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Roumanie

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Title: Romania - Simply surprising Author: whoami Last modified by: LDB Created Date: 11/25/2004 10:08:29 PM Document presentation format: On-screen Show – PowerPoint PPT presentation

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Title: Roumanie


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Roumanie
  • FASUI SORINA
  • ROSCAN DORIN

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carte Roumanie
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  • Superficie 237 500 km² soit 0,5 fois la
    France.Population 22,6 millions d'habitants.
  • Densité 95 h/km². La population se concentre
    dans les plaines de Valachie, de Transylvanie et
    de Moldavie, dans les villes de Bucarest, Brasov,
    Timisoara et Iasi.
  • Composition ethnique Roumains (89,5 ),
    Hongrois (7,7 ), Tsiganes (2 ), Allemands (0,3
    ), Ukrainiens (0,3 ).

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Dates historiques
  • La Roumanie était autrefois une province de
    l'Empire romain appelée Dacie.Entre le IIIe et
    le Xe siècle, elle fut envahie par les Goths, les
    Huns, les Vandales, les Avars, les Tatars, les
    Slaves et les Hongrois.Entre le Xe et le XIVe
    siècle, se forment de petits noyaux étatiques,
    les voïvodats, d'où naîtront les principautés de
    Valachie, de Moldavie et de Tansylvanie.Au XVIe
    siècle, Moldavie et Valachie passent sous tutelle
    ottomane, tandis que la Transylvanie est occupée
    par les Autrichiens à la fin du XVIIe siècle.Au
    début du XIXe siècle, la Russie occupe la
    Bessarabie et une partie de la Moldavie et
    soutient les révoltes contre l'occupant
    turc.1859, union de la Moldavie et de la
    Valachie, qui prend en 1861 le nom de
    Roumanie.1878, indépendance de la
    Roumanie.1916, la Roumanie entre en guerre aux
    côtés de la France, de l'Angleterre et de la
    Russie.1918, Bucovine, Transylvanie et
    Bessarabie sont rattachées à la Grande
    Roumanie.1940, la Bessarabie et la Bucovine sont
    occupées par l'URSS, le nord de la Transylvanie
    par la Hongrie. Le maréchal Antonescu renverse le
    roi et le pays entre en guerre du côté de
    l'Allemagne nazie, tandis que de nombreux
    Roumains organisent la résistance armée.

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  • 1944, insurrection victorieuse du bloc
    démocratique à Bucarest.1946, les communistes
    remportent les élections. Le roi Michel doit
    abdiquer.1948, la Roumanie devient une
    démocratie populaire. 1955, adhésion au pacte de
    Varsovie.1965, Nicolae Ceausescu prend la tête
    du Parti communiste et devient président en 1974.
    Il lance un vaste programme d'austérité visant à
    rendre le pays autosuffisant et à rembourser la
    dette extérieure. La politique de
    "systématisation" (regroupements forcés) dans les
    campagnes s'accompagne d'un culte effréné de la
    personnalité et d'une tyrannie policière sans
    égale.1989, insurrection de Timisoara. Le couple
    Ceausescu est exécuté au terme d'un procès
    expéditif.1990, Ion Iliescu, ancien secrétaire
    du PC, est élu président. Il sera réélu en
    1992.1996, le candidat de l'opposition Emil
    Constantinescu gagne les élections
    présidentielles.Janvier 1999, marche des mineurs
    roumains sur Bucarest. Avril 2005 La Roumanie
    signe le traité d'adhésion à l'Union
    européenne.1er janvier 2007 la Roumanie
    rejoint, avec son voisin la Bulgarie, l'Union
    Européenne qui compte désormais 27 pays membres.

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Culture et tradition
  • En dépit des dégâts causés par la
    collectivisation et les regroupements forcés sous
    la folie dictatoriale de Ceausescu, les campagnes
    roumaines ont su conserver un visage bucolique,
    et les traditions populaires y perdurent avec une
    grande vivacité. Les costumes paysans, blouses,
    jupes, manteaux, bonnets et gilets en laine ou en
    lin, richement brodés et ornés de motifs
    géométriques noirs et rouges sur fond blanc, sont
    encore portés lors des foires, des mariages ou
    des fêtes. L'artisanat rural est également riche
    et fécond et donne lieu à une abondante
    production de tapis, sculptures sur bois, icones
    sous verre et oeufs décorés. Les chansons et les
    danses populaires, comme les doïnas des haidouks,
    la hora, la capra, le brâul, les calusarii,
    exécutées au son des violons, accordéons,
    clarinettes, harmonicas et flûtes de Pan, sont
    l'expression des croyances et légendes du vieux
    folklore roumain. Certaines sont liées à la vie
    familiale, d'autres à la vie pastorale, qui
    reflètent d'antiques rites visant à fertiliser
    les sols.

