Title: Quelques interrogations
1Quelques interrogations à propos du "tableau de
signes"
Dominique Gaud Régionale de Poitiers IREM de
Poitiers Membre de la Commission Inter IREM
didactique
2- Cet atelier sappuie sur la recherche menée par
léquipe de lIREM de Poitiers 1 associée à
lIREM de Paris VII dans le cadre du projet
ADIREM-INRP. - 1 Equipe coordonnée par M.Cheymol, D. Gaud,
J.P. Guichard, L. Jussiaume, C. Robin.
3Les programmes
Mise en équation résolution algébrique. Résolution graphique déquations et dinéquations Résoudre un équation ou une inéquation se ramenant au premier degré. Utiliser un tableau de signes pour résoudre une inéquation ou déterminer le signe dune fonction. Résoudre graphiquement des équation ou inéquations du type f(x)k f(x)g(x) f(x)ltg(x) Pour un même problème, on combinera les apports des résolutions graphique et algébrique. On précisera les avantages et les limites de ces différents modes de résolution. On pourra utiliser les graphiques des fonctions de référence et leurs positions relatives. On ne sinterdira pas de donner un ou deux exemples de problème conduisant à une équation que lon ne sait pas résoudre algébriquement et dont on déterminera des solutions approchées.
Le libellé diffère sensiblement de celui des
programmes antérieurs dans la mesure où cest la
première fois que lexpression tableau de
signes est citée.
4Actuellement
Utiliser le tableau de signes pour résoudre une
inéquation ou déterminer le signe dune fonction
C est une nouveauté
5Analyse de quelques manuels
- En quoi diffèrent et se ressemblent les
différentes présentations des manuels. - Les présentations sont-elles conformes aux
instructions officielles?
6- Si on se réfère aux commentaires du programme,
le cadre algébrique est à relier en permanence au
cadre fonctionnel en faisant appel le plus
fréquemment possible au registre graphique. - Utiliser de façon raisonnée et efficace la
calculatrice pour les calculs et pour les
graphiques . - Des activités liées aux fonctions, aux
équations ou aux inéquations mettront en valeur
linformation donnée par la forme dune
expression et motiveront la recherche dune
écriture adaptée . - On multipliera les approches
- La rubrique contenus spécifie mise en
équation résolution algébrique, résolution
graphique déquations et dinéquations . - Pour un même problème, on combinera les
apports des modes de résolution graphique et
algébrique. On précisera les avantages et les
limites de ces différents modes de résolution. On
pourra utiliser les graphiques des fonctions de
référence et leurs positions relatives. On ne
sinterdira pas de donner un ou deux exemples
de problèmes conduisant à une équation que lon
ne sait pas résoudre algébriquement et dont on
cherchera des solutions approchées .
7La situation initiale présentée par lIREM de
Paris VII
Etape 1 exemple Pour des valeurs numériques
données de x, vous devez calculer les valeurs
numériques de lexpression suivante f(x) (x
2) (2x 3)(x 5)(4x 1)(1 x) Sont-elles
toujours positives ? Sont-elles toujours
négatives? Sont-elles quelquefois positives,
quelquefois négatives ? Calculez ! Quand vous
avez une réponse, appelez votre professeur.
8La situation initiale (suite)
Etape 2 Trouvez un moyen qui vous permet de
dire, très vite et de façon fiable, quand votre
professeur vous propose une valeur numérique pour
x, si lexpression est positive, négative ou
nulle. Les calculatrices ne sont pas autorisées.
Quand vous pensez avoir une méthode, appelez
votre professeur.
Le tableau de signes une technique au service
de létude dune expression polynomiale
factorisée.
9Notre questionnement
1- Pourquoi étudier le signe dune expression
polynomiale ? A quoi cela sert-il ? 2- Comment
étudier le signe dune expression polynomiale ?
Quelles sont les techniques utilisées ? Quelles
sont les justifications de ces techniques données
aux élèves actuellement ?
