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Chapitre 10

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La motivation stimule et dirige le comportement, et l' motion est la r action ... les individus peuvent tre extr mement affam s, souffrir de maladies graves et ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Chapitre 10


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Chapitre 10
  • La motivation et lémotion

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Définition
  • La motivation (besoin, désir, centre dintérêt)
    processus par lequel on active, maintient et
    dirige un comportement en fonction dun objectif
    devant procurer satisfaction.
  • Émotion (sentiment, réactions affectives)
    réaction intense, globale et brève de lorganisme
    à une situation inattendue, accompagnée dun état
    affectif perçu comme agréable ou désagréable.
  • La motivation stimule et dirige le comportement,
    et lémotion est la réaction dordre sensible.

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Avoir faim et manger facteurs internes
  • Les stimuli stomacaux
  • Technique de Cannon et Washburn (1912) le sujet
    avale un ballon conçu pour déceler les mouvements
    de lestomac.
  • Comme les contractions de lestomac survenaient
    en même temps que la sensation de faim, les
    chercheurs concluent que la faim est provoquée
    par les mouvements de lestomac.
  • En réalité lestomac croyant quil était plein
    tentait de digérer le ballon absence de lien
    entre les stimuli stomacaux et la sensation de
    faim

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Avoir faim et manger facteurs internes
  • Les signaux sanguins
  • Le taux de glucose et son assimilation par les
    cellules grâce à la présence de linsuline
    provoque la sensation de satiété.
  • La leptineest libérée lors de lingestion de
    nourriture. Le cerveau répond à cette protéine en
    envoyant un message signalant la satiété.

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Avoir faim et manger facteurs internes
  • Hypothalamus latéral stimule le comportement
    alimentaire. Centre de la faim.
  • Hypothalamus ventro-médian signale à lorganisme
    quil faut cesser de manger. Centre de la satiété.

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Avoir faim et manger facteurs internes
  • La région ventro-médiane de lhypothalamus du rat
    de gauche a été détruiteil est obèse .
  • Les lésions à lhypothalamus ventro-médian
    engendre une plus grande sécrétion dinsuline qui
    transforme le glucose en réserve de gras. Le taux
    de glucose baisse, ce qui engendre la faim. Le
    point de réglage est donc augmenté augmentation
    du poids.

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Avoir faim et manger facteurs externes
  • Conditionnement culturel
  • Les Nord-Américains soupent à 18 heures et les
    Espagnols et Sud-Américains soupent à 22 heures.
  • Les indous répugnent manger de la vache.
  • Les obèses sont plus stimulés par la vue et
    larôme des aliments et plus attentifs à la
    succession des heures entre les repas.
  • Rodin (1981,1992) observe que des facteurs
    externes comme la vue et lodeur de la nourriture
    fait grimper le taux dinsuline de certains
    sujets (transformant le glucose en graisse,
    provoque la faim et la suralimentation).
  • Les personnes naturellement minces digèrent plus
    vite, ont un métabolisme plus rapide ou ont un
    point de réglage plus bas.

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Anorexie et boulimie
  • Anorexie mentale peur obsessive de lobésité qui
    pousse à se sous-alimenter, souvent au point de
    mettre la santé en péril.
  • Perte de poids de lordre de 20 à 25.
  • Conditionnement physique extrême
  • Fractures osseuses, ostéoporose, arrêt du cycle
    menstruel.
  • 1/20 finit par mourir.

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Anorexie et boulimie
  • La boulimie besoin irrépressible de consommer
    dénormes quantités daliments, dont on se purge
    par la suite en prenant des laxatifs ou en
    vomissant.
  • Plus fréquent que les cas danorexie.
  • Vol à létalage, alcoolisme.

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Symptômes de lanorexie mentale et de la boulimie
  • Poids corporel équivalant à moins de 85 du poids
    normal selon lâge et la grandeur.
  • Peur effroyable de devenir gros ou de gagner du
    poids , en dépit dun poids anormalement bas.
  • Distorsion de son image corporelle ou de la
    perception de son poids.
  • Importance excessive accordée au poids corporel
    dans lestime de soi.
  • Aménorrhée arrêt des menstruations.
  • Tendance à se purger (se faire vomir, et utiliser
    des laxatifs ou diurétiques à outrance)
  • Poids normal ou au-dessus de la normales
  • Séances récurrentes de gavage
  • Ingestion dénormes quantités de nourriture en
    moins de deux heures.
  • Pulsions incontrôlables vis-à-vis de la
    nourriture.
  • Tendance à se purger (se faire vomir, et utiliser
    des laxatifs et des diurétiques à outrance).
  • Sessions intenses dexercice pour éviter la
    prise de poids
  • Jeûne pour éviter la prise de poids.
  • Importance excessive accordée au poids corporel
    dans lestime de soi.

