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Diapositive 1

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Aller la rencontre des enfants et des adolescents aux prises avec le syst me ... Notre premi re id e a t de nous interroger sur les raisons de ce massacre. ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Diapositive 1


1
Collège Robert Desnos Concours de la Résistance
et de la Déportation 2008-2009
Classe de 3B Mathieu Berthollet Fatmanur
Karatas Benjamin Cipro Neslihan
Ozkul Alexandra Djomo Charlote
Sorro Thomas Jeune Lucie Tisserand
2
Les enfants et les adolescents
dans le
Système concentrationnaire nazi
3
Auschwitz-Birkenau, janvier 1945. Des enfants
derrière les barbelés lors de la libération du
camp par l'Armée soviétique.
4
Aller à la rencontre des enfants et des
adolescents aux prises avec le système
concentrationnaire nazi est un parcours
particulièrement douloureux et émouvant. Notre
première idée a été de nous interroger sur les
raisons de ce massacre. Puis, nous avons suivi
un parcours à la rencontre d'enfants juifs
déportés près de chez nous les enfants de la
Martellière et ceux d'Izieu . Nous avons
ensuite essayé de mieux comprendre la vie
quotidienne des enfants dans les camps à partir
des témoignages de Thomas Gève, Maurice Cling et
ceux des enfants de déportés politique de Bergen
Belsen.
5
Nous avons découvert que larrivée des enfants
et adolescents dans le système concentrationnaire
correspondait à la mise en application des
théories Hitlériennes et en particulier - Les
persécutions et exterminations à caractère racial
Les nazis souhaitaient faire de LEurope un
continent  judenrein  cest-à-dire  purgé de
ses juifs . Si la majorité des enfants sont des
enfants juifs, ils ne sont pas les seuls
concernéset on note également une proportion non
négligeable denfants dorigine tzigane.
Ce crime amorcé dès 1939, sest intensifié
après la Conférence de Wannsee de 1942 qui
planifia les conditions dexécution de la
 solution finale de la question Juive .
6
(No Transcript)
7
Au départ, toutefois, les enfants nétaient pas
directement concernés par le Génocide, c'est un
peu comme si l'enfance était niée par les
nazis,et la décision de les inclure dans la
 solution finale  est tardive. A la fin de
1941, les Allemands commencent à avoir des doutes
sur leur capacité à vaincre les alliés et
décident damplifier leur répression contre les
juifs. Cette logique déliminer les enfants
permet notamment de sassurer quaucun ne puisse
être amené, plus tard, à se venger. Un autre
élément est à prendre en considération pour ce
qui concerne la France. Comme lindique
Delphine Deroo dans Les enfants de la
Martellière, Au départ,  Les Français et les
Allemands s'opposent sur le sort des
enfants. Dans le plan préparé par les Nazis à
l'insu de Vichy, ils ne sont pas inclus dans les
catégories de déportables . Mais, le
gouvernement de Vichy va proposer de ne pas les
 exclure de cette grande opération de transfert
vers l'est.  On souhaitait régler ainsi le
problème des nombreux enfants abandonnés dans
les villes françaises, suite aux rafles et à la
déportation de leurs parents.
8
(No Transcript)
9
Après août 1942, l'Office central de la sécurité
du Reich fait savoir que les enfants de Juifs
non français peuvent être déportés (...). Les
autorités françaises les intégreront dès lors aux
convois. Une circulaire en date du 18 août
nommera cette mesure  regroupement des
familles .  Par cet acte, Vichy supprime tout
simplement la possibilité de sauver les enfants.
La question de savoir comment ces sinistres
événements se sont déroulés s'est alors imposée
à nous et nous avons suivi un parcours historique
visant à aller à la rencontre de certains de
ces enfants en nous rendant tout d'abord tout
près de chez nous, à quelques kilomètres du
collège et en nous documentant sur l'histoire
des enfants de la Martellière dont notre guide
lors de la visite de notre classe au Musée de la
Résistance et de la Déportation de Grenoble nous
avait parlé.
10
La Martellière
C'est une modeste maison à Voiron à côté du lycée
La Martellière qui est maintenant détruite. Pour
s'y rendre, il fallait monter sur les hauteurs de
Voiron, passer devant le lycée agricole puis
tourner à droite, juste après le lavoir de La
Martellière.
