Title: Prsentation PowerPoint
1LES GRANDS ENJEUX DE LASTROPHYSIQUE
2. Les enjeux programmatiques et
la politique scientifique
2 PAYSAGE PROGRAMMATIQUE 2006 - 2008
Astronomie et physique fondamentale
- phase de préparation des instruments terminée ou
très avancée - astronomie Gamma INTEGRAL, GLAST
-
- astronomie X Newton, (Chandra)
- UV / Visible / NIR
- VLT / VLTi (1ère génération), CFHT/ LS
- Hubble (jouvence programmée en 2008), Galex
- COROT (astérosismologie)
- astronomie IR / mm (Spitzer), Herschel
-
- radioastronomie (Lofar)
-
- fond cosmologique Planck
-
- physique fondamentale Microscope
3 PAYSAGE PROGRAMMATIQUE 2006 - 2008
Système solaire, planètes extrasolaires
- phase de préparation des instruments terminée ou
très avancée -
- physique solaire SOHO, (Trace, Stereo, SDO)
-
- magnétosphère terrestre CLUSTER, Double Star
(avec la Chine) - exploration planétaire
- planètes telluriques Mars Express,
Smart-1, Venus Express - planètes géantes Cassini / Huygens
- astéroïdes, comètes Stardust, (Dawn),
ROSETTA -
- planètes extrasolaires COROT (Kepler)
4 PAYSAGE PROGRAMMATIQUE 2009 - 2013
Astronomie et physique fondamentale
- plan de charge à moyen terme des laboratoires
- astronomie Gamma
-
- astronomie X SIMBOL-X 2011 (Confirmation par
le CNES ?) - UV / Visible / NIR VLT / VLTi (2ème
génération 2010) - astronomie IR / mm ALMA (2008 2010)
-
- radioastronomie
-
- astrométrie GAIA (2012, préparation à
lexploitation) - physique fondamentale LISA Pathfinder 2009
5 PAYSAGE PROGRAMMATIQUE 2009 - 2013
Système solaire, planètes extrasolaires
- plan de charge à moyen terme des
laboratoires -
- physique solaire Lyot / SMESE (2011, Chine,
TBC par le CNES) - magnétosphère terrestre MMS (2013, NASA ?)
- exploration planétaire
- planètes telluriques MSL 2009, Exomars
(2011 ??), -
BepiColombo 2013 - (Chandrayan
2008, SELENE 2008, Change 2009) - planètes géantes Juno
- astéroïdes, comètes Phobos/GRUNT (2011
??? Russie) -
- planètes extrasolaires
- Montée en puissance de la Chine, nouveaux
acteurs (Inde) - programmes dexploration lunaire (opportunité
plus que priorité)
6LAPRES 2013 MOYENS SOL
- deux grands objectifs
- - les Extremely Large Telescopes
-
- dabord classe 30 m avec OA
- très grandes ouvertures ?
- interféromètres optiques à grandes bases ?
- - le Square Kilometer Array (résolution
0.01 arcsec)
7LAPRES 2013 PROGRAMMES SPATIAUX
- NASA
- - priorité absolue à laccès à lespace
après la navette - - difficultés techniques et budgétaires
du JWST (2013 2014) - - impact de lintiative Bush vers la
Lune et Mars -
- Les grands programmes post JWST sont en
suspens - astronomie X, LISA, JDEM, VLBi, TPF /
Darwin, Europa Orbiter -
- mais toujours plus dun G par an pour les
programmes scientifiques !!! - ESA
- - stagnation du budget (400 M par an)
- - augmentation des budgets
dexploitation (victime de son succès !) - - impact des non-décisions NASA sur
LISA, Darwin, XEUS - - vrai / faux engagement sur Solar
Orbiter (2015) -
- grave risque de ne constituer quune force
dappoint après 2015 -
- appel à proposition 2015 2020 fin 2006
? début 2007 ?
8PREPARATION DE PROJETS / EXPLOITATION SCIENTIFIQUE
1990 2003 pression maximale sur la
préparation de projets 2001 2015 pression
maximale sur lexploitation scientifique
mais il faut préserver un plan de
charge suffisant pour
maintenir la compétitivité des équipes
françaises Cassini,
Rosetta, BepiColombo
cycles de 15 à 20 ans !