Le signe dune expression polynomiale où le
trouve-t-on ? En quelle compagnie ? Quel est son
rôle ? Comment létudier ?
10Où trouve-t-on des réponses?Dans le savoir
savant un regard historiqueDans le savoir
enseigné programmes et manuels
Historiquement, quand a-t-on étudié le signe
dune expression polynomiale, et pourquoi ? Quand
létude du signe dune expression est-elle
apparue dans les programmes ? Dans quels types de
problèmes ? Quelles étaient les techniques
utilisées ? Comment étaient-elles justifiées ?.
11Au niveau historique
- Deux problèmes
- la détermination du nombre de racines dune
équation polynomiale - la détermination des racines dune équation
polynomiale
On peut distinguer deux périodes avant Cauchy
approche algébrique après Cauchy approche
par lanalyse
12Avant Cauchy (1789- 1857)
Girard (15951632) Descartes (1596-1650) Rolle
(1652- 1719) Marquis de LHospital
(1661-1704) Euler (1707-1783) DAlembert (1717-
1783) Lacroix (1765-1843)
13Avant Cauchy
Girard (1629), Descartes(1637) La détermination
du nombre de racines par la méthode du nombre de
variations de signe de lexpression.
Descartes 1596-1650
Girard 1595-1632
14Descartes (1637) La Géométrie,
- Il nest question que déquations. Les
préoccupations de Descartes sont les suivantes - la détermination du nombre de racines dune
équation (nombre de vraies racines, de fausses
racines ), résultat énoncé par Girard en 1629
dans son Invention nouvelle en algèbre - le calcul des valeurs exactes - et non des
valeurs approchées des solutions d'une équation - la construction géométrique des racines.
- Létude du signe dune quantité algébrique
napparaît pas.
15Descartes 1596-1650 Exemple de problème de
construction conduisant à une équation polynomiale
16Règles de Descartes
17Règles de Descartes
18Règles de Descartes explication
19Rolle Algèbre (1690)
- Rolle remarque que les racines, que nous
appelons maintenant réelles, dun polynôme sont
nécessairement séparées par celles du polynôme,
que lon appelle maintenant polynôme dérivé, ces
dernières par celles du polynôme dérivé second,
et ainsi de suite. Cest la méthode appelée
méthode des cascades.
20Le Marquis de lHospital (Analyse des infiniment
petits pour lintelligence des lignes courbes,
1696)
- Lidée de variation apparaît page 42 on
conçoit aisément quune quantité qui diminue
continuellement, ne peut devenir positive à
négative sans passer par le zéro . -
- Le calcul infinitésimal ne sintéresse pas à ce
qui est devenu un point essentiel de notre
enseignement à savoir les variations de signe
dune quantité.
211- Où lon donne les règles du calcul sur les
différences. 2-Usage du calcul des différences
pour trouver les tangentes à toute sorte de
lignes courbes. 3- Usage du calcul différentiel
pour trouver les plus grandes les moindres
appliquées. 4-Usage du calcul des différence pour
trouver les points d inflexion les points de
rebroussement. 5- Usages des différences pour
trouver les développées. 6-Usage du calcul des
différences pour trouver des caustiques par
réflexion. 7-Usage du calcul des différences pour
trouver des caustiques par réfraction. 8-Usage du
calcul des différences pour trouver les points
des lignes courbes qui touchent une infinité de
lignes données de position, droites ou
courbes. 9- Solution de quelques problèmes qui
dépendent des méthodes précédentes. 10- Nouvelle
manière de se servir du calcul des différences
dans les courbes géométriques, d où l on
déduit la méthode M. Descartes Hudde.
Table des matières
22D Alembert , Lacroix
DAlembert(1784), Lacroix(1836) propose la
détermination exacte ou approchée des racines à
laide du signe de lexpression (méthode due à
Newton). Lexistence des racines est justifiée
graphiquement.
