Diagnostic radiologique de l - PowerPoint PPT Presentation

About This Presentation
Title:

Diagnostic radiologique de l

Description:

Diagnostic radiologique de l HIP (2) IRM c r brale: utile au diagnostic tiologique – PowerPoint PPT presentation

Number of Views:78
Avg rating:3.0/5.0
Slides: 35
Provided by: free91
Category:

less

Transcript and Presenter's Notes

Title: Diagnostic radiologique de l


1
Diagnostic radiologique de lHIP (2)
  • IRM cérébrale utile au diagnostic étiologique

2
Diagnostic radiologique de la thrombophlébite (1)
  • Scanner cérébral
  • Signes directs Signes
    indirects

3
Diagnostic radiologique de la thrombophlébite (2)
ARM thrombus pas de flux visible
Artériographie thrombus pas de flux visible
IRM Hypersignal thrombus
4
Diagnostic radiologique de la thrombophlébite (3)
Infarctus veineux hémorragique
Thrombose du sinus latéral
IRM permet de voir les éventuelles
complications Thrombose dun sinus latéral avec
infarctus veineux hémorragique
5
Etiologies des AIC
  • Multiples et de fréquence variée
  • Dans 30 origine inexpliquée
  • Athérosclérose
  • Cardiopathies emboligènes
  • Dissections des artères cervico-encéphaliques
  • Infarctus dits lacunaires

6
Etiologies des AIC Athérosclérose
  • 30 des AIC environ
  • Mécanisme
  • AIC thrombo-emboliques (fragmentation dun
    thrombus sur plaque et occlusion dune artère
    distale)
  • rarement hémodynamiques (sténose serrée)
  • Prédomine
  • à lorigine des carotides internes
  • au siphon carotidien
  • à lorigine des artères vertébrales et sylviennes
  • au tronc basilaire.
  • Diagnostic par identification dune sténose gt 50
    de lartère damont chez un patient porteur de
    facteurs de risque

7
Etiologies des AIC Athérosclérose
Mécanisme de formation des lésions dathérome
Localisation préférentielle des lésions dathérome
8
Etiologies des AIC Cardiopathies emboligènes
  • 20 des AIC environ
  • Mécanisme
  • Fibrillation auriculaire (FA) dans la moitié des
    cas
  • Arythmie formation de thrombus

9
Etiologies des AIC Infarctus dits lacunaires
  • 20 des AIC environ
  • Mécanisme
  • Petit infarctus profond (lt 15 mm de diamètre) par
    occlusion dune artériole profonde
  • Localisés dans les noyaux gris centraux, la
    capsule interne, le pied de la protubérance
  • localisation PROFONDE
  • Suspectés chez un patient hypertendu

10
Etiologies des AIC dissection des artères
cervico-encéphaliques (1)
  • Représentent 20 des AIC du sujet jeune environ
  • Mécanisme
  • Déloppement dun hématome dans
  • la paroi de lartère, responsable dune
  • sténose (avec risque dembol distal)
  • voire dune occlusion de lartère
  • disséquée
  • Facteur traumatique au cou (choc,
  • hyperextension, ) les jours précédents
  • lt 50des cas
  • Anomalie artérielle préexistante
  • (dysplasie fibromusculaire surtout,
  • maladie du tissu élastique plus rarement)

11
Etiologies des AIC dissection des artères
cervico-encéphaliques (2)
  • Symptomatologie
  • Signes locaux
  • Cervicalgie/céphalée céphalée péri-orbitaire sur
    dissection carotidienne, postérieure sur
    dissection vertébrale
  • Acouphène pulsatile par perception de
    laccélération du flux sanguin dans la carotide
    intrapétreuse
  • Claude-Bernard-Horner
  • Signes ischémiques ils découlent de locclusion
    artérielle daval ou au niveau de la dissection
  • Examens
  • diagnostic sur la visualisation à lIRM cervicale
    de lhématome pariétal de lartère (au-dessus du
    bulbe pour la carotide interne au cou, en regard
    de C1-C2 pour la vertébrale
  • échodoppler cervical révèle la sténose artérielle
    (visualise parfois lhématome)

