Les spondylodiscites infectieuses - PowerPoint PPT Presentation

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Les spondylodiscites infectieuses

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Infection du DIV et des corps vert braux adjacents par un microorganisme. ... Terrain: diab te, immunod pression, d bilit , thylisme, ATCD de tuberculose. ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Les spondylodiscites infectieuses


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Les spondylodiscites infectieuses
  • Sahar Mouram

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PLAN
  • Introduction
  • Rappel anatomique
  • Épidémiologie
  • Physiopathologie
  • Clinique
  • Examens paracliniques
  • Formes cliniques
  • Diagnostic différentiel
  • Traitement
  • Evolution / pronostic
  • conclusion

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Introduction
  • Infection du DIV et des corps vertébraux
    adjacents par un microorganisme.
  • Urgence diagnostique et thérapeutique.
  • Difficulté de prise en charge
  • IRM incontournable ds le DC précoce
  • - DC et valeur localisatrice.
  • Grd intérêt de lenquête bactériologique
  • Ttt précoce éviter les complications.

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rappel anatomique
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(No Transcript)
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Epidémiologie
  • Spondylodiscite 30 des infections
    ostéoarticulaires.
  • Incidence en Europe 2 à 12 cas/ million hab /
    an
  • 2 pics de fréquence adolescence et au delà de 50
    ans.
  • Terrain diabète, immunodépression, débilité,
    éthylisme, ATCD de tuberculose.

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Epidémiologie
  • Agent causal
  • Staph surtt Auréus 50 des spondylodiscites
  • BGN 15 des SPD
  • E. coli, pseudomonas, protéus, entérobactéries.
  • Strept 10. Svt associé à lendocardite
  • BK 50 des tuberculoses ostéo articulaires
  • Candida toxicomanie
  • Brucellose professions exposées.

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Physiopath
  • -dans majorité des cas infection par voie
    hématogène, débute au niveau de partie ant de
    vertèbre
  • -extension a travers plateau vertébral vers DIV
    et vertèbre adjacente
  • -si inoculation iatrogène discite au début puis
    atteintes des vertèbres adjacentes

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Anatomie Pathologique
  • Prolifération vasculaire
  • Dégénérescence myxoïde nécrose distale
    lésions dostéomyélite.

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clinique
  • TDDspondylodiscites a germes pyogènes
  • Qd évoquer le DC?
  • devant rachialgies aigues fébriles
  • devant rachialgies traînantes diurnes et
    nocturnesmalades subfébriles

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  • Interrogatoire
  • Age, sexe, terrain
  • Mode de début
  • Rachialgies inflammatoires
  • Syndrome fébrile
  • Porte dentrée U, pulm, ORL, digest, chir
    discale récente, chr urogénitale.
  • Troubles sphinctériens.
  • Examen clinique
  • Déformation en cyphose
  • Localisation
  • Lombaire 50 dorsal 30 cervical
    20
  • Dl à la pression des épineuses.
  • Raideur rachidienne segmentaire.

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  • Porte dentrée
  • Examen cardio vasculaire souffle a l
    auscultation
  • Syndrome infectieux T sup. à 38
  • La fièvre est absente ds 1/3 des cas
  • Examen neurologique complications compression
    médullaire ,Sd de la queue de cheval

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Radiologie
  • Rx standard Retard clinico-radiologique
  • Clichés du rachis F P
  • Svt normal les 3 1ères semaines
  • Initialement pincement discal modéré
  • Érosions des plateaux vertébraux (flous,
    estompés, irréguliers)
  • Géodes sous chondrale puis vertébrales intra
    corporéales, en miroir Tassement
    cunéiforme.
  • Au max bloc vertébral déformation de laxe
    rachidien
  • image dabcès fuseau opaque paravertébrale.
  • Rarement spondylite pure sans atteinte discale.

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Pincement discal D9 D10
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Destruction des corps vertébraux L4 L5
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  • IRM examen de choix
  • Intérêt
  • Localisation de linfection
  • Extension osseuse, vertébrale, discale,
    paravertébrale
  • Guide les gestes biopsiques
  • Coupes
  • Sagittales / frontales / axiales
  • En mode T1
  • Hyposignal du disque et des plateaux vertébraux
  • En mode T2
  • Hypersignal du disque et des plateaux vertébraux.
  • Mode T1 gadolinium
  • Prise de contraste disque, ,abcès
    paravertébrale, épidurite.