9UNE PERIODE DINTENSE EXPLOITATION SCIENTIFIQUE
DE TRES GRANDS INVESTISSEMENTS
- Sol VLT, VLTi, bientôt ALMA (Lofar)
-
- Spatial HST, ISO, FUSE, Newton, INTEGRAL
(Spitzer, Chandra) - Ulysse, SOHO, Cluster, Double Star
(Stereo, SDO, Themis / US) - Cassini/Huygens, Mars Express, Venus Express,
Smart-1 (MRO) - bientôt COROT, Planck, Herschel, Microscope,
Picard, - GLAST, Rosetta
-
- Investissement total pour la France 1,4 Milliard
dEuros (consolidé)
10LE BUDGET INSU LA PARTIE VISIBLE DE LICEBERG
Opérations scientifiques 1,2 M Programmes
Nationaux 1,4 M Soutien de base SDU 4,7
M TGE INSU 10.8 M
INSU 18 M
ESO 19 M
CNES 30 M
Investissement Incompressible 209 M / an
ESA 60 M
Salaires 100 M
11UNE PERIODE DINTENSE EXPLOITATION SCIENTIFIQUE
DE TRES GRANDS INVESTISSEMENTS
- Sol VLT, VLTi, bientôt ALMA (Lofar, Fasr)
-
- Spatial HST, ISO, FUSE, Newton, INTEGRAL
(Spitzer, Chandra) - Ulysse, SOHO, Cluster, Double Star
(Stereo, SDO, Themis / US) - Cassini/Huygens, Mars Express, Venus Express,
Smart-1 (MRO) - bientôt COROT, Planck, Herschel, Microscope,
Picard, - GLAST, Rosetta
-
- Investissement total pour la France 1,4 Milliard
dEuros (consolidé) -
- Il FAUT valoriser scientifiquement ces
investissements -
- Ce message sadresse
-
- - à la communauté scientifique en astrophysique
- qui en a déjà largement pris
conscience - - aux tutelles, qui doivent donner à
cette valorisation
12LES OUTILS DE LA VALORISATION SCIENTIFIQUE
-
- La modélisation et la théorie en amont et en
aval -
- En amont prédictions théoriques et simulations
numériques lourdes - dans la phase de préparation des
projets instrumentaux - en aval traitement massif de données
- modélisations 3-D
-
- besoins en mathématiques appliquées
- filières de formation
- concept dexpérience numérique pour la
simulation -
- crise de la puissance de calcul passage
à léchelle européenne ?
13LES OUTILS DE LA VALORISATION SCIENTIFIQUE
Les bases de données, lapport des mises en
relation (observatoire virtuel)
stratégie à géométrie variable selon les
disciplines - bases de données
multi-longueur dondes (CDS) - base
de données thématique (exemple CDPP)
- archivage à lESA ( Planetary Science
Archive )
14LA MISE EN RELATION DES DONNEES / OBSERVATOIRE
VIRTUEL
Essentielle pour lapproche multi-longueurs
dondes
- Catalogues, tables publiées, très grands relevés
- liste des observations dans les archives
- Vision homogène de données hétérogènes
15LES OUTILS DE LA VALORISATION SCIENTIFIQUE
Les bases de données, lapport des mises en
relation (observatoire virtuel)
stratégie à géométrie variable selon les
disciplines - bases de données
multi-longueur dondes (CDS) - base
de données thématique (exemple CDPP)
- archivage à lESA ( Planetary Science
Archive ) Positionnement fort autour
du Centre de Données Stellaires
(Strasbourg) Action spécifique OV France
préparation du 7ème PCRD
(perspective Espace Européen de la Recherche)