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  • Lors du Nouvel An, la colinda consiste pour les
    enfants à aller de maison en maison souhaiter la
    bonne année en chantant et en offrant des
    couronnes de fleurs. Le 1er mars (martisor), les
    hommes offrent aux femmes, pour s'attirer la
    bénédiction des sorcières, un petit porte-bonheur
    accroché à un fil rouge et blanc. Certains
    villages, en particulier dans le Maramures et la
    Bucovine, sont de véritables musées
    ethnographiques. Mais la coutume la plus
    appréciable en Roumanie est l'incroyable sens de
    l'hospitalité des villageois, qui vous invitent
    généreusement à partager leur repas ou à boire un
    verre de tzuica, une eau de vie à base de prunes.
    On trinque alors en coeur en disant "noroc !"
    Enfin, la communauté tzigane, toujours mal
    intégrée, rassemble environ 500 000 personnes en
    Roumanie, quoique les chiffres soient assez
    imprécis. Certains groupes sont restés nomades,
    et l'on croise parfois leurs campements au bord
    des routes. Deux souverains rivaux, Florin Cioba
    et Iulian Radulescu, qui vivent tous deux à
    Sibiu, se disputent la suzeraineté sur les
    différents clans tziganes.

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Climats et saisons
  • Climat continental, avec des hivers froids et des
    été chauds.Sur la mer Noire, la saison balnéaire
    va de juin à septembre. Le temps est alors chaud
    (environ 26 C) et ensoleillé, et la mer offre
    une température agréable (22-24 C).Pour visiter
    l'intérieur de la Roumanie, la meilleure période
    se situe depuis la fin du printemps jusqu'au
    début de l'automne (de mai à octobre). Les
    paysages sont très fleuris de fin avril à
    mi-juin, et les lumières somptueuses au début de
    l'automne. Durant ces deux saisons, les
    températures sont plutôt douces en journée (de 18
    à 24 C) mais, en revanche, les soirées et les
    matinées peuvent être assez fraîches (de 8 à 12
    C). En été, il peut faire très chaud à Bucarest
    (jusqu'à 30 C), mais le climat reste agréable et
    ensoleillé en Transylvanie, dans les Carpates et
    la Bucovine (de 22 à 26 C). Par contre, la
    pression touristique est assez forte en
    juillet-août.L'hiver est très rigoureux sur
    l'ensemble du pays, quoique plus modéré sur les
    rivages de la mer Noire. Le froid est
    particulièrement vif dans les Carpates, où la
    neige tombe en abondance. Quelques stations de
    ski fonctionnent de mi-décembre à fin-février,
    mais elles sont d'un intérêt très limité.En
    résumé, les mois les plus judicieux pour visiter
    la Roumanie sont mai, juin et septembre.

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Fêtes et manifestations
  • 1er janvier Jour de l'An 2 janvier lendemain
    du jour de l'An 8 avril 2007 la Pâque
    orthodoxe 9 avril 2007 Lundi de la Pâque
    (orthodoxe) 1er mai fête du travail.Courant
    mai Festival international de jazz de
    Brasov.Fête des narcisses à Vlahita-Harghita.Fes
    tival folkorique du printemps à Hoteni, dans le
    Maramure.Carnaval de Bucarest.Courant juin
    Foire agricole de Fundata.Courant juillet
    Festival de musique de chambre à Brasov et à
    Bran.Courant août Fête médiévale à
    Sighisoara.Courant septembre

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Cuisine
  • La cuisine roumaine est d'abord paysanne, avec
    une grande abondance de porc et de soupes. La
    spécialité la plus souvent servie est la
    mamaliga, une sorte de polenta de maïs,
    accompagnée de sarmales, boulettes de viande et
    de riz enveloppées dans des feuilles de choux, ou
    encore de micis, petites saucisses grillées à
    base de viande hachée, aillées et aromatisées au
    cumin. Parmi les autres plats proposés figurent
    les muschis, des grillades de porc la tocana,
    un ragoût de viande la varza, un met épicé
    composé de choux, de riz et de viande et les
    Wiernerschnitzel, escalopes de veau recouvertes

