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OREILLONS

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OREILLONS Agent causal virus ourlien (fam. Paramyxoviridae) Epid miologie (tr s contagieuse) - r servoir naturel humain - transmission par voie a rienne ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: OREILLONS


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OREILLONS
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  • Agent causal virus ourlien (fam.
    Paramyxoviridae)
  • Epidémiologie (très contagieuse)
  • - réservoir naturel humain
  • - transmission par voie aérienne
  • - infection asymptomatique une fois sur
    trois
  • - contagiosité entre 2j avant la parotidite et
    5j après

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  • CLINIQUE
  • PAROTIDITE OURLIENNE
  • - incubation 21j
  • - début (24 48h)syd. infectieux moderé,
    otalgies
  • - dabord unilatérale, puis bilatérale ?
    déformation piriforme du visage
  • - parotides douloureuses, de consistence
    élastique
  • - turgescence et rougeur de loriffice de Stenon
  • - adénopathies régionelles
  • - atteinte possible des glandes sous-maxillaires
    et sublinguales
  • - évolution favorable en 10j

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(No Transcript)
5
  • Autre formes cliniques
  • LOCALISATIONS GLANDULAIRES EXTRA-SALIVAIRES
  • - orchite, ovarite, mastite
  • - pancréatite
  • - thyroïdite
  • LOCALISATION NEUROMENINGEE
  • - méningite
  • - encéphalite
  • - névrite surdité, cécité, paralysie faciale
  • - myélite
  • - polyradiculonévrite

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  • COMPLICATIONS
  • - azoospermie
  • - diabète
  • - séquelles neurologiques
  • DIAGNOSTIC essentiellement clinique
  • DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
  • - autre parotidites virales, bactériennes,
    médicamenteuse, toxique
  • - lithiase salivaires
  • - tumeurs
  • TRAITEMENT - symptomatique
  • PREVENTION vaccin (ROR, Priorix)

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MONONUCLEOSE INFECTIEUSE
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  • AGENT CAUSAL virus dEpstein-Barr (fam.
    Herpesviridae) primo-infection
  • EPIDEMIOLOGIE transmission salivaire
  • SYMPTOMATOLOGIE incubation 30 50j
  • - asthénie profonde
  • - fièvre
  • - angine pultacée
  • - œdème palpebral
  • - adénopathies généralisées
  • - splénomégalie
  • - exanthème maculopapuleux après
    aminopénicilline (il ne sagit pas dallergie
    aux pénicillines)
  • Evolution guérison spontanée en 4 semaines

9
(No Transcript)
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  • Autre manifestations
  • Hépatite
  • Rupture spontanée de rate
  • Anomalies hématologiques (anémie, purpura
    thrombopénique)
  • Atteintes neurologiques encéphalite,
    polyradiculonévrite, paralysie faciale, méningite

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  • DIAGNOSTIC
  • - dorientation
  • - hémogramme syd. mononucléosique
    (augmentation des éléments mononucléés L
    M de plus de 50 et L hyperbasophiles)
  • - cytolise hépatique
  • - de confirmation Ac spécifiques la presence
    dIg M anti-VCA (Ag de la capside virale) et
    labsence dAc anti-EBNA (Epstein-Barr Nuclear
    Antigen)
  • TRAITEMENT
  • - symptomatique
  • - manifestations sévères corticothérapie (1
    mg/k/j 10j avec décroissance progressive)
  • PREVENTION il ny a pas de mesures spécifiques
    (vaccin, Ig)

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GRIPPE SAISONNIERE
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  • Maladie aiguë virale très contagieuse qui évolue
    sur un mode épidémique
  • Généralement bénigne (personnes jeunes, sans
    comorbidités)
  • Morbidité et mortalité importante (personnes
    âgées ou souffrant de maladie chronique)

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Les virus grippaux (fam. Orthomyxoviridae)
  • Virus ARN
  • Glycoprotéines de surface neuraminidase (N) et
    hémagglutinines (H)
  • 3 types majeurs A, B, C
  • La principale caracthéristique grande
    variabilité génétique les gènes codant pour les
    protéines de surface se modifient constamment par
    de mécanismes mal connus ? ces modifications
    apparaissent en premier dans les pays
    dExtreme-Orient permettant la préparation des
    souches vaccinales pour chaque campagne annuelle

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  • Souches vaccinales dénommées selon
  • - type antigénique
  • - hôte dorigine (sil nest pas lhomme)
  • - origine géographique
  • - numéro de la souche
  • - année disolement
  • - pour les souches A nature des antigènes (N,
    H)
  • Physiopathologie H se fixe au récepteur à la
    surface des cellules des voies respiratoires ?
    pénétration intracellulaire ? multiplication dans
    les cellules ciliées et à mucus de lépithélium
    respiratoires ? réaction inflammatoire
    sous-muqueuse

