Title: Evaluations ergonomiques
1Evaluations ergonomiques
- http//www.irit.fr/Philippe.Truillet
- v.1.3 26 avril 2008
- Merci à Christelle Farenc
2carte ACM de lIHM
3spécifications ergonomiques sciences
cognitives 1/3
- deux champs dinvestigation
- compréhension du comportement humain et des
mécanismes qui le sous-tendent - perception (visuelle, sonore, )
- usage des modalités dinteraction
- apprentissage
- comportement face à la résolution de problème
- méthodes dévaluation et de prédiction de
lopérateur humain face à une IHM
4spécifications ergonomiques sciences
cognitives 2/3
- des résultats
- la loi de Hick-Hyman le temps de décision est
proportionnel au logarithme du nombre
d'alternatives.  - la loi de Fitts prédit le temps nécessaire Ã
latteinte d'une cible en fonction de la taille
et de la distance de celle-ci. - la loi de la pratique permet de prévoir
laugmentation de la rapidité de réponse en
fonction du temps.
5spécifications ergonomiques sciences
cognitives 3/3
- les connaissances sur la mémoire permettent de
connaître le nombre maximum dinformations quon
peut demander à des utilisateurs de garder en
mémoire. - les connaissances en perception visuelle des
couleurs et sur la lisibilité des caractères
affichés à lécran en fonction de leur type,
taille, couleur et fond décran permettent de
concevoir des dispositifs daffichage de
linformation optimaux.
6spécifications ergonomiques psychologie sociale
- impact des IHM sur les méthodes de travail
collectives et lorganisation du travail, de la
diffusion dinformation, de la pédagogie - influence mutuelle du comportement de lhomme
(H) et de la machine (M) - étude des modifications inter-individuelles
7spécifications ergonomiques ergonomie 1/2
- ergonomie des médias écran, hauts-parleurs,
claviers, etc. - ergonomie de lIHM conception et mise en uvre
des guides et de règles - ergonomie cognitive
8spécifications ergonomiques ergonomie 2/2
- ergonomie des logiciels guides ergonomiques et
des styles - compilation de recommandations, guides, listes
de contrôle, standards ergonomiques (BSI/40677,
ISO 9241)
9spécifications ergonomiques ergonomie un
exemple 1/3
- Recommandations pour les sites web Henning,
Morkes Nielsen, Schemenaur Fox - être clair du point de vue utilisateur
- être pertinent
- être bref un texte en ligne devrait contenir
la moitié moins de mots quun texte imprimé.
10spécifications ergonomiques ergonomie un
exemple 2/3
- être balayable (scanable) et lisible
(readable) parce que les lecteurs balayent les
pages Web, cette activité devrait être facilitée. - être cohérent la navigation, la terminologie
et le style devraient être cohérents à travers le
site.
11spécifications ergonomiques ergonomie un
exemple 3/3
- être sans erreurs le texte devra évidemment
être exempt derreurs grammaticales
orthographiques et typographiques. - être dune profondeur limitée le texte ne
devrait pas comporter plus de 4 niveaux de
profondeur sur le Web.
12spécifications ergonomiques modèles conceptuels
- inspirés du génie logiciel
- logiciel donc recommandation de génie logiciel
- questions
- est-ce suffisant ?
- où se trouve lutilisateur ?
- trois modèles
- en cascade, en V
- en spirale
13ergonomie
- objectif
- Fonder la conception des outils sur létude des
caractéristiques physiques et psychologiques des
usagers - Meinadier optimiser la manière dont
linformation est traitée et présentée par
lordinateur pour correspondre aux objectifs des
utilisateurs
14Objectifs
- Concevoir et réaliser des systèmes
- utiles (adéquation aux besoins, fourniture des
bonnes fonctions) - utilisables (adéquation aux capacités de
lutilisateur) confort, efficacité, sécurité,
qualité du produit et de la tâche réalisée avec
le système)
15Lutilisabilité
- Nielsen définit 5 attributs à lutilisabilité
- lapprentissage linterface doit être facile Ã
apprendre. - lefficacité linterface doit permettre Ã
lutilisateur de réaliser sa tâche avec un haut
niveau de productivité. - la mémorisation linterface doit permettre Ã
lutilisateur de se souvenir facilement de son
utilisation
16Lutilisabilité
- les erreurs linterface doit être capable de
minimiser les erreurs de lutilisateur - la satisfaction linterface doit satisfaire
lutilisateur
17Les méthodes dévaluations
- Évaluer lutilité et lutilisabilité
18modèles dévaluation a priori et a posteriori
- IHM composant dun système
- vérifier et valider
- principes dévaluation a priori et a posteriori
comparaison
modèle de référence
système à évaluer
buts utilité et utilisabilité
19modèles dévaluation critères
- utilisabilité
- quelle est la qualité de linteraction ?
