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Diapositive 1

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IN Rotavirus : Noso = nourrissons 0-6 mois, communautaires = 6-23 mois. ... le r f rent du service apr s analyse approfondie du dossier avec le PH hygi ne ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Diapositive 1


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Réunion des professionnels, Resclin 2009-01-27
Les brèves de la RICAI Paris, 4 et 5 décembre
2008
JC. Reveil, Qualité-Hygiène-Sécurité-Evaluation CH
de Charleville-Mézières
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Infections nosocomiales virales en pédiatrie D.
Floret, Hôpital Femme-Mère-Enfant, Bron
  • IN à Rotavirus Noso nourrissons 0-6 mois,
    communautaires 6-23 mois. Souvent coïncidence
    avec VRS et Grippe. 20 à 40 asymptomatique,
    prévention difficile. Rapport coût-bénéfice de la
    vaccination ?
  • IN à VRS haute contagiosité tx dattaque 45
    autour dun cas. diffusion par grosses particules
    mains, blouses, surfaces. Rôle des soignants
    qui sinfectent dans 60 des cas. Mesures
    barrières organisation des soins
  • Grippe plus rare, sous-estimée. Prévention
    difficile aérosolisation, excrétion du virus
    jusquà 5j avant les symptômes. Vaccination des
    personnels soignants et des enfants à risque
  • autres virus
  • varicelle excrétion virale 2-3j avant
    léruption (attention aux étudiants !)
  • rougeole méconnaissance du diagnostic
    transmission patients et personnels (cf épidémie
    récente à Reims)
  • adénovirus, entérovirus, CMV, parvovirus

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Infections nosocomiales virales transmises par le
sang B. Pozzetto, bactério-viro-hygiène, Saint -
Etienne
Etude récente dans un service de dialyse parisien
où deux cas de primo-infection HCV ont été
découverts rôle probable de lenvironnement -
740 prélèvements de surfaces 11 présentaient
des traces dhémoglobine et 7 étaient positifs
ARN-VHC ! (Girou et al., Clin Infect Dis,
2008,47,627-33) - matériel et flacons à usage
strictement mono-patient - le respect strict
des bonnes mesures dhygiène et des précautions
standard est la meilleure (et la seule) manière
de prévenir la transmission du HCV au cours des
soins
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Risque zoonotique de lhépatite E est-ce le
lard ou le cochon ? N. Pavio et al, Virologie
AFSSA, INRA, Maison-Alfort
  • prévalence VHE chez donneurs de sang en France
    3,2 à 16 selon les régions . CNR 40 à 50
    cas dhépatite E autochtone (génotype 3). 1 à 2
    hépatite fulminante fatale. Femme enceinte,
    mortalité peut atteindre 25 !
  • enquête élevages de porc 1500 sérums, 51
    élevages, 73 au moins un animal , prévalence
    moyenne intra élevage 25 (2 à 80 )
  • niveau de contamination des lisiers 10.5 à
    5x10.6 ARN viraux/g
  • proximité génétiques des souches humaines et
    porcines
  • risque de lépandage des lisiers ?
  • élevages porcins mode potentiel de
    contamination de lhomme
  • séroprévalence élevée chez les personnels
    vétérinaires et dabattoir
  • attention à la viande porc sans étape de cuisson
    ?

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Le portage nasal à S. aureus épidémiologie et
caractéristiques microbiologiques A. Tristan, CNR
Staphylocoques, Bron
  • Epidémiologie
  • colonisation rapide, 70 des NNés porteurs, 45
    les 8 premières semaines, 21 à 6 mois, fosses
    antérieures du nez
  • population générale 20-30
  • en fait 3 types de portages différents
  • 30 porteurs occasionnels ou intermittents
  • 50 jamais porteurs
  • 20 porteurs permanents (même souches plusieurs
    années)

Bases moléculaires du portage Phénomènes
complexes liés à lhôte et à la bactérie -
contact entre le nez et S. aureus - adhésion de
S. aureus à sa niche nasale - échappement aux
défenses de lhôte - capacité de prolifération
de S. aureus
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Le portage nasal à S. aureus épidémiologie et
caractéristiques microbiologiques A. Tristan, CNR
Staphylocoques, Bron
  • Risques du portage
  • dans la communauté 80 des patients présentant
    des infections cutanées (furoncles, sycosis)
    étaient porteurs de S. aureus au niveau nasal
    (65 à la même souche). Portage des SARM-C
    relativement faible
  • à lhôpital 80 des infections à S. aureus
    sont dues à une contamination endogène. Portage
    nasal facteur de risque dIN en chirurgie
    cardiaque, orthopédique, hémodialyse, dialyse
    péritonéale, cirrhoses, VIH, soins intensifs.
  • Risque de bactériémie noso X 3 si le patient est
    porteur, en revanche mortalité dune bactériémie
    à S. aureus X 4 si patient non porteur
  • Rôle de la transmission croisée dans
    lacquisition des souches

