Introduction la supersymtrie - PowerPoint PPT Presentation

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Introduction la supersymtrie

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Peut tre viol e en ajoutant au Lagrangien des termes qui violent la ... On construit un nouveau mod le ph nom nologique en ajoutant ces termes au Lagrangien de d part, avec de ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Introduction la supersymtrie


1
Introduction à la supersymétrie
2
Références
  • Introduction to global supersymmetry (notes de
    cours en ligne de P.Argyres U. Cincinnati)
  • http//www.physics.uc.edu/argyres/661/
  • M. Drees Introduction to supersymmetry
  • hep-ph/9611409
  • S. Martin A Supersymmetry Primer
  • hep-ph/9709356
  • Gian F. Giudice Beyond the Standard Model
  • Et bien sûr, pour le développement complet de la
    théorie, pour ceux qui nont pas froid aux yeux ?
  • The Quantum Theory of Fields Vol III, par Steven
    Weinberg

3
Motivations
  • Gravitation dans les modèles quantiques (1970)
  • Résoud des problèmes théoriques
  • Combine fermions et bosons en superchamps
  • Règle le problème de hiérarchie des masses
  • MSSM unification des constantes de couplage
  • Brisure radiative de la symétrie électrofaible
    dans le MSSM contraint (EWRSB)
  • Nécessaire à la théorie des supercordes
  • Il sera question ici de supersymétrie N1 (1
    générateur)

4
Hiérarchie des masses
  • Dans le modèle standard
  • m(fermions) interdites par symétrie chirale
  • m(bosons de jauge) interdites par invariance de
    jauge
  • termes de Yukawa et brisure de la symétrie
    électrofaible
  • Pour le Higgs, seule particule scalaire
  • pas de symétrie qui empêche la masse datteindre
    ? (1019GeV)
  • Corrections radiatives (1 boucle)
  • Solution possible? La supersymétrie !
  • (autre solution baisser ? à lordre du TeV
    (large extra-dimensions, etc))
  • 1018 GeV (gravit jauge) Coupure UV au-delà de
    laquelle autre physique (SM? théorie effective)

f
f
fine-tuning à tous les ordres pour atteindre
100 GeV
5
Hiérarchie des masses solution
  • Attribution dun partenaire bosonique à chaque
    fermion
  • Présence dans les boucles de ce spartenaire
    disparition de la divergence à tous les ordres!

  • SUSY exacte mparticule mspartenaire ?
  • SUSY brisée éviter le fine-tuning en gardant
    ?mH de lordre de la brisure de la symétrie
    électrofaible (MW)

f

f
Annulation exacte des corrections radiatives
6
Grande unification
  • ?i(Q) (échange de particules virtuelles)
  • Équation des groupes renormalisables
  • ?i-1(MZ) (58.98, 29.60, 8.47) Mesures au
    LEP
  • Les bi sont des constantes qui dépendent du
    groupe de jauge et des multiplets auxquels les
    bosons de jauge se couplent.
  • MS bi (41/10, -19/6, -7)
  • SUSY bi (33/5, 1, -3)
  • i 1,2,3 correspondant à U(1)Y , SU(2)L et SU(3)C

7
Grande unification
8
Le modèle supersymétrique le plus simple
  • Laction la plus simple quon peut écrire (termes
    cinétiques seulement)
  • où et
  • cest le modèle de Wess-Zumino sans masse et
    sans interaction.
  • La transformation supersymétrique devrait
    changer le boson en fermion
  • où e est un spineur
  • Et le fermion en boson
  • On applique les transformations

9
Le modèle supersymétrique le plus simple suite
  • On obtient
  • Les deux premiers termes sannulent, et lautre
    est une dérivée totale

10
Supercharge
  • Associe bosons et fermions par lopérateur Q
  • Règle daddition des spins ? Q a un spin
    demi-entier
  • Supercharge conservée ? anticommutateur est
    conservé