- facilité dapprentissage et dusage
- qualité
- documentation
- utilité
- est-ce que linterface permet à lutilisateur
datteindre son but des capacités
fonctionnelles aux performances de lassistance
technique - performance du couple IHM et SI
- ? préférences de lutilisateur Nielsen 93
20modèles dévaluation utilisabilité
(usability) 1/4
- Un système est utilisable lorsquil permet Ã
l'utilisateur de réaliser sa tâche avec
efficacité, efficience et satisfaction dans le
contexte dutilisation spécifié. - norme ISO 9241-11
AFNOR Z67
21modèles dévaluation utilisabilité
(usability) 2/4
- mesure de
- lefficacité les objectifs visés par
lutilisateur sont-ils atteints ? - lefficience par exemple , quel temps a été
mis par lutilisateur pour réaliser la tâche ? - la satisfaction le système est-il agréable Ã
utiliser ?
22modèles dévaluation utilisabilité
(usability) 3/4
- combien dutilisateurs ? Nielsen / Landauer
- n utilisateurs
- L de problèmes trouvés par un seul utilisateur
(typiquement 31 ) - N problèmes dutilisabilité trouvés (1-(1-L)n
- 5 utilisateurs suffisent ! (euh
pas sûr)
23modèles dévaluation utilisabilité
(usability) 4/4
- comment mesurer ?
- définir un objectif précis par séance de test
(scénario) - choisir un panel utilisateur représentatif
- 5 utilisateurs suffisent il vaut mieux
effectuer 3 tests de 5 quun test de 15.
24Méthodes dévaluations
- assurer la qualité de conception dune IHM
- établir un diagnostic dusage des systèmes
existants - contrôler à priori la qualité ergo dun produit
commercialisé
25Méthodes dévaluations
- comparer les avantages et les inconvénients des
logiciels - évaluation comparative de différents logiciels
dans l objectif d un choix en terme
d utilisabilité
26Principe dune évaluation
27Les méthodes extensives(ou empiriques)
- Evaluation avec utilisateur réel tâche réelle
- Objectif
- recueillir des données comportementales sur
lutilisation du système. Il sagit de tester le
produit fini à travers un ensemble de données
recueillies pendant son utilisation par des
utilisateurs - Affectation dune tâche à réaliser
28Les méthodes extensives
- Lobservation dutilisateurs (tests
utilisateurs) - en situation réelle ou en laboratoire
dutilisabilité - avec ou - de matériel (vidéo, mouchard
électronique) - démarche expérimentale
- Les questionnaires
- recueil de données (les  impressions de lU
après utilisation) - Les rapports verbaux (Verbals reports)
- recueil de données (ce que dit lU durant son
interaction)
29Les tests utilisateurs
- Déroulement de létude
- Identification des fonctionnalités
significatives (scénarios-types) et de la partie
du site à tester. - Recrutement des testeurs en fonction de la cible
- Passation des tests (avec vidéo ou pas, mouchard
électronique) - Passation de questionnaire
- Rapports verbaux
- Analyse des observations
- Rédaction rapport final (pbles et solutions)
30Mouchard électronique
- Monitoring (mouchard électronique)
- méthode non intrusive,
- recueil automatique des données (temporelles),
- analyse
- des stratégies utilisées,
- du séquencement réel des tâches,
- des performances obtenues,
- identification des erreurs d'utilisation, etc.
31Les questionnaires
- Exemple de questionnaire SUMI
- (Somewhere Upon My Imagination)
Disagree
Undecided
Agree
1 This software responds too slowly to inputs.
2 I would recommend this software to my
colleagues. 3 The instructions and prompts
are helpful. 4 The software has at some
time stopped unexpectedly. 5 Learning to
operate this software initially is full of
problems.
32Rapports verbaux
Blabla
2. Analyse à posteriori
3. Auto-confrontation
33Diagnostic dusage
- Evaluation réalisée lorsquil existe une
expérience dutilisation - Techniques
- Entretiens
- Méthode des incidents critiques (FLANAGAN, 54)
entretiens/dysfonctionnements, classification des
problèmes, diagnostic global et rapide des
principaux dysfonctionnements - Analyse des traces écrites rapports de travail
(identification possible de lacunes), cahiers de
doléances (outil de dialogue entre utilisateurs
et développeurs) - Questionnaire (hors cadre dutilisation)
34Méthodes semi-intensives
- Evaluation avec tâche réelle utilisateur
simulé - Utilisation de modèles simplifiés de l'opérateur
humain et des théories sur la performance de
l'opérateur humain Karat 88.