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  • EPIDEMIOLOGIE
  • Répartition géographique varie selon les saisons
  • Réservoir naturel les animaux (oiseaux, porcs,
    chevaux) pour le type A, lhomme pour les types
    B, C
  • Mode de transmission directe par voie aérienne
  • - contagiosité 1j avant et 6j après le début
  • Modes épidémiques
  • - cassures changement antigénique brusque et
    complet dune H ou/et N ? grande rapidité et
    intensité de la diffusion de la maladie avec
    morbidité élevée pandémie (tous les 15 ans)
    (antigenic shift)
  • - glissement évolution progressive et
    permanente des Ag du virus épidémies
    saisonnieres et hivernales (antigenic drift)

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  • CLINIQUE
  • FORME HABITUELLE
  • Incubation 48h
  • Phase dinvasion malaise, frissons, fièvre,
    céphalées, myalgies
  • Phase détat contrast entre lintensité des
    signes généraux et fonctionnels et la pauvreté
    des signes physiques
  • - signes généraux et fonctionnels
  • - syd. infectieux fièvre, tachycardie,
    frissons, asthénie, anorexie
  • - syd. respiratoire rhinorrhée, douleurs
    pharyngolaryngées, dysphagie, dysphonie, toux
    sèche douloureuse, brûlures rétrosternales
  • - syd. algique arthralgies et myalgies
    diffuses, céphalées frontales et rétro-orbitaires
  • - signes physiques injection conjonctivale,
    rougeur du pharynx, langue saburalle, râles
    sous-crépitants
  • Evolution guérison en 7j

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  • COMPLICATIONS RESPIRATOIRES
  • Pneumonie virale primaire (souvent mortelle)
  • Pneumonie bactérienne secondaire (S. aureus, H.
    influenzae, pneumocoque, Klebsiella pneumoniae,
    E. coli, Pseudomonas aeruginosa)
  • Bronchite aiguë et exacerbation de
    bronchopneumopathie chronique obstructive/
    décompensation dasthme
  • Otite moyenne aiguë, sinusite
  • COMPLICATIONS EXTRA-RESPIRATOIRES
  • Myocardite, pericardite
  • Méningite, encéphalite, polyradiculonévrite,
    syndrome de Reye
  • Hépatite
  • Insuffisance rénale

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  • ELEMENTS PARACLINIQUES
  • Les modifications de lhémogramme et de la
    radiographie du thorax ne sont pas
    caracthéristiques (parfois normales)
  • Détection directe des Ag viraux (ELISA) ou des
    fragments de génome (PCR)
  • Réaction de fixation du complément, réaction
    dinhibition de lhémagglutination (2
    prélèvements à 2 semaines dintervalle pour
    prouver la montée du taux des Ac titre x 4)
  • Culture

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  • TRAITEMENT
  • Antiviral inhibiteurs de la N (OseltamivirTamifl
    u, Zanamivir)
  • Symptomatique repos, hydratation correcte,
    alimentation équilibrée, antipyretiques, sédatifs
    de la toux
  • PREVENTION
  • Chimioprophylaxie
  • Vaccination

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HEPATITES VIRALES
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  • Infections systémiques atteignant
    préférentiellement le foie
  • Virus hépatotropes A, B, C, D, E, G
  • Virus potentiellement hépatotropes HSV, VVZ,
    EBV, CMV, arbovirus, fièvres hemorragiques

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  • Modes de transmission

Entérale Parénterale Parénterale Sexuelle Materno-fœtale
Virus Transfusions Toxicomanie IV
A 0 0
B 0
C 0
D 0
E 0 0 0 0
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HEPATITE VIRALE A
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Virus de lhépatite A (VHA)
  • Virus ARN fam. Picornaviridae
  • Réservoir humain
  • Transmission par voie digestive
  • Caractère endémique ou épidémique
  • Infection de lenfant et de ladulte jeune
  • Fréquence liée aux mauvaises conditions dhygiène
  • Immunité spécifique solide et durable

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Clinique
  • Formes asymptomatiques plus fréquentes chez
    lenfant
  • Gravité augmente avec lâge
  • Incubation 2-6 semaines
  • Excrétion fécale (contagiosité) maximale juste
    avant lapparition des symptomes (disparaissant
    vers le j10 après le début de lictère)