Au rez-de-chaussée,se trouvait la
cuisine,chauffée par un poêle en fonte. Les deux
chambres étaient à l'étage. Il a fallu attendre
plus de cinquante ans pour que cette vieille
bâtisse,aujourd'hui détruite et effacée de la
mémoire locale,entre dans l'histoire. Un
demi-siècle de silence autour d'une rafle
oubliée.
11
Les enfants de la Martellière
Une nuit de mars 1944, dix-sept juifs qui y
habitaient, sont arrêtés par la Gestapo et
déportés vers les camps d'Europe de l'Est. Parmi
eux, seize enfants, dont un seul survivra. De ce
destin tragique, il n'est resté aucun témoignage
écrit .
12
Extrait de la lettre rédigée par le rabbin Zalman
Chneerson, directeur de la maison, quelques
heures après la rafle et destinée au préfet de
l'Isère, Roger Homo.
Simon Rowinski, 14 ans et son neveu
Jacques Rowinski, dit Toto, 7 ans
Extrait de la lettre écrite par Z. Chneerson au
Préfet de l'Isère
13
Un article du Monde du 2 décembre 1997 nous donne
quelques renseignements sur leur destin tragique
Les 18 de la Martelière sont restés deux jours
au siège grenoblois de la Gestapo avant d'être
conduits au camp de Drancy. Trois semaines plus
tard, les 11 plus jeunes et Marie, la cuisinière,
sont déportés vers Auschwitz par le convoi 71.
Erwin Uhr, le seul rescapé, considéré comme apte
au travail, les a vu partir vers les chambres à
gaz de Birkenau, sur ordre du bourreau nazi
Mengele son frère Karl, âgé de 9 ans ainsi que
Simon et Jacques (Toto) Rowinski. Les plus
grands, passent quelques mois à Drancy. Début
mai, Bernard Rowinski, le frère aîné de Simon et
Jacques, écrit ceci  Je vois surtout mon amour
de Toto assis sur mes genoux, les yeux à demi
clos, en train de me poser des questions. C'est
dans cette attitude que je me suis séparé de
lui. . Bernard et les autres grands seront
déportés le 15 mai 1944, par le convoi 73.
14
Voici la plaque commémorative apposée sur le mur
de la maison qui abrita autrefois cette
 colonie  d'enfants dirigée par le Rabin Zalman
Chneerson
15
Les mémoires de la vie
Ces enfants sont morts parmi six millions
d'autres Juifs. Il n'ont pas eu le droit à des
funérailles, et pour certains d'entre eux, aucun
proche n'a survécu à la barbarie pour porter leur
deuil. Pour les victimes des camps
d'extermination nazis, il n'y a pas de pierre
tombale sur laquelle on pourrait se recueillir.
La seule chose qui reste, le seul lien que nous
gardons avec eux, c'est la mémoire. Comme
l'exprimait André Vallini, député de l'Isère à la
cérémonie de commémoration de la rafle  
L'oubli, nous le savons tous, est comme une
deuxième mort. 
16
Après les enfants de la Martellière, nous nous
sommes intéressés aux enfants d'Izieu. Izieu
se situe à une heure de route du collège et nous
avons eu la chance de pouvoir nous y rendre,
Monsieur Robas, le Principal, nous ayant permis
de partir là bas tous les huit avec le minibus
du collège, accompagnés de notre professeur
d'histoire, d'un parent et d'un agent du collège
qui nous a conduit. Cette visite nous a
bouleversés tant il était émouvant d'imaginer la
terreur ressentie par ces enfants arrachés
brutalement à ce cadre si calme et paisible.
Notre guide nous a bien fait comprendre toute
l'horreur que représentait cet événement
tragique.
17
La Maison d'Izieu
La Maison d'Izieu, ouverte par Sabine et Miron
ZLATIN, accueillit de mai 1943 à avril 1944 plus
de cent enfants juifs pour les soustraire aux
persécutions antisémites.Le 6 avril 1944, la
Gestapo de Lyon, sur ordre de Klaus BARBIE,
arrêtait les 44 enfants qui s'y trouvaient et
leurs sept éducateurs, parce qu'ils étaient
juifs.Parmi les personnes présentes, seul Léon
REIFMAN a pu s'échapper en sautant par la fenêtre.