35Les méthodes semi-intensives
- GOMS
- prédiction du comportement de lU (temps de
réalisation des tâches, etc.) - modèle de représentation de l activité
cognitive (buts-sous-buts) - KLM (ancêtre de GOMS)
- prédiction temps de réalisation des tâches
- ne prend en compte que les actions physiques de
lU
36Les méthodes semi-intensives
- CCTE (extension de GOMS)
- prédire le temps nécessaire aux nouveaux
utilisateurs pour interagir avec le système - modèle de linterface et modèle du processus
mental de lU - Cognitive Walkthrough
- Evaluation de lexpert avec une liste de
questions - Choix des tâches, simulation du comportement
cognitif de lutilisateur
37Les temps (KLM)
38Exemple de calcul (KLM)
- Mettre un fichier à la poubelle (drag and drop)
- Pointer sur licône du fichier P
- Presser le bouton gauche de la souris B
- Drag de licône du fichier sur licône de la
souris P - Lâcher le bouton gauche de la souris B
- Revenir à la fenêtre dorigine P
- Temps total 3P2B 31,120,1 3,5 s
39Cognitive Walkthrough
- Lobjectif
- évaluer la facilité d'apprentissage de
l'utilisateur. - Technique
- Liste de questions. Ces questions dirigent
lattention du concepteur sur les aspects précis
de linterface importants pour faciliter la
résolution de problèmes et le processus
dapprentissage de lutilisateur Lewis 90.
40Méthodes intensives
- Evaluation avec tâche simulée utilisateur
simulé - ni lutilisateur réel ni sa représentation Ã
travers un modèle. - Soit lutilisateur et la tâche ne sont pas
intégrés à la méthode, - Soit les connaissances sur lutilisateur et la
tâche ont été extraites de manière à être
intégrées aux règles ou critères ergonomiques par
exemple.
41Les méthodes intensives
- Méthode indépendante de la tâche et de
lutilisateur - Méthode de Comber
- mesure la complexité de l interface (lordre et
le désordre des objets graphiques) - Hypothèse lutilisabilité est liée à la
complexité - La complexité est de même taille si les objets
sont alignés - Méthode mathématique basée sur la mesure de
lentropie
42Les méthodes intensives
- Méthodes sur lutilisateur
- Evaluation heuristique
- évaluation de linterface par des experts guidés
par les Heuristiques de Nielsen - Evaluation avec les critères ergonomiques de
Bastien/Scapin - Evaluation avec guide de recommandations
- évaluation de linterface par des experts qui
détectent le non-respects des recommandations
ergonomiques
43Les Heuristiques de Nielsen
Les problèmes dutilisabilité sont des déviations
par rapport aux heuristiques
- Les dialogues simples et naturels
- Parler le langage de l U
- Minimiser la charge de mémoire de l U
- La consistance
- Le feed-back
- Les sorties clairement signalées
- Les raccourcis
- Les bons messages d erreurs
- Prévenir les erreurs
- LÂ aide et la documentation
44Les règles ergonomiques
- Définition
- Une règle ergonomique est un principe de
conception et/ou dévaluation à observer en vue
dobtenir et/ou garantir une interface
homme-machine ergonomique Vanderdonckt 93. - Les règles ergonomiques sont liées aux critères
ergonomiques le respect dun règle ergonomique
favorise un critère ergonomique.
45Les règles ergonomiques
- Exemples
- Lorsqu'un bouton commande est pré-selectionné,
cette pré-selection doit être mise en évidence
graphiquement. - Si risque de perte ou modification de données,
ou traitement long et bloquant, affichage dune
boîte de message de demande de confirmation
46critères ergonomiques
- à voir comme des règles ou des guides
- permettent dorienter des choix de conception
sur des pistes  solides - contribuent à éviter les pièges de la
subjectivité et des goûts personnels
47critères ergonomiques caractéristiques
- basés sur lanalyse de linterface (plus rapide
et moins chers que des tests dutilisabilité) - utilisables par des non-spécialistes de
lutilisabilité - suffisamment explicites pour permettre des
mesures précises, standardisés pour des résultats
reproductibles
48critères ergonomiques ensembles
- critères de Scapin et Bastien
- heuristiques de Nielsen
- norme ISO 9241-10
-
- différentes recommandations
49critères ergonomiques critères de S B
- 8 critères qui doivent guider la conception
- guidage
- charge de travail
- contrôle explicite
- adaptabilité
- gestion des erreurs
- homogénéité / cohérence
- signifiance des codes et dénominations
- compatibilité
50critère guidage
- ensemble des moyens mis en uvre pour
conseiller, orienter, informer et conduire
lutilisateur lors de ses interactions avec
lordinateur
51critère guidage
52critère guidage - incitation
- incitation inciter lutilisateur à effectuer
des actions spécifiques en lui fournissant des
indices
53critère guidage - incitation
54critère guidage - incitation
55critère guidage - incitation
56critère guidage groupement/dictinction
- groupent des différents éléments visuels de
façon cohérente et ordonnée - G/D par la localisation positionner les items
les uns par rapport aux autres afin dindiquer
leur appartenance ou non à une classe dobjets - G/D par le format donner aux éléments des
caractéristiques graphiques particulières afin
dindiquer leur appartenance ou non à une classe
dobjets
57critère guidage groupement/dictinction
- ex de G/D par localisation
- grouper les options de menus en fonction des
objets sur lesquels elles sappliquent - ex de G/D par format
- utiliser un symbole de couleur rouge pour les
boîtes de dialogue dalerte ou derreur
58critère guidage feedback immédiat
- feedback dans tous les cas, lordinateur doit
répondre à lutilisateur en fonction des actions
et des requêtes de ce dernier
59critère guidage lisibilité
- lisibilité les caractéristiques lexicales de
présentation des informations sur lécran doivent
faciliter la lecture des informations
60critère guidage
Accident du Mont St Odile Air Inter
148 (20/01/1992)
- exemple critère de guidage
- incitation
- groupement / distinction entre items
- par la localisation
- par le format
- feedback immédiat
- lisibilité
Confusion liée à l'affichage peu différencié de
deux valeurs très différentes selon le mode de
descente sélectionné angle de descente (mode
FPA - Flight Path Angle) ou vitesse verticale
(mode VS - Vertical Speed). Le pilote a
enregistré sur lordinateur de bord la valeur
"33", croyant être en mode FPA alors quil était
en mode VS. Au lieu de programmer un angle de
descente de 3,3 (800-900 pieds/minute), il a en
fait programmé une vitesse de descente de 3 300
pieds/minute (16,7 m/s).