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Souvenir et artisanat
  • L'artisanat roumain est très vivant, même si son
    style et ses couleurs ne correspondent pas
    forcément au goût occidental. On trouvera dans
    les villages, en particulier autour des
    monastères, quantité d'échoppes où sont proposés
    d'assez beaux tapis, des tissus brodés (nappes,
    serviettes, châles, foulards), des sculptures en
    bois, des oeufs peints et des icônes sous verre.
    Les oeufs délicatement décorés de Bucovine sont
    de vraies merveilles, et demandent des heures de
    travail. La plupart des magasins sont ouverts de
    9 h à 18 h et fermés le week-end.

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Le lieux de séjours
  • Des vertes vallées de Transylvanie aux montagnes
    des Carpates, des nombreux monastères de Bucovine
    au littoral de la mer Noire, la Roumanie règne
    sur un concentré de diversités naturelle et
    patrimoniale. Depuis le 1er janvier 2007 au sein
    de l'Union Européenne, cette terre encore
    inconnue a conservé jusqu'alors un caractère
    originel et un charme d'antan. Scènes champêtres,
    costumes traditionnels, petits villages, églises
    orthodoxes multiples, constituent le tendre
    tableau de la Roumanie sans cesse renouvelé au
    fil des étapes. Dotés d'un remarquable sens de
    l'accueil, les habitants ont su malgré les
    turpitudes du passé garder le sourire accroché
    aux lèvres.

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Les paysages 
  • La Bucovine
  • Située au nord-est de la Roumanie, à la lisière
    de la Moldavie, la Bucovine est une région qui
    peut justifier à elle seule le voyage. On y
    retrouve toute la douceur des campagnes et des
    villages à l'ancienne et, si le progrès s'y fait
    encore attendre, le charme, l'émotion et la
    générosité seront assurément au rendez-vous. La
    Bucovine est réputée pour ses monastères des XVe
    et XVIe siècles, qui fleurirent sous le règne de
    Stéphane le Grand. Joyaux architecturaux de
    l'Europe médiévale, ils ont été classés
    "Patrimoine de l'Humanité" par l'Unesco.

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Bucovina
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Monts Bucegi
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Ours des cavernes (Pestera Ursilor)
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Balea lac
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Le delta du Danube
  • Plutôt que les gorges du Danube (dans la région
    des portes de Fer), c'est le delta du fleuve
    Danube qui mérite d'être exploré en priorité, car
    il offre un écosystème sauvage unique en Europe.
    Depuis 1990, le site fait partie des réserves
    mondiales de la biosphère sélectionnées par
    l'Unesco. Au milieu des joncs et des roseaux, il
    constitue un terrain propice pour l'observation
    des oiseaux. On peut y voir plus de 250 espèces
    d'oiseaux migrateurs, dont 2 500 couples de
    pélicans blancs, qui se retrouvent ici au
    printemps et à l'automne. Avocats, aigrettes,
    cygnes, canards et pluviers s'y ébattent en
    liberté au-dessus d'étangs couverts de nénuphars
    et de lentilles d'eau. Sur les berges et les
    terres alluvionnaires prospèrent d'épaisses
    forêts où se mêlent les saules, les frênes et les
    chênes. Pour visiter le delta, le mieux est de
    rejoindre l'un des ports (Galati, Maniuc, Crisan)
    par une navette touristique, puis de s'embarquer
    avec un pêcheur sur une barque à travers les
    canaux. Au fond

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Le centre
  • Une visite dans la ville de Sighisoara, où l'on
    peut voir la maison natale de Vlad, est
    intéressante. Mais cet itinéraire est surtout un
    prétexte pour flâner dans la région, à travers
    ses forêts de conifères, au bord de ses lacs et
    de ses prairies. On pourra ainsi découvrir la
    vallée de la Prahova en passant par Sinaïa (dont
    on visitera le château et le monastère), les
    citadelles saxonnes entre Brasov, Sighisoara et
    Sibiu, visiter le pays des Moti (monts Apuseni),
    etc. Diverses excursions pédestres sont
    envisageables au départ de Sinaïa, de la station
    de ski de Poiana Brasov, de Fagaras et de Câmpeni.