Ils y avaient 42 enfants et 5 adultes ont été
gazés dans le camp d'extermination
d'Auschwitz-Birkenau.Seule une adulte, Léa
FELDBLUM, sélectionnée pour le travail à son
arrivée, en revint.
François MITTERRAND, alors Président de la
République, a inscrit le projet parmi les Grands
Travaux. Il a inauguré le Musée-Mémorial des
enfants d'Izieu le 24 avril 1994 en présence de
nombreuses personnalités, dont Jacques CHIRAC.
18
D'avril 1943 au 6 avril 1944, la  Colonie d'
enfants Réfugiés d'Izieu, accueille 105
enfants. La maison sert de lieu de passage à
certains de ces enfants, avant qu'ils soient
pris en charge par une famille d'accueil, une
autre colonie ou une filière pour gagner la
Suisse. Le 6 avril, 44 enfants sont encore
présents (Izieu était la dernière maison de ce
type non encore évacuée par l'OSE, Oeuvre de
Secours aux Enfants) . Les enfants arrivèrent
le 6 avril à la prison de fort Monluc à Lyon et
seront tour à tour interrogés par la Gestapo
puis, envoyés à Drancy qui est le dernier lieu
d'internement des juifs de France avant la
déportation vers les camps d'extermination. Le 13
avril, ils partent pour Auschwitz par le Convoi
n71 (le même que celui des enfants de la
Martelière). Dans ce convoi, se trouvaient 148
enfants de moins de 12 ans et 295 de moins de 19
ans. Le convoi arrive à Auschwitz II-Birkenau
le 15 avril. Léa Feldblum est poussée hors du
train avec les enfants trop petits pour
descendre du wagon en sautant. Sur le quai, la
sélection est effectué entre  aptes  au travail
et  inaptes  envoyés en camion directement à la
chambre à gaz. Les 34 enfants d'Izieu sont
dirigés vers les structures d'extermination. Les
corps sont brûlés. Le plus jeune de la Colonie,
Albert Bulka, avait 4 ans. Les autres enfants de
la colonie, arrivés par d'autres convois, furent
également assassinés à Auschwitz.
19
En 1987, au lendemain du procès de Klaus BARBIE,
déclaré coupable de ce crime contre l'humanité,
s'est constituée autour de Sabine ZLATIN et de
l'ancien sous-préfet de Belley, Pierre-Marcel
WILTZER, l'Association du Musée-mémorial
d'Izieu.Il s'agissait pour les fondateurs, venus
de tous les horizons, de se porter acquéreurs de
la Maison d'Izieu et d'y créer un musée ayant
pour thème les enfants juifs d'Izieu et le crime
contre l'humanité.
On imagine sans peine le traumatisme intense
ressenti par ces enfants tout le contraste est
grand entre le cadre paisible et serein de la
raison d'Izieu, cernée par les montagnes et
l'horreur des wagons surpeuplés en partance pour
les camps de la mort...
20
La liste des enfants déportés d'Izieu
Une photographie de la colonie pendant l'été
1943
21
Toujours, à Izieu, et dans le but de mieux
comprendre le quotidien des enfants déportés,
nous avons eu la chance de pouvoir visiter
l'exposition consacrée aux dessins de Thomas
Gève, un jeune garçon qui a survécu à la
déportation et qui apporte un précieux témoignage
sur la vie, ou plutôt la survie, des enfants dans
les camps.
22
La vie de
Thomas GEVE
Thomas GEVE a été arrêté avec sa mère en juin
1943 à Berlin et a été déporté à Auschwitz, il
avait alors treize ans. Il est enregistré le 29
juin 1943 comme prisonnier déporté dans le camp
d'extermination et de concentration d'Auschwitz.
En janvier 1945, devant l'approche des
Soviétiques, Thomas et d'autres prisonniers sont
envoyés vers le camp de Buchenwald, car les nazis
commencent à évacuer le camp d'Auschwitz.
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Quelques dessins
De Thomas GEVE
Ces dessins de Thomas GEVE expriment la
souffrance des enfants déportés et expliquent le
fonctionnement des camps où ils étaient déportés.
Voici un jour de la semaine à Auschwitz. Thomas
explique qu'ils travaillaient de 5h du matin à
19h30
Ceci représente l'appel quotidien, où les
sous-officiers comptaient les déportés pour voir
si il y avait le bon nombre de personnes.
