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Diapositive 1

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Etat d'avancement par rapport au Sch ma de D veloppement Commercial ... nouvel acteur dans ce secteur, sans toutefois bouleverser la situation actuelle. ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Diapositive 1


1
(No Transcript)
2
Sommaire
Préambule 1 - Les commerces de plus de 300 m² en
Essonne Bilan des travaux de la CDEC Analyse de
larmature commerciale essonnienne Inventaire des
équipements commerciaux Offre alimentaire Hypermar
chés - Répartition spatiale - Répartition par
enseignes Supermarchés traditionnels et
maxi-discomptes - Répartition spatiale -
Répartition par enseignes Alimentaire
spécialisé - Répartition spatiale - Répartition
par enseignes Magasins populaires
3
Sommaire
Offre non alimentaire Grands magasins Equipement
de la personne - Répartition spatiale -
Répartition par enseignes Equipement de la
maison - Répartition spatiale - Répartition
par enseignes Bricolage, jardinage -
Répartition spatiale - Répartition par
enseignes Loisirs, culture - Répartition
spatiale - Répartition par enseignes Equipement
automobile Etat davancement par rapport au
Schéma de Développement Commercial Projets
commerciaux en Essonne
4
Sommaire
2 - Les commerces de moins de 300 m² en
Essonne Analyse Les marchés 3 - Loffre
hôtelière en Essonne 4 Loffre
cinématographique
5
La commission départementale d'équipement
commercial Evolution
6
Evolution des surfaces de vente soumises à
l'application de la Loi RAFFARIN
7
Bilan des travaux de la CDEC Surfaces de vente
autorisées de 2003 à 2005
On constate depuis 2003 une forte progression de
la surface de vente autorisée qui double chaque
année pour atteindre 90 000 m² en 2005, année qui
se distingue par l'autorisation d'un important
projet de 28 000 m² à Corbeil-Essonnes
(lotissement commercial Les Granges). Ce sont
les secteurs Centre (à Fleury-Mérogis, Ste
Geneviève-des- Bois, Brétigny) et Est (à
Corbeil-Essonnes, Lisses, Villabé) qui
accueillent lessentiel de ce développement,
principalement le long des axes commerciaux
(RN104, RN7 et RN20). Le premier semestre 2006 se
caractérise par un ralentissement de la surface
de vente autorisée (12 000 m² contre 50 000 m²
pour la même période de 2005).
Total des surfaces de vente autorisées et
refusées (en milliers de m²)
8
Analyse de larmature commerciale essonnienne
Doté de 1 202 677 m² au 1er janvier 2006, le
département de lEssonne a connu depuis 2003 une
progression de 26 de ses surfaces commerciales
(magasins de 300 m² et plus et tous points de
vente situés dans les galeries marchandes). Le
nombre total de ces points de vente a quant à lui
augmenté de 20, passant de 719 à 867. On
assiste parallèlement à lapparition de commerces
de plus grande taille, celle-ci sétablissant en
moyenne à 1 387 m² par point de vente contre 1
327 en 2003. Larmature commerciale de lEssonne
se décompose selon 3 types de regroupement -
les centres commerciaux, 224 684 m², 19 des
surfaces de vente du département, - les
lotissements commerciaux, 408 809 m², 34 des
surfaces de vente du département, - les pôles
commerciaux, 220 430 m², 18 des surfaces de
vente du département. On assiste pendant la
période 2003-2006 à un confortement des sites
commerciaux existants. A cette trame multipolaire
se superpose une disposition linéaire composée
principalement de 3 axes commerciaux - la
Francilienne 162 522 m² (12 par rapport à
2003), pour 122 enseignes, soit 13,5 des
surfaces de vente de 300 m² et plus pour 14 des
magasins, - la RN7 78 287 m² (5 par rapport
à 2003), pour 57 enseignes, soit 6 du total des
surfaces et 7 des points de vente de 300 m² et
plus du département, - la RN 20 80 331 m²
(12 par rapport à 2003), pour 40 enseignes,
soit 7 du total des surfaces de vente pour un
peu moins de 5 des magasins de 300 m² et plus en
Essonne.
  • (1)
  • Centre commercial ensemble commercial intégré
    comprenant un hypermarché et une galerie
    marchande.
  • Lotissements commercial ensemble, issu dune
    procédure durbanisme spécifique, composé de
    locaux commerciaux juxtaposés,
  • Pôle commercial ensemble commercial comprenant
    à la fois un centre commercial et un lotissement
    commercial.