D Alembert 1717-1783
Lacroix 1765-1843
Létude du signe dun polynôme associée à la
recherche des racines la technique du
changement de signes ne peut pas être
justifiée La recherche des racines dun polynôme
se nourrit de létude du signe du polynôme.
23DAlembert (Encyclopédie méthodique, 1784, ACL
Editions), dans larticle approximation,
- Théorème Si en substituant dans une équation
quelconque deux nombres différents à la place de
linconnue, on obtient des résultats de signes
contraires, lune des valeurs de linconnue sera
comprise entre les deux nombres substitués . - De ce résultat, énoncé en théorème mais non
démontré, il tire des corollaires permettant
daffirmer - quun polynôme de degré impair a toujours une
racine réelle, - que tout polynôme unitaire de degré pair dont
le terme constant est négatif admet une solution
réelle, - que tout polynôme unitaire dont le terme
constant est négatif a au moins une racine
positive, - Suit une technique pour trouver des valeurs
approchées.
24Lacroix seizième édition des Eléments dalgèbre
de Lacroix (1836).
-
- Après avoir étudié tous les cas où lon pouvait
trouver des solutions exactes aux équations,
Lacroix, dans le paragraphe intitulé Procédés
pour approcher des racines dune équation
numérique (page 298), cite le principe suivant - Lorsque lon a trouvé deux quantités qui,
substituées dans une équation à la place de
linconnue, donnent deux résultats de signes
contraires, on doit conclure quune des racines
de léquation proposée est comprise entre ces
deux quantités, et est par conséquent réelle . - Par ailleurs, Lacroix expose une technique
justifiée pour reconnaître quune équation a des
racines doubles.
25Euler , Introduction à lanalyse infinitésimale
(1796)
- Euler énonce le théorème des valeurs
intermédiaires pour les fonctions entières
Si une fonction entière Z (cest à dire polynôme
NDLR), en faisant z a, prend la valeur A et en
faisant z b, prend la valeur B en mettant à
la place de z des valeurs moyennes entre a et b,
la fonction Z peut prendre toutes les valeurs
moyennes quon voudra entre A et B .
26Euler
- Dans le chapitre De la recherche des facteurs
trinômes , Euler sintéresse à la factorisation
des expressions polynomiales. Les techniques sont
algébriques et sappuient sur les propriétés des
nombres complexes. - Les factorisations obtenues sont utilisées pour
sommer des séries infinies (chapitre 10) puis
pour décomposer des fractions rationnelles en
éléments simples. - Dans le tome premier, on ne trouve aucune trace
du signe de lexpression mais les techniques de
factorisation des polynômes à coefficients réels
sont bien présentes. - La localisation des racines conduit à la
recherche (locale) du signe dune expression.
27Bilan
- Ainsi, on constate que, jusquà Cauchy, la
problématique essentielle est - la recherche des valeurs exactes des racines
dune équation polynomiale, - la localisation des racines pour la détermination
de valeurs approchées des racines dune équation
polynomiale.
28Cauchy la primauté de lanalyse dans lapproche
29Cauchy
La problématique de la variation des fonctions
apparaît On étudie le signe de la dérivée pour
déterminer les variations de fonctions dans le
but de déterminer des extrema. Ce travail
sinscrit dans un domaine externe aux
mathématiques.
Cauchy 1789-1857
Létude des variations dune fonction à laide de
sa dérivée fait vivre le signe dun polynôme.
30Bolzano 1781-1848
Dans la théorie des équations, il y a deux
théorèmes dont on pouvait dire récemment encore
que la démonstration entièrement correcte est
inconnue. Lun est le suivant il faut quil y
ait toujours, entre deux valeurs quelconques de
la grandeur inconnue qui donnent deux résultats
de signes opposés, au moins une racine réelle de
léquation. Voici lautre toute fonction
algébrique rationnelle entière dune grandeur
variable peut être décomposée en facteurs réels
du premier et second degré. Bolzano (1817)
Bolzano
31- Avec Cauchy, la problématique de la variation
des fonctions apparaît, de façon explicite mais
non essentielle, dans les résumés de ses cours à
lEcole Polytechnique (1823). -
- La recherche des variations se fait à partir de
létude du signe de la dérivée. Cette
problématique de la variation des fonctions
semble être restée étrangère aux fondateurs et
aux premiers utilisateurs du calcul
infinitésimal.( Newton, Leibniz, Euler).