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(No Transcript)
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(No Transcript)
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  • Intérêt de la scintigraphie et de la TDM
  • Réalisée en labsence dIRM
  • Performance ? difficulté dinterprétation
  • Scintigraphie
  • Sensible hyperfixation segmentaire qui permet de
    guider les coupes de TDM
  • Mauvaise spécificité
  • TDM rachidienne
  • Destruction osseuse
  • Abcès paravertebraux
  • Une TDM normale nélimine pas le DC

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Examens biologiques
  • Non spécifiques
  • VS ? CRP ?
  • ? alpha 2 globulines
  • Hyperleucocytose inconstante

Labsence de Sd inflammatoire ne doit jamais
écarter le DC si les arguments cliniques sont
présents
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  • Bactériologie tous les prélèvements doivent être
    faits AVANT lATB
  • Multiplication des prélèvements
  • Hémocultures répétées
  • Même en absence de fièvre
  • Prélèvement porte dentrée
  • Ponction biopsie disco vertébrale
  • Isole le germe ds 50 à 60 des cas
  • Ponction dabcès paravertébrale
  • Germe identifié dans 70 80 des cas.

Acheminement rapide du prélèvement au laboratoire
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Formes cliniques
  • Selon le germe
  • Spondylodiscite tuberculeuse
  • Mal de Pott
  • Localisation RD RL
  • Parfois tuberculose multiétagée.
  • Tuberculose atloïdoaxoïdienne
  • Physiopathologie
  • Caractère paucibacillaire
  • Dissémination par voie hématogène ( foyer pulm)
  • Ostéomyélite vertébrale initialement puis
    progression lente vers une ostéolyse.

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  • Extension de linfection parties molles pré et
    latérovertébrales (dabcès froids).
  • Espace Rétropharyngé / Gaine du PSOAS
  • Compression médullaire
  • Épidurite granulomateuse
  • Recul du mur post expulsion intracanalaire de
    fragments osseux
  • Clinique
  • Début insidieux, sub ä ou chronique
  • Dl rachidienne / - signes généraux
  • Complications radiculalgies paralysantes sd
    de la queue de cheval
  • Biologie
  • Sd inflammatoire VS accélérée
  • IDR à la tuberculine

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  • IRM
  • Siège et étendue des lésions
  • Atteinte ou pas du DIV
  • Existence dun rétrécissement canalaire ou recul
    du mur post
  • Épidurite ou abcès paravertébral
  • Diagnostic de certitude
  • Anatomopathologique
  • Preuve dinfection tuberculeuse
  • Isolement du granulome nécrose caséeuse sur
    prvt tissulaire

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(No Transcript)
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Recherche du germe en cause Arguments de
présomption
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  • Brucelloses
  • notion de contage (profession) valeur
    dorientation
  • Début progressif
  • Fièvre, sueurs
  • Associer à dautre localisations (SI, hanche,
    genou)
  • Localisation lombaire
  • Dc sérologie de wright, IF indirecte
  • Isolement du germe difficile
  • Mycoses
  • 1 à 2 des SPD spontanées
  • Facteurs de risques toxicomanie,
  • Germe candida albicans, aspergillus
  • Pas de particularités sémiologiques

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  • Formes compliquées
  • Épidurite infectieuse
  • Radiculalgies déficit sensitivo-moteur
  • Sd de la queue de cheval
  • IRM lésions épidurale
  • Prise de contraste lors dinjection de gadolinium
  • Abcès du psoas
  • Douleur crurale psoïtis
  • IRM
  • Abcès paravertébraux
  • Assez fréquents
  • complication fistulisation à la peau

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(No Transcript)
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  • Formes de lenfant
  • Diagnostic difficile
  • Signes cliniques non spécifiques parfois
    trompeurs
  • Enfant irritable, refus de la marche
  • Boiterie
  • Parfois dl abdominales inaugurales
  • IRM dc
  • Recherche bact svt -

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Diagnostic différentiel
  • Devant des rachialgies fébriles
  • Infection vertébrale et paravertébrale sans
    discite
  • Arthrite septique des articulaires post
  • Spondylite svt confondue avec un processus
    tumoral vetébral.
  • Endocardite infectieuse
  • SPD présente ds 15 des cas
  • Responsable de lombalgies inexpliquées
  • Guérison rapide par ttt de lendocardite

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  • Epidurite infectieuse primitive
  • Urgence médico-chir
  • Staph
  • Rachialgies fébriles déficit moteur et tr.
    Sphinctériens
  • Collections épidurales à lIRM
  • Pathologie aortique
  • Dissection aortique ou rupture danévrysme
    mycotique aortique.