61critère charge de travail
- lensemble des éléments de linterface qui a un
rôle dans la réduction de la charge perceptive ou
mnésique des utilisateurs de même que dans
laugmentation de lefficacité du dialogue
62critère charge de travail - brièveté
- brièveté limiter le travail de lecture,
dentrée et les étapes par lesquelles doivent
passer les usagers - concision réduire la charge de travail au
niveau perceptif et mnésique pour ce qui est des
éléments individuels d'entrée ou de sortie. Par
exemple, lorsquune unité de mesure est associée
à un champ de données, celle-ci doit faire partie
du label du champ plutôt quêtre saisie par
l'utilisateur.
63critère charge de travail - brièveté
- actions minimales limiter les étapes par
lesquelles doivent passer les utilisateurs. Par
exemple, ne pas demander aux utilisateurs
dentrer des données qui peuvent être déduites
par le système.
64critère charge de travail densité inf.
- densité informationnelle réduire la charge de
travail du point de vue perceptif et mnésique,
pour des ensembles d'éléments et non pour des
items. Par exemple, limiter la densité
informationnelle de lécran, en affichant
seulement les informations nécessaires.
65critère contrôle explicite
- prise en compte par le système des actions
explicites des utilisateurs et le contrôle qu'ont
les utilisateurs sur le traitement de leurs
actions.
66critère contrôle explicite actions
- actions explicites expliciter la relation
entre le fonctionnement de lapplication et les
actions des utilisateurs. Par exemple, lentrée
de commandes doit se terminer par une indication
de fin ( Enter , OK ) Ã laquelle des
possibilités dédition doivent être préalables.
67critère contrôle explicite contrôle
- contrôle utilisateur lutilisateur doit
pouvoir contrôler le déroulement des traitements
informatiques en cours. Par exemple, autoriser
lutilisateur à interrompre tout traitement en
cours.
68critère adaptabilité - flexibilité
- capacité à réagir selon le contexte et selon les
besoins et les préférences des utilisateurs. - flexibilité mettre à la disposition des
utilisateurs des moyens pour personnaliser
l'interface afin de rendre compte de leurs
stratégies ou habitudes de travail et des
exigences de la tâche. Par exemple, les
utilisateurs doivent pouvoir désactiver des
affichages inutiles.
69critère adaptabilité prise en compte
- prise en compte de lexpérience de lutilisateur
le système doit respecter le niveau
dexpérience de lutilisateur. Par exemple,
prévoir des choix dentrées pas-à -pas ou
multiples selon lexpérience des utilisateurs.
70critère gestion des erreurs - protection
- moyens permettant d'une part d'éviter ou de
réduire les erreurs, d'autre part de les corriger
lorsqu'elles surviennent - protection contre les erreurs mettre en place
des moyens pour détecter et prévenir les erreurs.
Par exemple, toutes les actions possibles sur une
interface doivent être envisagées et plus
particulièrement les appuis accidentels des
touches du clavier afin que les entrées
non-attendues soient détectées.
71critère gestion des erreurs
72critère gestion des erreurs - qualité
- qualité des messages derreurs sassurer que
l'information donnée aux utilisateurs sur la
nature des erreurs commises (syntaxe, format,
etc.) et sur les actions à entreprendre pour les
corriger, soit pertinente, facile à lire et
exacte. Par exemple, utiliser un vocabulaire
neutre, non-personnalisé, non réprobateur dans
les messages d'erreurs éviter l'humour
73critère gestion des erreurs
74critère gestion des erreurs - correction
- correction des erreurs mettre à la disposition
des utilisateurs des moyens pour corriger leurs
erreurs. Par exemple, fournir la possibilité de
modifier les commandes lors de leur saisie.