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Autre témoignage qui nous renseigne sur la vie
des enfants dans les camps, celui de Maurice
Cling, déporté à l'âge de 15 ans.
25
Maurice CLING
26
Les témoignages de Maurice CLING
  Je dois remplir une vielle brouette
métallique rouillée. Dés qu'elle est pleine, un
autre détenu la roule jusqu'à l'endroit voulu.
La pelle me semble terriblement pesante . La
chaleur est torride, ma bouche se dessèche. 
La blessure est inquiétante, d'autant plus que
nous marchons dans la poussière et la boue ,et
que nos chaussettes sont des chiffons
sales   Nus,nous sommes exposés dans notre
vérités biologique Les chairs flasques,les os de
plus en plus saillants, comme si le squelette
gagnait du terrain, nus pour la toilette nus pour
dormir, nus pour le contrôle de poux.   On y
sert la soupe , les détenus s'allongent sur des
planches pendant la pause chose
surprenante,  Du livre de Maurice CLING   Un
enfant à Auschwitz 
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Les camps de concentrations sont mal adaptés
pour les enfants et adolescents. Par exemple,
les nouveaux-nés mouraient de faim car leurs
mères, affaiblies par les rudes conditions de
vie, n'avaient pas assez de force pour les
nourrir convenablement. A Auschwitz-Birkenau ,
les jumeaux tziganes et juifs étaient favorisés
par le Dr. Mengele qui faisait des
pseudo-expériences médicales sur eux. Ils les
attiraient en leur offrant des bonbons. A
Neuengamme, le médecin SS Kurt Heissmeyer avait
procédé a l'ablation des ganglions lymphatiques
sur les enfants et leur avait injecté le bacille
actif de la tuberculose par piqûres. Il disait
que pour lui  il n'y avait aucune différence
entre les juifs et les animaux. 
28
Des millions d'enfants orphelins, livrés à eux
même, travaillaient afin de pouvoir manger une
bouchée de pain.  De minces épluchures de
pommes de terre laissées par quelqu'un, du chou
pourri, du pain moisi ... tout cela était un
festin.  Cette citation est tirée de la légende
des dessins de Thomas GEVE et témoigne sur les
difficultés de se nourrir à sa faim. Cependant,
il exista un camp de  luxe  où des enfants
prisonniers de guerre ne connaissaient pas autant
de malheur que dans les camps de concentrations
classiques. Il s'appelait le ghetto-camp de
Theresienstadt (Tchécoslovaquie) qui servait à la
propagande Hitlérienne. En réalité, des convois
en partaient régulièrement pour le camp
dextermination dAuschwitz-Birkenau.
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Autre cas particulier qui nous permet de mieux
comprendre le quotidien d'enfants plus jeunes
dont les témoignages sont très rares étant donné
que les moins de 15 ans étaient généralement
gazés à leur arrivée dans les camps, celui des
enfants de déportés politiques de Bergen Belsen
dont nous avons reçu le témoignage par le Cercle
de la Shoah. Sont bien décrits la faim, la peur
pour ses proches, la saleté, la présence de
parasites et en particulier des poux. Francine
Christophe raconte la faim atroce qui la
tenaillait au point d'atroces douleurs. Elle
raconte aussi les coups de Goumi
(matraque)? Rosalie Widawski et sa soeur de 6
ans, Paulette expliquent qu'ils étaient amenés
à voler du pain, des rutabagas, à se battre pour
se nourrir. Le froid, notamment durant les appels
du matin ( 2 heures au minimum) pendant lesquels
il fallait rester immobile était horrible
également. La mortalité était très forte car le
camp était atteint par des épidémies de Typhoïde,
dyssenterie, tuberculose, typhus. Des milliers
de cadavres s'amoncellaient sur le sol et,
l'habitude aidant, les enfants ne les
remarquaient même plus.  Il y en a tellement
que ça fait partie du paysage  explique Victor
Perahia , arrêté à 9 ans et déporté en 1944 à
l'âge de 11 ans.
