Quand doit on mettre en place les mesures d - PowerPoint PPT Presentation

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Quand doit on mettre en place les mesures d

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... (SHA) en remplacement des lavages des mains simple et antiseptique (A. fort) mais pas de consensus sur l antisepsie chirurgicale des mains - Indications des ... – PowerPoint PPT presentation

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Tags: doit | lavages | les | mains | mesures | mettre | place | quand

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Title: Quand doit on mettre en place les mesures d


1
Quand doit on mettre en place les mesures
disolement chez un patient en réanimation
réanimation ?
  • CASTANIER Matthias
  • DESC Réa Med
  • Marseille

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Enjeux
  • Les infections nosocomiales problème de santé
    publique
  • Augmentation ?
  • RAISIN CLIN 2004
  • CDC 1990-1999
  • La Transmission croisée facteur essentiel
  • Le personnel soignant acteur responsable
  • Quelles recommandations concernant lisolement en
    réanimation

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Contexte
  • La réanimation / les patients
  • Les infections nosocomiales en réanimation
  • . Incidence
  • Rapport RAISIN SUDREA 2004

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Taux global 16 ( 2344 / 14403 )
15,7 / 1000 jours de Ventilation M. 8,1 / 1000
jours de Sondage U. 5,7 / 1000 jours de
Cathéterisme 3,7 / 1000 jours dhospitalisation
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Prévention des infections nosocomiales
  • - Prévention des IN en réanimation
  • CTIN, Réanis, 1995
  • - Prévention des infections à BMR en réanimation
  • Conférence de consensus SRLF 1996
  • - 100 recommandations pour la prévention des IN
    CTIN, 1999
  • - Risques et maitrise des IN en réanimation
  • Texte d'orientation SRLF 2005
  • Littérature abondante, mais faible niveau de
    preuves

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Quel isolement ?
  • Isolement technique
  • Ensemble de mesures visant à établir des
    barrières autour du patient colonisé ou infecté
  • Isolement géographique
  • Nécessite une chambre individuelle ou, à
    défaut, un poste de lavage des mains situé à
    proximité du lit et destiné au personnel. Selon
    les possibilités locales et la situation
    épidémique, d'autres stratégies sont
    envisageables telles que le regroupement


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  • Isolement spécifique
  • La transmission se fait par l'intermédiaire du
    personnel soignant (ou éventuellement
  • du matériel, des déchets d'activité de soins, des
    excreta, des liquides biologiques, du linge ou
    des visiteurs), qui se contamine surtout par
  • contact (essentiellement les mains) ou parfois
    par gouttelettes (sécrétions des voies aériennes
    supérieures) ou par poussières aéroportées
    (linge)
  • - " Air "
  • - " Goutelettes "
  • - " Contact "

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Recommandations
  • Isolement technique stantard
  • - Antisepsie des mains par solutions
    hydro-alcooliques (SHA) en remplacement des
    lavages des mains simple et antiseptique (A.
    fort) mais pas de consensus sur lantisepsie
    chirurgicale des mains
  • - Indications des SHA
  • . Avant (A. faible) et après (A. fort) tout
    contact avec un patient, après contact
    avec son environnement immédiat (A. faible),
    entre les soins (A. faible)

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  • . Après ablation des gants (A. fort)
  • pour les visiteurs, à lentrée et à la sortie
    de la chambre (A. fort)
  • - Gants (non stériles)
  • . Non poudrés (A. fort)
  • . Exposition aux liquides biologiques, peau
  • lésée, muqueuses (A. fort)
  • . Retirés entre chaque soin chez un même
  • patient (A. faible)

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  • - Sont inutiles
  • . Tablier ou surblouses, masque (en dehors des
    risques de projections) (A. fort)
  • . Surchaussures, coiffe (A. fort)
  • - Visiteurs tablier ou surblouses, gants,
    surchaussures, masque (A. faible)
  • Cet isolement concerne tous les patients quelque
    soit leur statut infectieux
  • SYSTEMATIQUEMENT

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  • Isolement spécifique
  • Bactéries multirésistantes
  • - Chambre individuelle (A. fort) ou regroupement
    (A. faible)
  • - Hygiène des mains technique et indications
    précautions standard (A. fort)
  • - Gants (non stériles) dans la cadre des
    précautions standard (A.fort) , pas de consensus
    sur les indications complémentaires


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  • - Surblouse ou tablier
  • pour les contacts étendus avec le patient,
  • non dès lentrée dans la chambre (A. faible)
  • pas de consensus sur les indications
    complémentaires
  • - Sont inutiles Port de coiffe (A. fort)
  • Port de surchaussures
    (A. fort)
  • - Matériel
  • . Elimination du linge et des déchets circuit
    des déchets standard (A. fort)
  • . Petit matériel individuel dans la chambre (A.
    fort)