75critère gestion des erreurs
76critère homogénéité / cohérence
- les choix de conception d'interface doivent être
conservés pour des contextes identiques, et
doivent être différents pour des contextes
différents. Par exemple, toujours afficher au
même endroit lincitation pour la saisie des
données ou des commandes.
77critère homogénéité / cohérence
78critère signifiance des codes et dén.
- signifiance des codes et dénominations il doit
y avoir adéquation entre lobjet ou l'information
affichée ou entrée, et son référent. Par exemple,
rendre les règles dabréviation explicites.
79critère signifiance des codes et dén.
80critère compatibilité
- il faut quil y ait accord entre les
caractéristiques des utilisateurs et des tâches,
d'une part, et lorganisation des sorties, des
entrées et du dialogue dune application donnée,
dautre part. Par exemple, les termes employés
doivent être familiers aux utilisateurs, et
relatifs à la tâche à réaliser.
81critère compatibilité
82conclusion
- lanalyse dun système au regard de ces critères
- permet danalyser finement linterface
- corriger des problèmes qui pourraient survenir
- la conception dun système au regard de ces
critères - permet dassurer une certaine  utilisabilitéÂ
finale du produit
83bibliographie
- Bastien, J.M.C., Scapin, D. (1993) Ergonomic
Criteria for the Evaluation of Human-Computer
interfaces. Institut National de recherche en
informatique et en automatique, France
84Bilan méthodes extensives
- Description
- récupération d infos auprès de l U
- Résultats
- portent sur l interface et le système, pas de
solutions - Automatisabilité
- non sauf sur la capture d informations pour les
tests utilisateurs
- Réutilisabilité
- non
- Avantages
- prise en compte de la réalité de l U et de sa
tâche - Inconvénients
- couverture du système faible (impossible de faire
réaliser toutes les tâches) - expérimentateur expérimenté
- l interface doit être disponible
85Bilan méthodes semi-intensives
- Description
- basés sur lanalyse des besoins des U
- utilisation de modèles simplifiés de lop. humain
- Résultats
- mesures de la performance de lU
- Automatisabilité
- outils qui simulent linteraction entre les
modèles
- Réutilisabilité
- non
- Avantages
- intervention très tôt dans le developpement
- Inconvénients
- la modélisation provoque un appauvrissement de la
réalité - modèles lourds à réaliser et à utiliser
- les résultats ne peuvent pas être pris en compte
directement en conception
86Bilan Les méthodes intensives
- Description
- ni utilisateur réel ni sa représentation
- Résultats
- les problèmes de linterface
- Automatisabilité
- Hautement
- Réutilisabilité
- Hautement
- Avantages
- simples à mettre en uvre
- ni analyse ni étude préalable de la tâche
- Inconvénients
- néglige lutilisateur et son travail
- fiabilité des résultats faibles (et dépendants
de la qualité de lexpert) - méthodes incomplètes
87Classification des méthodes dévaluation
(Seneach)
Approche empirique
Approche analytique
Contrôle de qualité
Modèles formels
Tests de conception
Diagnostic dusage
Approche informelle
Modèles de qualité
Modèles prédictifs
Check list
Expertise
Complexité cognitive
Modèles de tâche
Approche optimale
Modèles linguistiques
Approche cognitive
Situation of interaction
Perceptive complexity
ALG
CLG
Mental models
Goms
KLM
88Classification des méthodes dévaluation (Coutaz)
Avec loutil
Techniques dévaluation
Sans loutil
Modèles et techniques prédictifs
Techniques expérimentales
Heuristiques
Modèles basés sur la théorie
Maquette
Prototypes
Magicien dOz
89Liens critères / règles
Toutes les actions de lU sur linterface doivent
être matérialisées.
Règle ergonomique
Feedback
Critère ergonomique
Facteur dutilisabilité
Facilité dapprentissage
90Les règles ergonomiques
- Peuvent être spécifiques
- Ã un type dinterfaces
- WIMP, web, tactiles, etc..
- Ã la prise en compte du son dans une
application, etc.
91Les règles ergonomiques
- deux grandes classes de règles
- les règles dépendantes de la tâche
- il est nécessaire davoir des informations sur
lutilisateur et/ou sa tâche et/ou le contexte
pour pouvoir appliquer ses règles ergonomiques - les règles indépendantes de la tâche
- il nest pas nécessaire de connaître ni
l utilisateur, ni sa tâche, ni le contexte pour
appliquer les règles ergonomiques - ces règles sont valides dans toutes les
situations
92Un autre classement des règles
- Suivant ce quelles traitent
- vérifient la construction qui se décomposent
en - qui vérifient le placement des objets graphiques
indépendants - Exemple  Une barre de titre doit être
positionnée en haut d'une boîte ou fenêtre. - ou des objets graphiques agrégés
- Exemple  Les options menus d'un menu déroulant
doivent être classées fonctionnellement,
séquentiellement, numériquement ou
alphabétiquement .