11
Théorème de Coleman-Mandula
  • Pour matrice S non-triviale, seules quantités
    conservées sont
  • vecteur dénergie-impulsion P?
  • générateurs des transformations de Lorentz J??
  • charges internes conservées commutant avec P?
    et J??
  • La conservation de P? et J?? ne laisse que
    langle de non-défini dans une collision à deux
    corps. Lajout dune autre qté conservée
    déterminerait cet angle ? ensemble discret
    dangles possibles. Or lamplitude de diffusion
    est une fct analytique de langle? Amplitude 0
    à tous les angles
  • Donc
  • Lanticommutateur de Q est relié à P?
  • Le spin de Q est ½

12
Supercharge
  • Relation danticommutation
  • De plus P?,P? 0
  • P?,Q 0
  • Conséquences
  • 2 transfo. susy ? même particule translatée dans
    lespace-temps
  • Chaque état (énergie non nulle) a un spartenaire
    ?J3 ? ½
  • Q commutant avec P2 et avec les générateurs des
    transformations de jauge, une particule et son
    spartenaire ont
  • La même masse
  • La même charge électrique
  • Le même isospin faible
  • Les mêmes degrés de liberté de couleur

13
Superespace
  • Introduit par Salam et Strahdee
  • Extension de lespace de Minkowski avec
    supercoordonnées (x?, , ) où ? est un
    spineur de Weyl (les ? anticommutent).
  • But ? obtenir une algèbre de Lie pour la
    supersymétriecomme dans le modèle standard
  • Transfo. susy
  • Translation G(a,0,0)  
  • 2 transfo. susy
  • Grâce à la formule de Hausdorff 

14
Superchamps
  • Fonction des paramètres x?, , qui se
    transforme sous une opération supersymétrique
    comme 
  • Développement dun superchamp en série finie de ?
    puisque
  • où qq?qAqB
  • Champs associés aux bosons A,B,C,D et V?, les
    autres champs étant fermioniques. (Relations de
    commutation)

15
Supermultiplets
  • Sous certaines conditions à la forme des
    superchamps, on obtient
  • - Des superchamps chiraux (champs matériels)
  • - Des superchamps vectoriels (champs de jauge)
  • Chacun de ces superchamps est associé à un
    supermultiplet de type différent (ici, sans
    masse).
  • - Un supermultiplet chiral contenant un fermion
    (spineur de Weyl (gauche ou droit)) et un boson
    complexe.
  • - Un supermultiplet vectoriel contenant un
    vecteur (2 états de polarisation) et un fermion
    (spineur de Weyl (gauche ou droit)).
  • Dans le cadre de la supergravité
  • - Un supermultiplet gravitationnel  contenant
    une particule de Rarita-Schwinger (gravitino spin
    3/2) et le graviton (spin 2).
  • Chaque supermultiplet contient un nombre égal de
    degrés de liberté fermionique et bosonique.
    (preuve ? voir A SUPERSYMMETRY PRIMER)

16
Lagrangien (SUSY globale non brisée)
  • Décomposable en 4 parties
  • Énergies cinétiques (supermult. chiral et
    vectoriel)
  • D dérivée covariante associée au groupe de
    jauge SU(3)xSU(2)xU(1)
  • ?i chacun des champs fermioniques du modèle
    standard avec partenaires supersymétriques
    scalaires Si (représentent aussi les Higgs)
  • F?? chacun des champs de jauge de Yang-Mills
    avec partenaires supersymétriques fermioniques ?.

17
Lagrangien (suite)
  • Interactions matière-gauginos
  • projection chirale gauche
    des champs fermioniques
  • TA matrice représentant les générateurs du
    groupe de jauge approprié
  • gA constante de couplage de jauge
    correspondante
  • 3. Couplages entre les scalaires des
    supermultiplets chiraux

18
Lagrangien (suite)
  • 4. Interactions des superchamps chiraux et
    interactions de Yukawa
  • z superchamp chiral
  • W superpotentiel (seule liberté dans le
    lagrangien, les constantes de jauge étant fixées
    par les interactions forte, faible et
    électromagnétique)
  • i,j indices des générations de SU(2)
  • ?U, ?D et ?L couplages de Yukawa (? masses
    quarks et leptons de première génération)
  • paramètre de masse de Higgs

19
Deux doublets de Higgs
  • Dans la SUSY, il faut deux doublets Pourquoi ?
  • Pour que les anomalies sannulent
  • Anomalies dues aux fermions détruisant la
    renormalisabilité sannulent dans le modèle
    standard en raison de lhypercharge faible.
  • 1- Anomalie du triangle ABJ associée à
    lhypercharge
  • 2- Anomalie globale de Witten (pour
    un nombre impair de fermions chiraux)
  • Si on introduit un seul higgsino ? anomalie !
  • Solution introduire 2 Higgsinos dhypercharge
    opposée, donc deux doublets de Higgs !

