Etats dpressifs des sujets gs - PowerPoint PPT Presentation

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Etats dpressifs des sujets gs

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Pr occupations somatiques (mises l'avant-plan car mieux admises: asth nie, c phal es, palpitations, douleurs, vertiges...) Insomnie, perte de poids ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Etats dpressifs des sujets gs


1
Etats dépressifs des sujets âgés
2
En collaboration avec
  • Dr P. André, Dr M. Bastan, Mme C. Goor,
  • Dr Ph. Heureux, Mr B.Massinon, Pr Ph. Meire,
  • Dr G. Pizzuto, Dr P. Roger , Mme M. Vanderveken,
  • Dr M. Vanhalewyn

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A. Des questions
  • Presque tous les vieux
  • seraient déprimés ?

4
Les dépressions des personnes âgées
  • Sous-diagnostiquées ?
  • Sous-traitées ou trop médiquées ?

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Jeunes ou vieux
  • Mêmes présentations ?
  • Mêmes traitements ?

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B. Le contexte
  • Vulnérabilité et diversité des personnes âgées
  • Croyances, préjugés et types dappels
  • En ambulatoire ou en institution rôle central de
    lécoute

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Facteurs de vulnérabilité (I)
  • Polypathologies et polymédications
  • Perte des statuts sociaux et difficultés
    économiques
  • Modification des rythmes de vie
  • Dégradation dans le regard de lautre et dans son
    propre regard (miroir)
  • Bilan dune vie ou dun couple

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Facteurs de vulnérabilité (II)
  • Coexistence parfois difficile avec les jeunes
  • Deuils et exclusions sentiment de solitude et
    isolement sensori-affectif
  • Notion de fin de vie avec baisse de lélan vital
    et pertes de projets
  • Difficultés dadaptation aux changements
  • Histoire psychiatrique antérieure, troubles de
    personnalité
  • INTRICATION BIO-PSYCHO-SOCIALE

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Personne nest égal face au vieillissement
  • Troubles physiques (handicaps et maladies)
  • Séquelles morales (cicatrices de la vie) et
    sociales
  • Difficultés dexprimer ses émotions
  • Capacités de vivre au quotidien et de
    sintéresser
  • Présence et qualité de lentourage familial

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Une pratique découte téléphonique
Ligue belge de la Dépression groupe SSMG
2005
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Des croyances et préjugés
  • Le mot dépression ne se prononçait pas
  • On nexprimait pas ses émotions
  • Il faut endurer une certaine souffrance
  • La dépression doit avoir une cause, un motif
  • La dépression est associée à la maladie mentale

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Des appels spécifiques
  • Une méconnaissance réelle de la maladie et des
    aides possibles
  • Une réaction tardive imprégnée dincompréhension
  • Un e relation privilégiée vers médecin
    généraliste, la personne de confiance , le point
    de contact de référence
  • Une absence de combativité, un risque de
    démission

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En ambulatoire ou en institution
  • Priorité à lécoute
  • Consacrer du temps
  • Manifester de lempathie
  • Veiller au confort de chacun
  • Eviter les bruits parasites

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Ecouter le patient
  •  Entendre  ses plaintes, les mots quil
    emploie, la tournure de ses phrases
  •  Ecouter  son attitude , sa gestuelle,
    lexpression de ses yeux, de son visage
  • Une écoute attentive renforce lidentité de
    celui qui sexprime, lui donne le sentiment
    dexister et dêtre respecté dans ce quil dit et
    vit.

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Ecouter lentourage et les autres soignants
  • Permet de faire la différence entre le
    comportement actuel et le comportement habituel
    du patient
  • Offre une deuxième source dinformations
  • Apporte un soutien à un entourage (familial ou
    soignant) souvent en souffrance (impuissance,
    incompréhension..)

