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Les EAI :

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Les EAI : Structuration de la communication dans les syst mes d information Partie 3 – PowerPoint PPT presentation

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Title: Les EAI :


1
Les EAI
  • Structuration de la communication dans les
    systèmes dinformation
  • Partie 3

2
Sommaire
  • Point de situation de la plupart des SI
  • La notion durbanisation naturelle,
  • Cas réel de cartographie applicative,
  • Les besoins dévolution vers les EAI
  • Définitions et composition dun EAI
  • Les principes généraux,
  • Les solutions techniques et les outils
    complémentaires,
  • La sécurité et les EAI,
  • Revue des différentes architectures EAI
    possibles,
  • Projet dimplantation dun EAI
  • Structure de projet et points clés
  • Quelques cas clients
  • Le marché des EAI
  • Conclusions
  • Avantages et inconvénients des EAI,
  • Quelle(s) relation(s) future(s) entre ERP et EAI ?

3
Sécurité et EAI
4
Fonctions sécurité dun EAI
  • EAI support de suivi et de maîtrise des SI
    intégrant des fonctions sécurité
  • sécurisation des flux,
  • sécurisation des fonctions d'administration et
    d'exploitation,
  • sécurisation de l'utilisation des Web Services.

5
Exemple darchitecture sécurisée
6
Sécurité des fluxProblématique générale
  • Flux de données échangés entre applications dun
    SI reposent encore sur des transferts de
    fichiers,
  • Sécurité assurée via login/password, parfois en
    clair dans des fichiers batch !
  • Une infrastructure dEAI doit offrir les services
    de sécurité suivants
  • authentification (flux ou message),
  • intégrité,
  • confidentialité,
  • garantie de non répudiation des données échangées
    au sein du SI ou avec lextérieur,
  • gestion des habilitations pour répondre à des
    questions du type  message émis par X autorisé
    ? Si oui, valide en terme de format et valeurs
    des données ?
  • référentiel des émetteurs et destinataires
    (machines, personnes),
  • flux signé ou crypté soit dans sa globalité, soit
    par message.

7
EAI, VPN au niveau métier ?
  • LEAI tunnel sécurisé déchargeant applications
    utilisateurs de tâches de sécurité,
  • EAI VPN intelligent grâce à ses fonctions de
    sécurité (de plus haut niveau que les VPN
    classiques),
  • Implications sur la PKI et les certificats des
    entités en présence
  • EAI intra-organisation applications / personnes
    avec certificats relatifs à leur fonctions
  • EAI inter-organisations échanges entre les
    organisations avec certificats délivrés par une
    autorité tierce (ou par un échange de certificats
    racine entre les PKI des organisations)

8
EAI, simple outil de routage ou VPN intelligent
  • Simple outil de routage
  • service rendu garantie de livraison
  • implication envoi de message chiffré non connu
    de lEAI (récupération de la clé publique du
    destinataire)
  • ? émetteur effectue une partie du routage avec
    structure complexe de ses messages (pré-formatage
    en fonction des destinataires)
  • VPN intelligent
  • utilisation uniquement de la clé publique de
    lEAI pour le chiffrement,
  • intégralité des tâches effectuée par lEAI
    (routage, formatages, connexions, horodatage,
    vérification de validité de certificats, garantie
    de livraison, confidentialité, intégrité, ).

9
EAI, firewall au niveau métier
  • En inter-organisations, lEAI peut être partie
    intégrante de la politique et de larchitecture
    de sécurité (contrôle daccès et dhabilitations
    de haut niveau),
  • LEAI outil de filtrage à orientation métier avec
    fonction de contrôle daccès
  • En frontal avec lextérieur
  • lEAI peut refuser lentrée de flux en fonction
    de leur signature (certificats non valides,
    provenance non reconnue, Autorité de
    Certification douteuse, ),
  • ET en fonction de la non validité des messages
    (format incorrect ou obsolète),
  • Plan technique possibilité darchitecture basée
    sur 2 instances EAI
  • une en DMZ et en contact avec lextérieur,
  • une dans lIntranet (MZ),
  • Linstance sécurisée en Intranet ne voit, hors de
    sa zone, que linstance en DMZ. Linstance en DMZ
    ne communique quavec linstance en MZ et
    effectue tous les filtrages firewall métier
    (avec des filtrages sur lidentité des
    interlocuteurs, sur le format des messages, sur
    le contenu des messages, )