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La recherche de stimuli la théorie de
lactivation
Théorie de lactivation stipule quil existe un
niveau optimal dactivation que les organismes
cherchent à maintenir. Lefficacité est optimale
dans des conditions dactivation modérée plutôt
que trop faible ou trop élevés.Être trop détendu
ou trop anxieux peut avoir une incidence négative
sur les facultés mentales lors dun examen.
Efficacité du comportement
Niveau dactivation
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La recherche de stimuli la théorie de
lactivation
  • Les nouveaux-nés montrent une préférences pour
    les stimuli visuels complexes.
  • Les adultes prêtent plus dattention, et pendant
    une plus longue période, aux stimuli complexes et
    changeant.
  • Les singes apprennent même à ouvrir des loquets
    par simple curiosité et pour le plaisir de les
    manipuler

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La recherche de stimuli la théorie de
lactivation
  • Les personnes avides de sensations fortes
    auraient biologiquement besoin dun plus haut
    niveau de stimulation (Zuckerman, 1979, 1999)
  • Elles sont plus susceptibles de sadonner à
    lusage de stupéfiants, davoir des partenaires
    sexuels multiples, de se rendre coupables de
    voies de fait et dopter pour les métiers et les
    sports à risques élevés

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La recherche de stimuli la théorie de
lactivation
  • Quatre caractéristiques des personnes avides de
    sensations fortes
  • Besoin daventures et démotions fortes (vitesse
    au volant, pratique du parachute)
  • Recherche dexpériences nouvelles(voyages, amis
    inhabituels, drogues)
  • Envie de faire tomber ses propres inhibitions (se
    laisser aller).
  • Faible tolérance à la routine (la répétition et
    la monotonie)
  • Lécart entre le désir de sensations de deux
    individus peut mener à des tensions entre mari et
    femme, patient et thérapeute, parent et enfant.

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Besoin daccomplissement la recherche du succès
  • Le besoin daccomplissement le besoin de
    réussir, de faire mieux que les autres,
    daccomplir avec brio des tâches posant un
    défi.(Murray, 1939)
  • Les caractéristiques des gagneurs
  • Préférence pour les tâches modérément difficiles
    (ni trop facile, ni trop difficile).
  • Attirance pour les carrières où la compétition
    est plus vive et où on peut démontrer son savoir
    faire.
  • Préférence pour les tâches dont laboutissement
    est évident. Préfèrent la critique dun
    évaluateur sévère mais compétent.
  • Préfèrent se porter personnellement responsables
    dun projet.
  • Tendance à persister lorsque le degré de
    difficulté dune tâche augmente.
  • Réussissent mieux que les autres. Obtiennent de
    meilleurs résultats aux examens, ont de
    meilleures notes au secondaire et à luniversité
    et excellent dans la profession choisie.

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La motivation intrinsèque et extrinsèque de la
réussite
  • La motivation intrinsèque désir de sadonner à
    une activité pour le seul plaisir de la chose.
  • La motivation extrinsèque désir de sadonner à
    une activité en raison de récompenses externes ou
    afin déviter une punition.
  • Les individus qui touchent un salaire pour
    accomplir une tâche quils avaient précédemment
    remplie pour le plaisir y perdent à la fois
    plaisir et intérêt.

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La motivation intrinsèque et extrinsèque de la
réussite
Les enfants qui ont déjà reçu une récompense pour
dessiner, consacre moins de temps à lactivité
libre de dessiner.
Le fait de recevoir une récompense déplace
lintérêt vers des motifs externes et entraîne
une diminution du plaisir et du rendement.
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  • Les enfants semblent éprouver un amour
    intrinsèque de lart pourtant peu dadultes
    prennent plaisir à ce comporte-ment.

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Cest la façon dont les récompenses extrinsèques
sont accordées qui importe.
  • Les récompenses natténuent pas lintérêt
    intrinsè-que si elles soulignent la compétence
    (plutôt que de chercher à contrôler le
    comportement donner de largent à condition
    davoir de bonnes notes en classe).
  • Les récompenses ne doivent pas agir à titre de
    pression externe (il faut les donner sans
    arrière- pensées).

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Les théories générales de la motivation
  • Les théories biologiques
  • Les théories reposant sur linstinctinstinct
    ensemble de réactionsmotrices stricts et arrêtés
    qui ne sont pas acquis, maiscaractéristiques des
    membres dune même espèce et dont la base
    génétique sest établie au fil de lévolution.
  • Certains sociobiologistes prétendent que la
    compétition, la guerre, lagressivité, les
    différences entre mâles et femelles, laltruisme,
    etc se transmettent génétiquement dune
    génération à lautre

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Les théories générales de la motivation
  • La théorie des pulsions biologiques la
    motivation est déclenchée par un besoin
    physiologique (une carence). Ce besoin déclenche
    une pulsion dirigée vers un acte destiné à
    satisfaire ce besoin.
  • Ex privation de nourriture---besoin
    biologique---état de tension physique---pulsion
    (la faim)---recherche daliments.

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Les théories générales de la motivation
  • Les théories psychosociales
  • La théorie des incitateurs les stimuli externes
    attirent les individus dans certaines
    directions.Ex. si nous continuons de manger une
    fois repus cest que la vue de la nourriture
    excite notre gourmandise.
  • Les théories cognitives
  • Linterprétation que lon donne à nos propres
    comportements et à celui dautrui exerce une
    forte incidence sur la motivation.
  • Ex. Les gens qui attribuent leur réussite à
    leurs aptitudes personnelles et à leurs efforts
    ont tendance à déployer plus defforts pour
    atteindre leurs buts que ceux qui attribuent leur
    réussite à la chance.

