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Douleur et Personne g e Dr Marie-Guy Depuydt mg-depuydt_at_chru-lille.fr Service de m decine interne et g riatrie Pr Puisieux H pital g riatrique les Bateliers – PowerPoint PPT presentation

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Title:


1
 Douleur et Personne âgée
  • Dr Marie-Guy Depuydt
  • mg-depuydt_at_chru-lille.fr
  • Service de médecine interne et gériatrie Pr
    Puisieux
  • Hôpital gériatrique les Bateliers

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Cas clinique
  • Madame Dubois âgée de 82 ans vous appelle en
    visite alors quhabituellement elle se rend à
    votre consultation à pied. Elle se plaint de
    douleurs du genou gauche
  • En bon état général, elle ne prend aucun
    médicament.
  • Elle est veuve, sans enfant, est entièrement
    autonome pour tous les actes de la vie courante,
    fait ses courses et le ménage. Elle reçoit la
    visite régulière de sa nièce
  • Les douleurs sont de type mécanique, existent
    depuis plusieurs mois, madame Dubois signale un
    amaigrissement de 4 Kg en 2 mois (poids de forme
    50kg) et des troubles du sommeil elle a
    abandonné ses activités au club du 3 ème âge
  • Lexamen clinique est sans particularité

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Que proposez-vous ?Vous prescrivez
  • 1 ) Des antalgiques de palier 1 à prendre en cas
    de douleur
  • 2 ) Des antalgiques de palier 1 à prendre
    régulièrement à heure fixe
  • 3 ) Un bilan biologique et radiologique
  • 4 ) Des antalgiques de palier 2 car les douleurs
    existent depuis plusieurs mois
  • 5 ) Des anti-inflammatoires
  • 6 ) vous ajoutez un somnifère
  • 7 ) Vous lui fixez un rendez-vous pour le mois
    prochain

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  • Il ny a pas de syndrome inflammatoire ni
    clinique ni biologique. A la radiographie, on
    retrouve des lésions darthrose fémoro- tibiale.
  • Vous lui avez prescrit du Paracétamol en prise
    régulière toutes les 6 heures à la posologie de 3
    g après une période damélioration, les douleurs
    sont réapparues et vous lui avez prescrit un
    antalgique de palier 2
  • Madame Dubois après 48 heures dalitement pour
    une pneumopathie a une escarre de talon de stade
    2 et sacrée de stade 1.
  • Elle a des douleurs très importantes sous
    antalgiques de palier 2. Vous lui avez prescrit
    une antibiothérapie.

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Que proposez-vous En plus des soins par une IDE
  • 1 ) Un matelas anti-escarre, des compléments
    nutritionnels et de la kinésithérapie
  • 2) Vous ne prescrivez pas dantalgiques de palier
    3 car la patiente est très âgée
  • 3 ) Vous prescrivez du Sulfate de morphine à
    libération prolongée 60 mg par 24 H
  • 4 ) Vous prescrivez du Sulfate de morphine à
    libération prolongée 40 mg par 24 H
  • 5 ) Un patch de Durogésic 25 µg plus pratique car
    il évite des manipulations par la patiente
  • 6) Autres propositions

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  • Vous êtes rappelé 48 heures après la mise en
    route de la morphine
  • Madame Dubois est confuse, ne salimente plus,
    elle est agitée
  • Que proposez-vous
  • 1 ) vous arrêtez la morphine
  • 2 ) vous demandez un scanner cérébral
  • 3 ) Vous prescrivez un sédatif
  • 4 ) Vous prescrivez la morphine en injectable et
    les antibiotiques
  • 5 ) Autres propositions

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  • Recherche de globe vésical, fécalome,
    deshydratation..
  • Réadaptation des posologies

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Introduction
  • Douleur symptôme fréquent en gériatrie
  • Ne pas banaliser
  • Sous-évaluée, sous-diagnostiquée, sous-traitée
  • Urgent 
  • diagnostic , évaluation, traitement, adaptation
    de la galénique à létat du patient
  • Effets de la douleur sur la personne âgée
  • Dépression,
  • régression psychomotrice,
  • dénutrition, troubles du sommeil,
  • perte d'autonomie (état grabataire), isolement
    social, chutes, confusion,