10
Exemple dEAI firewall sur les flux de données
Criticité des informations permettant des
contrôles en DMZ doit être estimée avant toute
mise en place de filtrages. Exemple pas de
stockage en DMZ dinformation à caractère
confidentiel.
11
Sécurité de ladministration et de lexploitation
facilités
  • Le bus de communication EAI donne une vision
    globale des données échangées entre applications.
  • Points importants
  • représentation graphique du paramétrage et de la
    configuration des flux de données (certains
    outils EAI),
  • supervision (suivi des flux, gestion QoS, gestion
    des alarmes métier) au niveau des infrastructures
    techniques déchanges (équivalent des outils de
    supervision réseau mais au niveau applicatif) ET
    au niveau métier (utilisateur final),
  • Un Information Flow Administrator peut superviser
    et sécuriser les flux de données du SI (comme un
    DB Administrator au niveau DB)
  • Gestion du dialogue applicatif qui dit quoi,
    comment, à qui et quand.

12
Sécurité, EAI et Web Services
  • Fort potentiel des Web Services pour accroître
    linteropérabilité des applications,
  • Avantages de lutilisation des Web Services dans
    une infrastructure EAI
  • rapidité de mise en place (exposition ou accès à
    un service Web)
  • centralisation des problématiques dinterfaçage,
  • conservation des aspects métier, dans les
    applications,
  • Utilisation du Web Service comme connecteur
    universel potentiellement.

13
Exemple utilisation des Web Services via une
infrastructure EAI
14
Un exemple opérationnel GROUPAMA (SANS EAI)
  • GROUPAMA a mis en place une architecture EAI, qui
    a permis
  • d'automatiser et de sécuriser les échanges de
    données (sinistre d'un assuré),
  • processus avant mise en place de l'EAI
  • appel téléphonique de l'assuré au centre
    régional,
  • enregistrement du sinistre dans SI local,
  • fax d'une mission à un prestataire qui affecte
    mission à un réparateur,
  • rappel de l'assuré,
  • enregistrement de la mission dans SI local,
  • Retransmission des infos au centre régional (tps
    de traitement d'une mission imposé au prestataire
    maxi 15 mn).

15
Un exemple opérationnel GROUPAMA (AVEC EAI)
  • Contraintes
  • sécurisation des flux échangés
  • décentralisation des acteurs inclus du processus,
  • automatisation des échanges entre centres
    régionaux et prestataires,
  • communication asynchrone de faibles volumes de
    données,
  • rapidité des flux,
  • pas dinstallation d'application cliente, ni de
    plate-forme imposée chez le prestataire
    (utilisation de formulaires Web de saisie de
    données mission en Extranet)
  • non-intrusivité de l'EAI dans les applications
    back-office des centres régionaux,
  • Processus AVEC mise en place de l'EAI
  • envoi automatique d'une mission dans la boîte aux
    lettres du prestataire dès sa création dans le SI
    du centre régional,
  • traitement de la mission par le prestataire
    (sélection d'un dépanneur) via une IHM permettant
    validation de lutilisateur (certificat
    numérique),
  • traitement par le prestataire,
  • retour automatique des informations au centre
    régional.

16
Normes et standards de lacouche Sécurité (partie
réseau)
17
Normes et standards de lacouche Sécurité (partie
applicative)
18
Conclusions sur la sécurité
  • LEAI vu comme outil de sécurité au niveau
    métier,
  • Remonte dans les couches applicatives les
    fonctions classiques de sécurité (situées dans
    les couches techniques et réseau),
  • Centralisation et facilitation de mise en place
    de la sécurité par
  • mutualisation des différents services de
    sécurité,
  • services intégrés dans un workflow,
  • EAI, en tant que bus déchange du SI autorité
    de référence en matière de sécurité.

