Title: PSYCHOLOGIE introduction
1PSYCHOLOGIE introduction
- Cécile VALLET
- Paris 13 DEUG I STAPS (2002-2003)
2I. Une science humaine
- Efficacité de lenseignement ou de lentraînement
lié à la personne (développement mental et
psychomoteur) et au type dapprentissage - APS souvent pratiquée dans un groupe primordial
de comprendre la dynamique de groupe, la
cohésion, la motivation, la communication - Lamélioration de la performance quels
mécanismes de prise de décision, comment
augmenter la confiance en soi, utiliser
limagerie mentale etc. ?
INDIVIDU GROUPE
3Problème des croyances
4Distinguer psychologie / psychologie populaire
- Paradoxe
- tout le monde aurait envie dêtre un peu plus
psychologue - on redoute qu on vienne fouiller dans notre
tête
Règles
- curiosité, réflexion et questionnement
- définir le problème
- examiner les faits
- analyser présuppositions et croyances
- éviter les raisonnements émotionnels
- éviter de simplifier à lextrême
- formuler dautres interprétations
- tolérer lincertitude
5Distinguer psychologie / psychologie populaire
- EXEMPLES
- Hans, le cheval qui savait compter
- La communication assistée
- Nouvelle technique de rééducation pour déficient
mental ou autiste - Véritable miracle acquisition en maths et
lecture niveau fin du secondaire - Si lassistant ne voit pas les images,
n entend pas les questions - lenfant autiste nacquiert aucune habileté
linguistique inattendue (Eberlin et al., 1993). - Des autistes adultes pouvaient observer la même
image que lassistant ou une image différente - les seules réponses correctes données par
lautiste correspondaient aux images qui
navaient été observées que par lassistant
(Wheeler et al., 1993). - la communication assistée REFLETE PLUTOT la
communication de lassistant
6- Septicisme
- prudence à légard de toute conclusion ancienne
ou récente, MAIS ouverture aux idées et faits
nouveaux - Précision
- formulation dune hypothèse (relations entre des
variables, cadre théorique) - Recours aux confirmations empiriques
- étayer la théorie ou l hypothèse par des faits
- Dimension publique
- accessible à la communauté scientifique (données
reproductibles)
7Théorie
Intuition
Hypothèse
Prédictions définies de façon opérationnelle
Observations objectives
8PLAN (1)
- I. Une science humaine
- II. Psychologie dhier et daujourdhui
- II. 1. La psychophysique
- II. 2. Développement de la nouvelle psychologie
- Le promoteur WUNDT
- Invention dune méthode de mesure des actes
psychiques - II. 3. Les grands courants théoriques
- Lécole behavioriste de WATSON
- Le cognitivisme
- le cognitivisme structural
- Lécole gestaltiste
- Le structuralisme piagétien
- le cognitivisme computationnel
- le connexionnisme
9II. Psychologie dhier et daujourdhui
- jusquau milieu du XIX, on cherchait à savoir
- comment on reçoit de linformation des sens
- comment on utilise celle-ci pour résoudre des
problèmes - ce qui motive une personne à agir de manière
courageuse ou ignoble - si les émotions nous dominent ou si nous pouvons
les dominer
- Hippocrate (426-377 av JC) cerveau source
suprême de nos plaisirs, rires et de nos peines,
douleurs, chagrins et larmes .
OK
- les stoïciens (1er s. ap JC) ce ne sont pas les
événements en tant que tels qui mettent les gens
en colère ou les rendent tristes ou anxieux, mais
plutôt linterprétation quils en donnent.
ERREURS !!! Aristote (380-322 av JC) cerveau ne
pouvait pas être le siège des sensations
puisquil nest pas lui-même sensible à la
douleur. Il avait aussi tort de croire que les
personnes de petite taille ont une mémoire peu
étendue.