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La région du Maramures
  • Au nord de la Roumanie, la région du Maramures,
    près de l'Ukraine, est l'une des zones les mieux
    préservées du pays. Au milieu de vastes forêts
    entrecoupées de lacs et de rivières, on croise
    des pâturages où broutent des troupeaux de
    moutons et de brebis, d'adorables villages où
    subsistent de vieilles maisons aux porches en
    bois sculpté, aux clôtures enguirlandées de
    glycine, des vieux puits à balancier, des moulins
    à aubes... En bref, une campagne à l'ancienne,
    avec ses meules de foin et ses charrettes tirées
    par des chevaux qui trottent le long des routes,
    où les paysans coupent encore le blé à la faux,
    où des grand-mères aux visages fripés comme de
    vieilles pommes filent la laine sur d'antiques
    quenouilles, et où les villageois, à l'occasion
    des multiples fêtes, arborent leurs costumes
    traditionnels. Les églises en bois du Maramures,
    avec leurs flèches pointues dressées vers le
    ciel, sont remarquables. Le petit village de
    Sapinta, à l'ouest de Sighetu Marmati, mérite une
    visite pour son pimpant cimetière, dont les
    tombes sont décorées par des médaillons et des
    bas-reliefs illustrant la vie des défunts. Un
    vrai musée de l'Art naïf. On ne manquera pas non
    plus la magnifique vallée de l'Iza où, logé à la
    ferme chez l'habitant, on peut s'occuper à
    cueillir des mûres ou à ramasser des champignons
    en forêt.

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Les côtes
  • Constanta
  • La ville de Constanta, la deuxième du pays par sa
    taille démographique, est non seulement un
    important centre portuaire et industriel, mais
    aussi une très ancienne station balnéaire, avec
    son casino et son hôtel palace juché au sommet
    d'un promontoire. La ville possède quelques
    vestiges grecs et romains (selon la mythologie,
    c'est dans ce port que Jason et les Argonautes
    seraient venus chercher la Toison d'or). Mais
    Constanta présente aussi un visage très moderne,
    à travers ses grands hôtels et immeubles du front
    de mer. Point d'arrivée des vols charters durant
    l'été, elle devient alors très animée. Au nord de
    Constanta, le site archéologique d'Histria mérite
    une visite. Il s'agit d'un ancien comptoir grec
    dont les origines remontent au VIIe siècle av.
    J.-C., et dont les vestiges sont plutôt bien
    conservés.

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Constanta
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Les stations balnéo-climatiques
  • Au sud de Constanta, tout le long du littoral
    jusqu'à la frontière bulgare, s'égrène une
    constellation de stations balnéo-climatiques
    Eforie Nord et Sud, Neptun, Aurora, Venus,
    Jupiter, Olympe, Saturne, Mangalia, auxquelles
    s'ajoute, au nord de Constanta, Mamaïa, figure
    emblématique du tourisme balnéaire à la roumaine.
    Toutes bénéficient d'un bon ensoleillement
    journalier, de nombreux équipements pour les
    activités sportives et nautiques sont prévues
    (piscines, lacs d'eau douce ou salée pour la
    planche à voile, voile, ski nautique et
    canotage). Elles offrent aussi plusieurs centres
    de balnéothérapie, réputés soigner les
    rhumatismes.

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Les villes
  • Bucarest
  • Ceinturée d'un carcan de banlieues bétonnées à la
    mode stalinienne, Bucarest est défigurée par de
    gigantesques et sinistres bâtiments, comme le
    palais du Parlement. Bucarest abrite néanmoins
    quelques beaux édifices ainsi que d'agréables
    vieux quartiers où flâner. Autour de la piata
    Unirii, centre névralgique de la capitale, on ne
    manquera pas la petite auberge Hanul Manuc, une
    splendide bâtisse transformée en hôtel-restaurant
    la strada Lipscani et les petites artères
    voisines, très animées le grand usée
    d'Histoire de la calea Victoriei, ainsi que
    l'église orthodoxe et la brasserie Carul cu Bere
    de la strada Stavropoleos. Un peu à l'écart du
    centre, le joli parc Herastrau abrite le musée du
    Paysan roumain et le musée du Village et d'Art
    populaire, qui rassemble, sur 10 hectares boisés,
    les principaux types d'architecture rurale de
    Roumanie.

