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C'est la raison pour laquelle, l'Organisation Mondiale de la Sant , ... Le r le des tradipraticiens, en tant que responsables communautaires est reconnu et accept de tous. ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Prsentation PowerPoint


1
(No Transcript)
2
I- INTRODUCTION
  • . La déclaration d Alma Ata de 1978 et les
    organes dirigeants de lOMS ont souligné le rôle
    important que jouent les tradipraticiens dans
    latteinte de lobjectif  Santé pour tous .
    LOMS estime que 80 environ des populations des
    pays Africains font recours à la médecine
    traditionnelle pour leurs besoins en soins de
    santé primaires.
  • Cest la raison pour laquelle, lOrganisation
    Mondiale de la Santé, à travers son bureau
    régional dAfrique, encourage lutilisation
    rationnelle de la médecine traditionnelle et son
    intégration dans les systèmes nationaux de santé.
  •  
  • Linsuffisance et linaccessibilité des services
    de santé ajoutées à lancrage fort de la médecine
    traditionnelle dans la culture Africaine
    expliquent lengouement et le taux relativement
    élevé (80) des populations à y faire recours.
  • Cest dans ce contexte, quil faut comprendre les
    raisons qui ont amené le Sénégal à réglementer la
    médecine traditionnelle .
  • /

3
I- INTRODUCTION (suite)
  • La dégradation des conditions économiques dans
    les années 80, sest accompagnée dans les pays en
    voie de développement, dune détérioration de
    létat de santé des populations, notamment les
    couches les plus pauvres. La réduction des
    dépenses publiques dans le secteur de la santé du
    fait de lapplication des politiques dajustement
    structurel, a eu des conséquences négatives
    importantes sur la disponibilité et la qualité
    des soins offerts à la population.
  • Cette situation a connu une certaine exacerbation
    suite à la dévaluation du franc CFA qui sest
    traduite par un renchérissement des coûts des
    services sociaux de base.
  • Dans ce contexte, la recherche de sources de
    financement viables devient une urgence
    particulièrement pour les acteurs du secteur
    informel qui constituent plus de 80 de la
    population active, dans les pays en
    développement.
  •  
  • Il faut comprendre alors linitiative et
    limpulsion de la mutualité dans la dynamique du
    financement du secteur de la santé au Sénégal.

4
II MEDECINE TRADITIONNELLE AU SENEGAL 
CONTEXTE INSTITUTIONNEL.
  • Le Sénégal fait de la promotion de la médecine
    traditionnelle une des priorités de la politique
    nationale de santé, vue limportance quelle
    revêt dans la couverture des besoins sanitaires
    des populations.
  • La volonté politique sest traduite dans notre
    pays depuis 1985 par la lettre de Monsieur le
    Président de la République demandant daccorder
    une attention particulière à la médecine
    traditionnelle.
  • En 1993, un conseil interministériel jette les
    bases de la réglementation de la médecine
    traditionnelle par les créations au sein de la
    Direction de la santé dun bureau chargé de la
    médecine traditionnelle et dun bureau chargé de
    la pharmacopée au niveau de la Direction de la
    Pharmacie et des laboratoires.
  • En 1998, un forum national sest tenu où lavant
    projet de loi sur la médecine traditionnelle a
    été élaboré. Lequel avant projet de loi a été
    validé par un atelier national de consensus en
    2002 et mis depuis dans le circuit des visas.

5
II MEDECINE TRADITIONNELLE AU SENEGAL 
(suite) CONTEXTE INSTITUTIONNEL.
  • Le plan national de développement sanitaire et
    social (PNDSS, 1998 2007) a
  • pris en compte la médecine
    traditionnelle dans sa 8 orientation
    stratégique.
  • La promotion de la médecine traditionnelle repose
    sur cinq orientations
  • majeures 
  • La réglementation de la médecine traditionnelle
    par rapport aux aspects
  • législatifs et juridiques.
  • La définition et la mise sur pied dun cadre de
    concertation et de collaboration.
  • La valorisation des plantes médicinales
  • La promotion de la recherche.
  • La protection et la préservation des savoirs liés
    à la médecine traditionnelle
  •  
  • Promouvoir lacceptation et la reconnaissance de
    cette médecine en tant que
  • partie intégrante du patrimoine culturel
    de la population sera la priorité pour
  • les années à venir.
  • De même quon insistera sur la complémentarité
    dans la communauté des
  • systèmes de santé moderne et traditionnel
    auprès des deux praticiens afin de
  • favoriser le respect mutuel.