12
Etiologies des AIC dissection des artères
cervico-encéphaliques (3)
  • Pronostic
  • Régression de lhématome de paroi avec le plus
    souvent récupération ad integrum de la paroi
    artérielle (rares anévrysmes résiduels)
  • Récidive exceptionnelle
  • Séquelles celles de lAIC

13
Facteurs de risque des AVC
  • HTA principal facteur de risque des AVC,
    ischémiques ou hémorragiques
  • (gt 50 des AVC surviennent sur HTA chronique)
  • Tabac (Important facteur de risque
    dathérosclérose carotidienne)
  • Hypercholestérolémie RR 1,5
  • Diabète RR 1,5
  • Migraine augmentation du risque chez la femme
    jeune, mais surtout en cas de tabagisme et
    contraception orale associés

14
Conduite à tenir si déficit focal lt 6HUrgence
Thrombolyse
  • But Limiter lextension de lAVC vers lischémie
  • Indication déficit focal sans récupération
    pendant les 3 premières H

Contre-indications Crise dépilepsie
initiale Signes de gravité au scanner CI à
lutilisation des thrombolytiques HTA
majeure Hyperglycémie
Risques Hémorragique (7-8)
Bénéfices Pour 7 patients traités, 1 handicap
évité Pour 6 patients traités, 1 DC évité
15
Conduite à tenir si déficit focal lt 6H
  • Dès larrivée du patient
  • INTERROGATOIRE (patients, famille, témoins)
  • noter l heure exacte du début des symptômes
    (déficit constaté le matin au réveil ?)
  • suspicion de crise d épilepsie inaugurale
  • notion de céphalées (hémorragie méningée,
    thrombophlébite cérébrale, hématome)
  • contre indications à la thrombolyse (infarctus ou
    hémorragie récents, chir. récente, anticoag)
  • contre indication à l IRM (pacemaker, valves,
    stent récents)
  • Évaluer et surveiller les fonctions vitales TA,
    pouls, FR, SaO2 (ne traiter l HTA que si gt
  • à 220/ 120 mm Hg)
  • Mesurer la glycémie capillaire et la température
    (traitement immédiat)
  • Evaluer la gravité neurologique examen clinique
    (score NIHSS), trouble de la vigilance, Glasgow,
    déviation de la tête et des yeux, asymétrie
    pupillaire
  • ECG systématique
  • Prélèvements biologiques urgents coag, NFS
    plaquettes, Ht, iono sang, glycémie
  • Poser une VVP avec du sérum physiologique
  • CONTACTER IMMEDIATEMENT UN SERVICE D UCV

16
Traitement spécifique
  • Antiagrégants plaquettaires (Aspirine 250 mg)
    HBPM préventif (Lovenox SC 0,4 ml/j)
  • Anticoagulation efficace dans certaines
    indications
  • Embolie dorigine cardiaque prouvée ou hautement
    probable
  • Dissection artérielle
  • Sténose carotidienne serrée symptomatique
    pré-chirurgicale
  • Thrombophlébites
  • Sténoses intracrâniennes symptomatiques
  • AIT répétés ou AIC évolutifs, et thrombose tronc
    basilaire
  • Contre-indications
  • Hémorragie au scanner cérébral
  • AVC massif
  • HTA non contrôlée

17
Etiologie des hématomes
  • HTA
  • 50 des HIP
  • Topographies les plus fréquentes
    capsulo-thalamique et capsulo-lenticulaire, puis
    cérébelleuse
  • Rupture dune malformation vasculaire
  • Traitements antithrombotiques
  • Tumeurs cérébrales
  • Autres
  • Angiopathie amyloïde (HIP lobaires récidivants
    déficit cognitif chez un sujet âgé)
  • Anomalies de lhémostase
  • Thrombophlébite cérébrale
  • Endocardite infectieuse (rupture danévrisme
    mycotique), alcoolisme chronique et aigu,
    toxiques, artérites cérébrales

