PRESCRIRE ET UTILISER UN EXAMEN COMPLEMENTAIRE - PowerPoint PPT Presentation

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PRESCRIRE ET UTILISER UN EXAMEN COMPLEMENTAIRE

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Compl ter les r sultats de l' examen clinique et de l' entretien avec le malade ... V rifier l' appartenance ou non d' un sujet un groupe risque ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: PRESCRIRE ET UTILISER UN EXAMEN COMPLEMENTAIRE


1
PRESCRIRE ET UTILISER UN EXAMEN COMPLEMENTAIRE
  • Dr Romain Stein
  • Dr Maryse Flammang

2
INCIDENCE
  • CONSULTATIONS EN SOINS PRIMAIRES
  • PLUS OU MOINS 20 SUIVIS D EXAMENS
    COMPLEMENTAIRES
  • 15 EXAMENS BIOLOGIQUES
  • 5 RADIOLOGIES
  • 1 EXAMENS ENDOSCOPIQUES

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BUT
  • Complèter les résultats de l examen clinique et
    de l entretien avec le malade
  • Confirmer ou infirmer une hypothèse diagnostique
  • Vérifier l appartenance ou non d un sujet à un
    groupe à risque
  • Dépister une lésion potentiellement dangereuse
  • Orienter vers un traîtement spécifique
  • Surveiller un traîtement
  • Programmer une consultation ultérieure

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NEGOCIATION
  • INTENTION DE PRESCRIRE REPOSE SUR DES CRITERES
    EPIDEMIOLOGIQUES
  • PRESCRITION EFFECTIVE RESULTE DUNE NEGOTIATION
    AVEC LE PATIENT
  • BENEFICE,POSSIBILITES THERAPEUTIQUES ULTERIEURES

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INTERPRETATION DUN RESULTAT
  • DEFINITION DUNE NORME ET DE SES LIMITES
  • VARIE EN FONCTION DU TEST UTILISE
  • PLUS OU MOINS OBJECTIVE
  • ROLE IMPORTANT DE LOBSERVATEUR
    (ANATOMO-PATH.,RADIOLOGUE)

6
LA NOTION DE  NORMAL 
  • LA DEFINITION D UNE NORME PAR UN EXAMEN
    COMPLEMENTAIRE SERT A CLASSER OU NON LE PATIENT
    DANS UN GROUPE DE MALADES
  • PEUT SERVIR A DECIDER UN TRAITEMENT OU UNE
    SURVEILLANCE PARTICULIERE

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DEFINITION DE LA NORME
  • PEUT FAIRE REFERENCE A UNE DISTRIBUTION
    GAUSSIENNE
  • 95 DE LA POPULATION A DES VALEURS SITUEES DANS
    L INTERVALLE DEFINI PAR LA MOYENNE PLUS OU MOINS
    DEUX ECARTS TYPES
  • UN PATIENT QUI A SUBI 100 TESTS DIFFERENTS A 6
    CHANCES SUR MILLE D ETRE DECRETE NORMAL A LA FIN
    DE SON BILAN (Salmi et Collet)

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  • PEUT SE BASER SUR LA RELATION ENTRE UN FACTEUR DE
    RISQUE ET LA PROBABILTE DE L APPARITION DUNE
    MALADIE DANS UNE POPULATION
  • LES VALEURS NORMALES SONT CELLES QUI NE SONT PAS
    LIEES A UN RISQUE ACCRU DE MORBIDITE OU DE
    MORTALITE
  • MAIS LES FACTEURS DE RISQUE ONT UN MODE DE
    CROISSANCE QUI DIFFERE AVEC LES VALEURS,NOMBRE
    ELEVE,VARIABLE

9
PERFORMANCE DU TEST
  • FIABILITE CONSTANCE AVEC LAQUELLE UN INSTRUMENT
    MESURE UNE VARIABLE DONNEE
  • OBJECTIVITE DEGRE DE CONCORDANCE (VARIABILITE)
  • COMMODITE ACCEPTABILITE,COUT
  • VALIDITE DEGRE DE PRECISION

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PARAMETRES DE QUALITE D UN EXAMEN DIAGNOSTIQUE
  • SENSIBILITE PROPORTION DE SUJETS PRESENTANT UN
    TEST POSITIF DANS UNE POPULATION MALADE
  • EVITE LES FAUX NEGATIFS
  • PLUS UN TEST EST SENSIBLE,MOINS ON A LA CHANCE DE
     PASSER A COTE DUNE MALADIE 