20
Deux doublets de Higgs
  • Pour que les quarks u et d acquièrent de la masse
  • Dans le modèle standard, Higgs se couple aux
    quarks de charge 2/3 et son conjugué aux quarks
    de charge -1/3 et aux leptons chargés
  • (conservation de lhypercharge empêche le même
    champ de se coupler aux deux secteurs)
  • SUSY Conjugaison de charge sur H ? même
    opération sur higgsino, donc change son hélicité
    ? Une expression du genre nest
    donc pas invariante sous la supersymétrie
  • Solution deux doublets de Higgs !

21
Mécanisme de Higgs
  • Les doublets sécrivent
  • (inclus dans des supermultiplets chiraux à
    lintérieur desquels ils sassocient à des
    higgsinos)
  • Le potentiel scalaire impliquant les bosons de
    Higgs
  • Pour que la symétrie électrofaible soit brisée

22
Mécanisme de Higgs (suite)
  • Pour sassurer que le potentiel est borné par le
    dessous
  • Puisque la symétrie électrofaible est brisée,
    lorigine, H10H20 0 doit correspondre à une
    configuration instable
  • Ces deux conditions sont impossibles à jumeler
    pour m1m2.
  • Les composantes neutres des doublets de Higgs
    acquièrent une valeur non nulle du vide et la
    symétrie SU(2) est brisée

(v12 v22)1/2 246 GeV
23
Spectre des Higgs
  • Avant la brisure de symétrie
  • deux doublets complexes de Higgs ? 8 degrés de
    liberté
  • 3 ont servi à donner la masse aux bosons W et Z
  • Il reste 5 degrés de liberté physiques 

-Deux boson de Higgs chargés, H? -Un boson de
Higgs pseudoscalaire neutre, A -Deux bosons de
Higgs scalaires neutres, h et H (mh lt mH)
AVANT corrections radiatives
24
Masse des bosons de Higgs
  • Les masses sont déterminées grâce à 2 paramètres
    indépendants, généralement

Mh lt MZ ?!? Corrections radiatives ? Limite
actuelle mh gt 114 GeV ? assuré de le trouver au
LHC
25
Recherche du h au LEP
26
MSSM(modèle standard supersymétrique minimal)
  • Extension supersymétrique directe du modèle
    standard avec nombre minimal de nouvelles
    particules et interactions.
  • quarks ??squarks,
  • leptons ??sleptons
  • Bosons de Higgs ?? Higgsinos
  • Bosons de jauge ?? gauginos

27
MSSM(modèle standard supersymétrique minimal)
Les indices L et R pour les scalaires indiquent
que ce sont les spartenaires des fermions
dhélicité droite et gauche. Ce ne sont pas des
indices dhélicité puisque leur spin est nul !
En raison des nombres quantiques, les
spartenaires sont de nouvelles particules.
28
Higgs et neutrinos?
  • Les nombres quantiques du supermultiplet H2 sont
    les mêmes que ceux du supermultiplet des leptons
    et sleptons gauches Li
  • Plus économique de les associer en
    superpartenaires au lieu de les mettre dans des
    supermultiplets différents ?
  • Violation du nombre leptonique
  • Masse au-delà des contraintes expérimentales
    pour au moins un des neutrinos
  • Tous les spartenaires sont de nouvelles
    particules

29
États propres de masse
  • Après brisure de la symétrie électrofaible, deux
    particules de même couleur, charge et spin
    peuvent se mélanger.