32Pourquoi étudier les variations de fonctions?
C'est essentiellement dans le cadre de l'étude et
de la résolution des équations différentielles ou
aux dérivées partielles, issues de la mécanique
et de la physique (questions relatives aux
petites oscillations des corps, à la stabilité du
système solaire, au mouvement des fluides, à la
diffusion de la chaleur) que l'intérêt d'une
étude qualitative des fonctions va être défendu,
par Poincaré mais d'abord par Sturm (Mémoires sur
la résolution des équations numériques, 1835).
33Sturm (1835)
Détermination du nombre de zéros dun polynôme à
laide des signes dune suite de polynômes.
Sturm 1803-1855
Létude du signe de polynômes est associée à la
recherche des racines. La technique du changement
de signes sappuie sur une nouvelle technologie
dans un cadre théorique.
34Sturm
La résolution des équations numériques est une
question qui na cessé doccuper les géomètres,
depuis lorigine de lalgèbre jusquà nos jours.
Lagrange, le premier, a donné pour cet objet une
méthode rigoureuse /... Mais, dans
lapplication, la longueur des calculs .../ la
rend presque impraticable. Le théorème dont le
développement est lobjet de ce mémoire /
fournit un moyen très sûr de connaître combien
une équation a de racines réelles comprises entre
deux nombres quelconques cette connaissance
suffit pour conduire à la détermination
effective de toutes les racines réelles. (Sturm
1835)
35Bilan
Historiquement, dans le cas des fonctions
polynômes, c'est à partir de leur forme
développée que se fait la recherche des zéros.
Létude du signe est un moyen de détermination de
ces zéros.
Létude du signe dune expression polynomiale
factorisée ne vit pas dans le savoir savant.
La question se pose donc de comprendre ce qui a
motivé, au niveau de lenseignement - létude
systématique du signe dune expression
algébrique . - le choix des techniques qui
sont proposées aux élèves pour conduire cette
étude, les types de problèmes traités, leurs
diverses formes au cours du temps.
36Dans lenseignement
37Dans lenseignement
Equations paramétriques du second degré
Par lalgèbre
Etude des variations de fonctions
Par lanalyse
Dérivées
Le savoir savant de lalgèbre va essayer de
sadapter. Le savoir savant de Cauchy va devenir
savoir à enseigner. Les deux techniques vont
entrer en concurrence.
Neveu 1908
38- Lalgèbre va résister quelque temps car létude
de variations de certaines fonctions font
vivre les équations paramétriques du second
degré. -
- Mais létude des variations des fonctions par le
signe de la dérivée va supplanter les techniques
algébriques les équations paramétriques nont
plus de raisons dêtre et vont disparaître peu à
peu de lenseignement (dans les années 1970).
39Dans lenseignement
Equations paramétriques du second degré
Etude des variations de fonctions
Les équations paramétriques du second degré ne
vont plus pouvoir vivre et vont lentement
disparaître.
Donc fonctions créées pour la circonstance et
que lon étudie encore
Par lanalyse (Dérivées)
Naissance de traditions didactiques
40Un exemple le programme de 1902
a- Classe de seconde C et D Variation de
lexpression axb représentation
graphique. Equation du second degré à une
inconnue. - Nature et signe des racines. - Etude
du trinôme du second degré. Changements de
signes. Inégalités du second degré . Problèmes
du second degré. Variations du trinôme du second
degré représentation graphique. Variations de
lexpression axb/cxd représentation
graphique. Notion de dérivées signification
géométrique de la dérivée. Le sens de variation
est indiqué par le signe de la dérivée
application à des exemples numériques très
simples. En classe de mathématiques ces
apprentissages sont repris et approfondis. A
létude des fonctions du premier et du second
degré , de la fonction homographique est ajoutée
celle des fonctions bicarrées, des quotients de
fonctions polynômes du second degré et des
fonctions de la forme x3 px q.