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Epidémiologie
  • La prévalence de la douleur chez la personne âgée
    est très élevée
  • La douleur chronique touche 50 des personnes
    âgées vivant à domicile,
  • 49 à 83 de celles vivant en institution
  • 80 des personnes âgées en fin de vie
  • 30 des urgences sont des douleurs aiguës
  • La prévalence est forte mais la douleur est
    rarement exprimée spontanément
  • Il est normal davoir mal quand on est vieux

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La douleur chez la personne âgée
  • 1 ) Repérer
  • Pas toujours de plainte, fatalisme.
  • 2 ) Diagnostiquer le type de douleur et son
    caractère
  • 3 ) Localiser la ou les douleurs
  • 4 ) Evaluer à laide doutil
  • 5 ) Traiter
  • 6 ) Dépister les effets secondaires
  • 7 ) Réévaluer
  • 8 ) Réajuster

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Evaluation 
  • Les outils 
  • Schéma donnant la topographie
  • Mesure de lintensité de la douleur  EVA, EVS,
    EN
  • Grille ECPA ou DOLOPLUS chez la personne âgée non
    communicante

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Evaluation
  • Objectifs 
  • Dépister les patients douloureux
  • Analyser la symptomatologie ( le vocabulaire
    employé a une valeur dorientation diagnostique )
  • Contrôler lefficacité dun traitement
  • Faciliter la communication entre le malade et les
    soignants
  • Ne permet pas 
  • De faire le diagnostic du type de douleur
  • De comparer les patients entre eux
  • De faire le lien entre lintensité de la douleur
    et le type de traitement antalgique nécessaire

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Schéma topographique des douleurs
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Echelle ECPA
Nom Prénom SCore
  • I - OBSERVATION AVANT LES SOINS
  •  1) Lexpression du visage REGARD et MIMIQUE
  • 0 Visage détendu
  • 1 Visage soucieux
  • 2 Le sujet grimace de temps en temps
  • 3 Regard effrayé et/ou visage crispé
  • 4 Expression complètement figée
  •  
  • 2) POSITION SPONTANEE au repos (recherche dune
    attitude ou position antalgique
  • 0 Aucune position antalgique
  • 1 Le sujet évite une position
  • 2 Le sujet choisit une position antalgique
  • 3 Le sujet recherche sans succès une position
    antalgique
  • 4 Le sujet reste immobile comme cloué par la
    douleur
  • 3) Sur les MOUVEMENTS (OU MOBILITE DU PATIENT
    (hors et/ou dans le lit)
  • 0 Le sujet bouge ou ne bouge pas comme
    dhabitude
  • 1 Le sujet bouge comme dhabitude? mais évite
    certains mouvements
  • 2 Lenteur, rareté des mouvements contrairement
    à son habitude?
  • II - OBSERVATION PENDANT LES SOINS
  •  5) Anticipation ANXIEUSE aux soins
  • 0 Le sujet ne montre pas danxiété
  • 1 Angoisse du regard, impression de peur
  • 2 Sujet agité
  • 3 Sujet agressif
  • 4 Cris, soupirs, gémissements
  • 6) Réactions pendant la MOBILISATION
  • 0 Le sujet se laisse mobiliser ou se mobilise
    sans y accorder une attention particulière
  • 1 Le sujet a un regard attentif et semble
    craindre la mobilisation et les soins
  • 2 Le sujet retient de la main ou guide les
    gestes lors de la mobilisation ou des soins
  • 3 Le sujet adopte une position antalgique lors
    de la mobilisation ou des soins
  • 4 Le sujet soppose à la mobilisation ou aux
    soins
  •  
  • 7) Réactions pendant les SOINS des ZONES
    DOULOUREUSES
  • 0 Aucune réaction pendant les soins
  • 1 Réaction pendant les soins, sans plus
  • 2 Réaction au TOUCHER des zones douloureuses

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Avant de prescrire
  • Poids,
  • Fonction rénale (Cokroft, MDRD)
  • Associations de Médicaments
  • Observance ?
  • Choix de la voie dadministration
  • Connaître les modifications physiologiques liées
    au vieillissement
  • ? masse grasse
  • Accumulation fentanyl ,BZD
  • ? masse maigre
  • ? conc morphine
  • ? clairance créatinine

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Critères de choix d'un antalgique
  • Efficacité
  • selon la nature de la douleur ,l'intensité son
    caractère aigu ou chronique.
  • Douleur chronique traitement chronique,
    régulier et préventif
  • Douleur aiguë traitement à la demande
  • Rechercher la meilleure tolérance en respectant
  • les contre-indications (exemple l'aspirine dans
    les antécédents d'ulcères gastroduodénaux),
  • la cinétique du médicament pour l'espacement des
    prises,
  • Dépister les effets secondaires.