30
Interactions inchangées
  • Exemple
  • pour
  • ou pour
  • ? Les interactions de jauge des sleptons, squarks
    sont les mêmes que celles des particules du MS
    correspondantes
  • Mais la phénoménologie dépendra beaucoup des
    paramètre supersymétriques ainsi que de la
    conservation / violation de la R-parité

q
q
31
Parité R
  • Définie comme
  • R -1 particules susy
  • R 1 particules ms
  • Si la parité R est conservée
  • Particules susy produites en paires à partir des
    particules connues du ms.
  • Particules susy se désintègrent en nombre impair
    de particules susy.
  • La particule susy la plus légère (LSP) est stable
  • Limites cosmologiques ? masse et abondance
    matière sombre ?
  • LSP sans interaction forte ou électromagnétique.
  • Neutralino souvent considéré comme LSP

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Violation de la parité R
  • Peut être violée en ajoutant au Lagrangien des
    termes qui violent la conservation du nombre
    leptonique ou baryonique, tout en étant
    invariants sous SU(3)xSU(2)xU(1)
  • Phénoménologie différente si on prend non nul ?B
    , le terme de couplage de violation du nombre
    baryonique, ou les autres couplages violant le
    nombre leptonique
  • Attention prendre ?B et un autre terme non nul à
    la fois peut amener la désintégration rapide du
    proton !!!

33
Brisure de la supersymétrie
  • Aucune sparticule na été observée Leur masse
    nest donc pas la même que celle des de leur
    partenaire modèle standard !
  • Supersymétrie devrait être spontanément brisée
    (Lagrangien invariant sous la supersymétrie, mais
    pas létat de vide )
  • Or, le mécanisme est encore inconnu !
  • Introduction de termes brisant explicitement la
    supersymétrie dans le Lagrangien (manifestation
    dune théorie plus fondamentale encore inconnue)
    ? Modèle de ORaifearthy

34
Mais avant Sparticules plus massives ?
  • Y a-t-il une bonne raison pour que les
    sparticules soient plus massives ou essaie-t-on
    seulement de matcher lexpérience qui ne les a
    pas encore découvertes?

Toutes les particules du MS seraient sans masse
sans la brisure de symétrie électrofaible W,Z0,le
ptons,quarks obtiennent leur masse après brisure
de la symétrie électrofaible photons et gluons
doivent être sans masse en raison des invariances
de jauge é-m et forte Toutes les particules
spartenaires peuvent avoir un terme de masse sans
brisure de symétrie électrofaible Squarks,
sleptons et Higgs ont un termes de masse m2f2
permis par les symétries de jauge Higgsinos et
gauginos? termes permis gauches et droits ont
les mêmes interactions
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Termes doux de brisure de susy
  • Donnent de la masse aux squarks, sleptons,
    gauginos, les différentiant de leur partenaire
  • Termes de mélange trilinéaires ai et bilinéaire
    B
  • On construit un nouveau modèle phénoménologique
    en ajoutant ces termes au Lagrangien de départ,
    avec de nouveaux coefficients à être déterminés
    par lexpérience
  • Les termes ne doivent pas empêcher lannulation
    des divergences qui causaient problème
    (hiérarchie des masses) !
  • De plus, ils respectent la parité R et
    linvariance sous SU(3)xSU(2)xU(1)
  • Grisaru et Girardello ont écrit tous les termes
    qui respectaient ces conditions

36
MSSM contraint
  • 124 paramètres indépendants (18 du ms ) ? 106
    nouveaux paramètres à déterminer
    expérimentalement !!!
  • Suppositions concernant le nombre de paramètres
    indépendants à léchelle de la grande
    unification
  • o       Lunification de la masse des gauginos 
  • o       Lunification de la masse scalaire 
  • o       Lunification tri-linéaire 
  • Ce qui laisse, comme autres degrés de liberté 
  • o       Un paramètre de mélange du Higgs,  tan ?
  • o       Le paramètre de masse du Higgs  ?
  • Restriction supp. Z obtient la bonne valeur
    de masse ? fixe
  • laissant le signe de ? comme paramètre
    libre.