16 LA PLACE DE LA FRANCE EN ASTRONOMIE (J-M.
Hameury, colloque de prospective Colle/Loup)
- Place très honorable par rapport aux pays
européens comparables - - 5 des publications mondiales
- - taux de citation au dessus de la moyenne
européenne -
- points forts aujourdhui et à moyen terme
cosmologie, planétologie - en progression milieu interstellaire
- en forte croissance planètes
extrasolaires / HRA -
- exemples de points forts menacés par lévolution
démographique - - Systèmes de référence
- - évolution stellaire
- - Instrumentation spatiale en physique
solaire - - sondage ionosphérique
17LES ACTEURS DE LA RECHERCHE EN ASTRONOMIE
- Politique de recrutement impact sur 35 ans
- le message aux tutelles éviter les coups
daccordéon ! - - en positif création des labos dans les
années 1960-1970 - - en négatif trou dair Pompidou -
Giscard -
- Le corps des chercheurs se rapproche de létat
stationnaire -
- - Les pyramides des âges sont très variables par
discipline
18PYRAMIDE DES AGES DES CHERCHEURS EN ASTRONOMIE
Chercheurs CNRS
fort taux de départ dans les cinq prochaines
années (15 / an)
Enseignants Chercheurs
Problème majeur pour les filières de
formation (trou de 10 ans au niveau professeur)
19EVOLUTION DES THEMATIQUES
- Départs massifs
- Physique stellaire
- Physique solaire
- Métrologie temps et espace
- - thématiques jeunes
- ( gt 25 lt 40 ans)
- cosmologie, objets compacts
20LES ACTEURS DE LA RECHERCHE EN ASTRONOMIE
- Lastrophysique parvient à prendre en compte
les nouvelles thématiques -
- - orientation à la sortie des écoles
doctorales - - mobilité thématique importante
- - depuis 2000 montée en puissance des
planètes extrasolaires -
- les recrutements (CNRS / CNAP / Universités /
CEA) -
- - 25 recrutements de moyenne en 2000 2004
- - remontée récente (33 entrées en 2006)
- - forte progression des enseignants-chercheurs
(15 en 2006) - petit message pour les doctorants /
post-doctorants -
- les statut CNRS et CNAP est mieux adapté
à certains profils - (instrumentation, préparation de projet,
phases opérationnelles) - mais
- il faut faire attention avant de se
priver de près de - la moitié des possibilités dentrer dans
le système
21LA FORMATION DES JEUNES CHERCHEURS
- rôles des laboratoires suivi des thèses, flux
des post-docs -
- contexte extrêmement favorable, avec des données
nouvelles - de très grande qualité dans tous les domaines
-
- fort taux de pression sur les propositions de
thèses (4 1 en IdF) -
- chute des inscriptions en LMD physique
- ouverture aux écoles doctorales en dehors de
lastronomie
LA DIFFUSION DES CONNAISSANCES
- initiatives individuelles, contacts locaux
- actions auprès des IUFM, Fête de la science
-
- effort très modeste par rapport aux Etats-Unis
- (US 1 des projets)
- actions prises en compte encore insuffisamment
à lESO et à lESA
22LES INGENIEURS, TECHNICIENS, ADMINISTRATIFS
- Pyramide des âges similaire à celles des
chercheurs (2 bosses) - mais net déficit de recrutement depuis 1975
- Modifications importantes des métiers
- - plans de formation
- - plans de recrutement des laboratoires
- - augmentation des IR et AI, diminution
des IE - Très fort flux de départ jusquen 2007 - 2009
(recrutements en 1965-1973) - - dans certains laboratoires, plus de 40
des effectifs - - hémorragie dangereuse, mais
opportunités pour les nouveaux métiers - forte pression sur
- - la préparation des opérations
scientifiques des grands équipements - - la mise en forme et le traitement de
masse des données - - la documentation, le suivi de contrats
industriels
23Départs demandes des labos
En hausse traitement de données,
informatique En baisse instrumentation identifi
ée comme telle mais il faut maintenir la
compétitivité à lhorizon 2015
Objectif renouvellement à 100 après 2006
24LE CONTEXTE DE REALISATION DES PROJETS
- rôle dominant des grandes agences de moyen avec
leurs contraintes -
- métiers génériques
- - gestion des grands contrats industriels,
des soutiens européens - - contrôle qualité, documentation
- - forte pression sur le personnel
administratif -
- remise en cause du concept de laboratoire maître
duvre (PI) -
- - financement direct par lESA (les pays
membres pleurent misère) - - Planck, Herschel jusquà 28 labos, 17
pays impliqués - - observation de la Terre, Italie
maîtrise duvre industrielle -
- garder le lien entre équipes scientifiques et
réalisations techniques -
- atout majeur de la communauté française
- collaborations instrumentales avec les US ITAR
ou le père Ubu -
25LA PERSPECTIVE NATIONALE ET EUROPEENNE
- les sciences de lUnivers ne sont plus vraiment
une priorité au CNES -
- - programme national quoi après COROT
(SIMBOL-X ? SMESE ?) - - restrictions sur les budgets charge utile,
lexploitation scientifique - la loi de programmation de la recherche va
complexifier le paysage -
- - ANR, PRES, RTRA, pôles de compétitivité.
-
- Les interlocuteurs vont se multiplier pour les
laboratoires - pression sur les directeurs dunités,
le directeur administratif - le niveau européen 7ème PCRD et Espace
Européen de la Recherche -
- réseaux européens post-docs, préparation
de programmes - OPTICON / ELT, Radionet / SKA, Obs. Virtuel,
Europlanet, Astronet -
- Les jeunes chercheurs ne peuvent plus faire
limpasse sur lEurope -