10Phrénologie GALL (1758-1828)
- Hypothèses localisatrices daprès les
protéburances crâniennes
Exemple la bosse des maths de VITO
11Gustav Theodor FECHNER (1801-1887) une science
exacte des rapports fonctionnels ou de dépendance
entre le corps et lâme, et en général entre le
monde corporel et spirituel, physique et
psychique .- psychophysique interne
phénomènes psychologiques / physiologiques-
psychophysique externe phénomènes
psychologiques / physiques extérieurs ? être
capable de mesurer les phénomènes
mentauxExemple mesurer les impressions
exercées par le monde physique sur les organes
sensoriels les sensations
II. 1. La psychophysique
12II. 1. La psychophysique deux lois
- loi de WEBER
- 32 onces 32 onces 1 once 29 g
- 32 drachmes 32 drachmes 8 fois plus légers
que l once - si des poids de 32 et 26 onces peuvent être
discriminés, ceux de 32 et 26 drachmes seront
discriminables - ? I1 / I1 ? I2 / I2 ? In / In k
constante - la différence de sensation reste égale quand le
rapport des excitations reste égal - loi logarithmique de FECHNER
- S K log I
- la sensation (S) varie comme le logarithme de
l excitation (I)
13Nourriture pour esprit critique et curiosité
- L homme cognitif, sous la direction d A.
WEILL-BARAIS. PUF, 1994. - Psychologie cursus STAPS sujets d examens
corrigés. Vigot, 2000. - Psychologie à l usage des STAPS, G. MISSOUM R.
THOMAS. Vigot, 1998. - www.google.fr
14II. 2. Développement de la nouvelle psychologie
- Le promoteur WUNDT, création du 1er
laboratoire (1879), de la 1ère revue de
psychologie (1881) - Le structuralisme vise à déterminer les
composantes de la conscience à lorigine de la
pensée et des émotions - les éléments chimiques indépendants se combinent
pour produire des composés aux propriétés
différentes... DE LA MEME MANIERE - la pensée humaine est un agrégat dunités
distinctes. Les composantes de la conscience sont
les sensations, les sentiments et les images
mentales. - Lintrospection
- Inventer une méthode de mesure des actes
psychiques - Méthode de réaction
- Méthode de comparaison
- Psychométrie ou chronométrie sensorielle
15DONDERS (1865) durée de l acte mental
- Exp. A
- Règle Stimulation Pied D Réponse
Main D - Cas 1 Annonce à lavance quel pied sera stimulé
- Cas 2 Nindique pas à lavance le pied stimulé
Toutes conditions étant égales par ailleurs
(TR2 - TR1) représente le temps nécessaire pour
se rendre compte de quel côté la stimulation a eu
lieu, et pour diriger lacte moteur à droite ou à
gauche.
16DONDERS (1865) durée de l acte mental
(b a) représente le temps didentification du S
et le choix de R (c a) représente le temps
didentification du S (b c) représente le temps
de décision
17PLAN (1)
- I. Une science humaine
- II. Psychologie dhier et daujourdhui
- II. 1. La psychophysique
- II. 2. Développement de la nouvelle psychologie
- Le promoteur WUNDT
- Invention dune méthode de mesure des actes
psychiques - II. 3. Les grands courants théoriques
- Lécole behavioriste de WATSON
- Le cognitivisme
- le cognitivisme structural
- Lécole gestaltiste
- Le structuralisme piagétien
- le cognitivisme computationnel
- le connexionnisme
18II.3. A. Le behaviorisme (WATSON, 1878-1958) 1/3
- On ne peut pas accéder aux états mentaux des
individus - Contre lintrospection qui est reconstruction
après coup, interprétation, subjectivité - Découvrir les lois générales qui régissent le
comportement (behavior) des individus - relier les caractéristiques physiques des
stimulations parvenant à l'individu avec les
caractéristiques physiques des comportements.
INDIVIDU
Entrées (S)
Sorties (R)
- But pas décrire ou expliquer les états
conscients, mais prédire et contrôler le
comportement observable
19Expérience de PAVLOV
20Expérience de PAVLOV (suite)
21II.3. A. Le behaviorisme 2/3
- () modélisation économique
- () décomposer les conduites complexes en unités
plus élémentaires - (-) découpage trop fin peut modifier la nature
de lobjet étudié - (-) fait limpasse sur les états internes des
individus - Influencé par les travaux en réflexologie
- expliquer toute action humaine comme étant
simplement une réponse de lorganisme à une
stimulation, un réflexe conditionné.