93Un autre classement des règles
- qui vérifient la forme des objets.
- Exemple  les titres de boite ou fenêtres
doivent être centrés. - qui vérifient la composition des objets.
- Exemple  une liste doit posséder un libelléÂ
- qui vérifient le contenu sémantique dun objet.
- Exemple  Une sélection par défaut doit être
pertinente pour l'utilisateur.Â
94Un autre classement des règles
- qui vérifient le comportement des objets et du
système. - Exemple  l'activation d'une option menu qui
correspond à un choix détat du système doit être
coché. - qui vérifient la cinématique de linterface
- Exemple  Toutes les options d'une barre de
menu doivent ouvrir sur un menu déroulant.Â
95Modélisation de linteraction homme-machine
- Modéliser lutilisateur
- Modéliser la tâche
- Modéliser lapplication
96Modélisation de lutilisateur
- Caractérisation de son niveau dexpertise
- Débutant, Confirmé, Expert
- Modélisation de ses processus cognitifs
- Apprentissage, connaissance, croyances
- Processus psychologiques
- The magical number 7 plus or minus 2
97Représentation cognitive des utilisateurs
- Modèle du processeur humain
- Trois sous-systèmes
- La théorie de l action Norman
- comment se fait laccomplissement dune tâche
- Modèle de Rasmussen
98Le modèle du Processeur Humain
- Card, Moran et Newell
- Trois sous-systèmes interdépendants
- Système Sensoriel
- Système Moteur
- Système Cognitif
- Paramètres d'un sous système
- Capacité (nombre d'éléments mémorisés)
- Persistance (demi-vie) de l'information)
- Type d'information
- Temps de cycle de base
99Système cognitif
- La mémoire à court terme
- La mémoire à long terme
- Le processeur cognitif
100Mémoire à court/long terme
- Mémoire à court terme
- informations sensorielles représentées sous forme
symbolique - les infos en provenance de la mémoire à long
terme sont appelées "chunks" (unité cognitive
symbolique). Ex. S.N.C.F. - 7 - 2 chunks (au-delà dégradation)
- Mémoire à long terme
- structurée, organisée sous la forme de réseaux
sémantiques
101Processus cognitif
- Cycle reconnaissance-action
- Le système cognitif reçoit des informations
symboliques - Le système cognitif utilise les informations
stockés dans la mémoire à long terme pour prendre
des décisions dactions et formuler une réponse - Les actions modifient le contenu de la mémoire Ã
court terme - cycle de base 70 ms
102Mémoire à court et long terme
- Effacement de la MCT après 4s
103Techniques pour favoriser la mémorisation à long
terme
- Reformuler linformation
- Ajouter du sens (raconter une histoire)
- Imagination visuelle (techniques des sophistes)
- Organiser (créer un mnème)
- Faire des liens avec des connaissances
existantes (catégories)
104(No Transcript)
105Exemple
sans séparateurs
106Évaluation du modèle du processeur humain
- Cadre fédérateur à diverses connaissances de
psychologie - Terminologie informatique
- Tentative de  psychologie appliquéeÂ
- Niveau d'abstraction inadapté
- Sintéresse aux performances et pas à la
cognition - Nindique aucune méthode de conception
107La théorie de laction
- Norman 86 fondée sur la notion de modèle
conceptuel - Modèle de lutilisateur variables
psychologiques - Modèle de conception variables physiques
- Image représentation physique du système
- Permet de structurer l'accomplissement d'une
tâche - Décomposition en 7 activités
108Laccomplissement d une tâche
- 1ère étape Établir un but
- Le but est la représentation mentale dun état
désiré - Exemple détruire un fichier
- 2ème étape Formation dune intention
- résulte de lévaluation de la distance entre le
but et l état actuel - Exemple détruire un fichier enlever lobjet
sélectionné
109Laccomplissement dune tâche
- 3ème étape spécification de la suite dactions
- traduction de lintention en une suite dactions
- exemple Mettre le fichier à la poubelle
- 4ème étape Exécution des actions
- met en jeu le savoir-faire moteur
110Laccomplissement dune tâche
- 5ème étape Perception de létat du système
- exemple
- état antérieur liste de fichiers avec le
fichier à supprimer - état actuel liste de fichiers sans le fichier
à supprimer - perception possible le fichier à supprimer a
disparu
111Laccomplissement dune tâche
- 6ème étape Interprétation
- exemple
- le fichier a disparu le fichier a été
détruit
112Laccomplissement dune tâche
- 7ème étape Évaluation
- établit une relation entre le but et la
sémantique de lexpression de sortie - peut conduire à modifier le plan
- exemple comparer le fichier détruit avec le but
113La théorie de laction (résumé)
- Lobjectif du concepteur
- réduire les distances mentales par le biais de
limage du système - distance dexécution leffort cognitif de
l utilisateur pour la mise en correspondance
entre la représentation mentale de sa tâche et la
représentation physique induite de l image du
système - distance dévaluation leffort inverse
114Exemple du bain
- Tâche de lutilisateur
- remplir une baignoire avec deux robinets
indépendants deau chaude - eau froide - Objectif (besoins) de lutilisateur
- avoir une certaine température t et un certain
débit d - Variables psychologiques d et t
115Constat exemple du bain
- Variables physiques (du système)
- dc et tc débit et température eau chaude
- df et tf débit et température eau froide
- commandes physiques robinets liés à dc et dt
- relations entre les variables physiques et
psychologiques - d dc df
- t (dc.tc df.tf)/ (df dc)
116Exemple du bain
- Etape1 fixer le but
- Remplir la baignoire avec une température
spécifique et un débit spécifique - Etape2 Comment atteindre le but ?