18
Conduite à tenir devant un hématome
  • Si hématome profond (cause HTA)
  • Contrôle TA (sans diminuer en dessous de 160/80)
  • Mesures générales (cf) et surveillance neuro et
    TDM
  • Si hématome cortical
  • Recherche malfo artérioveineuse (angio TDM ou
    artério)
  • Contrôle TA, mesure générales
  • Surveillance neuro et TDM
  • Traitement anti-épileptique si crise
  • Indications chirurgicales rares

19
Etiologie des thrombophlébites cérébrales
  • Causes/facteurs généraux
  • Période post opératoire
  • Grossesse et surtout post-partum (méfiance
    devant toute céphalée dans ce contexte)
  • Contraception orale
  • Affections hématologiques
  • Troubles de lhémostase congénitaux (déficit en
    protéine C, S, antithrombine III) ou acquis
    (anticoagulant circulant, CIVD, cryoglobulinémie)
  • Infections (septicémies, endocardite)
  • Cancers et chimiothérapie
  • Maladies inflammatoires (Behcet notamment)
  • Causes diverses (déshydratation sévère, cirrhose,
    syndrome néphrotique, )
  • Causes/facteurs locaux infectieux
  • Infection de voisinage (otite, mastoïdite,
    sinusite, infection buccodentaire, )
  • Infection intracrânienne (abcès, empyème
    sous-dural, méningite)
  • Causes/facteurs locaux non infectieux
  • Traumatisme crânien (ouvert ou fermé, avec ou
    sans fracture), intervention neurochirurgicale
  • Malformation vasculaire (fistule dure-mérienne)
  • Cathétérisme jugulaire

20
Conduite à tenir devant une thrombophlébite
cérébrale
  • Héparine à dose efficace (adaptée au poids)
  • HTIC mannitol
  • Antiépileptique en cas de crise
  • Étiologique ATB, corticoïdes

21
Examens complémentaires dans le cadre dun AVC
  • Examens biologiques de base (NFS- plaquettes,
    ionogramme, glycémie)
  • ECG
  • Echo-doppler cervical
  • Echocardiographie transthoracique
  • Les autres examens dépendent du contexte et des
    possibilités locales
  • doppler transcrânien, ARM intracrânienne et
    cervicale, parfois angioscanner hélicoïdal
    (artériopathies)
  • échocardiographie transoesophagienne (étude
    oreillette/auricule gauche, septum
    interauriculaire, crosse de laorte)
  • hémostase complète (recherche dune thrombophilie
    déficits en protéine S, C, antithrombine III)
  • angiographie cérébrale

22
Pronostic des AVC
  • Mortalité et récidive
  • Mortalité après AVC 20 à 1 mois et 40 à 1 an
  • Surmortalité à distance surtout liée à
    laugmentation du risque coronarien (40 décès à
    distance dun AVC)
  • A 5 ans, 30 des AVC ont récidivé.
  • Morbidité
  • - 1/3 des survivants dépendants
  • 1/3 avec séquelles mais indépendants
  • 1/3 à leur état antérieur
  • Pronostic fonctionnel difficile à établir à la
    phase aiguë
  • Lessentiel de lar récupération dans les 3
    premiers mois jusquà 6 mois
  • Puis amélioration fonctionnelle en rapport à une
    meilleure adaptation au handicap résiduel
  • Particularités de lHIP
  • Mortalité précoce plus élevée
  • que lAIC, liée à leffet de masse
  • Pronostic fonctionnel meilleur