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  • SPECIFICITE PROPORTION DE CAS OU LE TEST EST
    NEGATIF CHEZ DES PERSONNES NON MALADES
  • EVITE LES FAUX POSITIFS
  • AUTHENTIFIE LA MALADIE

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  • VALEUR PREDICTIVE NINFORME PAS QUE SUR LE TEST
    MAIS SUR LA SITUATION APRES LUI
  • PROBABILITE QUE LE SUJET AU TEST POSITIF SOIT
    MALADE OU QUE LE SUJET AU TEST NEGATIF SOIT
    INDEMME
  • DEPEND DU CONTEXTE CLINIQUE (PROBABILITE
    PRE-TEST) ET DES CARACTERISTIQUES  SENSIBILITE 
    ET  SPECIFICITE  DE LEXAMEN

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EXEMPLE LA MAMMOGRAPHIE
  • NORMALE (NEGATIVE) OU ANORMALE (POSITIVE)
  • LOCALISATION DU POINT ENTRE NORMALITE ET
    ANORMALITE EST ARBITRAIRE , MAIS NECESSAIRE
  • DIFFERENTS DEGRES DE SUSPICION
  • NULLE,MINIMALE,MOYENNE,HAUTE

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SENSIBILITE vs SPECIFICITE
  • SUSPICION MINIME POUR DECIDER DE LA BIOPSIE UN
    GRAND NOMBRE DE LESIONS SONT FAUSSEMENT
    ETIQUETEES CANCERS
  • TAUX ELEVES DE FAUX POSITIFS
  • SUSPICION FORTE EXIGEE UN GRAND NOMBRE DE
    CANCERS SONT FAUSSEMENT ETIQUETES NON-CANCERS
  • TAUX ELEVE DE FAUX NEGATIFS

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LA PRESCRIPTION D ANALYSES
  • CADRE LEGAL REGLEMENT GRAND-DUCAL DU 19 MARS
    1999 CONCERNANT LA NOMENCLATURE DES ACTES ET
    SERVICES DES LABORATOIRES D ANALYSES MEDICALES
    ET DE BIOLOGIE CLINIQUE PRIS EN CHARGE PAR L
    ASSURANCE MALADIE

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  • PRISE EN CHARGE SI L ACTE EST INSCRIT AU
    TABLEAU,MAXIMUM 12 ANALYSES EN LABO PRIVE ET
    HOPITAL,20 ANALYSES EN CAS DE GROSSESSE, SAUF
    CHANGEMENT
  • ANALYSES COMPLEMENTAIRES UNIQUEMENT APRES
    AUTORISATION DU MEDECIN PRESCRIPTEUR EN CAS DE
    TEST DE BASE ANORMAL
  • LISTE LIMITATIVE POUR ACTES EFFECTUES PAR LES
    MEDECINS AU CABINET (Règlement grand-ducal du 30
    janvier 2004)

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STATUTS UCM DE PRISE EN CHARGE
  • TITRE II CHAPITRE 4 ANALYSES ET EXAMENS DE
    LABORATOIRE EFFECTUES EN DEHORS DU SECTEUR
    HOSPITALIER

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EXCLUSIONS
  • GROUPE SANGUIN ET FACTEUR RHESUS UNIQUEMENT SUR
    PRESCRIPTION MEDICALE JUSTIFIANT LA NECESSITE
    THERAPEUTIQUE
  • ANALYSES EFFECTUEES A DES FINS DE RECHERCHE

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TAUX DE PRISE EN CHARGE
  • 100 POUR LES ACTES INSCRITS DANS LA
    NOMENCLATURE
  • TIERS PAYANT
  • FORFAIT DE DEPLACEMENT SI NECESSITE POUR
    EFFECTUER LE PRELEVEMENT A DOMICILE EST JUSTIFIEE
    SUR L ORDONNANCE MEDICALE

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LIMITATIONS DES PRESATTIONS
  • ORDONNANCES VALABLES PENDANT 2 MOIS A PARTIR DE
    LA DATE D EMISSION DE L ORDONNANCE SAUF
    INDICATION CONTRAIRE
  • EN CAS DE FRACTIONNEMENT 6 MOIS
  • MAXIMUM 12 ACTES PAR ORDONNANCE
  • MAXIMUM 20 ACTES POUR PREMIER BILAN EN CAS DE
    GROSSESSE