6
II MEDECINE TRADITIONNELLE AU SENEGAL 
(suite) CONTEXTE INSTITUTIONNEL.
  • . Des activités de soutien tels que le plaidoyer,
    lIEC, la mobilisation sociale, le partenariat et
    le marketing social devraient permettre
    datteindre ces objectifs.
  •  
  • Parallèlement à toutes ces activités, le
    Ministère de la Santé et de la Prévention
    Médicale appuiera les centres dexpérimentation
    de médecine traditionnelle en vue de renforcer la
    collaboration entre professionnels de la santé et
    tradipraticiens.
  •  
  • Le recensement des tradipraticiens se poursuit. A
    lheure actuelle 600 tradipraticiens reconnus ont
    été recensés dans 8 régions du pays.
  •  
  • Un atelier de consensus sur la pharmacopée a été
    organisé en 2002. Atelier qui a rassemblé pendant
    deux jours, tous les acteurs et intervenants de
    la médecine et pharmacopée traditionnelles.
  •  
  • Dix sept (17) plantes médicinales furent retenues
    au cours de cet atelier parmi celles qui font
    lunanimité chez les tradipraticiens pour leur
    efficacité dans le traitement des principales
    affections préoccupantes.

7
II MEDECINE TRADITIONNELLE AU SENEGAL 
(suite) CONTEXTE INSTITUTIONNEL.
  • De ces 17 plantes, cinq (05) sont déjà choisies 
  • 1 le NEEM pour la prévention du paludisme, qui
    constitue la première cause de mortalité au
    Sénégal. Des préparations à base de feuilles et
    décorches ont été testées  pommade révulsive
    pour lanophèle femelle, huile larvicide à
    répandre à la surface des eaux dormantes.
  •  
  • 2 le NGUER en sirop, pour le traitement de la
    toux
  •  
  • 3 - le BAKIS, pour le traitement de lhépatite B
  •  
  • 4 - La MORMODICA CHARANTIA pour le traitement du
    diabète
  •  
  • 5 LE FAGARA XANTHOXYLOÏDES pour la prévention
    des crises

  • drépanocytaires.

8
II MEDECINE TRADITIONNELLE AU SENEGAL 
(suite) CONTEXTE INSTITUTIONNEL.
  • Le médicament occupe une place importante dans le
    domaine de la santé et nous pensons donc que
    lindustrie pharmaceutique locale doit se
    développer.
  •  
  • La pharmacopée traditionnelle doit permettre de
    fournir une matière première à moindre coût et en
    tenant compte des airs de peuplement de plantes
    médicinales, on pourrait implanter des unités de
    production de médicament à base de plantes mais
    en insistant sur la complémentarité  parce quil
    ne sagirait pas dune concurrence, mais dune
    production qui vise lensemble de la communauté
    doù une notion de solidarité quil faut
    sauvegarder, doù le relèvement de
    laccessibilité financière de la population, ce
    qui permettra une meilleure prise en charge des
    affections préoccupantes, une meilleure santé des
    populations, une meilleure productivité et un
    meilleur développement  CE QUI CADRE
    PARFAITEMENT AVEC LES IDEAUX DE LA MUTUALITE.

9
III MUTUALITE AU SENEGAL  CADRE INSTITUTIONNEL
  • Malgré les efforts consentis par les autorités
    pour faciliter laccès aux soins de santé pour
    toutes les catégories de la population, certains
    sénégalais rencontrent encore des difficultés
    pour la satisfaction de leurs besoins en matière
    de soins.
  •  
  • Cest que linstauration du système de
    recouvrement des coûts dans le cadre de la
    participation des populations à leffort de
    santé, a considérablement réduit lutilisation
    des services de santé pour les populations
    pauvres.
  • (il faut nuancer cette assertion car les
    taux de fréquentation des structures avant IB et
    après IB ont montré une amélioration aussi bien
    de la fréquentation que du fonctionnement).
    Plutôt le poser en terme de barrière financière
    pour une Frange de la population les démunis)