41Un exempleNeveu 1908
42Neveu 1908
- Ce cours comprend trente cinq leçons
- Les huit premières sont consacrées aux nombres,
aux polynômes, aux fractions rationnelles - Les leçons 9 à 14 traitent des problèmes du
premier degré équations, systèmes déquation,
problèmes qui y conduisent - Les leçons 15 à 22 traitent des problèmes du
second degré - Les leçons 23 à 27 sont consacrées à létude des
fonctions au programme - Les leçons 28 à 31 traitent de la dérivation et
de ses applications à létude des fonctions et
aux calculs de surfaces et de volumes - Létude du signe dune expression occupe une
place importante dans louvrage, 13 du volume de
louvrage y est directement consacrée , 20 du
volume si lon ajoute les études faites sur la
factorisation des polynômes et sur les fractions
rationnelles pour pouvoir en étudier le signe. - Les études de signe sont constamment utilisées
pour les études de fonctions qui sont conduites
de deux manières (pour les mêmes fonctions) - Directement dans les chapitres 23 à 27
- A laide des dérivées dans les chapitres 28 à 31
43Des exemples de mise en œuvre dans les manuels
avant 2000du tableau de signes
- Neveu (1908)
- Maillard (1962)
- Riche (1970)
44Une technique écologiquement viable...
Dautres techniques sont apparues puis ont
disparues Pourquoi?
Maillard 1962
45Maillard 1962
- Résoudre linéquation (x-5)(x-1)(x-2)(x3)gt0
- Les facteurs successifs sannulent
respectivement pour les valeurs 5 -1 2 -3.
Nous rangeons ces valeurs par ordre croissant
-3 -1 2 5. - Daprès ce qui précède, nous pouvons conclure
que pour xgt5 tous les facteurs sont positifs et
linéquation est vérifiée. - Si maintenant x prend une valeur comprise entre
2 et 5, seul le facteur x-5 change de signe et le
produit change de signe. Le produit est donc
négatif pour 2lt x lt5. Et le raisonnement se
poursuit/ - Le schéma indique les changements de signe
46Riche (1970)
- Remarquons que la valeur dun polynôme du
premier degré change de signe quand x
traverse son zéro. La valeur dun polynôme du
second degré change de signe si x traverse un
zéro simple du polynôme, mais elle ne change pas
de signe si x traverse un zéro double. - Ce résultat est général la valeur dun polynôme
P ne peut changer de signe que si x traverse
un zéro du polynôme P, si x traverse un zéro
simple (dordre 1) ou triple (dordre 3), la
valeur de P(x) changera de signe si x
traverse un zéro double (dordre 2) ou un
zéro quadruple (dordre 4), la valeur de P(x) ne
changera pas de signe. - Considérons, par exemple, le polynôme. P est un
polynôme du 7ième degré. Il admet 2 comme zéro
double,1 comme zéro simple, 3 comme zéro triple,
5 comme zéro simple. Sur chacun des intervalles
8, 1, 1, 3, 3, 5, 5, 8, P(x)
conserve un signe constant. Calculons la valeur
de P(x) pour x appartenant à lun de ces
intervalles. Par exemple P(0), P(0)lt0 P(x) est
donc négatif lorsque x décrit -2, 1. Doù le
tableau
47Riche (suite)
48Conclusions ( provocations ?)
- Quelles sont les raisons dêtre de ce que lon
enseigne ? - Peut-on trouver des situations motivantes sur
des notions insignifiantes?
Je vous renvoie au travail de la Commission Inter
IREM didactique actuel