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Enseigner en maternelle 2 Des traces dans toutes les disciplines: mettre par crit ce qui est fait et dit . Il existe des traces ph m res comme t moins de ce ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Les


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Enseigner en maternelle 2
2
Un contexte spécifique Intellectuel Affectif
Social
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  • C'EST A DIRE...
  • Diversité des rythmes dapprentissage est plus
    marquée que partout ailleurs
  • Importance de la relation adulte/enfant
    conditionne les réussites pour une bonne part
  • Construction des conditions indispensables de la
    réussite de tous et surtout de la compréhension
    des activités et savoirs scolaires
  • Apprendre à exprimer et à sexprimer
  • Solliciter ou sur solliciter pour accroître les
    compétences langagières
  • Jouer avec la langue pour mieux la comprendre
  • Construire les conditions dune culture commune
  • Catégoriser
  • Communiquer avec les familles pour les impliquer
    et les associer.
  • . Mettre en lien et en articulation tous ces
    éléments au sein du projet décole, avec lécole
    élémentaire.

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Les éléments travaillés pointés pendant la
formation
. La mise en disponibilité aide au démarrage de
lactivité, méthodologie, connaissances et
prérequis utiles... . La clarté cognitive but
de tâche, contrat, projet, compétence visée et
exprimée aux élèves... . La différenciation
qualité, quantité, moment de la différenciation,
compétences de haut niveau pour tout le
monde... . Le cadre d'élaboration des activités
progression par niveau/cycle, parcours de
l'élève et projet d'école, évaluations, traces
écrites ( éphémères, collectives,
institutionnelles de la classe).
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LES CONNAISSANCES THEORIQUES QUI PEUVENT NOUS
AIDER A CONCEVOIR DES CONTENUS EXIGEANTS
  • Il s'agit des éléments sur lesquels se fondent
    notre réflexion et nos propositions
  • Apports de la psychologie cognitive et de la
    psychologie clinique
  • Apports de la théorie de la motivation

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  • Apports de la psychologie cognitive etde la
    psychologie clinique

Il existe des éléments dordre cognitif et
affectif voire psychologique qui peuvent amener
les élèves à avoir des difficultés à se mettre
dans la tâche. En voici quelques-uns Le
malentendu cognitif  les élèves ont compris
quelque chose de faux ainsi lexemple suivant (la
structure narrative du conte avec rôle du renard
qui change entre le texte étudié et le texte
donné dans lévaluation) lélève se trouve dans
une causalité magique. Ils restent à la surface
des choses et comme la plupart du temps nous ne
sommes pas assez explicites nous contribuons à
ces constructions magiques(Bonnery, S. (2004).
Décrochage cognitif/décrochage scolaire. In D.
Glasman (Ed), La déscolarisation. Paris  La
dispute.) La perception du monde, le rapport aux
autres sont en construction et sont le fruit des
premières expériences qui sont elles mêmes
colorées par les émotions ressenties. La
communication à lécole maternelle est la
première manière de mettre en mots sa pensée et
de la confronter aux réactions des autres. La
causalité phénoménologique Cela recouvre la
manière dont les plus petits établissent des
relations de cause à effet entre deux événements
qui n'ont pas de lien mais qui ont eu lieu en
même temps ou l'un après l'autre à un moment
donné. L'enfant pense alors qu'ils sont liés et
construit donc une représentation erronée (cf
obstacles épistémologiques) à laquelle
éventuellement nous serons confrontés en classe.
Il faudra alors trouver les situations qui
pourront l'aider à dépasser cette conception pour
aller vers quelque chose de plus juste. En
découverte du monde, un grand nombre d'activités
peuvent s'y prêter (Cf A.Giordan.(1997).Les
activités scientifiques à l'école maternelle
Paris Delagrave/ Bachelard G.(1960). Le nouvel
esprit scientifique, Paris  Puf)
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Le langage comme constructeur de la pensée, le
lien entre le monde de lécole et la sphère
privée des élèves  Plusieurs langages trouvent
leur place à l'école maternelle Dire ce que
lon fait  langage en action Parler de ce que
lon a fait ou va faire  langage
dévocation Parler des procédures mises en
place, comment on a fait  dimension
métacognitive H. Wallon dans son travail
délaboration théorique a cherché à montrer que
lenfant doit passer par le langage pour 
sortir de sa subjectivité dans léchange avec
autrui en confrontant son point de vue et en le
rendant compréhensible . Dans les échanges avec
le maître lélève donne aussi à voir ce quil
comprend du réel et permet au maître détayer ce
discours de départ comme témoin dune pensée qui
émerge. Les premières connaissances sont
intrinsèquement liées aux émotions qui les
teintaient. Les discussions permettent de
dépasser le registre émotionnel tout en acceptant
son existence. Dépasser le modèle binaire qui
est le sien cest-à-dire  bon/pas bon ,
bien/mal, vrai /faux. Cela implique un apport du
maître pour que lélève arrive à construire des
nuances, des chronologies, des sériesCest parce
que lon met en mots que la pensée prend forme et
que lon peut faire exister ce que lon comprend
doù limportance de la manière dont le maître
parle de ce quil fait, comprend, pense en
proposant entre autres des modèles de situation
qu'il explicitera.( Rochex J.Y., Bautier E.,
(1999). Henri Wallon, lenfant et ses milieux,
Paris, Hachette.)
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Construire la fonction symbolique pour comprendre
le monde et donner à lire les siens. La fonction
symbolique pourrait se définir comme la capacité
à représenter et se représenter le monde grâce à
différents moyens d'expression. Cela est rendu
possible par les arts, le travail sur
limaginaire, et la littérature qui donnent à
voir des lectures du monde multiples et variées
comme autant de possibles et denvisageables. Le
travail de mise en mots que privilégie la
maternelle permet lélaboration du monde selon
soi et laccès à celui des autres. Au sein
dune relation privilégiée avec ladulte L.
Vygostki souligne lui, repris par J.Bruner
limportance de lattention conjointe portée par
le maître et lélève qui parlent en même temps
dun sujet en ayant chacun un niveau de référence
différent.(Zone Proximale de Développement)(Brune
r J.,(1983). Comment les enfants apprennent à
parler, Paris RETZ.). Concernant l'importance
des milieux culturelsd'origine, s'il y en a qui
facilitent les apprentissages scolaires tous ont
une valeur et leur place comme telles dans
l'école. Si des conduites nous paraissent
inacceptables et que les élèves ne le comprennent
pas, il faut pouvoir expliquer aux élèves quil
existe des codes qui ne peuvent avoir droit de
cité à lécole. De nombreux travaux à lasuite de
ceux de Rosenthal sur l'eefet pygmanlion ont
montré que le regard, la parole de l'enseignant
sont primordiaux et cela particulièrement dans le
cas de ceux qui réusssissent le moins
bien.(Bressoux P. et Pansu B., 2003. Quand les
enseignants jugent leurs élèves. Paris  PUF.)
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DONC
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Le travail de compréhension sancre sur une
opération intellectuelle précise qui est la
catégorisation, associée à celle des liens
causes- conséquences. Plus on travaille dans une
dimension de clarté cognitive plus on sassure
que les élèves identifient clairement et
correctement ce quils font, pourquoi ils
agissent et comment ils peuvent reconstruire un
nouveau savoir à partir de ce quils savent déjà
et de ce quils viennent de découvrir au sein de
relations sociales de qualité. Dautre part,
cela permet une mise en mémoire de qualité et
correspond au temps délaboration de la trace
écrite finale.
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Loral et des traces écrites évolutives Penser à
écrire et laisser des traces(mots, phrases,
schéma...) à tout moment
  • Les supports de langage en maternelle Les photos
    sur lesquelles ils sont qu'ils vont commenter Cf
    Boisseau/ lecture récurrente d'albums adaptés à
    ce qu'ils sont capables de comprendre pour
    l'instant.(P.Boisseau. (2005). Enseigner la
    langue orale à l'école maternelle. Paris
    Scéren-Retz)
  • Les traces de ces moments dexpression
  • Organisation au moment de la passation de la
    consigne, utilisation des mots clefs,
    codification des différents ateliers, utilisation
    d'un tableau à double entrée, affiche sur
    laquelle est écrit ce que les élèves savent déjà,
    ont compris, élaboration en cours d'activté, en
    fin d'activité... Schématiser un jeu en EPS, une
    histoire, un jeu mathématique ou autre.
  • Stockage stocker sur des cintres accrochés à un
    portant accessible aux élèves, dans le couloir,
    ils sont photocopiables( format A3). Les
    documents seront mis dans les cahiers, classeurs
    individuels et collectifs.
  • Communication Mettre en forme après ce temps de
    langage ou faire mettre par écrit par les MS ou
    GS et communiquer aux familles, aux autres
    classes la cas échéant.