- En tournant les 2 robinets
- Etape3 Planification
- Tourner le robinet deau chaude entièrement
- Tourner le robinet deau froide pas à pas
117Exemple du bain
- Etape 4 exécuter les actions
- Etape 5 perception de létat du système
- Mettre la main sous le robinet pour percevoir la
température de leau - Etape 6 interprétation de létat du système
- La température à une certaine température
- Etape7 évaluer létat du système state par
rapport au but (et peut-être redéfinit des
intentions) - Leau nest pas assez chaude, ce nest pas la
température voulue - En conséquence, je dois diminuer le débit deau
froide
118Exemple du bain
- Pour atteindre le but, il est nécessaire de
faire les 7 étapes plusieurs fois !!! - Evaluer létat du système et planifier dautres
actions - Cest trop chaud
- Cest trop froid
- Le débit nest pas suffisant
- Etc.
119Constat exemple du bain
- Problèmes rencontrés par lutilisateur
- correspondance entre variable physique et
dispositif physique - Quel robinet dispense leau froide ?
- comment faire varier le débit (dans quel sens
tourner ?) - correspondance variables physiques et
psychologiques - refroidir le bain tout en gardant le débit ?
- diminuer le débit en gardant la température
constante ?
120Constat exemple du bain
- Évaluation du résultat
- évaluer la valeur du débit
- évaluer la valeur de la température
- Problème avec la réalisation de la tâche
- Le dispositif physique du bain nest pas
adapté, il est orienté système mais pas
utilisateur
121Gouffre de lexécution et de lévaluation
distance dévaluation
système physique
buts
distance dexécution
122(No Transcript)
123Distance sémantique et articulatoire
Distance sémantique en entrée
Distance sémantique en sortie
Gouffre de l'exécution
Gouffre de l'évaluation
Distance articulatoire en sortie
Distance articulatoire en entrée
124Réduire le gouffre de lexécution
- Améliorer le mapping entre intention et
sélection - Visual Affordance des éléments dinteraction
- Capacité à suggérer leur fonction
- Feedback proactif des éléments dinteraction
125Exemple Thermostat de chauffage central
- Vous rentrez chez vous et il fait froid. Que
faites-vous avec le thermostat du chauffage
central ? - A Je le monte à fond
- B Je le monte à 20
126Interprétation de ce comportement
- Trois  modèles de lutilisateur possibles
- Le thermostat régule directement la température
de leau dans les tuyaux (ou la température de la
résistance électrique) - Le thermostat régule la proportion de temps ou
le chauffage fonctionne (0 du temps en bas, 100
du temps à fond) - Le thermostat agit comme un interrupteur,
ouvrant le chauffage si la température est
inférieure à celle programmée
127Problème  gouffre de lévaluationÂ
- Manque de feedback
- Laction sur le thermostat na pas d effet
immédiatement perceptible - Difficile de savoir si le  but est atteint
(perception de la température)
128Améliorations
- Permettre à lutilisateur de construire un
meilleur modèle du système - Améliorer le feedback
- Indication visuelle du fonctionnement du
chauffage (feedback immédiat) - Indication de la température réelle par rapport
à la température programmée - Permet de déterminer facilement si le but est
atteint
129Affordance
- Fait référence à lattribut dun objet qui
permet de savoir comment utiliser cet objet - Ex une poignée (classique) de porte invite
à appuyer dessus pour ouvrir la porte - Norman (1988) utilise ce terme pour discuter de
la conception des objets physique de tous les
jours - Le terme a été popularisé pour discuter du
design des objets des interfaces - Ex les scrollbars invitent à les
bouger vers le haut et vers le bas
130Affordance
Mon robinet mitigeur
Mon four électrique
Windows95
Grille du haut ou du bas ?