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  • - Organisation des soins pas de consensus sur
  • lélimination du consommable à la sortie du
    patient
  • lemplacement des pancartes et dossiers
  • le cohorting du personnel
  • Consensus concerne SARM / EBLSE / ERV

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  • Infecions à transmission aerienne
  • Méningocoque, grippe, tuberculose
  • - Chambre individuelle (A. fort)
  • - Isolement type gouttelettes (méningocoque,
    grippe) ou aérien (tuberculose), déplacements
    limités, signalisation (A. fort)
  • - Tuberculose bacillifère
  • . Si possible, chambre à pression négative (A.
    fort)
  • masque chirurgical anti-projection
    insuffisant, utilisation de masque de
    sécurité (A. fort)
  • . Système clos daspiration trachéal, filtre
    sur le circuit expiratoire (A. fort)
  • . Durée disolement 1 à 2 semaines de
    traitement antibiotique efficace (A. faible)

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  • Patients immunodéprimés et brulés
  • - Patient immunodéprimé
  • Isolement protecteur
  • . Port de surblouse et de masque (A. faible),
  • . Pas de consensus sur les autres mesures
    complémentaires aux précautions standard
  • Hématologie
  • - Chambre individuelle avec traitement dair
    de haute efficacité (A. fort)
  • - Chambre individuelle en pression positive,
    et avec sas (A. faible)

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  • - Isolement protecteur si PNN lt 1000/mm3
  • (A. fort)
  • Greffés dorganes solides
  • - Pas de consensus sur la ventilation, la
    surpression et le sas
  • - Isolement protecteur (A. faible)
  • Brûlés
  • - Chambre individuelle avec traitement dair de
    haute efficacité (A. fort)
  • - Chambre individuelle en pression positive (A.
    fort), et avec sas (A. faible)
  • - Isolement protecteur (A. fort)

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  • Cas particuliers
  • . Creutzfeld Jacob et autres ESH
  • . SRAS
  • . Grippe aviaire
  • . Fièvres hémorragiques africaines
  • Ebola / Marburg / Congo-crimée / Lassa
  • . NBC

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Discussion
  • Quel est le niveau de preuve de lefficacité des
    mesures proposées ?
  • - Seul le lavage des mains a fait la preuve de
    son efficacité
  • - Le port des gants a fait la preuve de son
    efficacité dans une étude portant sur la
    transmission de C. difficile
  • Johnson,Am J Med 1990
  • Pas dautre preuve car toujours associé à
    dautres mesures

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  • - Le port des gants a pour but essentiel de
    protéger le personnel hospitalier des agents
    infectieux transmis par le sang et les liquides
    biologiques, et non de diminuer les infections
    liées aux soins chez les patients
  • Réanis 2ème ed,1999
  • - Le port de surblouses en non tissé, à usage
    unique études non concordantes
  • Réanis 2ème ed,1999
  • retarderait seulement la transmission
  • Klein,N Engl J Med 1989

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  • - Evaluation des mesures rendue très difficile
    par le caractère multifactoriel de la
    transmission des BMR
  • . les aspects épidémiologiques
  • . le patient
  • . les mesures de prévention appliquées
  • . la compliance du personnel à ces mesures
  • . le ratio soignantsoigné
  • . lapplication du cohorting des patients ou
    des soignants
  • Pr G. Beaucaire XIIème Congrès National de la
    Société Française d'Hygiène Hospitalière

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  • Ces mesures ne sont-elles pas délétères ?
  • "solitude" des patients / qualité des soins
  • Problème de compliance du personnel
  • Ces mesures sont-elles applicables ?
  • - Durée du lavage / infirmière / h 40 min
  • - Durée du lavage des mains / 24h 2880 min
  • - Temps consacré au lavage /24h 48 heures
  • Daprès Widmer A.F Intens. Care Med 1994

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  • - Précautions disolement dun patient infecté
  • ou colonisé à BMR 50 actes / j soit 4h
  • Mesures daccompagnement
  • Toilette au savon antiseptique
  • Prélèvements bactériologiques de dépistage
  • soit 30 min / jour
  • A léchelon dun patient porteur de BMR 4h30/j
  • A léchelon dune unité (2 patients SARM pour 10
    lits, isolement, toilette, dépistage, ...)
    16h10/j
  • F. Saulnier ,XIème conférence de consensus en
    réanimation

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Conclusion
  • Des précautions d'hygiène doivent être appliquées
    pour tout patient, quel que soit son statut
    infectieux protection systématique
  • Précautions spécifiques pour certains risques
  • Mise en oeuvre délicate / Evaluation difficile
  • Le comportement d'un seul peut changer celui de
    tous
  • La priorité c'est le lavage des mains

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  • "Au lieu de singénier à tuer les microbes
  • dans les plaies, ne serait-il pas plus
  • raisonnable de ne pas en introduire"?

  • PASTEUR
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