22II.3. A. Le behaviorisme 3/3
- Domine la psycho expé jusquen ? 1950, PARCE QUE
- le structuralisme sépuisait avec ses experts de
lintrospection, - ouvre vers la physiologie animale avec dautres
schémas théoriques - offre des perspectives pratiques
- THORNDIKE (1874-1949) 2 lois importantes /
léducation - loi de lexercice
- loi de leffet
- SKINNER (1904-1990) adopte la notion de réflexe
de PAVLOV et le concept de renforcement de
THORNDIKE, et met au point la technique de
conditionnement opérant.
23II.3. B. Le cognitivisme
- Se focalise sur lintérieur du système cognitif,
sa structure, son fonctionnement - ? on ouvre la boîte noire behavioriste
- Postulat majeur si on connaît le système, on
pourra dire ce quil peut faire et pourquoi il le
fait pouvoir expliquer les dysfonctionnements - Les sciences cognitives
- Différentes approches
- le cognitivisme structural représente le
système cognitif par des structures et les
mécanismes de fonctionnement de ces structures - Gestaltisme
- Structuralisme piagétien
- le cognitivisme computationnel représente le
système cognitif par des connaissances
calculables et des règles de calcul. - vers une autre approche le
connexionnisme
24Le Gestaltisme (psychologie de la forme)
- C'est l'esprit humain qui structure et organise
le monde - pas d intérêt pour la manière dont
l'environnement agit sur le système humain
(behaviorisme) - mais à la manière dont le système organise
l'environnement - critique à l égard des approches analytiques le
tout ne peut pas être assimilé à la somme des
parties - importance des règles d'organisation
25le tout ne peut pas être assimilé à la somme des
parties
- Le changement d'une partie change l'ensemble,
mais la transposition de la structure est
possible - EX une note change la mélodie, mais se
transpose dans un autre octave - L'inverse est vrai. Un élément a une valeur
différente selon l'environnement dans lequel il
se trouve
26L'organisation du champ perceptif
- Ségrégation figure-fond
-
- facteur d'organisation du monde visuel
27EXEMPLES effets de contexte
Possible d interpréter un même patron
d'information sensorielle de plusieurs façons
différentes
argument en faveur de l'existence de facteurs non
sensoriels dans la perception
28Le structuralisme piagétien
- connaissances ? addition d'éléments provenant de
l'extérieur. - connaissances s'organisent, se structurent au
travers des interactions constantes des sujets
avec l'environnement. - La connaissance est une opération qui construit
son objet - la connaissance nest pas le reflet du monde
extérieur - la connaissance nest pas non plus une projection
sur le monde réel de structures mentales issues
de l'hérédité - l'intelligence humaine est un système
d'opérations vivantes qui s'adapte au milieu
biologique - apprendre rétablir l'équilibre entre le
milieu et l'organisme
29- Structures cognitives
- - varient
Fonctions cognitives - invariantes organisation
toujours plus complexe des conduites adaptation
du sujet à son milieu
- Schème structure d'action
- Assimilation
- ? processus cognitif par lequel l organisme
impose ses structures propres, qui préexistent en
lui, à un élément du milieu. - Accommodation
- ? processus cognitif par lequel les schèmes sont
rendus compatibles avec la réalité extérieure.