9
Analyse de larmature commerciale essonnienne
Evolution entre 2003 et 2006
Les lotissements commerciaux, au nombre de 34,
ont connu une progression particulièrement
importante de leurs surfaces de vente 21
entre 2003 et 2006. Les autres concentrations
commerciales apparaissent dune manière plus
modérée les pôles commerciaux, comprenant à la
fois un centre commercial et un lotissement
commercial, augmentent de 8 entre 2003 et 2006,
et les axes commerciaux (Francilienne, RN 20 et
RN 7) de 10. Quant aux centres commerciaux,
leurs surfaces de vente ne saccroissent dans le
même temps que de 3.
10
Analyse de larmature commerciale essonnienne
VAL DYERRES
  • 18 centres commerciaux,
  • 224 684 m² de surfaces de vente de commerces de
    300 m² et plus, soit 19 des surfaces totales du
    département contre 23 en 2003,
  • des évolutions limitées entre 2003 et 2006 avec
  • - un redécoupage de certains locaux commerciaux
    de 300 m² et plus aux Ulis 2, la surface globale
    du centre commercial restant identique, et
    quelques rotations denseignes à Evry 2, site
    commercial ayant fait lobjet dune
    restructuration importante en 2003
  • un renforcement de quelques centres dimportance
    moindre Val Courcelle à Gif-sur-Yvette, les
    Rossays à Epinay-sur-Orge.

OUEST
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Source DDCCRF, janvier 2006
11
Analyse de larmature commerciale essonnienne
Les lotissements commerciaux au 1er janvier 2006
  • 34 lotissements commerciaux,
  • 408 809 m² de surfaces de vente, soit 34 des
    surfaces totales du département,
  • une progression de 21 entre 2003 et 2006 (34
    depuis 2002).
  • Cette augmentation profite principalement à trois
    sites implantés le long daxes routiers
  • - le long de la RN20 les Berges du Rouillon, sur
    la commune de Ballainvilliers (16 535 m² de
    vente),
  • - le long de la RN6, à Montgeron (11 849 m²),
  • - la Croix-Blanche à Sainte-Geneviève-des-Bois
    et Fleury- Mérogis 1re concentration
    commerciale de lEssonne avec 103 802 m² de
    surfaces de vente au 1er janvier 2006, et
    14 615 m² supplémentaires par rapport à 2003
    (16).
  • En revanche, le site de Villabé connaît une
    diminution de ses surfaces de vente de commerces
    de 300 m² et plus au profit dautres zones
    Lisses,
  • Notons que les sites de Villebon 2 et Brétigny
    Maison-Neuve ont peu évolué depuis 2003.
  • Par ailleurs, des sites implantés en milieu
    périurbain sont apparus ou se sont confortés
    Mennecy ZAC de Montvrain et Itteville, Dourdan,
    Morigny-Champigny