10
III MUTUALITE AU SENEGAL  CADRE INSTITUTIONNEL
(suite)
  • Partout la conviction est faite que ni lEtat, ni
    les collectivités locales, ni les ménages, ni
    laide extérieure, chacun pris individuellement,
    ne peut à lui seul assurer le fonctionnement dun
    système de santé de façon durable et équitable,
    car les coûts engendrés sont énormes dans un
    environnement économique marqué par la récession
    , le choc de la dévaluation, le poids du chômage
    et les cycles de sécheresse.
  •  
  • Aussi, laccent fut mis lors de la redéfinition
    des nouvelles orientations de la politique de
    santé, sur le type de mécanismes de facilitation
    de laccès aux soins et de systèmes de protection
    socio-sanitaire à mettre en place pour garantir
    la santé pour tous et préserver les plus démunis
    et les groupes à haut risque de limpact
    potentiellement négatif des actes médicaux.

11
III MUTUALITE AU SENEGAL  CADRE INSTITUTIONNEL
(suite)
  • Cest à ce titre que le développement des
    mutuelles de santé et de lassurance maladie
    obligatoire occupe une place importante dans le
    plan de développement sanitaire (PNDS) 1998
    2007.
  • Cest ce qui a été à la base de la création de la
    cellule dappui aux mutuelles de santé, IPM et
    comité de santé (CAMICS) en leur assignant comme
    mission principale  le relèvement et
    lélargissement du niveau de la protection
    socio-sanitaire, afin de réduire les inégalités
    devant les risques liés à la maladie et à ses
    conséquences.
  • En rapport avec cette mission, la CAMICS doit
    favoriser lémergence des mutuelles de santé et
    développer la culture mutualiste au Sénégal.

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IV ENJEUX
  • Laccessibilité financière et géographique des
    populations à des soins de qualité, constitue un
    enjeu important en matière de santé publique.
  •  
  • Lutilisation des médicaments issus de la
    médecine et pharmacopée traditionnelles
    représente donc un enjeu majeur en matière de
    santé publique pour la couverture des besoins
    sanitaires des populations Africaines doù la
    valorisation de lénorme potentiel que représente
    la flore tropicale.
  • LAfrique de par sa situation géographique,
    dispose dune flore extrêmement riche dans sa
    diversité. A cet effet, il nest pas exclu que
    certaines espèces de nos plantes médicinales
    concentrent des molécules très efficaces.

13
IV ENJEUX (suite)
  • La création de jardins botaniques pour protéger
    les espaces en voie de disparition doit être une
    priorité pour latteinte dune autosuffisance en
    médicaments. A ce titre la politique des
    médicaments traditionnels améliorés (MTA) doit
    être poursuivi dans le cadre global afin quils
    puissent être disponibles dans linitiative de
    BAMAKO (IB).
  • La richesse de la médecine et pharmacopée
    traditionnelles, représente donc un enjeu
    scientifique important. Son exploitation
    judicieuse et sa valorisation peuvent conduire à
    la mise au point de médicaments efficaces contre
    les pathologies qui minent nos sociétés.

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IV ENJEUX (suite)
  • Lenjeu économique est également important  en
    effet lAfrique consacre chaque année une part
    importante de ses ressources financières à
    lachat de médicaments dans les pays développés 
    ce qui contribue à un déséquilibre de la balance
    commerciale et aux développements de marchés
    parallèles.
  • Limpact économique et sanitaire de la médecine
    traditionnelle dans le système de santé se
    traduiront par la réduction du coût du
    traitement, lamélioration de la qualité des
    services, la création demploi, lamélioration
    des données épidémiologiques, une dépendance
    réduite vis à vis des médicaments importés et le
    renforcement des ressources financières des Etats
    grâce au développement de la production et de la
    commercialisation des médicaments traditionnels.
    Nos pays ont hérité de la période coloniale dun
    système de santé centralisé, urbain et orienté
    vers les soins curatifs où les fonctions de
    prestation de soins de santé et de financement
    étaient supportées exclusivement par le
    financement public.
  •  
  • A partir du milieu des années 70, lintervention
    publique dans la santé est réorientée sur la base
    de la stratégie des soins de santé primaires.
  • Par ailleurs, à partir des années 80, les sources
    doffre de soins se sont rapidement diversifiées
    avec le développement du secteur privé dans la
    prestation des soins (Cliniques et Cabinets
    privés).