19
Larchitecture en résumé
Gestion de processus métier
Repor- ting
Routage / Mot. Intégr.
Transformations
Administration
Paramétrage
Sécurité
Develop- pement
Connecteurs / Accès aux données
Transport des messages
Réseau
20
Différentes architectures techniques
  • Revues des architectures possibles

21
Architecture étoile
Serveur central
ERP
SGBD
Spécifique
Stockage
Interfaçage direct point à point
  • Architecture Étoile
  • permet le traitement de très gros volumes
    localement,
  • des interface directes point à point facile et
    rapides à mettre en œuvre (si nombre de systèmes
    limité),
  • Au delà dune certaine complexité (une dizaine de
    sources dinformation), mieux vaut opter pour
    larchitecture Bus pour éviter le
    spaghetti-ware.

22
Architecture client - serveur
Serveur central
clients
Caisse
interface spécifique
messages normalisés
SFA
KM
SGBD
ERP
Clients légers embarquables
  • Architecture Client-Serveur
  • adaptée aux besoins de la distribution (caisses),
  • aux automates industriels, de comptage,
  • aux travailleurs itinérants (forces de ventes,
    services après vente, courtiers ). Tous les
    clients dialoguent avec un serveur central qui
    les administre (scripts, déclenchements) à
    distance.

23
Architecture collaborative
Serveur
Serveur
Client
Place de marché
ERP
SGBD
Stockage
Spécifique
Logistique
Fournisseur
Serveur
Serveur
Entités autonomes avec communication au besoin
  • Architecture Collaborative
  • pour les besoins de type B2B entre entités
    autonomes dune même entreprise, ou des
    fournisseurs, logisticiens et clients externes.

24
Architecture bus
Stockage
ERP
Spécifique
SGBD
Superviseur
spécifique
Demi -
interface
publieur
abonné
abonné
abonné
Messages normalisés XML via MS MQ, MQ Series,
Email, Http, Soap
  • Architecture bus
  • Pour un nombre de sources et de destinations
    d'information très nombreuses,
  • avec serveur physique ou virtuel partagé en
    frontal de chaque source dinfo.,
  • réalisant la demi-interface entre messages
    sortants et entrants,
  • bus normalisé (généralement XML).
  • Architecture conçue pour traiter des messages (en
    non du batch) et repose sur un principe de
    publication/abonnement basé sur les MOM MSMQ ou
    MQ Series (voire même Email).

25
Les standards utilisés dans le monde des EAI
26
Un standard de développement J2EE
27
Un standard particulier le standard déchange
XML
  • XML est un standard de description de documents
  • normalisé par le W3C début 98,
  • utilisé au départ au même niveau que lEDI,
  • étendu à léchange de données entre
    environnements hétérogènes,
  • soutenu par des acteurs majeurs du marché
    Microsoft, IBM, SAP,
  • nombreux dérivés métiers (initiatives non
    standard),
  • Des ajouts permettent de passer de la description
    de document à celle dun flux de données
  • XSL (validé) transformation de documents par
    application dun modèle,
  • XML Schema (validé) typage de données,
  • Xpath, XPointer accès à des parties de
    documents,
  • XLink liens multi-cibles,
  • XML Query intégration de SQL dans le document,
  • XSL FO, SVG formatage de documents paginés (pdf
    par exemple),
  • Domaines dapplication
  • commerce électronique B2B, EDI - Intégration
    dapplications hétérogènes - Gestion de contenu
    de type GED - Interfaces Web.

28
XML rappel des composants et mécanisme
  • Un flux XML sera émis par un programme selon un
    format et une syntaxe convenus,
  • A la réception, il sera dépouillé, décodé,
    contrôlé par un parser qui en extraira les
    données utiles.

29
Quelques cas clients
30
Intégration généralisée
PAB Arcelor Construction
Portail CRM Habilitation/Produit/Transport J2EE/We
bsphere
Clients, fournisseurs, partenaires factures
Application Sofie Négoce/Achat/Vente Spécifique
sous AS/400
EDI Fax,FTP, Email, XML
EAI
Datawarehouse Windows
Application table de correspondance
Suivi Access/Windows
  • Inter-applicatifs interne DWH
  • 2) Interconnexion Portail CRM
  • 3) Échange B2B

Anael Comptabilité AS/400
Contrôle des factures
ERP Intentia Movex Achats/Vente/GPAO AS/400
31
Intégration Mainframe - Oracle Application
Alimentation initiale et rafraîchissement
quotidien Mainframe Cobol Unix ERP
  • CGOS (CE des hôpitaux de France)