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  • FORMES AVEC ICTERE
  • PHASE PREICTERIQUE
  • - Début digestif (anorexie, nausée, douleurs de
    lhypocondre droit)
  • - Début neurologique (asthénie)
  • - Début pseudo-grippal (fièvre, céphalées,
    myalgies)
  • - Début rheumatismale (arthralgies)
  • - Début éruptif
  • - Début pseudo-chirurgicale
  • PHASE ICTERIQUE l ictère accompagne d une
    décoloration des selles et d urines foncées,
    hépatomégalie splénomégalie
  • !!! Les signes du début disparaissent dans les
    jours qui suivent l installation de l ictère
  • FORMES ANICTERIQUES reduites aux seules
    manifestations extra-hépatiques

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Laboratoire
  • BILAN HEPATIQUE
  • Cytolyse hépatique élévation des transaminases
    (TGPgtTGO) (? 100 fois les valeurs normales)
  • Rétention biliaire élévation de la bilirubine
    (bilirubine conjuguée prédominente)
  • Insuffisance hépatique (le temps de prothrombine
    IPlt50 fait craindre une forme fulminante)
  • Syndrome infammatoire élévation des
    gammaglobulines
  • SEROLOGIE
  • Ig anti VHA (apparaissent précocement dès les
    premiers signes cliniques)

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Evolution
  • Rapidement favorable (21 j)
  • Plus rarement
  • Formes prolongées (il n y a pas de passage à une
    forme chronique)
  • Formes cholestatiques
  • Rechute (après une remission apparement complète)
  • Formes fulminantes sont exceptinnelles

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  • TRAITEMENT
  • - symptomatique
  • PROPHYLAXIE
  • - vaccination (HAVRIX, TWINRIXVHA VHB)

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HEPATITE VIRALE B
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Virus de l hépatite B (VHB)
  • Fam. Hepadnaviridae
  • Virion complet infectant particule de Dane (l
    enveloppe entourant la capside)
  • A l interieur de la capside ADN,
    ADN-polymérase, protéine kinase
  • Structure antigénique Ag HBs (enveloppe), Ag
    HBe, Ag HBc

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VHB - structure
34
(No Transcript)
35
(No Transcript)
36
Modes de transmission - VHB
  • PARENTERALE la virémie importante (jusqu à 100
    millions particules infectieuses par ml de sérum)
    et prolongée explique la forte contagiosité et le
    mode de transmission essentiellement parentérale
    (100 x gtHIV)
  • - polytransfusés, hémodialysés, toxicomans
    intraveineux
  • - professions particulièrement exposées
    personnel médical et paramédical maladie
    professionelle chez les personnels soignants et
    la vaccination anti-VHB exigée pour cette
    population
  • SEXUELLE
  • MERE-ENFANT
  • - hépatite aiguë chez la femme enceinte ou dans
    la période néo-natale
  • - à la survenue d une grossesse chez une femme
    infectée chronique
  • !!! Le risque pour le nouveau-né d être infecté
    est faible en l absence de replication virale
    chez la mère, mais 90 lorsqu il y a présence
  • dAg HBe chez la mère

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  • PHYSIOPATHOLOGIE
  • - la multiplication virale peu cytopathogène par
    elle-même la réaction immune (RI) de l hôte à l
    infection explique l extraordinaire
    polymorphisme de l hépatite
  • - 4 types de relation hôte/VHB
  • RI FORTE L élimination des virus circulants et
    des hépatocytes infectées ? l hépatite aiguë qui
    guérit (si la RI est suraiguë ? nécrose
    hépatocellulaire ? hépatite fulminante)
  • RI FAIBLE, MAIS ADAPTEE l infection reste
    asymptomatique et évolue vers la guérison
  • RI FAIBLE ET INADEQUATE tolérance partielle
    combinant la réplication prolongée du VHB (Ag HBs
    persistant) et une destruction à bas bruit du
    tissu hépatique ? hépatite chronique ? cirrhose ?
    carcinome hépatocellulaire
  • RI NULLE porteurs chroniques asymptomatiques
    tolérant une réplication parfois massive du VHB

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Infection aiguë
90 néonat
2530 enfants
lt10 adultes
2
Infection chronique
1540
Hépatite chronique progressive
Portage inactive
Hépatite fulminante
Cirrhose
Carcinom
Décès
Cirrhose décompensée
EASL Consensus Guidelines. J Hepatol 2003 Lok,
McMahon. Hepatology 2004 (AASLD Guidelines)
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Clinique
  • FORME COMMUNE AIGUE
  • - incubation 4 -28 semaines
  • - 90 asymptomatique
  • - analogue l hépatite A, d évolution plus
    prolongée
  • AUTRE FORMES AIGUES
  • - cholestatique
  • - prolongée
  • - à rechute
  • - fulminante (1 des hepatites B)
    encéphalopathie plus IP inferieur à 30 (troubles
    de conscience jusqu à coma, syndrome
    hémoragique) (en l absence de transplantation
    hépatique est mortelle dans des 80 des cas)
  • FORME CHRONIQUE
  • - portage chronique de l Ag HBs pendant plus de
    6 mois
  • - manifestations extra-hépatiques (atteinte
    articulaire, glomerulonéphrite, périartérite
    noueuse)