30Si échec désintérêt ou refoulement ? statu quo
Si succès ? renforcement du schème par feedback
positif
Si échec vécu comme une perturbation
déséquilibre ? essai d accommodation
31BILAN du structuralisme
- (-) ne permet pas de rendre compte des calculs
dont les individus sont capables - ? comprendre comment lindividu traite les
situations quil rencontre - (-) ne permet pas de comprendre les différences
de conduites constatées dans des tâches supposées
relever dune même structure - ? 1 système cognitif unique responsable de toutes
les conduites OU 1 ensemble de systèmes
indépendants ( modules )
32Le cognitivisme computationnel
- centré sur la représentation du flux des
informations qui entre dans le système cognitif
et sur le traitement de celle-ci - 1. Traiter linformation calculer
- manipuler des symboles
- Sous quelle forme symbolique linformation est
codée dans le système cognitif ? - Quelles sont les règles de manipulation des
symboles ? - 2. Le cerveau humain nest quun système matériel
parmi dautres (calculatrices, ordinateurs) - 3. Linformation est codée sous une forme
propositionnelle (logique des propositions)
33Émission Dispositif de Canal de Dispositif de
Réception Codage Transmission Décodage
Opérations Opérations Opérations de
de de Codage Transmission Décodag
e
- () Etude de la réponse mais aussi du cheminement
- () Tableaux des stratégies déployées par les
individus - (-) Dans la pratique, les systèmes artificiels
ne sont jamais aussi performants que les
individus - () Spécificité de lintelligence humaine /
machines - (-) Généralité dun codage propositionnel /
image mentale
34Le connexionnisme origines
- LASHLEY (1950) souligne que les différents types
de mémoire ne se localisent pas dans des endroits
différents du cerveau - ? postule l existence de modes
d activation différents dans des structures
communes - IA et neurosciences constatent que les structures
cérébrales fonctionnent en utilisant souvent des
traitements parallèles
35Le connexionnisme
- 1. Les représentations internes nont rien à voir
avec ce que se représente la psychologie commune.
- grands réseaux dentités très simples ( neurone
formel par ex) interconnectés et opérant en
parallèle. - chaque entité est caractérisé par une variable
(qui représente son niveau dactivation) et par
une constante (qui représente son seuil). - 2. Larchitecture du système est variable
- 3. Règles de propagation, de modification de la
force des connexions ( équations
différentielles) et non sur des représentations
symboliques - on mémorise en réglant la force des connexions
- les valeurs des variables (des neurones ou des
liaisons) évoluent continûment donc système
dynamique
36Un neurone formel
37III. Les disciplines en psychologie
- psychologie étude scientifique du comportement
et des processus mentaux, que conditionnent les
caractéristiques de lenvironnement ainsi que
létat physique et mental du sujet. - 4 grandes sous-disciplines
- psychologie clinique
- psychologie cognitive
- psychologie sociale
- psychologie du développement
38III. 1. La psychologie clinique
- Objet détude singularité
- se penche sur laffectivité de la personne et sur
son organisation psychique (besoins, désirs,
motivations, émotions, pulsions, modes de
relation à autrui et au monde) - Recherche accent sur la singularité quels
principes quand on observe des régularités et des
répétitions - Méthode clinique en général
Analyse du discours
observation parallèlement
souvent passation de tests
Originalité prend en compte la subjectivité du
chercheur
39III. 2. La psychologie cognitive
- Objet détude cognition
- s intéresse aux processus dacquisition des
informations, à comment on élabore et traite des
représentations mentales apprentissage,
mémoire, perception, langage, motricité - Recherche rendre compte de phénomènes sans
pouvoir explorer les éléments - rechercher des observables (par ex des
comportements) - éventuellement les susciter
- repérer les règles de fonctionnement à partir de
ces observables
40Objet de la psychologie cognitive l activité
mentale analysée à travers la mise en évidence
des processus cognitifs
Intelligence Artificielle
Modèle
Simulation
indication décart
écart
Système nerveux
Processus
Comportement
objet réel de la
objet réel de la
objet de la
objet de la
Neurophysiologie
Psychologie
41III. 2. La psychologie cognitive
- Objet détude cognition
- s intéresse aux processus dacquisition des
informations, à comment on élabore et traite des
représentations mentales apprentissage,
mémoire, perception, langage, motricité - Recherche rendre compte de phénomènes sans
pouvoir explorer les éléments - rechercher des observables (par ex des
comportements) - éventuellement les susciter
- repérer les règles de fonctionnement à partir de
ces observables
Méthode expérimentale principalement ? mettre
en place une hypothèse du type une modification
de la variable X entraîne une variation
(quantitative) du phénomène Y
42One foot (dyslexics)
Beam walk (dyslexics)
Balance (dyslexics)
One foot (controls)
Beam walk (controls)
Balance (controls)
43III. 3. La psychologie sociale
- Objet détude comportements et représentations
de lindividu en groupe et en société - Recherche dimension collective des thèmes de
recherche - Méthode
- clinique (fréquente) approcher attitudes,
opinions, attentes et représentations dun
groupe à propos dun objet social. - expérimentale (parfois préférée) avec des
compères qui font varier leurs attitudes pour
mesurer leffet chez les sujets observés. - Applications pratiques dans la gestion des
ressources humaines, lergonomie, la
communication...