Alertes opérateur par message SMS
Sun SOLARIS Oracle Application
Mainframe UNISYS Bases DML
Lecture des tables danomalie après chargement
Réinitialisation des
indicateurs de m.a.j.
Station de travail de réplication Server
Mainframe Windows NT4 Serveur
Extraction des données modifiées selon indicateur
de m.a.j.
EAI
Insertion des m.a.j dans
les tables de chargement de Oracle Application
Réseau local TCP/IP à 10 Mb/s
32
Balance âgée Crystal Report
Datawarehouse, Business Intelligence et diffusion
  • Renault Crédit Suisse

Extraction des sept tables nécessaires à la
balance âgée
Serveur HP 9000 Progiciel CREDX Unix -
Sybase
Server Enterprise Crystal
Report Datawarehouse PC Exploitation
Windows 95
EAI
Recopie de la table de balance âgée
Envoi via Email de létat Excel généré par
Crystal Report à cinq destinataires de la
société.
Extraction des données via ODBC pour Sybase
(100.000 lignes)
Réseau local TCP/IP à 10 Mb/s
33
E-business
Intégration serveurs Web, BackOffice, Logistique
(logique de flux)
  • Télémarket (supermarché en ligne)

AS400 ERP - Production
Server Enterprise Serveur
dexploitation Windows 2000
Réseau local TCP/IP à 100 Mb/s
Windows NT Serveur Web
EAI
Serveurs de production
Accès Internet via ligne spécialisée
AIX RS6000 Logistique
Internet Commandes des clients sur le Web
Base de traçabilité des flux et de Roll Back au
besoin
Alertes par GSM, E-Mails, Imprimante
34
Intégration place de marché amont et aval
Intégration Front-Office Back-Office et
échanges B2B en EDI
  • Séliance (filiale Crédit Lyonnais)

Sun SOLARIS ARIBA Serveur Web
Sun SOLARIS Oracle Appli. Back-Office
Windows 2000 Server Serveur déchanges
XML
Oracle
EAI
Chargement ARIBA initial depuis Excel, fichiers
texte et XML
EDI
ZIP
Dialogue B2B Eurofactor via fichiers EDI
compressés
Eurofactor Partenaire externe
Internet Commandes des clients sur le Web
Email
35
Interfaces mono-sites et Load Balancing
  • Ferrero

Serveur bi-processeur
Instance d'exécution "rapide" Robot
ordonnanceur Serveur sécurisé
Serveur AS/400
Queue5
Queue4
Queue3
Légende Serveur Exchanger Gestionnaire file
d'attente (Queue) Accès AS/400 via Hit-Software
et FTP (exec) Demandes de traitement
(vsq) Statistiques et erreur en retour (fichier
.vsf) Intégration dans la base de flux
Batchs lourds
Queue2
Exécution des traitements applicatifs sur quatre
instances Exchanger
Queue1
Fichier de config robot.cfg
Mise à jour de la base de flux
Console de supervision
Responsable d'exploitation
Base de flux
36
Gestion multi-sites et Load Balancing
Système U Est
Bi-processor exploitation Serveur PIII 1Ghz
Bi-processor exploitation Serveur PIII 1Ghz
Production AS/400
Supervision board
Load Balancing server bi-processor PIII
1Ghz
Queue 1
Queue 2
Base de flux
RNIS
ADSL
RTC
LS
FtpRoot
RNIS
Câble ADSL
Global Intranet
Computer management poeple
MS FTP Server (IIS)
37
Sommaire
  • Point de situation de la plupart des SI
  • La notion durbanisation naturelle,
  • Cas réel de cartographie applicative,
  • Les besoins dévolution vers les EAI
  • Définitions et composition dun EAI
  • Les principes généraux,
  • Les solutions techniques et les outils
    complémentaires,
  • La sécurité et les EAI,
  • Revue des différentes architectures EAI
    possibles,
  • Projet dimplantation dun EAI
  • Structure de projet et points clés
  • Quelques cas clients
  • Le marché des EAI
  • Conclusions
  • Avantages et inconvénients des EAI,
  • Quelle(s) relation(s) future(s) entre ERP et EAI ?