37
EWRSB(Brisure radiative de la symétrie
électrofaible)
  • À partir de léchelle de grande unification, les
    masses évoluent selon les équations de groupes de
    renormalisation pour conduire à des masses et des
    couplages pour toutes les particules à basse
    énergie
  • H2 étant le champ de Higgs responsable de la
    masse du top, la masse élevée de celui-ci fait
    que m22 diminue et peut devenir négative à
    léchelle faible tandis que m12 reste positive.
  • m12 gt 0 et m22 lt 0 ? brisure de symétrie
    électrofaible
  • Au lieu dinclure la brisure à la main en posant
    m2 lt 0

38
EWRSB
39
mSUGRA (Modèle de supergravité minimale)
  • Même hypothèse dunification que le MSSM
    contraint.
  • On considère une supersymétrie locale
    (transformations susy dépendent des coordonées
    despace-temps), on doit introduire une nouvelle
    particule de jauge de spin 2 le graviton !
  • À ce graviton est associé le gravitino de spin
    3/2 qui pourrait résoudre des problèmes de
    renormalisation de la gravitation quantique les
    divergences de certaines boucles de graviton
    seraient compensées par leur équivalente en
    gravitino
  • Par le théorème de Goldstone, si la brisure de la
    supersymétrie est spontanée alors un fermion de
    goldstone sans masse, le goldstino doit exister.
    Il est enlevé du spectre physique des particules
    lorsque le gravitino lavale et acquiert ainsi
    de la masse (mécanisme de super-Higgs).

40
Brisure de la supersymétrie
  • Théorème de la supertrace
  • Si la brisure spontanée de la supersymétrie est
    transmise par une interaction renormalisable au
    premier ordre, la somme sur toutes les masses au
    carré des multiplets, pondérées par des facteurs
    de spin, doit être nulle
  • (Bosons contribuent de façon positive, les
    fermions, de façon négative)
  • Pour que ce théorème soit respecté, il faudrait
    que certaines sparticules soient plus légères que
    leur particule associée, ce qui est
    expérimentalement faux !
  • Il faut donc trouver un mécanisme de transmission
    de la brisure de la supersymétrie pour lequel le
    théorème de la supertrace ne sapplique pas.

41
Origine de la brisure de la susy
  • Le secteur dans lequel la brisure a lieu
    détermine léchelle à laquelle la supersymétrie
    est brisée, et cette brisure est transmise au
    secteur des squarks, sleptons et gauginos via une
    certaine physique qui détermine le spectre en
    masse de ces sparticules.
  • Secteur dorigine secteur caché
  • (particules neutres par rapport aux groupes de
    jauges du modèle standard)
  • Secteur visible particules du MSSM
  • Quatre scénarios
  • Gravité agit comme messager entre secteur caché
    et visible
  • Brisure transmise via des forces de jauge
    messagers de nombre quantique SU(3)xSU(2)xU(1)
    virtuels échangés entre secteur caché et visible
  • Secteur visible et caché sur deux branes séparés.
    Brisure transmise via des champs vivant dans
    lespace séparant ces deux branes. (dimensions
    supplémentaires)
  • Mécanisme de Scherk-Schwarz Théorie avec Dgt31
    compactifiée en 4 dimensions despace-temps. SUSY
    brisée par conditions frontières sur lespace
    compactifié, différenciant fermions et bosons.

42
Problèmes de génération
  • La plupart des termes de brisure douce de la
    supersymétrie violent la symétrie entre les
    générations et donnent des contributions trop
    grandes aux FCNC (flavour changing neutral
    currents).
  • Mécanisme de GIM dans le modèle standard empêche
    les FCNC. Or, les matrices de quarks et de
    squarks indépendantes, donc pas diagonalisées par
    des rotations égales des champs de quarks et
    squarks
  • Courants neutres impliquant des vertex
    gluino-quark-squark peuvent engendrer des
    transitions importantes entre les générations !

43
Solution aux FCNC
  • Deux solutions
  • Les termes de brisure de la supersymétrie
    respecte la symétrie entre les générations
    (solution incorrecte pour bien des modèles)
  • Les termes de brisure violent la symétrie entre
    les générations, mais sont alignés avec le
    secteur fermionique du modèle standard (nouvelle
    symétrie ou mécanisme dynamique ?)
  • Solution doit être liée au mécanisme de la
    brisure de la supersymétrie nouveaux
    développements théoriques attendus.