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Les douleurs par excès de nociception
  • Prescription selon les paliers de l'O M S
  • Le palier 1 non-morphiniques , douleurs légères
  • Aspirine et Paracétamol
  • Paracétamol mieux toléré en gériatrie que
    l'aspirine.
  • La posologie 0,5 à 1 g par prise toutes les 6
    heures.
  • préciser les heures sur la prescription,
  • formes effervescentes ou en poudre (sonde
    nasogastrique)
  • Les effets secondaires hépatiques sont très
    rares.
  • respecter la posologie par kilo de poids.

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Le palier 2 morphiniques faibles, douleurs
légères à moyennes
  • La codéine associée ou non au paracétamol
  • Paracétamol 500 mg codéine 30 mg ,
  • Posologie maximale
  • 6 cp par jour, toutes les 6 heures.
  • Les effets secondaires
  • la constipation ,
  • la somnolence,
  • la confusion .(réduire la posologie ou changer de
    molécule)

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palier 2 bis Tramadol morphiniques faibles,
douleurs légères à moyennes
  • Topalgic , effet opioïde et monoaminergique
  • 50 mg, LP 50 LP 100mg, LP 150 mg, LP 200 mg,
  • maxi 400 mg /j, goutte (1 goutte 2,5 mg)
  • Au delà de 75 ans 1 prise/j, maxi 200 mg/j
  • Existe en injectable à usage hospitalier (Voie
    sous-cutanée possible)
  • Effets secondaires 
  • nausées, vomissements, constipation, somnolence,
    vertiges, sécheresse buccale.
  • Zaldiar , Ixprim
  • Paracétamol 325 mg Tramadol 37,5 mg

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Le palier 3 morphiniques, douleurs intenses
  • Lâge nest pas une contre-indication
  • Le palier 3 ne doit pas être utilisé uniquement
    en fin de vie
  • Les effets secondaires sont très fréquents.
  • la constipation est constante et doit
    systématiquement être prévenue (Duphalac,
    Contalax),
  • la rétention d'urine (globe) doit
    systématiquement être recherchée et traitée
    (sondage éventuel) ,
  • la somnolence élément de surveillance en cas de
    surdosage, il ne faut pas la confondre avec la
    dette de sommeil des patients hyperalgiques.

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Le palier 3 morphiniques, douleurs intenses
  • les nausées surtout à faible posologie,
  • disparaissent lorsqu'on augmente celle-ci et sont
    traitées par le Motilium
  • la confusion,( réduire la posologie)
  • l'accoutumance existe peu, c'est l'augmentation
    des douleurs qui oblige à l'augmentation des
    posologies.
  • la dépression respiratoire ne doit pas se voir si
    on prend la précaution d'augmenter
    progressivement les posologies .Intérêt de la
    morphine dans certaines dyspnées , ne modifie pas
    PO2 ni PCO2
  • le prurit
  • Les myoclonies

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Le palier 3 morphiniques, douleurs intenses
  • La voie orale est la voie préférentielle.
  • Le sulfate de morphine à libération prolongée
  • Règle des 28 jours
  • Skénan (10, 30, 60, 100, 200 mg H)
  • gélules que l'ont peut ouvrir dans
    l'alimentation ou dans les sondes
  • 2 prises par 24 heures
  • ..
  • Loxycodone
  • Oxycontin ( 5, 10, 20, 40, 80 mg )
  • 2 prises par 24 heures
  • Ne pas piler

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Le palier 3 morphiniques, douleurs intenses
  • Le Fentanyl Durogésic (12,25, 50,75,100 µg/h)
  • Règle des 28 jours mais délivrance tous les 14
    jours par la pharmacie après restitution des
    patchs utilisés. 
  • 1 dispositif transdermique toutes les 72 heures
  • Douleurs cancéreuses, stables
  • Equilibrer le patient auparavant,
  • ce nest pas un traitement d urgence ,
  • plateau après 24 heures,
  • persistance des effets après retrait ( - 50 à 17
    heures)
  • Moins deffets secondaires ?
  • Attention au surdosage
  • Pas dindication en fin de vie,
  • rotation des opioïdes