38
Projet dimplantationdun EAI
  • Urbanisationdes SI

39
Initialisation dun projet EAI
  • Lintégration dapplications hétérogènes est une
    opération complexe,
  • Les solutions dEAI facilitent la mise en oeuvre
    dun projet dintégration,
  • mais
  • une réflexion préalable est nécessaire pour
  • EAI vraiment nécessaire,
  • identifier les candidats (applications,
    processus),
  • qualifier le type dintégration voulue,
  • analyser les autres critères (hommes du métier
    définissant les priorités d'intégration et
    décidant de ce qui est à intégrer.

40
EAI ? Pour quels projets ? Identifier et
qualifier
Avant dêtre un concept, lEAI, est surtout une
réponse opérationnelle à un projet/besoin
  1. Interface ERP, CRM, bases de données,
    applications spécifiques, fichiers, front
    office-back office ou mise en place dun ERP,
    migration,
  2. ETL / Datawarehouse / Réplication / Référentiel,
  3. Transfert et intégration multi-sites
    plate-forme déchange multi-formats (EDI
    spécifique, XML, fichiers propriétaires, ),
  4. Échanges B2B (EDI spécifique, messages TCP,
    fichiers FTP),
  5. Automatisation des échanges robot
    dexploitation
  6. Publication de linformation Alimentation de
    portail / Diffusion multi-canaux,
  7. Personnel itinérant synchronisation des
    laptops,
  8. Supervision et monitoring des échanges entre
    machines.

41
Outils ETL versus outils EAI
EAI généralement moins adaptés à lalimentation
des bases de données décisionnelles que les ETL
(Extract, Transform and Load) Comparaison des
points techniques entre ETL et EAI.
Outils dETL Outils dEAI
Excellente  pompe  à données Très bon routeur de messages
En général, en mode batch En général, au fil de leau
Source BD et fichiers, le plus souvent Applications sources et cibles hétérogènes
Traite de forts volumes de données Traite de faibles volumes de données de manière fréquente
Transformations parfois complexes avant lalimentation Transformations simples en général
42
Positionnement de lEAI au sein du SI
  • Urbanisation démarche globale, transverse à
    tout le SI,
  • Cible visée un système réorganisé autour de ses
    fonctions et de ses référentiels partagés,
  • Transition vers une architecture fonctionnelle
    plan d'urbanisation
  • étapes du chantier,
  • structuration du SI en blocs fonctionnels (zones,
    quartiers et îlots) faiblement couplés,
  • échanges dinformations par voies de
    communication.

43
EAI et urbanisation du SI
NOUVEAUX PROJETS
E A I
RÉFÉRENTIELS
SYSTÈMES EXISTANTS
URBANISATION
Dans la terminologie durbanisation, les
applications contenues dans un quartier
fonctionnel communiquent avec des applications
dun autre quartier en passant par des voies de
communication fournies par linfrastructure EAI.
44
Quel projet pour quel EAI ?
45
L EAI tactique
46
Typologie détaillée des projets dintégration EAI
  • Projets dintégration de linformatique existante
  • environnements propriétaires, applicatifs
    spécifiques et bases de données non standards,
  • Projets dintégration de progiciels ERP et CRM
  • lEAI intervient comme accélérateur dans la mise
    en place et la maintenance de ces nouvelles
    solutions,
  • Projets dintégration de progiciels e-business
    pour ouvrir les SI vers lextérieur
    e-procurement, places de marché
  • choix des produits utilisés faisant intervenir la
    qualité des parseurs XML. On parle alors
    véritable EAI,
  • Projets durbanisation passant par lexamen de la
    gestion des échanges inter-applicatifs au sein du
    SI dentreprise mais aussi des échanges
    inter-applicatifs partenaires
  • choix de la solution faisant intervenir les
    capacités B2B et la gestion des processus
    métiers.
  • Intégration par le haut top down ?projets
    structurants pour les entreprises sinscrivant
    dans une réorganisation des processus métiers.

