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BTS Analyses de Biologie M

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Title: AFBB Sp cialisation Biologie Cellulaire et Mol culaire Cours de g nie microbiologique Author: jfva Last modified by: valogjea Created Date – PowerPoint PPT presentation

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Title: BTS Analyses de Biologie M


1
BTS Analyses de Biologie MédicaleCours de
Microbiologie (1e année)
  • Chapitre n6 Les agents antimicrobiens
  • microbia_at_free.fr

2
1. Définitions et généralités
StérilisationDésinfectantsAntiseptiquesAntibiot
iquesSpectre dactivitéBactériostase /
BactéricidieCMI / CMB
3
Croissance bactérienne en présence dantibiotique
4
Découverte des antibiotiques par Fleming

5
Les micro-organismes producteurs dantibiotiques
PROCARYOTES Bactéries Streptomyces
(Actinomycètes) Streptomycine Erythromycine
Kanamycine Néomycine Nystatine
Bacillus Bacitracine Polymixines EUCARY
OTES Moississures Penicillium Pénicilline
Griséofulvine

6
Les rapports entre malade, agent infectieux et
antibiotique
7
2. Classification des antibiotiques
8
Mode daction des antibiotiques la notion de
cible

9
2.1. Les b-lactamines

10
Structure des b-lactamines
  • Les béta-lactamines sont caractérisées par un
    cycle béta-lactame associé à un noyau
    thiazolidine formant lacide 6-amino-pénicilliniqu
    e (pénicillines) ou à un noyau dihydrothiazine
    formant lacide 7-amino-céphalosporanique
    (céphalosporines). Ces antibiotiques, actifs
    lorsque les bactéries sont en phase de croissance
    exponentielle, inhibent la synthèse de
    peptidoglycane, et plus particulièrement la
    réaction de transpeptidation. Les béta-lactamines
    se fixent sur des protéines liant la pénicilline
    (PLP ou PBP)  ce sont principalement des enzymes
    (carboxypeptidases) qui interviennent dans
    lassemblage du peptidoglycane. Les
    béta-lactamines activent également les
    autolysines bactériennes.

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Mode daction des b-lactamines
12
Mode daction
2.2. Les glycopeptides
13
2.3. Les aminosides 2.4. Les macrolides et
apparentés
14
Mode daction des aminosides et des macrolides
15
Mode daction du chloramphénicol (CP) et des
tétracyclines
2.5. Les phénicolés 2.6. Les tétracyclines
16
Mode daction des sulfamides et du triméthoprime
2.7. Sulfamides et du triméthoprime
17
Mode daction
2.8. Quinolones
18
2.9. Autres antibiotiques
19
3. Lantibiogramme
Lantibiogramme a pour but de déterminer in vitro
lantibiotique le plus actif sur le germe, cest
à dire celui qui sera prescrit au malade infecté
par ce germe. Un certain nombre de facteurs
susceptibles de modifier lactivité
antimicrobienne de lagent testé doivent être
pris en compte  - Lantibiotique  il doit
conserver son activité au cours du test (à 37C)
et sa capacité de diffusion en milieu gélosé
solide doit être convenable. - Le milieu  sa
composition doit être rigoureusement définie pour
que les résultats soient reproductibles. - Les
bactéries  le nombre de bactéries mises au
contact de lantibiotique devrait toujours être
le même. Lactivité métabolique de la bactérie et
la durée dincubation sont des facteurs
importants aussi. La mesure de lactivité
antimicrobienne seffectue toujours avec des
souches pures. Mueller-Hinton (Gélose) Usage
Gélose riche pour la réalisation de
l'antibiogramme standard Composition infusion
de viande de bœuf 300,0 ml peptone de caséine
17,5 g amidon de maïs 1,5 g agar 17,0 g pH
7,4 Préparation 38 g par litre. Stérilisation
à l'autoclave. Lecture Cette gélose
standardisée est la gélose permettant de tester
l'action des antibiotiques sur les bactéries.
Elle peut être additionnée de sang (pour les
Streptococcus ), d'extrait globulaire (pour
Haemophilus ), Elle doit être coulée en boîte de
façon à obtenir une épaisseur de 4 mm. Il existe
un bouillon équivalent.
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Courbe de concordance
Les méthodes par diffusion en milieu gélosé
solide permettent dobserver des zones
dinhibition autour des sources dantibiotiques.
Il existe une relation linéaire entre le diamètre
de la zone dinhibition et le logarithme de la
concentration au niveau de la source. En effet,
lantibiotique diffuse dans le milieu selon un
gradient de concentration inversement
proportionnel à la distance du dépôt du disque
imprégné dantibiotique. Pour établir la relation
entre le diamètre de la zone dinhibition et la
CMI, on utilise des courbes de concordance
établies par des laboratoires spécialisés
(Institut Pasteur) avec des souches de référence.
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Interprétation
Un germe est dit sensible si la CMI de
lantibiotique pour le germe est plus faible que
la concentration critique inférieure (taux
sanguin moyen obtenu aux posologies habituelles
et sans danger pour lorganisme). Un germe est
dit de sensibilité intermédiaire si la CMI de
lantibiotique pour le germe est à lintérieur de
la zone des taux thérapeutiques, cest à dire
entre la concentration critique inférieure et la
concentration critique supérieure (taux sanguin
maximal obtenu par ladministration de fortes
doses). Un germe est dit résistant si la CMI de
lantibiotique pour le germe est plus élevée que
la concentration critique supérieure. Il faut
distinguer cette résistance clinique de la
résistance absolue dun microorganisme vis-à-vis
dun antibiotique donné.
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E-Test
Il s'agit d'une technique de détermination de la
CMI fondée sur l'utilisation de bandelettes
imprégnées d'un gradient exponentiel prédéfini de
l'antibiotique à tester. LE-test associe les
caractéristiques des méthodes de diffusion et de
dilution en milieu solide. Les bandelettes sont
des supports inertes, hydrophobes. Elles sont
appliquées sur la surface d'une gélose
préalablement ensemencée avec la souche à
étudier. Après incubation, l'inhibition de la
croissance bactérienne se traduit par la présence
d'une ellipse dont les points d'intersection avec
la bandelette définissent la CMI. Une échelle de
lecture imprimée sur la face supérieure de la
bandelette permet une interprétation
rapide. Résultat dun  E-test  pour la
pénicilline G (concentrations exprimées en
µg.mL-1)
23
Antibiogramme miniaturisé en milieu liquide (ATB
Gram-)