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LA PRESCRIPTION DE L IMAGERIE MEDICALE
  • LA DEMANDE DU PATIENT
  • LA CIVILISATION DE L ECRIT PASSE VERS LA
    CIVILISATION DE L IMAGE
  • REPRESENTE LE REEL, LA VERITE
  • MYTHE DU CORPS RENDU TRANPARENT PAR LES NOUVELLES
    TECHNOLOGIES

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  • LE CHOIX DE L EXAMEN EST MOTIVE PAR
  • LA POSSIBILITE THERAPEUTIQUE OU LE SUIVI
    THERAPEUTIQUE
  • ENTRAINE UNE STRATEGIE DECISIONNELLE
  • PEUT ÊTRE UN OBJECTIF DE PRESCRIPTION RAISONNABLE
    SI ELLE SERT A RASSURER LE PATIENT

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  • LES PERFORMANCES DES EXAMENS
  • VARIENT SELON LES TECHNIQUES
  • SELON LES COMPETENCES DU RADIOLOGUE
  • LA TROP GRANDE SENSIBILITE EST POURVOYEUSE D UNE
    CERTAINE IATROGENIE PAR LA DECOUVERTE DE NOMBREUX
    FAUX-POSITIFS

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  • LES EFFETS SECONDAIRES ET LE COÛT DES TECHNIQUES
  • LE RAPPORT BENEFICE-RISQUE
  • L IRRADIATION
  • LES EXAMENS INVASIFS

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L IMAGE ET LA PLAINTE DU PATIENT
  • CORRELATION DU RESULTAT A LA PLAINTE
  • AFFIRMATION OU INFIRMATION DE LA PATHOLOGIE
    SUPECTEE
  • ANNONCE DE LA MAUVAISE NOUVELLE
  • REANALYSE DE LA PLAINTE ET/OU EVOCATION D UNE
    NOUVELLE HYPOTHESE DIAGNOSTIQUE

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CRITERES DE PRESCRIPTION
  • Règlement grand-ducal du 16 mars 2001 relatif à
    la protection sanitaire des personnes contre les
    dangers des rayonnements ionisants lors
    dexpositions à des fins médicales, art. 6

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LES RECOMMANDATIONS
  • LES OUVRAGES ET SITES INTERESSANTS
  • GUIDE DU BON USAGE DES EXAMENS D IMAGERIE
    MEDICALE édité par le Société française de
    Radiologie et la Société française de Biophysique
    et de Médecine nucléaire
  • www.conseil-scientifique.lu
  • www.guidelines.gov

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LA PRATIQUE
  • Énoncer de façon claire le ou les examens
    demandés
  • Décrire les plaintes du patient
  • Donner un résumé du résultat de lexamen clinique
  • Évoquer le diagnostic suspecté ou à exclure

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LES LIMITATIONS
  • Échographie mammaire après mammographie
    uniquement en cas de contexte clinique spécifique
  • Ostéodensitométre remboursée uniquement selon les
    critères DXA
  • Maximum 3 échographies par grossesse

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PRESCRIRE UNE ENDOSCOPIE DIGESTIVE
  • RECOMMANDATIONS POUR OGD

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DOULEUR ABDOMINALE HAUTE
  • Urgence ,A REALISER LE MEME JOUR hémorragie
    digestive majeure
  • Hématémèse
  • Méléna
  • Examen à réaliser au plus tard en 2 semaines
    saignement g.i. chronique,perte de poids non
    intentionnelle progressive,trouble de la
    déglutiton progressif,anémie ferriprive,masse
    épigastrique

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TROUBLE DYSPEPTIQUE
  • Patient de plus de 55 ans
  • Symptômes persistants malgré un test hélicobacter
    pylori négatif et traîtement antacide
  • ATCD d ulcère gastrique,chirurgie
    gastrique,traîtement AINS chronique,risque accru
    de cancer,état anxieux,tabac,alcool,exclusion
    maladie coeliaque,

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  • LES IPP ET ANTIH2 DOIVENT ETRE ARRETES si
    possible 2 SEMAINES AVANT L EXAMEN

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REFLUX GASTRO-OESOPHAGIEN
  • Détermination du stade de loesophagite
  • Recherche sophage de Barrett,dysplasie,

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ULCERE GASTRIQUE
  • Examen de contrôle endoscopique et HP 6-8
    semaines après le diagnostic selon la taille de
    la lésion