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Le palier 3 morphiniques, douleurs intenses
  • En relais du palier 2
  • Posologie de départ 40 mg/j
  • Augmentation de posologie
  • 30 à 50 de la posologie totale des 24 H
  • Interdose
  • 1/6 de la dose des 24 heures

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Le palier 3 morphiniques, douleurs intenses
  • Relais du Durogésic par Skénan ou Moscontin ou
    Sophidone
  • Retrait du patch et prescription du Skénan ou
    Moscontin ou Sophidone 12 heures après
  •  Relais du Skénan ou Moscontin ou Sophidone par
    Durogésic   
  • Poser le patch de Durogésic et donner une
    dernière prise de Skénan ou Moscontin ou
    Sophidone  pour couvrir le délai daction du
    Durogésic

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Le palier 3 morphiniques, douleurs intenses
  • Le chlorhydrate dhydromorphone 
  • Sophidone LP 
  • gélules à 4 mg, 8 mg, 16 mg, 24 mg
  • 2 prises par jour, on peut déconditionner
  • Douleurs cancéreuses en cas dintolérance ou de
    résistance à la morphine. Rotation des opioïdes.
  • Mêmes effets secondaires que la morphine
  • Règle des 14 jours

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Le palier 3 morphiniques, douleurs intenses
  • Les opioides à libération  normale  
  • Actiskénan  gélules à 5,10, 20 et 30 mg
  • Sévredol  comprimés à 10 , 20 et 30 mg
  • Début daction  1 heure, durée 3 à 4 heures
  • Dose de  secours   1/6 dose totale des 24
    heures
  • Titration toutes les 4 heures
  • Morphine Aguettant 5mg/ml
  • Oynorm, oxynorm oro 5,10,20 mg
  • Les opioides à libération immédiate
  • Effentora, instanyl, abstral 

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Le palier 3 morphiniques, douleurs intenses
  • Traitement des douleurs paroxystiques
  • Patient déjà sous morphine
  • Délai daction 5 à 15 min
  • Fentanyl
  • Actiq 200, 400, 600, 800, 1200, 1600 µG
  • Effentora
  • Instanyl
  • Abstral ..

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La morphine par voie sous-cutanée
  • Les indications
  • les troubles de la déglutition, de la conscience,
    AVC, Stade ultime...
  • La posologie de départ
  • 10 mg en seringue autopulsée sur 24 heures ou en
    injections discontinues toutes les 4
    heures(épicrânienne) ou toutes les 6 heures.
  • En relais de la forme orale on divise la
    posologie orale par 2
  • On peut utiliser le chlorhydrate de morphine par
    voie sublinguale 45 minutes avant un soin
    douloureux.

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Le palier 3 morphiniques, douleurs intenses
  • Association possible palier 3 et palier 1
  • Jamais palier 3 et 2

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Douleurs nociceptives
  • Equivalences 
  • 6 Efferalgan codéiné 40 mg morphine
  • Durogésic 25 µg/h/72 H morphine 60 mg
  • Sophidone 4 mg 30 mg de morphine
  • Topalgic 100 mg 10 mg de morphine
  • Oxycontin 10 mg 20 mg de morphine

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Les co analgésiques
  • Définition
  • il s'agit de substances qui ne sont pas des
    antalgiques au sens pharmacologique du terme mais
    qui ont une action antalgique.
  • Aspirine et anti-inflammatoires
  • dans les douleurs de métastases osseuses
  • On utilise des AINS à demi-vie courte .
  • On peut les associer à la morphine.
  • Contre-indiqués dans les pathologies
    gastroduodénales, on peut les associer à des
    protecteurs gastriques.
  • Surveiller les fonctions rénales et hépatiques et
    sont responsables de phénomènes allergiques.

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Les co analgésiques
  • La corticothérapie
  • diminution des oedèmes et du volume tumoral
    (Solupred,15 à 30 mg).
  • n'induit pas de lésions digestives mais aggrave
    les lésions préexistantes.
  • bien tolérée,
  • à forte dose elle sera associée à un régime
    pauvre en sel avec surveillance du ionogramme, au
    long court on lui associe vitamine D et calcium.
  • stimule lappétit à la dose de 5 à 10 mg par
    jour.