24
4. Association dantibiotiques
25
Association dantibiotiques schématriangulaire
26
5. Mécanismes de résistance aux antibiotiques
27
5. Mécanismes de résistance aux antibiotiques
Pour qu'un antibiotique soit actif, il faut Pour résister à lantibiotique, la bactérie peut
- qu'il pénètre dans la bactérie - devenir imperméable ou s'opposer à son transport - lexcréter activement
- qu'il ne soit ni modifié ni détruit - synthétiser des enzymes qui le modifient - synthétiser des enzymes qui l'hydrolysent - synthétiser des protéines qui le séquestrent
- qu'il se fixe à sa cible - modifier le site de reconnaissance de la cible - produire la cible de façon plus importante
- quil bloque une voie métabolique - changer de voie métabolique
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5. Mécanismes de résistance aux antibiotiques
  • L'imperméabilisation
  • Elle concerne la membrane externe (pour les
    bactéries à Gram négatif) ou la membrane
    cytoplasmique (pour toutes les bactéries). C'est
    le mécanisme le plus souvent responsable de la
    résistance naturelle . Il peut concerner tous les
    antibiotiques.
  • Modification de la cible
  • C'est un mécanisme dont lorigine génétique est
    souvent mutationnelle. La cible est légèrement
    modifiée par la substitution d'un acide aminé
    dans la protéine (s'il s'agit d'une enzyme ou
    d'une protéine ribosomale) ou la substitution
    d'un nucléotide (s'il s'agit de l'ARN ribosomal).
    Il peut concerner les b-lactamines, les
    aminosides, les macrolides, les quinolones
  • On peut rencontrer ce mécanisme dans la
    résistance plasmidique dans le cas des
    macrolides, une méthylase modifie deux
    nucléotides du ribosome qui perd son affinité
    pour l'antibiotique. Dans le cas des sulfamides
    ou du triméthoprime, le plasmide code pour des
    isoenzymes qui ne fixent pas ces molécules.

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5. Mécanismes de résistance aux antibiotiques
  • L'inactivation ou la modification de
    lantibiotique
  • C'est un mécanisme dont lorigine génétique est
    souvent plasmidique. Il concerne
    particulièrement 
  • - les béta-lactamines  béta-lactamases
    (pénicillinases, céphalosporinases) hydrolysant
    la molécule,
  • - les aminosides  transférases qui phosphorylent
    ou acétylent certains sites de la molécule,
  • - les phénicolés  transférase qui acétyle la
    molécule.
  • On peut rencontrer ce mécanisme dans la
    résistance mutationnelle certaines bactéries
    synthétisent des faibles quantités de
    béta-lactamases (la résistance est alors dite de
    bas niveau). Une mutation altère le gène de
    régulation et provoque une synthèse accrue de
    lenzyme qui est dite déréprimée (la résistance
    est alors dite de haut niveau).