44
Phénoménologie
  • Désintégrations à deux corps pour neutralinos et
    charginos
  • À 3 corps où f lepton ou quark avec
  • f et f dans le même multiplet SU(2)L
  • Désintégration des sleptons
  • Sleptons droits sans couplage à SU(2)L ?
    préférent se désintégrer selon
  • si est majoritairement de
    type bino.
  • Sleptons gauches préfèrent
  • si et de type wino

(slepton-lepton-wino g de SU(2)L gt
slepton-lepton-bino g de U(1)Y )
45
Phénoménologie (suite)
  • Désintégrations des squarks
  • domine si admise (force QCD)
  • sinon avec préférence L et R comme
    sleptons
  • Désintégrations des gluinos
  • domine si admise (force QCD)
  • si les squarks sont trop lourds

46
Signature dans les collisionneurs (exemples)
  • Collisionneur ee-
  • Sparticules produites en paires
  • Désintégrations jusquà la LSP
  • Si LSP neutralino ? énergie manquante 2
    mneutralino
  • Collisionneurs hadroniques
  • Signaux de type
  • n leptonsm jets énergie transverse manquante
  • Canaux où le bruit du modèle standard est faible
  • Deux ou trois leptons de même charge par exemple
    avec énergie manquante et possiblement des jets.

Ne pas oublier aussi la phénoménologie où la
parité R est violée (la LSP se désintègre aussi
!)
47
Recherche au LEP
48
Recherche au LEP - suite
49
Recherche au LEP - suite
50
Limite sur la masse du neutralino obtenue au LEP
51
Points étudiés par ATLAS (LHC)
52
Autres limites
  • Dans le cas dune R-parité conservée, on a une
    LSP ? matière sombre de lunivers
  • WMAP (mesures des anisotropies dans le
    rayonnement de fond cosmologique) a donné des
    contraintes sur la matière sombre ? contraintes
    sur lespace supersymétrique !
  • Détection directe du neutralino possible comme
    dans PICASSO (collisions élastiques avec des
    noyaux dans des gouttelettes surchauffées)?
    limites sur les sections efficaces
    neutralinos-noyaux
  • Accumulation de neutralinos au centre de la
    Terre, du Soleil, etc. Co-annihilation de
    neutralinos donnant des neutrinos très
    énergétiques pourrait être une signature.

53
Densité relique de neutralinos
Région verte en accord avec WMAP 1-  Bulk
annihilation region  annihilation des c par
paires à grand taux via un échange de slepton 2-
 Stau co-annihilation region  Les masses du
stau et du c sont presque les mêmes
co-annihilation entre eux au début de
lunivers 3-  Hyperbolic branch/focus point
region (HB/FP)  c ont une composante higgsino
significative, ce qui facilite leur annihilation
en WW et ZZ 4-  A-annihilation funnel  (pas
montrée ici, seulement pour de très grands tanb
(gt45)) mA2mc ? annihilation par résonance A0 en
une paire fermion/antifermion
  • Régions exlues
  • - Exclusions théoriques en rouge (pas de brisure
    radiative de la symétrique électrofaible ou LSP
    chargée)
  • Densité relique trop importante pour les mesures
    de WMAP (bleu et blanc) ou trop faible (jaune)

54
Autres limites
  • Les particules supersymétriques peuvent aussi
    modifier des valeurs obtenues dans le cadre du
    modèle standard par lapparition de sparticules
    dans les boucles
  • ? Moment magnétique anormal du muon (g-2)

55
(No Transcript)
56
Conclusion
  • La supersymétrie est une extension du modèle
    standard qui permettrait de régler plusieurs
    problèmes (hiérarchie des masses, grande
    unification, brisure radiative de la symétrie
    électrofaible)
  • Mais
  • Mécanisme de la brisure de la supersymétrie
    inconnu
  • R-parité conservée ? Violée ?
  • Très grand espace de paramètres possibles !
  • Pas encore dobservations expérimentales dans
    lattente du LHC (printemps 2007 ?)
  • Nexplique pas les paramètres libres ? décidément
    cest un problème récurrent !
  • Beyond susy?
  • Théorie des supercordes ?
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