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Attitudes préventives
  • Valoriser recréer des contacts humains
  • Respecter garder un regard positif
  • Soigner ne pas sous-estimer le somatique
  • Faire sourir rôle des  petits gestes 
  • Aimer importance de la relation
  • Motiver le patient et lentourage soignant

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Sécouter soi-même
  • Tout ce que le patient dira
  • Fera écho en nous
  • Rencontrera notre savoir clinique
  • Eveillera notre sens critique
  • Permettra le recul nécessaire attention à ne
    pas projeter notre propre peur de la vieillesse
  • Appellera notre capacité de compassion

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C. La clinique
  • Présentation clinique et formes particulières
  • Epidémiologie
  • Conséquences
  • Risque suicidaire

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Face aux malentendus, priorité à la clinique !
  • Changement de personnalité ou de comportement
    signal dalarme en gériatrie
  • Mais tout changement nest pas signe de
     dépression  (confusions, démences, délires,
    maladies somatiques, )

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Ne pas confondre
  • Plaintes dépressives (symptômes isolés)
  • Syndrome dépressif Triade de base
  • Douleur morale repli, indignité,  lucidité
    déchec  et idées noires, (souvent non exprimées
    ou banalisées)
  • Troubles somatiques sommeil, appétit, douleurs,
    symptômes anxieux
  • Perte de lélan vital asthénie, perte dintérêt
    et dattention, abandon des activités
    habituelles, hygiène...

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Age et présentations cliniques
  • Troubles cognitifs fréquents (70)
  • Préoccupations somatiques (mises à lavant-plan
    car mieux admises asthénie, céphalées,
    palpitations, douleurs, vertiges)
  • Insomnie, perte de poids
  • Anxiété importante (irritabilité, hostilité)
  • Fréquence accrue des idées suicidaires

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Dépressions  somatiques 
  • Dépressions  masquées  douleurs, fatigue,
    constipation, tête vide, hypochondrie,
  • Dépressions  masquantes  associées à
  • une pathologie organique (néo, thyroïde,
    parkinson, AVC, démence débutante)
  • une pathologie iatrogène (cortisone,
    hypotenseurs, benzos et neuroleptiques)

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Dépression anxieuse
  • Fréquente
  • Sous-traitée
  • Recours excessif aux benzodiazépines
  • Moins bonne réponse au traitement
  • Facteur de non-compliance
  • Anxiété résiduelle facteur prédictif de rechute
    et de récurrence

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Dépression psychotique
  • Plus fréquente (27 des cas)
  • Symptômes psychotiques (idées de ruine, de
    persécution, de préjudice, ...)
  • Facteur de sévérité
  • Traitement plus énergique en association avec un
    neuroleptique (parfois électronarcoses)

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Dépression et pseudodémence
  •  Pseudodémence  syndrome démentiel
  • réversible dans le contexte dune dépression
  • Les études longitudinales ont montré que ces
    états précèdent souvent le développement de
    formes irréversibles de démence

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Dépression
Démence
  • Début d apparition précis
  • Evolution rapide
  • Symptômes décrits et détaillés
  • Majoration ( je ne sais pas )
  • Détresse intense
  • Antécédents de dépression
  • Plaintes du patient
  • Début d apparition flou
  • Evolution lente
  • Symptômes peu précis
  • Minimisation des symptômes
  • Patients peu concernés
  • Dépression absente ouprésente
  • Plaintes de lentourage

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Dépression  vasculaire 
  • Terrain vasculaire (cérébral et général)
  • Troubles cognitifs plus fréquents, de type
    frontal (planification, abstraction, ...)
  • Apathie et ralentissement moteur
  • Absence dhistoire familiale de dépression
  • Risque de récidive (récurrence)

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Autres formes cliniques
  • Syndrome de Diogène (rupture sociale)
  • Syndrome du fauteuil (souvent post-traumatique,
    dit   de la tortue sur le dos )
  • Syndrome de glissement
  • Formes avec abus de substances (alcool, benzos, )

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Epidémiologie
  • Prévalence générale des syndromes dépressifs
    après 65 ans au moins 15, soit
  • environ 3  early onset , correspondant
    souvent aux critères de dépression typique, dite
     majeure  déprimés anciens présentant des
    récidives.
  • environ 12  late onset , dépression atypique
    (syndromes dysphoriques) davantage liés à des
    facteurs de santé (comorbidité) et des facteurs
    psycho-sociaux, apparaissant après 65 ans.