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  • RECOMMANDATIONS POUR FAIRE REALISER UNE
    COLOSCOPIE
  • PLAINTES SUBJECTIVES
  • MAIS UNE PATHOLOGIE COLIQUE PEUT ETRE
    ASYMPTOMATIQUE
  • Plainte fréquente de ballonements,de gaz,de
    pression abdominale et/ou de crampes
  • Masse abdominale avec ou sans douleur

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  • Spasmes de lanus ou de la vessie (ténesmes)
  • Changement de la forme des selles
  • Selles en forme de crayon
  • Diarrhée,constipation,
  • Hémorragie par le rectum

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  • Anorexie ou satiété précoce
  • Vomissements
  • Perte de poids involontaire
  • Léthargie,faiblesse
  • Palpitations,symptômes danémie

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  • RESULTATS D EXAMEN OBJECTIFS
  • Masse au toucher rectal
  • Hémorragie claire par le rectum
  • Méléna
  • Anémie microcytaire hypochrome
  • Bactériémie à streptococcus bovis très évocatrice
    dun cancer occulte du colon

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DEPISTAGE
  • TOUS LES ADULTES DE 50 ANS ET PLUS
  • COLOSCOPIE INITIALE ET APRES 10 ANS SI PAS DE
    POLYPES A LEXAMEN INITIAL
  • ALTERNATIVES
  • RECHERCHE DE SANG DANS LES SELLES CHAQUE ANNEE
  • RECHERCHE DE SANG DANS LES SELLES ANNUELLE ET
    SIMOÏDOSCOPIE TOUS LES 5 ANS

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RECHERCHE DE SANG DANS LES SELLES
  • 2 ECHANTILLONS DE 3 SELLES CONSECUTIVES
  • ETUDE AMERICAINE SUR 1147 MEDECINS DE PREMIERE
    LIGNE
  • 32.5 ONT UTILISE LE TOUCHER RECTAL COMME UNIQUE
    EXAMEN POUR RELISER UN HAEMOCCULT

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  • 26.3 ONT FAIT REALISER UN DEPISTAGE CORRECT A
    DOMICILE PAR TROIS ECHANTILLONS
  • 30 ONT RECOMMANDE UN CONTRÔLE EN CAS DE TEST
    POSITIF
  • 52.8 ONT RECOMMANDE UNE COLOSCOPIE EN CAS DE
    TEST POSITIF, LE RESTE UNE SIGMOIDOSCOPIE,UN
    EXAMEN AU DOUBLE CONTRASTE AU BARIUM OU UNE
    COMBINAISOSN DE PLUSIEURS TESTS

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HISTOIRE FAMILIALE DE CANCER OU DADENOMES
  • PARENT DU PREMIER DEGRE AVEC CANCER EN DESSOUS DE
    60 ANS
  • COLOSCOPIE à 40 ANS OU 10 ANS AVANT LE DEBUT DE
    LA MALADIE DU PROCHE
  • SI NORMALE REPETER TOUS LES 3-5 ANS

44
  • AU DESSUS DE 60 ANS
  • COLOSCOPIE A 40 ANS
  • SI NORMALE REPETER TOUS LES 10 ANS

45
  • FAMILLE DU PREMIER DEGRE AVEC ADENOMES AVANT 60
    ANS
  • COLOSCOPIE A 40 ANS OU 10 ANS AVANT LE DEPISTAGE
    DU PROCHE
  • SI NORMALE REPETER TOUS LES 5 ANS

46
  • FAMILLE DU PREMIER DEGRE AVEC ADENOMES APRES 60
    ANS
  • COLOSCOPIE COMME MOYEN DE DEPISTAGE, A 50 ANS
  • SI NORMALE RISQUE MOYEN

47
  • FAMILLE DU 2E OU 3E DEGRE AVEC CANCER OU ADENOMES
  • COLOSCOPIE COMME CHEZ LES SUJETS A RISQUE MOYEN
  • SI NORMALE PRISE EN CHARGE COMME PATIENT A RISQUE
    NORMAL