44Expérience de MILGRAM (1963)
- Objet la soumission à lautorité
- Définition il y a soumission à lautorité
chaque fois quune personne obéit aux ordres
dune autre personne occupant une position
hiérarchique supérieure - ? Conséquences bénignes ou très graves
- Problème Longtemps pensé que personnes qui
obéissent à des ordres immoraux sont trop faibles
pour refuser ou atteintes de troubles
psychologiques graves - Objectif évaluer le nb de personnes qui se
plieraient jusquau bout à des ordres quelles
désapprouvaient
45- confronté directement à lautorité 2/3
obéissent aveuglément - résultats reproduits avec étudiants ( critiques
?) et femmes ( sensibles ?) - avec expérimentateur et labo moins prestigieux
encore 48 obéissent - en labsence de lexpérimentateur 20 obéissent
46- Intérêt de l expérience
- 98 des sujets acceptent l apprentissage fondé
sur la punition - 65 iront jusqu'aux manettes rouges
- Nullement une expérience sur le sadisme
- tendance générale à administrer les chocs les
plus faibles quand les sujets ont eu la liberté
d'en choisir le niveau - triche lorsque le savant s'absentait,
assurant faussement qu'ils avaient bien puni
l'élève - ? pas l'agressivité humaine mais la soumission à
l'autorité - Le sujet ne risque rien seulement d'être
considéré comme un être désobéissant - continuer parce qu il s est engagé
- arrêter suppose qu il accepte que tout ce
qu il a fait jusqu à présent est mal - désapprouver lexpérience pour réduire le
conflit moral
47III. 4. La psychologie du développement
- Objet détude développement, évolution de
lindividu dans ses aspects psychomoteurs,
affectifs, sociaux et cognitifs - Recherche décrit les changements des conduites
en fonction de lâge, les causes et processus de
ces modifications - Méthode clinique ou expérimentale
- Méthode longitudinale suivi ( tests) d un
groupe de sujet (même âge) - Méthode transversale comparer plusieurs
groupes (différents âges) - Méthode séquentielle combiner les 2 méthodes
(étude à long terme études transversales
simultanément) - Applications pratiques éducation, gérontologie,
évolution normale / anormale, diagnostics,
programmes pédagogiques...
48(No Transcript)
49III. 5. La psychologie du sport
- nest pas un courant théorique, ni une
sous-discipline, mais plutôt un ensemble
pluridisciplinaire sintéressant au champ sportif
restreint - TRIPLETT étudie les effets de la présence
dautrui sur la performance dun cycliste - COUBERTIN (1913) terme de psychologie du
sport - GRIFFITH premier laboratoire de recherche en
sport, travaux sur le TR lié au groupe et à la
personnalité - Entre 1920-40 commence à toucher la formation
des entraîneurs - Après 1950 très grande expansion dans les pays
de lEst et Anglo-saxons - Entre 1950-80 sétablit au niveau national et
international
50Conclusion les STAPS
- STAPS 74ème section scientifique de
lUniversité (depuis 1981). Mais pas de section
STAPS au CNRS - La performance motrice va être le principal objet
détude, cet objet est traversé par des courants
scientifiques divers (SV / SH physiologie /
psychologie / sociologie).
- EXEMPLE En apprentissage, il y a 2 types de
déterminants - - internes (processus, mécanismes nerveux,
moteurs, psychologiques) correspondant au quoi
quest-ce quon apprend, quest-ce qui change. - - externes (situations, conditions,
environnement) correspondant au comment on
apprend quel milieu, quelle tâche, quelle
méthode. - questions sur les différents types
dapprentissage fractionné ou global, pratique
ou mental, seul ou avec des pairs mesurer
lapprentissage en regardant quand la courbe a
atteint un plateau.