contact Comment ?
- Protection de la tenue
- Pas de port systématique dune protection
spécifique en entrant dans la chambre - Port dun tablier à UU seulement si soins directs
(R95,R96) - Ces soins directs sont à lorigine de la
contamination des tenues - en effet, les tenues des infirmières sont
contaminées dans 65 des cas après les soins du
matin dun patient porteur de SARM (Boyce, 1994)
33Les précautions contact Comment ?
- Port dun masque
- Par le Soignant
- pas de masque chirurgical systématique
- en entrant dans la chambre
- si patient na pas de symptômes infectieux
respiratoires (R97) - port du masque
- dans le cadre des précautions standard
- si patient présentant une infection respiratoire
à SARM - à proximité du patient à lintérieur de la
chambre (périmètre 1,50 m) - lors des soins directs
- Par le patient présentant une infection
respiratoire - Lorsquil sort de sa chambre dhôpital (R98)
34Les précautions contact Comment ?
Organisation des soins
Aspects géographiques
- Chambre individuelle (porte non systématiquement
fermée) - Regroupement géographique
- Soins sectorisés pour les équipes para
médicales en période épidémique - Uniquement en cas dépidémie non contrôlée
Personnel dédié Soins sectorisés
- Confinement non systématique
- Accès aux plateaux techniques
- Accès aux douches collectives sous réserve dun
bionettoyage - Visiteurs désinfection des mains PS
- Habillage des visiteurs non nécessaire
Confinement du patient /visites
35Les précautions contact Comment ?
Organisation des visites
- Comme pour tous les patients (cadre des
précautions standard), il est fortement
recommandé de réaliser un geste dhygiène des
mains (friction hydro alcoolique) pour les
visiteurs dun patient auquel sappliquent les
précautions complémentaires de type contact - Au-delà de ce geste dhygiène des mains, il est
recommandé de ne pas demander aux visiteurs
d'appliquer les autres précautions demandées aux
soignants (R 115)
36Les précautions contact Comment ?
- Individualiser le matériel
- Limiter le matériel stocké dans la chambre
- Ne pas jeter les consommables non utilisés au
départ du patient - Entretien habituel des DM
Dispositifs médicaux
Linge/vaisselle/déchets
- Organiser linformation de tous les acteurs
(signalétique, dossier de soins, ), notamment
plateaux techniques, brancardiers, ambulanciers,
bénévoles - Pas de nécessité de plage horaire spécifique pour
interventions ou examens - Prise en compte du risque de transmission croisée
pour organiser les soins
Information Organisation
37Les précautions contact Jusquà quand ?
Pour les patients porteurs dune BMR
Au cours du séjour
- Maintenir les précautions contact tout au long
du séjour en MCO - A réinstaurer en cas de réadmission
Exemple Efficacité de la décontamination SARM
- Au moins 2 prélèvements négatifs
- Plusieurs prélèvements négatifs en SSR/SLD
Pendant toute la période de contagiosité dans
les autres indications
38Précautions complémentaires La suite
- Toujours basées sur le socle des précautions
standard - Prévention de la transmission croisée aéroportée
- précautions gouttelettes
- précautions air
39Précautions complémentaires gouttelettes
G
- Objectif Eviter la transmission interhumaine de
micro-organismes véhiculés par les gouttelettes
Gouttelettes grosses particules (particules ? 5
? Pflügge) dans un rayon de 1,5 m autour du
malade
40Précautions complémentaires gouttelettes
G
- Indications
- Coqueluche, Oreillons, Rubéole, Scarlatine
- Grippe
- Chez l enfant Viroses respiratoires(adenovirus,
coronavirus...), épiglottite - Méningite à méningocoque, haemophilus
- Infection respiratoire à BMR
- Diphtérie pharyngée
- Parvovirus B19, Peste pulmonaire,
Pneumocystose...
41Précautions complémentaires air A
- Objectif Eviter la transmission interhumaine de
micro-organismes véhiculés par lair -
Air fines particules (particules ? 5 ? Droplet
nuclei) restant en suspension dans lair
42Précautions complémentaires air A
- Indications
- Lépre
- Rougeole
- Tuberculose pulmonaire ou laryngée contagieuse
(confirmée ou suspectée) - Varicelle
- Zona chez l immunodéprimé
- Variole
- SRAS
43Précautions Air et Gouttelettes
- Une mesure essentielle de prévention le port
dun masque - Des mesures communes aux précautions
complémentaires - Chambre individuelle ou regroupement de patients
atteints de la même pathologie - Information du patient et de sa famille
- Limitation au strict nécessaire des déplacements
du patient (masque )
44Les précautions Gouttelettes
- Le port dun masque chirurgical à usage unique
pour le soignant et les visiteurs - Dans un rayon de 1,5 mètre autour du patient
- Le port dun masque chirurgical à usage unique
pour le patient dès quil quitte sa chambre
45Les précautions Air
- Le port dun appareil de protection respiratoire
(FFP) à usage unique pour le soignant et les
visiteurs - Mis avant de rentrer dans la chambre
- Enlevé après être sorti de la chambre
- Le port dun masque chirurgical à usage unique
pour le patient dès quil quitte sa chambre
46Précautions complémentaires air A
- Avis du conseil supérieur dhygiène Publique de
France Section maladies transmissibles Relatif
au choix du masque de protection contre la
tuberculose en milieu de soins (séance du 14 mars
2003) - pour le patient contagieux lors des contacts avec
son entourage masque de type chirurgical - pour les personnels soignants et visiteurs au
contact du patient contagieux masque de
protection respiratoire FFP1 au minimum - si situation à risque intubation, expectoration