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Faut-il dépister le portage nasal de S. aureus
avant dimplanter une prothèse orthopédique P.
Berthelot et al, CHU Saint-Etienne
  • Etude DEPISTAPH juin 2003-décembre 2006,
    prélèvements de nez, surveillances des ISO, 17
    centres, 3949 patients, 2 ISO dont 0,6 à
    S.aureus
  • première analyse multivariée globalement le
    portage de S. aureus nest pas un facteur de
    risque indépendant dISO
  • mais.. analyse multivariée sur les infections à
    S. aureus le portage nasal au moment de la
    chirurgie serait un facteur de risque indépendant
    (sous presse)
  • les modes de contamination du matériel étranger
    restent mal connues

Conférence de consensus dépistage nasal du SARM
recommandé si chirurgie cardiaque ou ortho
programmée venant de Réa, SSR-USLD, ou lésions
cutanées chroniques
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Infections à SAMS quelle place aux pénicillines
M IV et PO ? B. Fantin, Hôpital Beaujon, Clichy
  • oxacilline (Bristopen), cloxacilline (
    Orbénine), forte fixation protéique (90) et très
    courte ½ vie (30-60 mn)
  • administrations fréquentes et perfusions
    prolongées
  • SAMS avec cmi à 0.5 g/l bactéricidie 100
    si 2 gX3 perf de 4 heures, bactéricidie 46
    seulement si en perf de 30 (si administration en
    30, il faut doubler la dose 2gX6)
  • biodisponibilté orale 41 pour oxa et 71
    pour cloxa
  • activité bactéricide gt glycopeptides et pas de
    bénéfice dune association prolongée avec genta
  • 394 patients, bactériémie à SAMS, moindre
    mortalité des patients traités par
  • Péni M vs Vanco (18 vs 37)
  • péni M IV traitement de référence des
    infections systémiques à SAMS

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Optimisation de la détection des ISO dans le
service dorthopédie traumatologie de lhôpital
de Bon Secours M Llorens et al , CHR
Metz-Thionville
  • méthodes croisement de différentes données
  • - EI signalés par les référents du service
    (réadmissions, réinterventions)
  • - prescriptions dAB à visée ostéo-articulaire (
    rifa, glycopeptides,)
  • - données dactivité du bloc reprises
    chirurgicales
  • - prélèvements bactério profonds réalisés per op
  • Suspicion dISO validée par le référent du
    service après analyse approfondie du dossier avec
    le PH hygiène
  • résultats sur 6 mois 3 ISO validées par la
    méthode RAISIN (fiches de suivi)
  • 4 ISO supplémentaires détectée par la méthode du
    croisement dont
  • - 4 avec prélèvement et antibiothérapie
  • - 3 enregistrées comme reprise au bloc
  • - 2 avaient fait lobjet dun signalement

Conclusion la prescription dantibiothérapie
semble être le signal dalerte le plus sensible
pour identifier une ISO
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Le rang de programmation des patients au bloc
opératoire est-il facteur de risque dune ISO
? JC. Séguier, CH Poissy-Saint Germain en Laye
  • 2001-2007 surveillance prospective des hernies
    pariétales
  • taux dISO global 1,62 1,03-2,5
    (21/1298)
  • moitié des opérées lt 5 ans
  • risque dISO supérieur pour les opérés du 1er
    rang (2,79 vs 1,17 p0.04)
  • le pourcentage dISO décroît progressivement au
    rang 1,2,3 et gt3 de 2,79 à 0,84
  • pas de différence concernant lâge des opérés,
    ni les opérateurs

Souvent les patients et les professionnels
estiment quil serait moins risqué dêtre opéré
en début de programme opératoire..
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Utilité du conseil en antibiothérapie dans un
hôpital général L. El Hajj et al, Hôpital Simone
Veil, Eaubonne
  • un infectiologue passe ½ journée par semaine
    dans les services
  • 101 interventions de mars à octobre 2007
  • - 85 des interventions ont été acceptées
  • - 5 non appliquées
  • - 9 refusées
  • - 1 non renseignées
  • problèmes rencontrés
  • - antibiothérapie non indiquée 54
  • - voie dadministration non adaptée 19
  • - antibiothérapie non adaptée 15
  • - avis dexpert indispensable 12
  • - absence de désescalade 10
  • - association non justifiée 10
  • Impact diminution consommation des AB gt50 en
    5 mois
  • Trouver les moyens de financer le temps médical
    nécessaire

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Le pire nest pas à venir, il est bien présent
association spectaculaire de BMR chez un même
patient. F. Laurent et al, Kremlin-Bicêtre Paris,
Croix Rousse Lyon
Touriste français, chute, 5 semaines de Réa à
Athènes, fongémie à C. albicans pendant son
séjour, rapatriement en Réa Croix Rousse Lyon,
résultats des prélèvements successifs
  • Acinetobacter baumanii, carbapénèmes R
    (carbapénèmase OXA 58) (pneumopathie initiale)
  • SARM clone brésilien/hongrois (pneumopathie
    secondaire)
  • SCN teicoplanine I et linézolide R (bactériémie
    sur cathéter)
  • E. faecalis et E. faecium Van A (colonisation
    digestive)
  • P. aeruginosa carbapénèmes R BLSE SHV-5
    (colonisation cutanée et urinaire)
  • K. pneumoniae BLSE SHV-5 carbapénèmase VIM-1
    (colonisation urinaire)
  • P. stuartii Case (colonisation cutanée)

NB - mécanismes de résistances parmi les plus
récemment identifiés dans le monde -
management des transferts
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