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Bucarest
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  • Sibiu
  • Ville au charme désuet, Sibiu conserve intact son
    plan de cité médiévale. De multiples demeures et
    palais de style baroque y cohabitent
    harmonieusement avec des églises, des bastions et
    des tours gothiques. Le c?ur de la ville se
    concentre autour des deux places Piata Mica et
    Piata Mare, toutes deux entourées de façades aux
    tons pastel des plus élégantes. On y visitera le
    musée d'Histoire de la ville, le musée de la
    Pharmacie, la maison des Arts et le musée
    d'Ethnographie, ainsi que le palais Brukenthal,
    qui abrite une riche collection de toiles
    classiques. A voir aussi, l'église des
    Franciscains et l'église Evangélique,
    magnifiquement décorées.

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  • Brasov
  • Vieille cité médiévale saxonne (autrefois nommée
    Kronstadt), Brasov est vraiment séduisante, avec
    son centre piétonnier qui s'étire le long de la
    strada Republici, ses bastions et fortifications,
    ses églises orthodoxes et son musée d'art. Le
    centre piétonnier, tout autour de la place
    Statului, regorge de terrasses de cafés où il est
    agréable de prendre le soleil en regardant
    déambuler la foule. La piata Statului rassemble
    les plus beaux bâtiments médiévaux de la ville,
    en particulier la maison du Conseil, un édifice
    baroque doté d'une tour à horloge et dont la
    façade jaune est ornée des armoiries de la ville.
    Juste derrière la place se trouve l'église Noire
    (Biserica Neagra), la plus grande église de style
    gothique de Roumanie, d'une austère beauté.
    Autour de la place, on déambule dans un dédale de
    ruelles étroites bordées d'adorables maisons aux
    façades polychromes et aux toits de tuiles
    rouges. On ira également se promener dans
    l'ancien quartier du Shei ainsi qu'au sommet de
    la colline de la Timpa, accessible par
    télécabine, d'où s'offre un panorama magnifique
    sur Brasov.

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Poiana Brasov
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  • Cluj Napoca
  • Située à 165 km au nord-est de Sibiu, Cluj Napoca
    est une vieille cité enserrée entre plusieurs
    collines verdoyantes, mais dont les extensions
    modernes ont malheureusement dénaturé la beauté.
    Peuplée autrefois de Hongrois, Cluj Napoca a
    conservé une forte identité magyare, comme en
    témoigne la présence d'un théâtre-opéra hongrois
    et d'une grande église catholique, Saint-Michel.
    Les jeunes de la ville parlent souvent le
    hongrois ou l'allemand, et Cluj Napoca possède un
    aspect universitaire et culturel qui lui confère
    un style de vie très convivial.

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  • Sighisoara
  • Vieille cité saxonne fortifiée, Sighisoara
    possède un charme incomparable. La ville haute,
    protégée sur son promontoire par une enceinte
    pourvue de seize tours massives, avec ses ruelles
    pavées et ses belles maisons aux couleurs pastel
    et aux balcons fleuris, dégage une atmosphère
    médiévale et romantique, qui contraste
    singulièrement avec la grisaille de la ville
    basse. On pénètre dans l'ancienne citadelle par
    des escaliers resserrés entre les bastions et les
    redoutes. Sous le porche de la tour de l'Horloge,
    on aperçoit un magnifique beffroi orné de
    clochetons et couvert de tuiles émaillées jaunes
    et vertes. A heures régulières, le mécanisme de
    l'horloge s'enclenche, faisant tournoyer ses
    petites figurines en bois peint et résonner son
    joli carillon. Un peu plus loin, sur la strada
    Muzeului, une taverne à la facade ocre porte une
    plaque indiquant qu'il s'agit de la maison natale
    de Vlad Tepes, le prince Dracula, né en 1431. En
    remontant la strada Scolii, un long escalier
    couvert en bois permet de grimper jusqu'à
    l'église de la Colline (Biserica din Deal), de
    style gothique. A une trentaine de kilomètres de
    la ville, on ne manquera pas l'église de Biertan,
    classée par l'Unesco, une des plus belles églises
    fortifiées de Roumanie.