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Les douleurs neurogènes (1)
  • 1 ) De type superficiel avec fond douloureux
    permanent.
  • Les antidépresseurs tricycliques et apparentés
  • L'Anafranil (10 mg, 25 mg, 75 mg),
  • Laroxyl (existe en soluté buvable, cp à 25 et à
    50 mg).
  • Efficacité thérapeutique maximale
  • après 3 semaines de traitement
  • Il faudra expliquer au patient,
  • après quelques jour on doit observer une
    amélioration partielle.

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Les douleurs neurogènes (2)
  • Effets secondaires sont fréquents
  • confusion surtout avec le Laroxyl, sécheresse de
    bouche,
  • rétention d'urine, glaucome, surveillance
    ophtalmologique avec renforcement du traitement
    antiglaucomateux.
  • troubles du rythme et de la conduction cardiaque,
  • hypotension orthostatique.
  • Faibles posologies suffisantes (inférieure à 50
    mg) et les effets indésirables sont modérés

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Les douleurs neurogènes (3)
  • 2 ) De type profonde avec des décharges
    électriques fulgurantes Les anticonvulsivants
  • Neurontin 100, 300, 400, 600 mg
  • les 2 types de douleurs neurogènes
  • Poso progressive .3g
  • Effets secondaires 
  • Nausées,vomissements, vertiges,
  • somnolence, paresthésies, insomnie nervosité
  • Lyrica 25, 50, 100, 150, 200, 300 mg
  • Posologie progressive
  • 2 prises par jour
  • De 300 à 600 mg j
  • Effets secondaires
  • Vertiges, somnolence

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Les douleurs neurogènes (4)
  • Tégrétol posologie de départ 1/2 cp à 200 mg
    avec augmentation progressive en cas de non
    -réponse.
  • Surveiller le ionogramme(risque fréquent
    d'hyponatrémie),vertiges, confusion, agitation,
    atteinte médullaire des 3 lignées, hépatite
  • Contre-indiqué dans le BAV
  • Rivotril pas dAMM

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Les adjuvants
  • Associés au traitement antalgique, ils renforcent
    l'action de celui-ci
  • Psychotropes
  • Les tranquillisants
  • benzodiazépines diminuent l'anxiété,
    l'insomnie. on utilise des molécules à demi-vie
    courte ou intermédiaire(Séresta, Témesta, Xanax
    Les effets secondaires sont la somnolence, la
    confusion..
  • Les antidépresseurs
  • les sérotoninergiques en gériatrie ( Déroxat,
    Zoloft, Ixel, Floxyfral) pas d'action sur les
    fonctions cognitives

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Prévention des actes douloureux
  • Antalgiques avant pansements ou soins douloureux
  • EMLA en application sur une zone avant prise de
    sang, gaz du sang
  • Xylocaïne gel sur une escarre avant décapage
  • Installation correcte, arceau, matelas, fauteuil
    adapté, coussins.
  • Explication sur le déroulement du soin
  • Ne pas minimiser linconfort ou la douleur que
    provoquera le soin
  • Ne pas nier que le soin est douloureux
  • Faire en 1 seul temps des actes douloureux ex 
    toilette et pansements sous couverture antalgique
  • Coordinnation

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CONCLUSION
  • Prise en charge de la douleur
  • 1)   Valider la plainte  toujours croire la
    patient
  • 2)   Diagnostic du ou des types de douleur
  • 3)   Evaluation
  • 4)   Traitement ET prise en charge kiné,
    confort.
  • 5)   Réévalation  rapide 
  • 6)   Réajustement

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  • On ne saurait résumer la prise en charge de la
    douleur à la simple prescription de médicaments
  • La souffrance et parfois telle et tellement
    ancienne que le soulagement total ne pourra pas
    être obtenu
  • Lobjectif sera alors une douleur acceptable
  • Les traitements médicamenteux sont nécessaires,
    les effets secondaires très fréquents dans cette
    tranche d'âge seront systématiquement dépistés.
  • Ces traitements ne seront efficaces que dans le
    cadre d'une prise en charge globale du patient
    basée sur une écoute attentive du patient et de
    sa famille, écoute qui est l'affaire de tous,
    aides-soignants, infirmière, médecin,
    kinésithérapeute...
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