47
Choix dun EAI Critères comparatifs (1/2)
  • Flux techniques / Transformation Routage
  • Gestion de référentiel et de formats pivots /
    méta données
  • Processus métier / Workflow / BPM
  • Administration Supervision
  • Connectivité
  • Connecteurs techniques
  • Connecteurs applicatifs
  • Web Services
  • Kit de développement de connecteurs
  • Fonctions supportées

48
Choix dun EAI Critères comparatifs (2/2)
  • Transport / MOM
  • Nature de middleware utilisé au niveau de la
    couche transport,
  • Fiabilité du middleware,
  • Performances du middleware,
  • Types de protocoles,
  • API utilisateur,
  • Sécurité
  • Connexions applicatives,
  • Couche transport,
  • Méthodologie supportée
  • Installation intégration
  • Installation,
  • Déploiement,
  • Architecture ciblée,
  • Apprentissage.

49
Autres paramètres techniques (1/2)
  • Volume  moyen de données à transférer dans chaque
    message,
  • Types de transfert à privilégier (batch ou temps
    réel, mode synchrone ou asynchrone),
  • Éventail de connecteurs proposés par loutil 
  • disponibilité des connecteurs correspondants aux
    applications à intégrer,
  • connecteurs compris dans loffre de base ou à
    acquérir en plus,
  • existence dun outil de développement de nouveaux
    connecteurs si lon souhaite intégrer des
    applications spécifiques,
  • Possibilités offertes par loutil de BPM (niveau
    de modélisation, prise en compte des
    interventions humaines (workflows), ),
  •  Ergonomie de loutil.

50
Autres paramètres techniques (2/2)
  • Standards supportés (XML, SOAP, JAVA, JCA, ) et
    degré dindépendance de loutil par rapport à la
    gamme de produits dun éditeur particulier,
  • Performances nbre de message traités/s, temps
    moyen de transfert des messages, capacité de
    montée en charge, ,
  • Facilités dinstallation, de test, de
    déploiement, dadministration et dexploitation
    offertes (EAI ne proposent pas souvent doutils
    de supervision, autres que le simple fichier de
    log),
  • Plates-formes serveur et clientes nécessaires
    pour pouvoir mettre en œuvre loutil (systèmes
    dexploitation supportés, espaces mémoire et
    disque nécessaires, ).

51
Une structure de projet EAI un exemple
dinstances de projet
Comité de Pilotage
Comité durbanisation
Comité de Projet(s)
Équipes MOE
Équipes MOE
Projet Référentiels
Équipes projet(s) EAI
Selon complexité du projet
52
Les acteurs dun projet EAI (1/2)
  • Comité de pilotage
  • Direction(s), DSI, chef(s) de projet(s) qui
  • définit les objectifs,
  • veille à impliquer les acteurs identifiés,
  • s'assure du respect des objectifs,
  • Comité durbanisation
  • élaboration de la cartographie, urbanisée du SI,
  • architecture fonctionnelle cible ? cadre de
    référence
  • formalisation de règles de construction et
    dévolution des services applicatifs
    indépendamment des briques techniques,

53
Les acteurs dun projet EAI (2/2)
  • Comité de projet Référentiels
  • identifier et définir les référentiels partagés
    du SI,
  • identifier et définir les formats pivots
  • Équipe(s) de projet EAI
  • Compétences métier et technique pour
  • établit des normes de construction du socle
    d'intégration,
  • concevoir l'architecture,
  • Mettre en place (réalisation)
  • Préparer lexploitation.

54
Points clés dun projet EAI (1/2)
  • Stratégie informatique établie en fonction de la
    stratégie et des objectifs de la société
  • Compréhension approfondie
  • des processus métier,
  • des modèles de données,
  • des systèmes et applications en place,
  • Planification de lensemble du processus projet
  • identification des besoins,
  • sélection des éditeurs en fct de la mise en
    oeuvre et des besoins à venir)
  • Architecture EAI (modèles de processus et besoins
    dintégration) formulée à partir de la stratégie
    informatique et durbanisation établie et
    contrôlée
  • outils dEAI et éditeurs évalués (maquettages),
  • responsabilités et les priorités établies,
  • solutions et étendue de lintégration prise en
    charge par la technologie prises en compte et
    évaluées.

55
Points clés dun projet EAI (2/2)
  • Planification de projet rigoureuse,
  • LEAI peut impliquer la transformation du contenu
    applicatif lors de la circulation des données
    entre systèmes,
  • Nécessité dune démarche top down focalisée sur
    lintégration applicative au niveau du contexte
    métier (pas uniquement technique) donc sur
    processus métier et règles associées.