23
Après un AVC
  • Installation brutale et modification soudaine de
    la communication
  • Troubles de larticulation et de la voix
  • Troubles de la déglutition
  • Troubles du langage
  • Compréhension
  • Expression
  • Syndrome de lhémisphère mineur
  • Trouble du langage rarement isolé
  • Nécessité dadaptation du patient et de son
    entourage
  • Parler nest plus naturel demande beaucoup
    dattention

24
Après un AVC
  • Troubles de la déglutition
  • Avis après bilan orthophonique sur le pronostic
    de récupération
  • Pose de gastrostomie?
  • Conseils eau gazeuse plutôt que plate, bonne
    position de la tête.
  • Troubles du langage
  • Compréhension
  • Expression

25

1 étape bilan orthophonique État de la
situation à une date donnée (Quelques heures à
quelques jours après linstallation du trouble)
  • Évaluer ce qui est préservé/ perturbé base de
    la communication pour lensemble de léquipe
    soignante
  • Expression orale
  • Compréhension orale (de la désignation à la
    compréhension de la lecture)
  • Répétition
  • Dénomination
  • Lecture
  • Compréhension écrite
  • Expression écrite
  • Calcul
  • Conscience du trouble
  • Déterminer les éléments sur lesquels sappuyer
    pour favoriser la communication
  • Transmettre ces données au médecin, et personnel
    (AS, IDE, kinésithérapeute)
  • A la famille (question de la démence souvent
    posée par la famille, le temps quil faudra pour
    être comme avant?...)

26

2 étape rééducation sans délai après le bilan
  • Le bilan a souvent mis le patient devant ses
    difficultés (parfois sa famille)
  • Objectif Bâtir un projet adapté à chaque patient
  • ( du temps et de lénergie)
  • Travail dajustements fréquents pour le patient
    et ses proches
  • Phases différentes selon les prises en charge
  • Hospitalisation
  • Passage en rééducation, soins de suite
  • Retour au domicile

27

2 étape rééducation sans délai après le bilan
  • Aphasies
  • Expression réduite mais compréhension conservée
  • Susciter lexpression, la favoriser
  • ébauche orale, contextuelle
  • Aider les échanges en conversation
  • Compréhension perturbé avec jargonnophasie
  • Canaliser le patient
  • Parfois passer par le non-verbal (formes,
    couleur)
  • Rarement isolée co-existe avec de troubles
    moteurs ou du comportement
  • Apathie
  • Distractibilité
  • Persévérations
  • Troubles du contrôle de soi et des comportements
    sociaux

28

Quelques conseils de façon générale
  • Importance de la relation avec lorthophoniste,
    qui en vous communiquant ses résultats de bilan,
    vous aide à vous adapter aux capacités du patient
  • Le but de la rééducation est la communication,
    communiquer nest plus naturel pour le patient
  • Séances avec orthophonistes souvent épuisantes
  • Veiller à sinstaller dans un espace de
    communication
  • Attention, position du corps et du visage,
    orientation du regard
  • Éloigner les nuisances bruits de couloir, TV,
    radio, téléphone
  • Veiller aux port des lunettes, prothèses
    auditives, maintien des appareils dentaires
  • Conserver une communication de base même avec les
    patients mutiques  bonjour ,  merci, SVP  la
    présentation, programme de la journée ou du soin
    à venir, commentaires.

29
  • Rester naturel dans la communication
  • Sur les mots mais pas seulement
  • La mimique, le regard, intonation, comportement,
    toucher, les mains..
  • Eviter de parler à la place de la personne
    aphasique la réussite de la communication étant
    de suppléer aux carences de lautre mais sans
    prendre sa place
  • Veiller à ne pas parler trop vite, à faire des
    phrases courtes, à signaler les changements de
    thème
  • Respecter les temps de silence pour laisser un
     espace de parole  le patient aphasique a
    besoin de temps pour initier le discours
  • Créer un climat de confiance et signaler au
    patient lorsquon ne le comprend pas (ne pas
    laisser croire au patient que vous avez compris
    sa demande et que vous allez y répondre si ce
    nest pas le cas)
  • Choisir des thèmes qui interessent le patient,
    faire en sorte que le langage reste une
    expérience stimulante et agréable
  • La perte du plaisir à communiquer mène à
    lappauvrissement des échanges
  • Sassurer de ladéquation du oui/non, veiller à
    la concordance du geste/mot pour déceler une
    évnetuelle contradiction