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IV ENJEUX (suite)
  • Ces changements dans le système de santé se sont
    opérés sans des transformations majeures dans le
    système de protection sociale depuis des années
    70. Seule une minorité de la population
    sénégalaise bénéficie dune couverture sociale
    pour la prise en charge des frais médicaux  soit
    à travers un système obligatoire ou un système
    facultatif.
  •  
  • Le niveau de développement et la structuration de
    léconomie ont des implications importantes sur
    le financement de la santé et la protection
    sociale. Le faible niveau du PIB par tête
    dhabitant et la faiblesse des capacités fiscales
    contraignent le financement public du secteur de
    la santé.
  •  
  • Ces contraintes se sont traduites depuis la fin
    des années 80 par une part de plus en plus
    prédominante du financement de la santé qui est
    prise en charge par les ménages à travers des
    mécanismes de paiement direct  Ce qui pose un
    problème daccessibilité financière aux soins de
    santé.
  •  
  • Cest dans ce contexte quémerge la mutualité
    dans le secteur de la santé de notre pays, le
    Sénégal. Lintérêt de la mutualité est de
    contribuer à la réduction de la pauvreté en
    permettent à toute personne qui en a besoin
    daccéder à des soins de santé quelque soit son
    revenu par lamélioration de laccessibilité
    financière aux soins de santé et de protection
    sociale des ménages doù un enjeu majeur très
    important.

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PERSPECTIVES
  • Tenant compte des informations contenues dans la
    partie enjeux, les perspectives tourneront autour
    de larticulation médecine traditionnelle et
    mutualité pour une meilleure accessibilité aux
    soins de santé des populations. Lamélioration de
    laccessibilité aux soins de santé reste
    lobjectif de la médecine traditionnelle et de la
    mutualité.
  •  
  • Se fondant sur cette constante de la médecine
    traditionnelle et de la mutualité et de leur
    acceptabilité sociale dont témoignent le fort
    recours (80) et lélargissement des mutuelles de
    santé dans notre pays, limbrication de ces deux
    processus va contribuer à lamélioration de la
    santé des populations à travers lamélioration de
    laccessibilité à des soins de santé de qualité.
  •  
  • Lamélioration de laccessibilité des services de
    santé constitue une stratégie majeure pour le
    Sénégal.

17
PERSPECTIVES (suite)
  • La promotion de laccès financier aux soins est
    la contribution la plus significative que le
    Ministère de la santé va valoir dans le cadre du
    programme national de lutte contre la pauvreté au
    sens de la facilitation à apporter pour laccès
    des populations démunies aux services sociaux de
    base.
  •  
  • A cet effet , la mutualité doit jouer un rôle de
    premier plan et cela passera par un engagement
    dans le développement des mutuelles de santé.
  •  
  • Au Sénégal, daprès des études faites récemment,
    on compte en moyenne un tradipraticien pour 1000
    hts.
  • Les tradipraticiens reconnus par leur communauté
    peuvent jouer un rôle important dans la
    distribution de soins.
  •  
  • Le rôle des tradipraticiens, en tant que
    responsables communautaires est reconnu et
    accepté de tous. Leur aptitude à communiquer dans
    des domaines touchant à la santé et à la vie
    sociale est une ressource qui peut être utilisée
    dans plusieurs secteurs essentiels des activités
    de promotion de la santé communautaire.