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6. Déterminisme génétique des résistances aux
antibiotiques
  • Résistance naturelle (chromosomique) caractère
    despèce
  • La résistance naturelle est caractéristique dune
    espèce bactérienne. Elle délimite le spectre
    naturel de l'antibiotique et constitue une aide à
    lidentification.
  • La résistance naturelle se traduit habituellement
    par des CMI supérieures à la valeur critique
    basse de concentration (c) de lantibiotique
    concerné.
  • Les protéines codées par le chromosome ont une
    structure telle qu'elles empêchent la pénétration
    de l'antibiotique (les membranes sont
    imperméables, un système de transport est absent)
    ou l'inactivent (les béta-lactamases
    chromosomiques).

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6. Déterminisme génétique des résistances aux
antibiotiques
Résistances naturelles
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6. Déterminisme génétique des résistances aux
antibiotiques
  • Résistances acquises seules certaines souches
    dune espèce sont concernées
  • Les résistances acquises, sont consécutives à des
    modifications de l'équipement génétique
    chromosomique ou plasmidique, qui ne concernent
    que quelques souches d'une même espèce mais
    peuvent s'étendre  leur fréquence varie dans le
    temps mais aussi dans l'espace (région, ville,
    hôpital).
  • Résistance mutationnelle (chromosomique)
  • Une altération de lADN chromosomique entraîne la
    synthèse de protéines modifiées les membranes
    deviennent imperméables, un système de transport
    n'accepte plus l'antibiotique, la cible (enzyme
    ou ribosome) ne fixe plus l'antibiotique, un
    répresseur ne contrôle plus certains gènes
    (dérépression des béta-lactamases).
  • Les résistances mutationnelles sont
  • - spontanées elles préexistent à l'utilisation
    de l'antibiotique,
  • - stables elles se transmettent verticalement
    dans le clone bactérien,
  • - spécifiques elles ne concernent qu'un
    antibiotique ou une famille d'antibiotiques à la
    fois,
  • rares le taux de mutation se situe
    habituellement entre 10-7 et 10-8.

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6. Déterminisme génétique des résistances aux
antibiotiques
  • Résistance extra-chromosomique (plasmidique ou
    liée à un transposon)
  • L'acquisition d'une information génétique
    supplémentaire permet la synthèse de protéines
    additionnelles dont la présence modifie les
    membranes ou dont l'activité enzymatique se
    révèle capable de modifier la cible ou
    d'inactiver l'antibiotique.
  • Les résistances extra-chromosomiques ont pour
    support génétique un plasmide (ou un transposon)
    acquis par conjugaison ou plus rarement par
    transduction ou transformation
  • Les résistances plasmidiques
  • - sont fréquentes (plus de 80 des résistances
    acquises),
  • - sont contagieuses et se transmettent
    horizontalement entre bactéries cohabitant dans
    un même environnement, même entre espèces
    différentes,
  • peuvent concerner plusieurs antibiotiques, voire
    plusieurs familles d'antibiotiques, entraînant
    une multirésistance.
  • L'usage d'un seul antibiotique dont la résistance
    est codée par un gène plasmidique sélectionne les
    souches résistantes à toutes les molécules dont
    le gène de résistance se trouve sur le plasmide,
    ce qui entraîne la sélection rapide de souches
    multirésistantes. Ce sont ses souches
    bactériennes résistantes à plusieurs familles
    d'antibiotiques pour lesquelles les possibilités
    thérapeutiques sont réduites et parfois
    anéanties. On constate, en milieu hospitalier
    surtout, une recrudescence de la fréquence
    d'isolement de ces souches qui doivent être
    détectées rapidement et signalées car elles
    imposent aux services d'hospitalisation des
    mesures strictes pour éviter leur diffusion.
  • Certaines espèces bactériennes sont plus
    particulièrement concernées par cette
    multirésistance 
  • Staphylocoques méticillino-résistants (SARM)
  • Souches de Pseudomonas productrices de
    céphalosporinase déréprimée
  • Entérobactéries productrices de b-lactamase à
    spectre étendu ( BLSE )
  • Acinetobacter (dont lespèce A. baumannii)
    naturellement résistants à de nombreux
    antibiotiques