3000 enfants de moins de 15 ans furent
internés 500 survivaient à la Libération
30
L'humanité de la déportation, plus inhumaine
encore quand elle concerne des enfants et des
adolescents, est apparue au grand jour au moment
de la libération des camps entre janvier et mai
1945. La plupart des historiens parlent d'un
million à un million et demi d'enfants victimes
du génocide. En France, d'après Serge Klarsfeld,
sur environ 70 000 enfants et adolescents juifs
en 1940, 11400 ont été arrêtés et déportés à
Auschwitz-Birkenau. Environ 200 ont survécu. En
Isère, 80 enfants juifs sont déportés, trois
survivront ... La prise de conscience de
l'horreur du génocide a abouti à des procès,
comme le procès de Nuremberg et à la définition
de la notion de  crimes contre l'humanité .
Elle déboucha également sur l'adoption par
l'Organisation des Nations Unies de textes
fondamentaux de défense des droits de l'homme,
en 1948, la Déclaration Universelle des Droits
de l'Homme et en 1959 la Convention
internationale des Droits de l'enfant.
31
2. Les Etats parties prennent toutes les mesures
appropriées pour que l'enfant soit effectivement
protégé contre toutes formes de discrimination ou
de sanction motivées par la situation juridique,
les activités, les opinions déclarées ou les
convictions de ses parents, de ses représentants
légaux ou des membres de sa famille. 1ère
partie, article 2 de la Convention internationale
relative aux Droits de l'Enfant
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En conclusion, Il est rassurant de penser que
des associations luttèrent dans le but de
protéger et d'évacuer des enfants. C'est le cas
de l'OSE (lOeuvre de Secours aux Enfants) et
que beaucoup d'enfants ont pu échapper à la
barbarie nazie grâce au courage de certains
particuliers qui n'ont pas hésité à prendre des
risques pour les cacher. Ainsi, l'histoire
émouvante d'Anne-Marie Mingat, Iséroise qui cacha
chez elle une petite fille juive de quatre ans.
Acte pour lequel elle a reçu à Israël la médaille
des Justes.
Une photo au Musée de la Résistance montre Mme
Mingat plantant un arbre avec l'enfant qu'elle
avait sauvée, devenue adulte
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Bibliographie
Livres -Maurice Cling, Un enfant à
Auschwitz -Delphine Deroo, Les enfants de la
Martellière -Stéphane Bruchfeld, Paul A. Levine,
 Dites-le à vos enfants , Histoire de la Shoah
en Europe, 1933-1945 -Catherine Coquio, Aurélia
Kaliski, L'enfant et le génocide,témoignages sur
l'enfance pendant la Shoah Revues spécialisées
-Le Patriote résistant, supplément du n 826 de
décembre 2008 -Mémoire vivante, n57, numéro
spécial, septembre 2008 -Cahier pédagogique,
janvier 2008 -La lettre d'Izieu, janvier
2000 Article -Le Monde, 2 décembre
1997,Philippe Broussard,  Voiron la rafle
oubliée  DVD -Les enfants juifs de prisonniers
de guerre déportés à Bergen Belsen en 1944, édité
par l'Amicale des Anciens Déportés de
Bergen-Belsen, 2008 -Enfants et adolescents juifs
dans le système concentrationnaire nazi, Union
des Déportés d'Auschwitz et Cercle d'étude de la
Déportation et de la Shoah Amicale
d'Auschwitz. Sites internet consultés www.cercles
hoah.org/ www.crdp-reims.fr/memoire/enseigner/memo
ire_deportation/enfants.htm www.resistance-en-iser
e.com/Commun/docs/
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Remerciements
Nous tenons tout dabord à remercier, Monsieur
Robas, Principal du collège pour avoir accepté
de nous laisser partir à Izieu et nous avoir
permis de réaliser matériellement cette visite,
monsieur Jean-Louis Chardon, agent du collège,
qui a eu la gentillesse de nous conduire à
destination ainsi que Madame Berthollet qui nous
a accompagnés et sans qui nous naurions pu voir
se concrétiser notre projet de visite. Nous
remercions chaleureusement notre guide à la
maison dIzieu qui a su nous transmettre son
émotion dans ses lieux si douloureux. Enfin,
nous remercions bien sûr notre professeur
dhistoire, madame Jayet qui nous a proposé ce
concours et épaulé pour lélaboration de ce
travail ainsi que Mme Sallaberry, documentaliste,
qui a acheté rapidement les livres dont nous
avions besoin. Nous sommes heureux davoir pu
mener à bien ce projet au cours duquel nous avons
beaucoup appris.
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