induite ou tuberculose multirésistante type FFP2
47Différence entre Masque et APR
Les appareils de protection respiratoire APR
Marquage présent sur lappareil avec - le numéro
et lannée de la norme EN149 2001 - le marquage
CE et lorganisme notifié - la classe
defficacité (FFP1, FFP2, FFP3)
Daprès I. Balty - INRS
48Différence entre Masque et APR
- Appareils de protection respiratoire
- Performances requises
Désignation de lappareil
Pénétration du filtre
Fuite totale de lappareil
FFP 1
lt 20
lt 22
FFP 2
lt 8
lt 8
N 95
FFP 3
lt 0,05
lt 2
NF EN 149
49Précautions Air et Gouttelettes
- La chambre individuelle
- Installation du patient en chambre individuelle
- OU
- Regroupement dans une même chambre des patients
atteints par le même micro-organisme
- Pour les précautions AIR
- La porte de la chambre doit être fermée
- Aération régulière de la chambre (ouverture de la
fenêtre) - Si possible chambre maintenue en pression
négative, avec un renouvellement dair de 6
volumes/heure
50(No Transcript)
51Précautions Air et Gouttelettes
Le médecin et linfirmier informent le patient
et sa famille
- De la pathologie
- Du micro-organisme en cause et de ses
caractéristiques - Des mesures qui doivent être prises
- Ils sollicitent leur adhésion et implication pour
appliquer ces mesures - Une fiche dinformation validée par le CLIN peut
être remise en complément des explications orales
52(No Transcript)
53Mesures spéciales
- Durée disolement variable selon le Micro
Organisme - Liste des maladies à déclaration obligatoire
- Absence de transmission inter-humaine
- Kératoconjonctivite et conjonctivite virale
attention au matériel ophtalmo - MCJ attention autopsie et DM invasifs
54Mesures spéciales
- Gale, pédiculose
- Traitement literie et textile
- Clostridium difficile
- Traitement de lenvironnement avec de leau de
javel - ERV
-
- Vaccination préventive pour le personnel
- Risque si contact avec immunodéprimé
- Origine alimentaire ou hydrique
55Précautions complémentaires Difficultés (1)
- Formation, Information, Communication
- nécessité de compétences médicales et soignantes
- information nécessaire pour observance
(familles, brancardiers, autres services, autre
établissementvoire au sein d une équipe) - Aspect psychologique (enfants, personnes âgées..)
transparence et explication, dédramatisation
sans banalisation - Freins économiques
- ressources matérielles lavage des mains,
surblouse, gants - Etude hôpital propre 1000 francs/patient/
mois (AP-HP,1995) - Programme BMR CCLIN Paris-nord 30 à 60
francs/jour - réaménagements architecturaux (exchambre
individuelle ou traitement dair en dépression)
56Précautions complémentaires Difficultés (2)
- Respect des recommandations, Gestion de
interruptions de soins influence sur
l organisation des soins, sur la charge de
travail, respect et urgence? - Evaluation de lobservance
- Evaluation de lefficacité
- Aspects éthiques et problèmes médico-légaux
- isolement et atteinte au secret professionnel,
- isolement et consentement,
- isolement et non assistance à personne en danger)
57Conclusion
- Connaître les voies de transmissions des agents
infectieux - Adapter les précautions complémentaires en
prenant en compte les nouvelles recommandations - Définir une politique détablissement
- Elaboration dinstructions
- Informer/former les équipes médicales et
paramédicales - Exemple de recommandations KIT BMR EN EHPAD
58IsolementDu point de vue du médecin
59Pourquoi, Qui, Comment, Quand ?
- Pourquoi isoler le patient ?
- Qui doit-on isoler ?
- Quel type disolement doit-on proposer ?
- Quand doit-on lisoler ?
60Pourquoi ?
- Protéger le patient
- Protéger le soignant
- Protéger la communauté
61(No Transcript)
62Qui isoler, pour nous protéger ?
- Le patient contagieux
- Par voie aérienne
- Par voie fécale
- ...
- Le patient porteur dune infection à des germes
résistants
63Le patient contagieux
- Voie aérienne / Gouttelettes
- Tuberculose
- Grippe / SARS
- Méningocoque
-
- Pas la légionellose
- Pas laspergillose
64Le patient contagieux
- Voie fécale
- Clostridium difficile
- Salmonellose
- Diarrhée fébrile
- Hépatite A
- ...
- Voie urinaire
- Infection à germes multi-résistants
65Le patient contagieux
- Infections classiques
- Varicelle
- Impetigo
- ...
- Infection à germe multi-résistant
- Cutanée
- Urines
- Pulmonaire
- ...
66Qui isoler, pour le protéger ?
- Patient immunodéprimé
- Immunité humorale déficiente
- Aplasie post chimiothérapie
- Agranulocytose
- Greffe
-
- Immunité cellulaire déficiente
- Non
67Comment isoler ?
- Précautions standards
- Isolement respiratoire
- Isolement sécrétion excrétion
- Isolement strict
68Indiquer lisolement
69Précaution standard
- Port de gant, voire surblouse
- Soin de lésions cutanées infectées
70Isolement respiratoire
- Protection
- Du patient simple
- Du soignant simple, renforcée , extrême
71Isolement secreta excreta
- Eviter la contamination manu-portée
72Isolement Strict
73Pression positive
- Chambre à pression positive pour éviter la
contamination du patient par lenvironnement
extérieur
74Pression négative
- Chambre à pression négative pour éviter la
contamination de lenvironnement par le patient
75Quand isoler
- Préventif
- Diarrhée fébrile
- Réalisation de tubages gastriques pour BK
-
- Pathologie contagieuse reconnue
- Patient immunodéprimé
76Conclusion
- Savoir isoler en préventif
- Adapter lisolement à la pathologie
- Sans en faire trop
- En évitant den faire trop peu
- Restons simple