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Prévalence trompeuse
  • Taux de 15 source de controverses
  • Excessif si  jeunes vieux , en bonne santé, à
    domicile, avec un bon réseault1 !
  • Insuffisant si problèmes de santé, surtout avec
    dépendance fonctionnelle, en particulier chez les
    très âgés
  • MRS 30 à 50
  • Hospitalisations 20 à 50
  • AVC et démences 50

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Conséquences graves
  • souffrance morale intense
  • suicides plus fréquents et violents
  • morbidité et mortalités accrues (mortalité 10 à
    un an, 34 à 4 ans, ) avec mauvaise compliance
    thérapeutique
  • difficultés familiales (conflits, rejet,
    souffrance du soignant)
  • cercle vicieux de la dépendance et de la
    dépression

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Suicide et mortalité
  • Le suicide est 10 x plus fréquent chez le
    déprimé âgé par rapport au déprimé jeune
  • le sujet âgé exprime moins souvent ses idées
    suicidaires mais réussit plus fréquemment sa
    tentative de suicide
  • 40 des sujets âgés dépressifs morts par suicide
    ont consulté un médecin pour des plaintes
    physiques dans la semaine précédant leur
    décès

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Suicide facteurs de risques
  • Sexe masculin ( surtout veuf et isolé)
  • Antécédents de TS et de dépression
  • Maladies somatiques invalidantes
  • Dépressions tardives avec anxiété et/ou abus de
    substances

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D. Approches thérapeutiques
  • Place centrale du médecin généraliste
  • Relation médecin-patient
  • Accompagnements et approches psychothérapeutiques
  • Approches biologiques et médicamenteuses

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Place centrale du M.G.
  • Connaissance des patients et possibilité de
    repérer les patients à risque
  • Contact avec lentourage familial et soignant.
  • Pratique de la transdisciplinarité
  • Art de savoir adresser à un autre professionnel
    si nécessaire

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Relation médecin-patient
  • Etre un  support  pour le patient tact et
    disponibilité au  dosage adéquat , sans
    maternage excessif, ni indifférence.
  • Laisser un espace pour la colère, la tristesse et
    larmes
  • Faire appel aux ressources du patient  comment
    avez-vous, dans le passé, surmonté dautres
    épreuves? 
  • Mettre des mots adéquats sur les somatisations
     vous navez pas de maladie mais vous souffrez
    dans votre corps   et éviter une lecture
    exclusivement médicale des plaintes

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Accompagnement psychothérapeutique
  • Lutter contre lhémorragie narcissique du patient
    déprimé témoigner de sa dignité et de notre
    désir de vie pour lui
  • Eviter dêtre piégé par lhyperlucidité tragique
    du patient mélancolique qui ne relève plus que
    les aspects négatifs de lexistence et de sa vie
    il peut convaincre son entourage et son
    médecin
  • Le  vrai dépressif  ne croit pas quil peut
    aller mieux importance du moral et de la
    conviction du thérapeute !

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Approche intégrée
  • La psychothérapie sera dabord centrée sur le
    renforcement dun lien de confiance (alliance
    thérapeutique)
  • Accepter quavant plusieurs semaines de
    traitement antidépresseur, les plaintes resteront
    souvent répétitives, lexpression difficile et
    les progrès très lents
  • Avec les personnes âgées, intérêt particulier
    dune approche intégrée, souple et respectueuse
    des investissements du patient

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Dimensions psychothérapeutiques
  • Psychodynamique en laissant le patient
    sexprimer et sinvestir progressivement dans la
    relation (parfois de manière très réticente)
  • Cognitive en repérant les cognitions négatives
    répétitives et en aidant à retrouver des
    expériences positives dans le passé
  • Interpersonnelle en travaillant les éventuels
    conflits relationnels
  • Psycho-corporelle relaxation si le patient reste
    focalisé sur ses plaintes somatiques

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Approches biologiques
  • Pharmacologiques
  • - sevrages
  • - traitements antidépresseurs et autres
  • Photothérapie parfois utile (intérieurs sombres
    !)
  • Lever précoce et rétablissement dune activité
    diurne suffisante
  • Electronarcoses dans de rares cas (urgences
    cachectiques ou délirantes)

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Contexte pharmacologique
  • Latence daction plus grande pour des raisons
    pharmacocinétiques et neuronales
  • Modifications métaboliques et pharmacodynamiques
    prudence avec les antidépreseurs
  • Fréquence des polypathologies et
     fragilités somatiques  p.ex.convulsions 
  • Fréquence des polymédications attention aux
    interactions !

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Quelques principes de base
  • Evaluation préalable du rapport bénéfice/risque
  • Information suffisante du patient et de son
    entourage (observance, effets secondaires)
  • Annoncer la possibilité dune adaptation chaque
    cas est particulier
  • La dépression est une maladie grave, nécessitant
    un plan thérapeutique et un traitement prolongé
    (au moins 1 an).