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Laboratoire
  • BILAN HEPATIQUE
  • TESTS VIROLOGIQUES
  • Ag HBs Ac anti HBs
  • Ag HBe Ac anti HBe
  • - - Ac anti HBc (Ag HBc pas dosé, étant
    uniquement intrahépatique)
  • ADN viral sérique (PCR)
  • Interpretation

Ag HBs infection en cours ou portage
chronique Ag HBe infection en cours
multiplication virale importante son absence n
élimine pas une infection virale chronique
(mutants pré-C) Ac anti-HBs guérison
protection (spontanée ou vaccination, titre gt
10mU/ml) Ac anti-HBc Ig M infection recente
(aiguë) Ac anti-HBc Ig G et Ag HBs (-)
infection ancienne Ac anti-HBc Ig G et Ag HBs ()
infection chronique
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Traitement
  • Forme aiguë commune
  • - mesures diététiques, repos à lit
  • - symptomatique
  • Forme fulminante traitement de lœdème cérébral,
    de lhypoglicémie, du collapsus, contrôle de la
    diurèse, de léquilibre hydroélectrolytique et
    des troubles de coagulation
  • Formes chroniques
  • - antiviraux (LAMIVUDINE, ENTECAVIR)
  • - immunomodulateurs (INTERFERON-a,
    PEG-INTERFERON-a-2a)

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Prevention
  • VACCINATION
  • - vaccin ne contient que lAg HBs
  • - ex. ENGERIX, TWINRIX (VHAVHB)
  • SEROTHERAPIE immunoglobulines anti-HBs
  • - enfants nés de mères Ag HBs
  • - exposition accidentelle au sang HBs dun
    sujet nonvacciné
  • LIMITATION DES ACTES A RISQUE DE TRANSMISSION
    respect absolu des précautions universelles chez
    les personnes soignants, préservatifs, attention
    à piercing ou tatouage, échange des seringues à
    toxicomans

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HEPATITE VIRALE C
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Le virus de lhepatite C
  • ARN fam. Flaviviridae
  • Passage fréquente à la chronicité (85)
  • Transmission parentérale transfusion,
    toxicomanie, matériel contaminé (y compris
    médical) par du sang infecté/mal sterilisé
    dautre modes avec effraction cutanée ou muqueuse
    (piercing, tatouage, acupuncture, percement des
    oreilles)

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(No Transcript)
46
(No Transcript)
47
(No Transcript)
48
Clinique
  • Incubation 15-90 j
  • Hépatite aiguë peu symptomatique, anicterique
  • A la phase aigue élévation moderée des
    transaminases
  • En phase chronique
  • - des fluctuations des transaminases (avec des
    périodes plus ou moins prolongées)
  • - manifestations auto-immunes extra-hépatiques
  • - cryoglobulinémie mixte
  • - vascularite
  • - syndrome sec
  • - hépatite auto-immune
  • - glomerulonéphrite
  • - Ac antithyroïde, facteur rhumatoïde

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  • TRAITEMENT
  • - larrêt de la consommation dalcool
  • - éviter les substances avec toxicité hépatique
  • - médicaments
  • INTERFERON PEGYLE RIBAVIRINE
  • PROPHYLAXIE
  • - test de dépistage chez les donneurs de sang
  • - il ny a pas de vaccin ou Ig spécifiques
  • - lutilisation partagée de tout objet de
    toilette rasoir, brosse à dents, matériel de
    détartrage dentaire, coupe-ongles, ciseaux,
    matériel dépilation

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HEPATITE DELTA
  • VHD un virus défectif à ARN utilisant
    lenveloppe du VHB
  • Transmission voisine de celle du VHB
  • Prévention prévention de lhépatite B
  • Diagnostic sérologique
  • - Ac anti-VHD, Ag VHD
  • - Ag HBs
  • 2 circonstances
  • CO-INFECTION infection simultanée par le VHB et
    le VHD qui se manifeste comme une hépatite B
    classique (risque augmenté dhépatite fulminante)
  • SURINFECTION par le VHD dune hépatite B
    chronique elle provoque une hépatite aiguë
    évoluant vers une hépatite chronique active ou
    cirrhose qui vient compliquer lhépatite
    chronique B

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HEPATITE VIRALE E
  • VHE virus ARN (Calicivirus)
  • Contamination par voie entérale (Asie, Afrique)
  • Diagnostic Ig M anti-VHE
  • Evolution en règle bénigne (les formes graves à
    mortalité élevée chez les femmes enceintes)
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