56
Le marché des EAI
57
Importance du marché des EAI
  • Marché des EAI en 2001
  • 196 M en France
  • Évolution prévue x 4 de 2001 à 2005

Source Pierre Audoin Conseil (PAC)
58
Le marché de lEAI
  • Croissance de 127 en Europe en 2000
  • 400 m en 1999 -gt 920 m en 2000,
  • 135 de croissance sur 2001 2,15 m,
  • ventes de licences culmineront à 17,5 milliards
    de en 2007 marché en phase de maturité,
  • Deux champs dapplication majeurs, lun croisant,
    lautre constant
  • envol des échanges B2B,
  • lEDI propriétaire cédant la place à XML (baisse
    des coûts opérationnels (IAI Internet
    Application Integration) 11,7 m prévus en
    2007,
  • progression constante de la gestion des échanges
    point à point entre applications 116 à 760 m
    en 2000 -gt 5,87 milliards de en 2007.

Source Frost Sullivan
59
Marché de lEAI dans le monde
60
Marché de lEAI Top 10 France
Source PAC (Pierre Audouin Conseil)
61
Marché de lEAI Les Outsiders en France
  • Mediapps
  • produit Net.EAI - www.interface-eai.com
  • vient de la gestion de portail
  • Cross Data Base Technology
  • produit DataExchanger - www.dataexchanger.com
  • société nantaise monde NT produit peu onéreux
  • 4Tier Software
  • produit OpenMOM - www.4tier.com
  • message broker évolué
  • Sunopsis
  • produit Sunopsis v3 - www.sunopsis.com
  • société lyonnaise vient de l ETL (v2) produit
    peu coûteux.

62
Loffre et la demande
  • Principal frein au développement du marché, le
    perpétuel mouvement des acteurs
  • acteurs 100 EAI Tibco, Vitria, SeeBeyond,
    Webmethods,
  • montée des acteurs traditionnels Microsoft, HP,
    Oracle, IBM,
  • la succession de rachats montre une consolidation
  • Neon -gt Sybase, Active Software -gt Webmethods,
    OnDisplay -gt Vignette, ...
  • Selon IDC, les utilisateurs européens dERP
    estiment avoir atteint un niveau satisfaisant
    dintégration
  • grâce aux connecteurs natifs des éditeurs
    dapplications packagées,
  • Lintégration CRM/ERP représente plus de 30 des
    besoins exprimés,
  • Les technologies middleware réclamant des projets
    coûteux retiennent moins de 27 des intentions
    dinvestissement,
  • Les sociétés de taille moyenne disposent, le plus
    souvent, de systèmes intégrés. Les grandes
    entreprises drainent la demande.

63
Conclusionssur les EAI
64
Lapport des EAI
  • Un EAI apporte une plus grande souplesse et une
    meilleure réactivité dans l'évolution du SI
  • en réduisant le nombre d'interfaces,
  • en réduisant le coût de maintenance et
    d'évolution des communications,
  • en permettant à une nouvelle application
    dexploiter (à moindre coût) les services
    existants
  • en faisant bénéficier les autres applications les
    services dune nouvelle application.

65
L'EAI mieux adapté aux grandes entreprises ?
  • Un nombre croissant de grandes entreprises
    s'appuient sur l'EAI pour intégrer leurs
    applications parce quelles possèdent souvent
    plusieurs ERP concurrents ainsi qu'un nombre
    élevé d'applications maison  parfois éloignées
    géographiquement,
  • Peu d'entreprises se risqueront dans une approche
    ''big bang'' (ou autre) vers la nouvelle
    génération ERP II (encore assez lourde),
  • Recherche d'une plus grande agilité découplage
    via une plate-forme EAI orchestrant les flux
    entre tous les logiciels, ERP compris.

66
EAI et urbanisation
  • Urbanisation
  • démarche globale,
  • transverse à toute le SI,
  • visant une cible un système réorganisé autour
    de ses fonctions et de ses référentiels partagés.
  • Transition vers une architecture fonctionnelle
    idéale par l'établissement d'un plan
    d'urbanisation en plusieurs étapes
  • structuration du SI en blocs fonctionnels (zones,
    quartiers et îlots),
  • Mise en place déchanges dinformations via voies
    de communication structurées,
  • Support et pilotage de linfrastructure des
    échanges,
  • Une des solutions implantation dune
    infrastructure dEAI qui fournit le middleware de
    communication de cette urbanisation.