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Procédures
  • Choisir un antidépresseur en fonction de la forme
    clinique, de lefficacité et de la tolérance
    attendue chez ce patient particulier
  • Start low and go slow, sans sous-traiter
  • Si tolérance suffisante, se donner du temps ( 6
    à 10 semaines) avant de changer.
  • En cas déchec (12 semaines sans résultat),
    avantage à des substitutions mais des
    associations restent envisageables.

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Tricycliques
  • Utilisation prudente (effets secondaires)
  • A éviter si problèmes cognitifs, prostatiques,
    glaucome, constipation,
  • Attention à la cardiotoxicité et aux effets du
    surdosage !
  • Utiles en cas de douleurs chroniques
  • Utilisation préférentielle de la nortriptyline en
    gériatrie (moins anticholinergique)

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SSRI
  • Plus sûrs mais attention à la survenue
    potentielle de
  • problèmes digestifs (nausées, pertes de poids),
  • insomnies, fatigue ou agitation en début de
    traitement
  • syndrome sérotoninergique si taux élevés
  • hyponatrémie (SIADH)
  • révélation dun parkinsonisme (rigidité et
    bradykinésie, apathie  frontal like )
  • syndrome de discontinuation si demi-vie brève
  • Attention aux interactions et différences entre
    SSRI

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SNRI (Venlafaxine)
  • A faible dose (75mg) effet de type SSRI. Intérêt
    de la forme retard.
  • A doses plus fortes (2 à 3 x 75) effet
    supplémentaire sur luptake de la NA, renforçant
    leffet thérapeutique mais effets secondaires
    correspondants potentiels (constipation,
    rétention urinaire, variations tensionnelles)
  • Syndrome sérotoninergique si taux élevés

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NaSSA (Mirtazapine)
  • Intérêt dune action pharmacologique mixte et
    différente
  • Amélioration rapide du sommeil profond
  • Effets secondaires surtout de type
    antihistaminique (appétit, sédation) , parfois
    utiles en gériatrie, parfois gênants (baisse de
    vigilance dans certains cas)

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Autres molécules
  • Réboxétine (NARI) action sur uptake
    noradrénergique ( stimulante prise le matin et
    midi e2 agitation, constipation, rétention...)
  • Moclobémide (IMAO A) liaison réversible sans
     cheese syndrome . (action activatrice e2
    agitation, céphalées)

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En cas danxiété et/ou dinsomnie
  • Utiliser des antidépresseurs à action
    anxiolytique en évitant dinstaurer ou
    daugmenter un traitement par benzos pour une
    longue durée
  • Trazodone peut être utile en appoint dans les
    troubles du sommeil (e.a. démence). Début prudent
    (alpha-lytique) risque dhypotension
    orthostatique et deffet rémanent au lever.

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E. Discussion finale
  • Négligence diagnostique ?
  • Importance du diagnostic et du traitement
  •   Guérir parfois, soigner souvent, accompagner
    parfois  

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Négligence diagnostique ?
  • Dans les études antérieures, 20 des
     syndromes dépressifs  étaient reconnus et
    diagnostiqués, moins de 10 étaient traités et un
    patient traité sur deux était compliant !
  • Evolution actuelle ? Selon certains, trop de
    prescriptions ou simple tendance à donner des
    psychotropes mieux tolérés avec le risque de ne
    pas faire de véritables choix diagnostiques et
    thérapeutiques

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Importance du diagnostic et du traitement
  • Les traitements pharmacologiques doivent être
    réservés aux syndromes dépressifs reconnus et pas
    uniquement pour répondre à une plainte source
    déchecs
  • Dans les syndromes cliniquement significatifs, la
    persévérance thérapeutique  bio-psycho-sociale 
    se justifie
  • Risque accru de récidives en cas darrêts
    prématurés du traitement.

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En conclusion,
  • Soutenir nos aînés déprimés et lutter contre leur
    douleur morale intense, tout en acceptant que
    certains états dépressifs resteront parfois
    chroniques
  • Les études au long cours montrent environ 1/3 de
    guérisons, 1/3 daméliorations et 1/3 déchecs
  • Guérir parfois, soigner souvent, accompagner
    toujours  .
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