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7. Mise en évidence des résistances acquises au
laboratoire
Mise en évidence des béta-lactamases Les
béta-lactamases hydrolysent le cycle b-lactame
des pénicillines (pénicillinases) et des
céphalosporines (céphalosporinases) avec plus ou
moins de spécificité, les rendant ainsi
inactives. Les béta-lactamases peuvent être  -
constitutives (Haemophilus influenzae,
Neisseria) ou inductibles (Staphylococcus
aureus)  - dorigine chromosomique ou
plasmidique. Il existe une méthode simple de
mise en évidence rapide de ces enzymes la
méthode à la céphalosporine chromogène. Le test
Céfinase de BioMérieux est réalisé grâce à un
disque imprégné dun substrat chromogène (la
nitrocéfine) sur lequel on dépose une colonie
bactérienne  en présence de béta-lactamase, il
se forme un produit coloré rouge.
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7. Mise en évidence des résistances acquises au
laboratoire
Mise en évidence des béta-lactamases à spectre
étendu (BLSE) Les béta-lactamases à spectre
étendu confèrent une résistance de haut niveau à
quasiment toutes les béta-lactamines, à
lexception des céphalosporines de 3e génération
(résistance de bas niveau). Les BLSE sont
déterminées génétiquement par des plasmides (et
sont donc transmissibles entre bactéries). Elles
sont inactivées par les inhibiteurs de
béta-lactamase tels que lacide clavulanique.
Leur mise en évidence repose sur la présence
dune synergie entre une céphalosporine de 3e
génération (Céfotaxime ou Ceftazidime par
exemple) et un inhibiteur de b-lactamase (on
utilise souvent le disque AMC contenant de
lamoxicilline et de lacide clavulanique).
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7. Mise en évidence des résistances acquises au
laboratoire
Mise en évidence des béta-lactamases à spectre
étendu (BLSE)
37
7. Mise en évidence des résistances acquises au
laboratoire
Résistance des staphylocoques aux
béta-lactamines Il sagit dune résistance à la
méticilline due à une modification des PLP
(souches dites  méticillino-résistantes  ou
 SARM   Staphylococcus aureus résistant à la
méticilline). Lacquisition dun gène
chromosomique mecA entraîne une production de
PLP2a (dont laffinité vis-à-vis des
béta-lactamines est faible). La mise en évidence
de cette résistance est délicate, car seulement
une partie de la population bactérienne (1
bactérie sur 10 000 à 100 000) exprime cette
résistance (doù le nom de résistance
hétérogène). Les conditions de culture doivent
être modifiées (incubation à 30C ou
ensemencement en milieu Mueller-Hinton hypersalé)
pour observer des colonies dans la zone
dinhibition autour dun disque doxacilline.
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7. Mise en évidence des résistances acquises au
laboratoire
Résistance des staphylocoques aux béta-lactamines
39
7. Mise en évidence des résistances acquises au
laboratoire
Il sagit dun test général mettant en évidence
toute réaction dinactivation dun antibiotique.
Une souche sensible à lantibiotique testé est
ensemencée sur un milieu Mueller-Hinton. Un
disque imprégné de lantibiotique testé est placé
au centre de la boîte. Des stries sont réalisées
autour du disque avec les souches à tester et des
souches témoin. Après incubation, la présence de
culture de la souche sensible au contact des
souches test ou témoin dans la zone dinhibition
témoigne de linactivation de lantibiotique.
40
Bibliographie Microbiologie technique, 1.
Dictionnaire des techniques, Jean-Noël JOFFIN,
Guy LEYRAL, CRDP Bordeaux, 2001.Le paradoxe des
antibiotiques, Stuart B. LEVY, Editions Belin,
1999.Pour la science - n232 (février 1997) 
 La résistance des bactéries aux
antibiotiques .- n331 (mai 2005)   Les
infections à lhôpital    Consommation
dantibiotiques et résistance des bactéries .La
recherche - n384 (mars 2005)   Le grand
désert des antibiotiques . Sites
internet Les ressources en ligne sont
extrêmement nombreuses sur le sujet (tapez
 antibiotiques  ou  antibiogramme  sur Google
par exemple), mais il faut sélectionner les sites
les plus rigoureux. Quelques suggestions http//
www.123bio.net/cours/http//www.frm.org/ (tapez
 antibiotiques  dans le champ de recherche en
haut à droite).http//www.microbes-edu.org/etudia
nt/etudiants.htmlhttp//www.bacterio.cict.fr/bacd
ico/atbq/sensibilite.htmlhttp//anne.decoster.fre
e.fr/http//pedagogie.ac-montpellier.fr/Disciplin
es/sti/biotechn/microbio.htmlhttp//biomserv.univ
-lyon1.fr/wiki/dpbcoursd1/moin.cgi/Antibio Fichi
ers  pdf  à télécharger (cours de lUniversité
de Genève) http//www.unige.ch/sciences/biologie
/public/pif/polycop.htm
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