67
Points forts dun bon EAI (1/2)
  • Interfaces OS (Windows, AS/400, Unix), bases de
    données, ERP, application spécifiques, fichiers,
    email (avec pièce jointe à récupérer), etc...
    Exemple Interface facturation-comptabilité-logis
    tique,
  • Alimentation Datawarehouse, en particulier
    multi-sites (transfert sécurisé et intégration
    automatique) et mise en place d'un référentiel en
    mode incrémental,
  • Automatisation globale des échanges et
    supervision.

68
Points forts dun bon EAI (2/2)
  • Web architecture interface front-back office,
    flux XML, alimentation portail,
  • Gestion des échanges multi-formats avec
    partenaires commerciaux, filiales, itinérants,
  • Architecture non figée
  • socle évolutif,
  • Réutilisable,
  • dynamique interne (suit lévolution des besoins
    métiers spécifiques)
  • dynamique externe (suit les évolutions
    structurelles de lentreprise).

69
Points faibles
  • Environnement Mainframe (accès ODBC),
  • Environnement 100 Unix-Java (quand choix
    politique de la DSI),
  • Datawarehouse uniquement central à très grosses
    volumétries,
  • EDI classique (EDIFACT, GENCOD parfois pas de
    traducteur natif intégré).

70
Les avantages des EAI (1/2)
  • Progicielisation, capitalisation des
    développements,
  • Facile à mettre en œuvre des briques
    fonctionnelles à assembler pour créer un solution
    personnalisée,
  • Sappuie sur des standards du marché,
  • Tests, mise en production et déploiements
    simplifiés,
  • Un ROI justifié pratiquement, dès le premier
    projet,
  • Un outil évolutif et ré-utilisable pour dautres
    projets,
  • Un marché potentiel très large.

71
Les avantages des EAI (2/2)
  • Intégration de toute nouvelle application ou de
    toute mise à jour dune application en un délai
    réduit,
  • Complémentarité technologique à louverture et à
    lintégration des chaînes ERP,
  • Création dune vue unifiée des informations,
    accessible selon les systèmes, dans les
    applications de gestion, les applications
    analytiques, les intranets ou les portails,
  • Création dentreprises virtuelles ou des chaînes
    métier virtuelles grâce aux partages de données
    et de flux entre tous les partenaires,
  • Réduction importante des délais dintégration de
    nouvelles données ou des refontes de processus
    (compatibilité de la réactivité du SI avec les
    exigences opérationnelles ou stratégiques de
    lentreprise).

72
Lavenir ?ERP 2ème génération ou EAI ?
  • Position des éditeurs de ERP
  • nouvelles offres plus modulaires et ouvertes ?
    migrations importantes de leurs bases
    installées,
  • Offre doutil EAI intégré à lERP
  • Mais .
  • Position des éditeurs dEAI
  • Offre doutils d'orchestration très
    concurrentiels.

73
Orchestration, enjeu de toutes les luttes
  • Assouplissement des SI des grandes entreprises
    ET des PME grâce aux services des ERP et des
    EAI,
  • Facilitation d'intégration d'applications
    hétérogènes,
  • Applications existantes et modules ERP sous
    forme de services accessibles via une
    interface standard (SOAP et JCA) ou d'un
    connecteur,
  • Moteurs d'orchestration ERP ou EAI pouvant
    piloter l'appel à ces services selon un processus
    métier,
  • Construction plus rapidement des applications à
    géométrie variable meilleur reflet de la réalité,
  • Éditeurs de plates-formes EAI et ERP s'affrontent
    pour s'imposer sur le marché de l'orchestration
    de processus,
  • A terme, les moteurs d'orchestration des
    éditeurs dERP constitueront-ils LA SOLUTION de
    référence ?

74
MERCI DE VOTRE ATTENTIONET DE VOTREPATIENCE
75
Maîtrise des coûts et ROI élevé
  • Coûts et délais nécessaires à la refonte complète
    de ses applications ?
  • ? incompatibles avec les capacités
    d'investissement des DSI,
  • Les EAI permettent l'intégration de ces
    applications avec un ROI gt aux solutions de
    réécriture ou de portage.
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