30
  • Ce que dit le patient peut être le fait de
    productions automatiques quil ne peut contrôler
    (formules toutes faites, jurons ou mots
    grossiers)
  • Être attentif aux troubles associés
  • Désorientation spatiale citer lhôpital, faire
    des repères dans la chambre, des objets
    personnels
  • Désorientation temporelle calendrier, horloge
  • Héminégligence
  • pour stimuler le patient ? se placer du côté
    atteint lors des séances
  • lui placer les objets du quotidien, les plats
    lors des repas ? du côté sain
  • Demander lavis du patient quant à la présence de
    la famille, tout en essayant de maintenir sa
    place dans les débats, décisions

31

Face à un patient avec expression réduite et
compréhension conservée (1)
  • Lors de la démutisation, lorthophoniste peut
    saider du chant de mélodies, de séries
    automatiques, mais ces technques facilitatrices
    ne doivent pas perdurer (attention à
    linstallation de stéréotypies)
  • Si présence de stéréotypie urgence à linhiber,
    surtout si le patient a la charge dintonation
    donnant lillusion dun discours informatif
  • On peut lui répéter ce mot pour lui signifier
    quil est vide de sens
  • A lextrême, on peut arrêter toute communication
    orale, se cantonner aux gestes
  • Reprendre quand le patient a pu respecter le
    silence cest à dire inhiber sa stéréotypie
  • Essayer dobtenir du patient, en situation, de
    façon naturelle les  bonjours, merci, au
    revoir, à demain , en réponse à votre propre
    discours et comportement
  • Penser que le patient ne peut peut-être pas vous
    poser de questions, donc essayer de venir aux
    devants de ses demandes

32

Face à un patient avec expression réduite et
compréhension conservée (2)
  • On peut parfois aider le patient à produire en
    initiant lébauche orale, efficace que si lon
    est sûr de ce que le patient veut dire, mais cela
    ne constitue pas une aide à linformativité
  • Attention au danger de lhabituatio de lébauche
    orale la patient ne peut plus initier (à
    utiliser avec modération)
  • Quand le patient ne peut terminer sa phrase lui
    répéter ses propres mots depuis le début peut
    laider à trouver la fin (de façon plus efficace
    que des propositions) utiliser également cette
    méthode lorque le patient nest pas satisfait du
    mot quil a produit
  • Garder à lesprit que le mot émis nest pas
    forémment le mot voulu et que le patient peut ne
    pas être satisfait

33

Face à un patient avec discours fluent et
compréhension perturbée (1)
  • Discours souvent abondant sans être informatif
    aider le patient à sécouter et à écouter les
    autres
  • Importance de lui signifier que lon a pas
    compris son message
  • Tout cela dans le but de le canaliser il faut
    souvent passer par un moment de silence imposé
    pour essayer de calmer lagitation.
  • En effet le patient sénerve vite car il na pas
    de feed-back et pense que son langage est
    compréhensible, alors il ne comprend pas pourquoi
    on ne répond pas à ses demandes

34

Face à un patient avec discours fluent et
compréhension perturbée (2)
  • Pendant les premiers temps, il peut être bon de
    faire les soins dans le silence cela permet au
    patient de travailler son attention et sa
    capacité à comprendre une situation grâce à
    lenvironnement et sans avoir à traiter le
    langage
  • Garder à lesprit que le patient aphasique peut
    utiliser un mot à la place dun autre, sans
    pouvoir se corriger. Il est bon parfois de
    reformuler ce que lon pense avoir compris
Write a Comment
User Comments (0)
About PowerShow.com