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  • Des traces dans toutes les disciplines mettre
    par écrit ce qui est fait et dit .
  • Il existe des traces éphémères comme témoins de
    ce qui est en train de se construire des traces
    qui sont institutionnalisées une fois le travail
    de structuration terminé. Elles constituent la
    mémoire de la classe et du travail qui y est
    fait.

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Apports de la psychologie de la motivation
La mise en mémoire est essentielle et doit être
de qualité. Pour aider les élèves à mémoriser,
il est très important de leur donner  . des
renseignements sur la nature de lactivité et le
contexte disciplinaire de rattachement, ce qui
évite les confusions cognitives. Ex
contextualisation des exercices de lecture,
décriture... . des techniques pour mémoriser 
moyens mnémotechniques, écrits, dessins, échanges
entre pairs. Le rapport mémoire et motivation 
 sa qualité va conditionner le niveau de
motivation de lélève. Le niveau de motivation
est en lien étroit avec plusieurs
paramètres  . la capacité de la mémoire . le
niveau de réussite, le sentiment de réussite,
(d'où l'importance d'énoncer les critères de
réussite avant la tâche) . la qualité de la
relation avec le maître, . lidentification de
la nature et du but de la tâche(en relation avec
la clarté cognitive, la mise en
disposnibilité...) ( Fenouillet F.,(2003).
Motivation, mémoire et pédagogie, Paris 
lHarmattan) Pour aider les élèves à comprendre
et à suivre leurs propres progrès, il faut quils
aient un retour précis sur leurs actions,
réussites et difficultés. Temps pour réaliser la
tâche, procédures (méthodologie), présentation de
lactivité en amont, courbe de progression
individuelle.
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Evaluation
  • Les différentes formes et les différents temps
    dévaluation évaluer pour mieux cibler, pour
    mieux faire progresser et pour réguler. Voir les
    supports proposés sur le site  www.inattenud.org 
  • Les supports les progressions d'école, de cycle
    sont autant de supports indispensables pour la
    cohérence des parcours d'apprentissage des élèves
    et une harmonisation des pratiques ce qui ne
    signifie pas un uniformisation! Quelques exemples
    sont mis en annexes 1 et 2.
  • La communication avec les familles et les
    collègues présenter aux familles ce qui va être
    fait à chaque période permet de les associer à
    notre travail et de rendre transparent ce qui se
    passe à l'école bien au delà des seules
    évaluations. Présenter et valuer en terme de
    réussite
  • Ce volet fera l'objet d'un travail spécifique en
    09/10
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