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RECOMMANDATIONS POUR PATIENTS A RISQUE GENETIQUE
  • FAMILIAL ADENOMATOUS POLYPOSIS (FAP) AVEC TEST
    GENETIQUE POSITIF
  • SIGMOÏDOSCOPIE ANNUELLE ET INITIALE ENTRE 10 ET
    12 ANS
  • COLECTOMIE SI DES ADENOMES SE PRESENTENT
  • SI NON SIGMOÏDOSCOPIE TOUS LES 3 ANS A PARTIR DE
    40 ANS
  • FAMILLE A TESTING GENETIQUE NEGATIF
    SIGMOÏDOSCOPIE A PARTIR DU MÊME AGE TOUS LES 7
    ANS,PUIS COLOSCOPIE TOUS LES 5 ANS A PARTIR DE 40
    ANS

49
  • HNPCC
  • COLOSCOPIE OUS LES 1-2 ANS ENTRE 20-25 ANS OU 10
    ANS AVANT LE CAS PLUS JEUNE DE DIAGNOSE DUN
    CANCER DANS LA FAMILLE
  • COLOSCOPIE ANNUELLE A PARTIR DE 40 ANS

50
HISTOIRE PERSONNELLE DE MALADIE INFLAMMATOIRE DES
INTESTINS
  • ACTUELLEMENT PAS D ETUDE EVALUANT L EFFICACITE
    DE LA SURVEILLANCE COLOSCOPIQUE
  • FACTEURS DE RISQUE AGE PRéCOCE DU DEBUT, ATCD
    FAMILLIAUX,CHOLNGITE SCLEROSANTE
  • PATIENTS AVEC MALADIE ETENDUE (PLUS DUN TIERS DU
    COLON ATTEINT)
  • COLOSCOPIE TOUS LES 1-2 ANS 8 ANS à PARTIR DU
    DEBUT DE LA MALADIE

51
  • SIGMOÏDOSCOPIE ANNUELLE à PARTIR DE 10-12 ANS
  • COLOSCOPIE à PARTIR DE 20 à 25ANS ANNUELLE
  • Consultation oncogénétique indispensable
  • 10 ANNEES AVANT LA PREMIERE APPARITION DUN
    CANCER CHEZ LE MEMBRE DE LA FAMILLE LE PLUS JEUNE

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  • HISTOIRE PERSONNELLE DE POLYPES ADENOMATEUX
  • CONTRÔLE A COURT TERME EN CAS DADENOME SESSILE
    LARGE,COLOSCOPIE INCOMPLETE, POLYPECTOMIE
    INCOMPLETE
  • ENDEANS 2-6 MOIS

53
  • PLUS DE 10 ADENOMES
  • CONTRÔLE ENDEANS 3 ANNEES

54
  • ADENOMES DE PLUS DE 1 CM,NOMBRE 3 A 1O,DYSPLASIE
    SEVERE CONTRÔLE DANS 3 ANS
  • ADENOMES DE TAILLE INFERIEURE A 2CM, DYSPLASIE
    LEGERE A MODEREE CONTRÔLE DANS 5 ANS

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  • HISTOIRE PERSONNELLE DE CANCER COLIQUE PAS DE
    CONSENSUS
  • UN AN APRES RESECTION CHIRURGICALE OU 6 MOIS SI
    EXPLORATION PREOPERATOIRE INCOMPLETE
  • TUMEUR STENOSANTE PEUT RENDRE UTILE LA
    REALISATION DUNE COLOSCOPIE VIRTUELLE OU
    COLOSCOPIE PENDANT OPERATION
  • SI NORMALE PROCHAIN EXAMEN DANS 3 ANS,SI NORMAL
    RECONTRÔLE DANS 5 ANS

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  • HISTOIRE PERSONNELLE DE CANCER DU RECTUM
  • COLOSCOPIE 1 AN PUIS 4 ANS APRES RESECTION, PUIS
    TOUS LES 5 ANS
  • SIGMOÏDOSCOPIE APRES RESECTION BASSE
    ANTERIEURE, SIL N Y AVAIT PAS D IRRADIATION
    PELVIENNE OU RESECTIONMESORECTALE TOUS LES 3-6
    MOIS,PENDANT 2-3 ANS

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SOURCES
  • MEDECINE GENERALE,CONCEPTS ET PRATIQUES (EDITION
    MASSON)
  • VALEUR DIAGNOSTIQUE DUN TEST (F. DELAHAYE,G.
    DURAND DE GEVIGNEY)
  • NORTH of ENGLAND DYSPEPSIA GUIDELINE GROUP
  • ASGE GUIDELINE COLORECTAL CANCER SCREENING AND
    SURVEILLANCE
  • GASTROINTESTINAL ENDOSCOPY VOLUME 63 NO.4 2006
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