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  • -Pathologie microcristalline axiale
  • Chondrocalcinose articulaire
  • Cause rare de rachialgies aigues fébriles.
  • Age avancé / ATCD darthrite
  • Incustration de cristaux de pyrophosphates
  • RX liseré de chondrocalcinose dans les artic
    périph.
  • Goutte
  • Atteinte vertébrale rare (goutte chronique)
  • 41 cas rapportés dans la littérature
  • Tableau de rachialgies fébriles

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  • Devant une IRM avec anomalies disco vertébrale
  • Discopathie dégénérative
  • Vide discal élément fréquent ds les discopathies
    dégénératives.
  • Pas dinflammation des parties molles para
    vertébrales à lIRM
  • Tumeurs vertébrales
  • Respectent le DIV
  • Lymphome , chondrome, myélome
  • métastases discales exceptionnelles

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(No Transcript)
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  • Maladie de scheuerman
  • Dystrophie rachidienne traumatique au cours de la
    croissance osteochondrite de croissance
  • provoque la fragilisation des plateaux
    vertébraux.
  • Prédominance masculine ( 13 17 ans)
  • Associe
  • Dorsalgies deffort
  • Raideur rachidienne
  • Déformation en cyphose
  • Rarement signes neuro. paraparésie (
    Compression Médullaire)

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Radiologie
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  • SPD inflammatoires des spondylarthropathies
  • SPD aseptique (Anderson 1937)
  • Prévalence 5 à 10
  • Concerne les SPA évoluées sur le plan clinique et
    RX
  • Mono ou plurifocale

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  • Spondylarthropathie destructrice des hémodialysés
  • Décrite en 1984
  • Prévalence 50 au delà de 10 ans
    dhémodialyse
  • Atteinte prédomine au rachis cervical C5- C6
  • Érosion des plateaux vertébraux géodes intra
    somatiques en miroir sans atteinte des pties
    molles
  • Absence dhyper signal en T2

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Traitement
  • Urgence TRT
  • Immobilisation
  • Première prescription stricte les 1ères sem
  • Appareillage discuté pour les vertèbres thor.
    (seg immob)
  • effet antalgique
  • Limite langulation en cyphose du foyer
    vertébral.
  • Antibiothérapie
  • Après réalisation des hémocultures et de la
    biopsie disco-vertébrale
  • Bonne diffusion osseuse
  • Durée 6 à 12 sem. selon le germe, sa
    résistance, évolution clinico-biologique.

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Diffusion osseuse des ATB
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  • Traitement dattaque
  • Association bactéricide de 2 ATB synergiques à
    posologie élevée.
  • Voie IV pendant 2 à 3 semaines selon lévolution.
  • Surveillance clinico-biologique.
  • Cas particulier mal de Pott
  • Association de 3 antibacillaires RHZ
  • Durée 2 à 3 mois

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Choix des ATB en fonction du germe
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(No Transcript)
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Posologie préconisée des ATB
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  • Traitement dentretien
  • Durée 6 à 8 sem
  • Souvent en monothérapie
  • Staph ac fusidique
  • Strept amoxicilline
  • BGN fluoroquinolone
  • Pseudomonas ciprofloxacine
  • Bithérapie BK
  • RH
  • Durée 15 mois

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  • Surveillance thérapeutique
  • Normalisation de la courbe thermique en 7j
  • Disparition des doul nocturnes en 7 j
  • Diminution de la CRP (- de 50 toutes les sem)
  • Stabilisation des lésions Rx après 2 mois de ttt
  • Apparition de condensation des PV après 3 mois de
    ttt.
  • Rééducation
  • Utile après la phase Ä.
  • Permet au patient de reprendre ses activités.

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  • Place de la chirurgie
  • Garde 2 objectifs principaux
  • Isolement du germe qd les techniques biomédicales
    préalable ou le ttt ATB initial ont échoué.
  • Mise à plat du foyer septique et décompression
    neurologique
  • Stabilisation rachidienne devant une destruction
    massive des CV.

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Evolution / pronostic
  • Evolution naturelle
  • Destruction sévère des CV déformation en
    cyphose
  • Atteinte médullaire ou rachidienne
  • Evolution sous ttt
  • Régulièrement favorable
  • Mortalité par SPD estimée à 1.6
  • Evolution RX stabilisation des lésions lytiques
    et condensation progressive périph sans fusion
    intercorporéale.

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Conclusion
  • Fréquence des SPD parmi les infections
    ostéo-articulaire
  • La stratégie Dc et thérapeutique doit être bien
    codifiée.
  • Grand intérêt de lenquête bactériologique.
  • Pc favorable de ces infections est dû au progrès
    des traitement anti infectieux performance de
    limagerie pour dc précoce.
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