Comment avoir de leau plus chaude ?
131Feedback Proactif
- Indiquer visuellement les actions significatives
dans un contexte donné - Boutons ou zones grisées
- Signaler la complétion dune action terminée
- Signal dacheminement Télécom !!
132Modèle de Norman et design
- Avec quelle facilité un utilisateur peut-il
- Déterminer les fonctions du système ?
- Connaître les actions disponibles ?
- Trouver les correspondances intention / action ?
- Exécuter les actions ?
- Percevoir létat du système ?
- Déterminer si le système est dans létat désiré
?
133Le modèle de Rasmussen
Modèle simplifié des 3 niveaux de contrôle des
comportements humains
134Ex de la conduite niveau réflexe
A ce niveau, pour un utilisateur expérimenté, les
activités sont réalisés automatiquement sans
nécessité dy porter beaucoup dattention et
avec peu deffort
Ex suivre la route latéralement, rouler à une
certaine vitesse, etc
135Ex de la conduite niveau procédés
A ce niveau, les activités sont réalisées en
connaissance de cause (pas automatiquement).
Lutilisateur sait ce quil fait et veut.
Ex doubler une voiture, éviter un obstacle
(détecté à lavance)
136Ex de la conduite niveau savoir
A ce niveau, les activités doivent être
déterminées, choisies et réalisées en rapport Ã
un but. Lutilisateur détermine ce quil doit
faire pour atteindre son but
Ex lutilisateur pense quil va y avoir des
bouchons , il change Son trajet en cours de
route en fonction de lendroit où il se trouve.
137Le modèle de Rasmussen
- Intérêts
- Fournit un cadre pour la modélisation de
lutilisateur - Complète la théorie de laction de Norman
- Inconvénients
- Le niveau de détail ne permet pas de dépasser
les 3 classes novice/intermédiaire/expert - Ne distingue pas les différents types de
connaissances de lutilisateur ex,
connaissances sur le domaine/connaissances sur
linterface
138Modélisation de la tâche
139Modélisation de la tâche
- Objectif décrire la manière typique dont un
utilisateur est sensé utiliser un système donné
pour parvenir à un but donné - but état final du système Homme-Machine
- La tâche est décrite comme une succession de
commandes offertes par le système (séquences,
parallélisme, synchronisation)
140Modélisation de la tâche
- Planification hiérarchique
- Description de la tâche guidée par les buts
- Convient aux tâche préplanifiées et
éventuellement procédurales - Ne convient pas aux tâches nouvelles et à la
résolution de problèmes
141Planification hiérarchique
142Exemple
143But de la tâche
- Le BUT est très important !!
- Lutilisateur interagit avec le système pour
atteindre son but. Quand le but est atteint,
lutilisateur stoppe son interaction - Exemple
- DAB
- Distributeur de timbres
144Catégories de tâches
- Tâche prescrite (prévue)
- Recueillie par lanalyste par interview.
- Recommandée, standard
- Tâche effective
- Recueillie par observation des opérateurs
- Influence le mode de recueil
- entretiens/observations/interviews
145Exemple de catégories de tâches
- Une bibliothèque
- Bibliothécaire quand je reçois une demande
dachat de livre, je cherche le numéro ISBN, je
rempli un bon de commande et je faxe le BC Ã la
librairie Cest la tâche prescrite. - La tâche effective (obtenue par observation)
comme il y a beaucoup de travail dans la
bibliothèque, les demandes dachat sont stockées
et une seule fois par semaine, les achats sont
faits - En conséquence, loutil informatique à concevoir
pour la bibliothèque doit permettre de rechercher
et acheter une LISTE de livres et non pas un seul
146Utilisation dun modèle de tâche
- Evaluer la complexité de réalisation dune tâche
donnée avec les fonctions offertes par le système - Optimiser le système afin de faciliter
laccomplissement des tâches typiques - Construire un système suivant une logique
dutilisation et non pas de fonctionnement
147Fonctionnement / Utilisation
- Logique de fonctionnement
- décrit lapplication du point de vue
informatique - Logique dutilisation
- décrit lapplication du point de vue de
lutilisation quen fera lutilisateur pour
lexécution de sa tâche - utilisé pour concevoir la structure des menus et
le guidage
148Fonctionnement / Utilisation
- Ex Robinet mitigeur
- Variables physiques débit deau chaude, débit
deau froide - Grande distance entre le but et les opérateurs
offerts - Variables psychologiques débit global,
température - Effort dans la conception du système pour se
rapprocher des préoccupations de lutilisateur
149Comment modéliser la tâche ?
- Différents modèles existent
- User Action Notation (Hartson)
- MAD (Scapin)
- CTTE (Paterno)
150des pointeurs sur le web
- http//www.useit.com site de Jacob Nielsen
- http//www.lergonome.org site français
dergonomie - http//web.univ-pau.fr/lompre cours
dergonomie en ligne