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  • Timisoara
  • Quatrième ville du pays, Timisoara est une cité
    universitaire et culturelle, dotée de nombreux
    parcs et jardins. Berceau de la révolution de
    1989, la ville est fière de disposer du niveau de
    vie le plus élevé du pays et d'une forte
    influence occidentale. Il est vrai que Timisoara,
    qui fut longtemps placée sous la domination des
    Habsbourg, dégage une atmosphère sympathique.
    Avec son architecture baroque très bariolée, ses
    fontaines et ses cafés, son style de vie
    décontracté et ses nombreux restaurants, elle
    fait songer à une "petite Vienne" de l'Europe
    centrale. Ses principaux points d'intérêt sont la
    fabuleuse cathédrale orthodoxe, le musée d'Art
    religieux et le musée du Banat, la place Unirii
    et la place Libertatii.

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Les arts et la culture
  • La légende de Dracula est inspirée par le
    personnage historique du prince Vlad IV
    (1430-1477), voïvode de Valachie, qui mena une
    lutte acharnée contre les Turcs. Sa férocité et
    sa cruauté légendaires lui valurent le surnom de
    "Tepes" c'est à dire l'empaleur, une technique
    qu'il utilisait à loisir pour punir ses ennemis
    et ses sujets insoumis. Dracula désigne en fait
    un titre d'appartenance à l'ordre de chevalerie
    du Dragon, titre qui lui fut transmis par son
    père. Malgré son aspect diabolique, Vlad Dracula
    inspire un grand respect en Roumanie, car il est
    considéré comme l'initiateur originel d'une
    nation qui ne s'appelait pas encore la Roumanie.
    Plus tard, Ceausescu s'identifiera à la nation
    toute entière, en entretenant son image de
    défenseur de l'indépendance roumaine face au
    grand frère soviétique, montant Dracula en héros
    national (ce qu'il fut d'une certaine manière).
    La légende veut que le corps de Dracula soit
    enterré au monastère de Snagov, près de Bucarest,
    lieu où les visiteurs pourront débuter leur
    itinéraire.

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Les monuments
  • Les monastères de Bucovine
  • Au départ de Suceava, un circuit en boucle de
    trois à cinq jours permet de visiter les
    principaux monastères de la région Dragomirna,
    Voronet, Humor, Arbore, Sucevita, Moldovita,
    Putna. Les ensembles monastiques, nichés dans des
    vallées aux paysages bucoliques, abritent des
    églises décorées de magnifiques fresques
    bibliques. Elles avaient pour principal but de
    stimuler la foi et le patriotisme des
    paysans-guerriers dans la lutte contre
    l'envahisseur ottoman. Les monastères sont
    habités par des communautés de nones et de popes
    dont les fidèles viennent solliciter la
    bénédiction. La foule des pèlerins qui défile
    chaque jour témoigne d'une foi très vivace.
    Durant les années noires de la dictature, c'est à
    l'ombre des monastères orthodoxes que la Bucovine
    a préservé son identité. Aujourd'hui, c'est de
    nouveau autour des clochers que renaît l'âme du
    pays. Au pied des monastères, des villageoises
    proposent des tissages, des tapis, et des peints,
    réalisés pendant les longues veillées d'hiver.

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  • Les châteaux de Dracula
  • Le site le plus fameux est le château de Bran,
    situé dans les Carpates méridionales, au sud de
    Brasov. Bram Stoker, le père littéraire du
    vampire (1897), a dû être très impressionné à la
    vue du château juché en haut d'une colline, au
    fond d'une chaîne de montagnes, jadis sauvages.
    Il en a fait, comme chacun sait, un haut lieu de
    la littérature fantastique. Il est vrai que ce
    château médiéval a le profil de l'emploi
    mystérieux, un brin lugubre... Sauf que le
    véritable château de Vlad Tepes, le prince qui
    inspira le personnage de Dracula, fut en réalité
    la citadelle de Poenari, dressée au sommet d'une
    montagne escarpée qui garde le passage entre la
    Valachie et la Transylvanie. Il est possible
    d'escalader la montagne jusqu'à la forteresse,
    mais le jeu n'en vaut pas la chandelle car seules
    quelques ruines subsistent

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Château de Bran
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Château de Peles
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Danses traditionnelles paysans travaillant
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fin
  • Pour en savoir plus de choses belles de notre
    pays, essayez les liens suivants- Traditions
    roumaines- L'art roumain- Paysages RoumainPour
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