La composante mol - PowerPoint PPT Presentation

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La composante mol

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Title: Pr sentation PowerPoint - Cool Star Atmospheres and Spectra for GAIA: MARCS models Author: plez Last modified by: julie.pailleres Created Date – PowerPoint PPT presentation

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Title: La composante mol


1
La composante moléculaire des atmosphères
d'étoiles géantes rouges
  • Bertrand Plez
  • GRAAL, Université de Montpellier 2
  • MC09 signatures infrarouges des environnements
    astrophysiques à haute température

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Géantes rouges
  • Jusquà 8 masses solaires
  • Hydrogène épuisé au coeur, combustion dHe et dH
    en couche
  • Supergéantes 10 à 40 Msun, pré-supernovae

Diagramme Hertzprung-Russell
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Importance de ces étoiles
  • Nucléosynthèse perte de masse (vent) -gt
    enrichissement du milieu interstellaire (C, Li,
    F, ., éléments lourds)
  • Lumineuses -gt visibles dans les galaxies
    lointaines (supergéantes pour les populations
    jeunes, géantes pour les anciennes)
  • Phases de lévolution stellaire complexes à
    modéliser
  • gt On veut connaître leurs paramètres L, M,
    Teff, composition chimique, perte de masse, .

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On observe des spectres
  • Non, ce nest pas du bruit

5
On les modélise
  • plus ou moins bien

CO dans lIR
Spectre visible (obs mod) dune supergéante
(TiO)
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Quest-ce quun modèle? -gt exemples 1D à
léquilibre hydrostatique (Gustafsson et al. 2008)
Température
Profondeur optique
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  • Modèles datmosphères classiques
  • classiques ETL (équilibre thermodynamique
    local), 1-D, hydrostatiques
  • Les étoiles réelles ne sont pas classiques !
  • Mais...
  • les modèles classiques incluent des opacités
    détaillées
  • Ils servent de référence pour des approches plus
    ambitieuses (3-D, hors-ETL, ...)
  • Les spectres détoiles froides sont très
    affectés par les raies moléculaires
  • ... et ne sont donc pas encore tous analysés en
    détail à laide de modèles classiques
  • NB développements impressionnants convection 3D
    (B. Freytag et al.), NETL (Hauschildt et al.),
    pulsation-poussières-vents LPVs (Hoefner et al.).

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Exemples de modèles MARCS 1D (hydrostatiques,
ETL) spectres émergents
9
Exemples de modèles MARCS 1D (hydrostatiques,
ETL) structure thermique, effet des opacités (NB
1bar104cgs)
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Effet des raies sur la structure thermique (line
blanketing)
  • À lETL léquilibre radiatif demande que
  • en chaque couche de latmosphère
  • Jl rayonnement venant des couches plus
    profondes, plus chaudes.
  • Bl rayonnement de corps noir local
  • Dans le bleu Jl-Bl gt0 et dans le rouge Jl-Bl lt0
  • gt Si un absorbant apparait dans les couches
    superficielles, chauffage (ex TiO) ou
    refroidissement (ex. H2O, C2H2).

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Effet des opacités (cf. effet de
serre) Chauffage en profondeur Refroidissement/
chauffage en surface
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Influence des opacités moléculaires Les modèles
de 1992 (Plez et al.) intègrent des opacités pour
H2O qui ne sont pas correctes. Leur
sous-estimation conduit à des couches de surface
trop chaudes.
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0 5
10 15 20
Depth (106km)
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Importance de la complétude et de lexactitude
des listes de raies pour la modélisation des
spectres (Jørgensen et al. 2001)
15
Importance de la complétude des listes de raies
pour la structure thermique
16
Importance de la complétude des listes de raies
pour la modélisation du spectre
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Redistribution du flux exemple du Soleil
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Effet de C/O dans les modèles M-S-C
TiO, H2O gt C2, C2H2, HCN Le verrou
CO C/Olt1 Si C/O augmente gt TiO, H2O
diminuent lopacité décroitgt P
augmente C/Ogt1 Si C/O augmente gt augmentation
de C2, C2H2, ... lopacité croit gt P décroit
Température
Pression
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C stars spectra
20
Étoiles C opacités C2, CN, CO, CH
21
Étoiles C opacités C3, C2H2, HCN
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Géante rouge de composition solaire 3200K
logg0.35 C/O0.5
Contributions toutes les raies atomes TiO, CN,
FeH
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Avec des bons modèles on fait du bon travail
ajustement du spectre dune géante rouge très
froide (raies de TiO, ZrO, atomes) à laide dun
modèle (Teff, logg, composition chimique) Mais il
faut de bonnes listes de raies
From García-Hernández et al. 2007, AA 462, 711
24
Observed spectra of M giants (Serote-Roos et al.
1996, AAS, 117, 93)
Autre exemple
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Observed spectra of M giants (Serote-Roos et al.
1996, AAS, 117, 93), and MARCS model spectra
(from Alvarez Plez 1998, AA 330, 1109)
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  • Listes de raies
  • Il faut donc des listes de raies aussi complètes
    que possible
  • pour la structure thermique des modèles
  • complétude jusquà des énergies élevées
  • positions approximatives
  • intensités approximatives (et dans les bonnes
    bandes)
  • pour la modélisation des spectres
  • complétude dans le domaine modélisé
  • positions avec une précision de laboratoire
  • intensités à 10 ou mieux, si possible

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gt Merci pour vos travaux!Et continuons à
travailler ensemble
  • Il reste du travail à faire
  • Certains spectres moléculaires insuffisamment
    connus (C2H2, C3, LaO, )
  • Besoin de paramètres supplémentaires, e.g.
  • section efficace dexcitation collisionnelle,
    pour calculs hors-ETL
  • élargissement collisionel, avec H, e- (profils
    de raies)
  • besoin de précision accrue, pour analyser des
    données astrophysiques de très haut S/B, et
    résolution.
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