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PERSPECTIVES (suite)
  • En se trouvant dans une position unique, en tant
    que notables de la communauté, mobilisés et
    sensibilisés, les tradipraticiens peuvent
    participer aux programmes de santé entrepris pour
    une meilleure prise en charge des besoins en
    matière de santé des populations.
  •  
  • Du fait quils sont à lavant garde de la lutte
    contre les maladies et quils sont nombreux et
    totalement intégrés à leur communauté, les
    tradipraticiens peuvent faciliter la pénétration
    de la mutualité chez les populations et partant
    contribuer à sa massification
  • donc participer à régler un des
    déterminants importants
  • de la problématique du développement des
    mutuelles de
  • santé à savoir la faiblesse de leur base
    d'implantation..

19
PERSPECTIVES (suite)
  • Le Sénégal qui sest engagé depuis deux années
    dans le renforcement de la lutte contre la
    pauvreté doit explorer et exploiter cette piste
    pour non seulement lamélioration de létat de
    santé des populations, mais aussi pour
    laccessibilité financière des soins de santé, la
    protection des revenus des pauvres dans le
    secteur et à linclusion des populations dans la
    prise de décisions en matière de santé.
  • Laccessibilité des soins et la couverture des
    besoins en santé des populations peuvent être
    atteintes si la médecine traditionnelle et la
    mutualité sinvestissent et sarticulent en
    tenant compte des possibilités quelles offrent.

20
PERSPECTIVES (suite)
  • Ces éléments de réflexions doivent nous inciter à
    soulever la question suivante quels axes de
    collaboration entre la médecine traditionnelle et
    la mutuelle de santé dans le sillage de la
    concertation? Quel type de partenariat?
  • Nos tradithérapeutes sont détenteurs d'un
    leadership incontesté car la validation sociale
    de ses capacités par les paires constituent un
    critère de sélection important. De ce point de
    vue les ériger en promoteurs constituerait une
    valeur ajoutée certaine pour le développement de
    la mutualité
  • Ce partenariat avec la médecine traditionnelle
    constitue un atout pour la mise en uvre de l'axe
    stratégique important pour le développement de la
    mutualité santé à savoir le rôle de la
    communication dans le développement des mutuelles
    de santé. Ils peuvent beaucoup aider dans
    l'information, la sensibilisation de la
    population.

21
PERSPECTIVES (suite)
  • Quel type de relations entre la mutuelle de santé
    comme institution de financement des soins et les
    tradithérapeutes qui sont des producteurs de
    soins? En d'autres termes entrevoir des
    arrangements contractuels entre cette nouvelle
    catégorie de producteurs de soins de notre
    système de santé et les consommateurs par
    l'interposition des mutuelles de santé.
  • La capacitation surtout orientée dans le sens de
    la connaissance de la mutualité pourrait aider à
    mettre à profit les avantages comparatifs de ces
    acteurs qui ont une bonne occupation spatiale du
    pays.
  • Développer la recherche orientée dans le sens de
    la compréhension de ce taux élevé de la
    fréquentation des tradithérapeutes par les
    populations. Quels sont les déterminants de cette
    forte fréquentation?

22
PERSPECTIVES (suite)
  • Au Sénégal, la médecine par les plantes,
    constituera pendant longtemps la façon la plus
    utilisée par les populations pour se soigner.
  •  
  • Dans un souci de relever et délargir le niveau
    de la protection sociale afin de réduire les
    inégalités devant les risques socio-sanitaires,
    il devient judicieux et pertinent de réfléchir et
    de développer un nouveau type de partenariat
    entre la médecine traditionnelle et les mutuelles
    de santé.

23
CONCLUSION
  •  
  • Limportance dun bon état de santé est reconnue
    par tous pour léconomie familiale, locale et
    nationale.
  •  
  • Il faut étudier et identifier les meilleurs
    moyens de développer le rôle important des
    tradipraticiens et de les associer dans la
    prestation des services surtout au plan
    communautaire.
  •  
  • E les informant correctement, ils peuvent être
    des partenaires efficaces en matière de
    distribution de soins.
  •  
  • A cet effet, le développement dun partenariat
    effectif entre la médecine traditionnelle et la
    mutualité doit être un impératif en vue de
    renforcer lancrage des mutuelles de santé au
    niveau communautaire et dans la mise en uvre des
    programmes prioritaires de santé permettant ainsi
    une amélioration de laccessibilité financière
    aux soins de santé des populations.

24
JE VOUS REMERCIE DE VOTRE ATTENTION.
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