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Les théories générales de la motivation
  • La hiérarchie des besoins de Maslow
    Lassociation des théories biologiques et
    psychosociales.
  • Repose sur lidée que nous éprouvons de nombreux
    besoins concurrents qui cherchent à sexprimer.
  • Les besoins ne sont pas dégale importance. Ils
    diffèrent par leur prépotence, ou leur force
    relative.
  • On doit dabord satisfaire nos besoins les plus
    puissants, tel que la faim ou la soif, avant de
    sintéresser à ses besoins dordre supérieur, tel
    que le besoin de sécurité, le sentiment
    dappartenance et lestime de soi.

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La pyramide des besoins de Maslow
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Critique de la théorie de Maslow
  • On cherche parfois à satisfaire des besoins
    dordre supérieur même lorsque ceux de la base de
    la hiérarchie demeurent insatisfaits
  • Dans les pays en voie de développement les
    individus peuvent être extrêmement affamés,
    souffrir de maladies graves et habiter une zone
    ravagée par la guerre et conserver de solides
    attaches sociales et un fort sentiment destime
    personnelle.
  • Il semble donc que Maslow ait exagéré
    limportance de la progression séquentielle vers
    le sommet de la pyramide.

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Les trois composantes de lémotion
  • La composante cognitive pensées, croyances et
    attentes qui déterminent le type de réaction
    émotionnelle et son intensité.(Ce qui procure du
    plaisir à lun, peut sembler ennuyant à lautre).
  • La composante physiologique les changements
    physiques survenant dans lorganisme. (La colère
    ou la peur modifie le pouls, la respiration, la
    taille des pupilles).
  • La composante comportementale expressions
    faciales, gestes, postures du corps, ton de la
    voix qui varient en fonction de la colère, de la
    joie, de la tristesse, etc

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Le système limbique, particulièrement
lhippocampe et lamygdale semble jouer un rôle
dans les émotions primaires tels que la peur, la
colère et le désir sexuel.
Hippocampe
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Le système nerveux autonome commande les signes
concrets de stimulation. Ces réactions
automatiques résultent des liens établis entre le
système nerveux autonome, les diverses glandes et
les muscles.
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Les corrélats physiologiques de lémotion
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Le détecteur de mensonge
Les recherches en psychologie démontrent que
le taux derreurs de lappareil se situent entre
25 et 75.
Certaines personnes restent calmes en
mentant et dautres sont nerveuses en disant la
vérité.
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Lexpression des émotions
Le visage compte 44 muscles, quatre servent à
mastiquer, et les autres permettent lexpression
faciale.Certaines expressions faciales seraient
innées et donc identiques dans des cultures
différentesla joie, la surprise, la colère, la
tristesse, la peur, le dégoût
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Le sourire de Duchenne
Duchenne de Boulogne (1862) remarque que
lorsque nous sourions faussement (sourire social)
les muscles volontaires de notre mâchoire sont
tirés vers larrière, mais les muscles des yeux
ne sont pas contractés.Les sourires francs
sollicitent les muscles des yeux et de la
mâchoire.
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Les gestes
Les gestes sont dimportantes formes
dexpression des émotions.Lanxiété pousse les
gens à se toucher, se gratter ou frotter
certaines parties de leur corps.
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Les théories de lémotion
Lémotion survient après que le corps soit excité
Lactivation et lémotion surviennent
simultanément
Les changements de lexpression faciale
engendrent les émotions
Le cerveau cherche à connaître les raisons
de lactivation autonome, lorsque ces causes sont
définies, lémotion naît.
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Théories évolutives des émotions
  • Les émotions seraient innées et seraient
    laboutissement de lévolution
  • Quelques heures après sa naissance, le nouveau-
    néexprime distinctement des émotions qui
    ressemble à celles des adultes.
  • Tous les nouveau-nés, même les sourds et aveugles
    ont des expressions faciales semblables dans des
    situations semblables.
  • Les nouveau-nés reconnaissent très tôt les
    expressions faciales de leurs proches.
  • Il existe une similitude frappante de
    lexpression des émotions dans des cultures
    extrêmement variées

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Similitudes culturelles
  • Les théoriciens accordent foi à la théorie
    évolutive des émotions quils soutiennent par la
    preuve culturelle. Ils proposent 7 à 10 émotions
    fondamentales, quils déclarent universelles sur
    le plan culturel.

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  • Certaines émotions ne figurant pas à la figure
    précédente, (comme lamour), seraient simplement
    une association démotions primaires variant en
    intensité
  • Le cercle des émotions de Plutchik le cercle
    intérieur englobe huit émotions primaires. Le
    cercle extérieur montrent comment les émotions
    primaires sallient pour former les émotions
    secondaires.

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  • Dimportantes différences culturelles déterminent
    lexpression des émotions. Les hommes iraniens
    sembrassent lorsquils se rencontrent, tandis
    quen Amérique du Nord les hommes échangent une
    poignée de main.
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