12
Analyse de larmature commerciale essonnienne
Les pôles commerciaux au 1er janvier 2006
Au nombre de 6, ils comprennent un centre
commercial et un lotissement commercial
attenant. Entre 2003 et 2006, peu dévolutions
sont à relever parmi les différents pôles du
département, hormis lémergence du lotissement
situé à Montgeron, le long de la RN6 (ZAC Maurice
GARIN), dans le prolongement du CC de Valdoly.
Evolution des principaux pôles commerciaux entre
2002 et 2006 (lotissement de la Croix-Blanche à
Ste-Geneviève-des-Bois/Fleury-M. indiqué pour
mémoire)
13
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Lensemble de loffre commerciale au 1er janvier
2006
VAL DYERRES
OUEST
Ensemble de loffre commerciale
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Source DDCCRF, janvier 2006
14
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
VAL DYERRES
Au 1er janvier 2006 Les principales
concentrations se retrouvent en milieu urbain,
plus particulièrement sur les sites
dimplantation des hypermarchés. Le Val dYerres
se distingue par ses densités commerciales pour 1
000 hab. Cest précisément dans ce secteur que
lon trouve parallèlement des formes de
distribution aussi diverses que les hypermarchés,
les supermarchés et les magasins populaires.
OUEST
La densité commerciale départementale en 2003
était de 293 m²/ 1 000 hab. elle connaît une
hausse de 6,1 (311 m²/1 000 hab. en 2006).
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Source DDCCRF, janvier 2006
15
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Au 1er janvier 2006 Les caractéristiques de
loffre alimentaire se retrouvent dans celles de
loffre en hypermarchés. Hormis quelques
confortements (AUCHAN Brétigny, CARREFOUR la
Ville-du-Bois, ), et laugmentation du nombre
détablissements de 2 500 m² et plus dune unité,
aucune évolution notable nest à relever.
VAL DYERRES
Evolution du nombre et des surfaces de vente des
hypermarchés
OUEST
CENTRE
Evolution des densités commerciales
EST
ETAMPOIS
Source DDCCRF, janvier 2006
16
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Répartition par enseignes
Répartition en Essonne des surfaces des
hypermarchés par enseigne
Situation au 1er janvier 2006
INTERMARCHE
Source  DDCCRF 91
Depuis 2003, on note que le secteur des
hypermarchés senrichit dun établissement
supplémentaire, suite à la création dun magasin
INTERMARCHE à Itteville. Les enseignes conservent
leurs parts de marché respectives, à un point
près. Le  classement  ne sen trouve pas
modifié et la prépondérance du groupe CARREFOUR
nest pas remise en cause. Enfin, on pourra
signaler quune autorisation de création dun
autre hypermarché a été délivrée à lenseigne
SUPER U sur la commune de Draveil. Sa réalisation
marquerait lentrée dun nouvel acteur dans ce
secteur, sans toutefois bouleverser la situation
actuelle.
17
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Au 1er janvier 2006 Sagissant dun équipement de
proximité, les supermarchés, quils soient
traditionnels ou maxi-discomptes, se répartissent
sur lensemble du territoire essonnien. On
constate une hausse de 5,2 des densités
commerciales par rapport à celles observées en
2003.
VAL DYERRES
Evolution du nombre et des surfaces de vente des
supermarchés Les données intègrent 14 nouveaux
établissements depuis 2002, soit un total de 180
points de vente de plus de 300 m² et de moins de
2 500 m².
OUEST
CENTRE
Evolution des densités commerciales
EST
ETAMPOIS
Supermarchés traditionnels et maxi-discomptes
Source DDCCRF, janvier 2006
18
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Supermarchés, répartition par enseignes
Source  DDCCRF 91
Depuis 2003, on notera le développement des maxi
discomptes, tendance qui a induit un tassement
des parts de marché des leaders, INTERMARCHE et
CARREFOUR. De même, nous constatons un
resserrement des écarts en tête, avec les 3
premiers groupes détenant des parts quasi
identiques, de 25 à 21 .
19
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Supermarchés maxi-discomptes, répartition par
groupes de distribution et enseignes
Répartition par enseignes des surfaces de vente
des magasins de maxi- discompte en Essonne
Situation au 1er janvier 2006
Source  DDCCRF 91
On notera ici laugmentation du nombre de
magasins (16 nouveaux établissements ) dans le
secteur des maxi discompteurs, induisant une
hausse de 36 de la surface de vente totale. Si
les parts de marché ont quelque peu varié, la
hiérarchie des enseignes ne sen est pas trouvée
renversée, exceptée la seconde place ex-æquo
détenue par LEADER PRICE et ED, derrière LIDL.
20
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
VAL DYERRES
Au 1er janvier 2006 Loffre en alimentaire
spécialisé de 300 m² et plus (surgelés, cavistes,
) simplante essentiellement dans les
lotissements commerciaux du département, plus
rarement en galerie marchande.
OUEST
La densité commerciale départementale en 2003
était de 15,7 m² / 1 000 hab. La hausse est donc
de 8,3 (17 m²/1 000 hab. en 2006).
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Alimentaire spécialisé
Source DDCCRF, janvier 2006
21
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Loffre en grands magasins et magasins populaires
au 1er janvier 2006
VAL DYERRES
OUEST
CENTRE
Deux grands magasins seulement sont présents en
Essonne (BHV à Montlhéry, le long de la RN20 et
les GALERIES LAFAYETTE à Evry 2). Les magasins
populaires se concentrent pour lessentiel dans
le secteur Val dYerres.
EST
ETAMPOIS
Source DDCCRF, janvier 2006
22
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Loffre non alimentaire au 1er janvier 2006

VAL DYERRES
OUEST
CENTRE
Depuis 2003, on constate une hausse importante du
secteur de la Culture / Loisirs, et très légère
du Bricolage / Jardineries, principalement au
détriment des secteurs de léquipement de la
personne et de la maison.
EST
ETAMPOIS
23
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Au 1er janvier 2006 Loffre en équipement de la
personne dans les points de vente de 300 m² et
plus a tendance à se localiser dans les
lotissements commerciaux la Croix-Blanche
(17), Villebon 2, Massy -X, Villabé ou encore
la zone des Rochettes à Morigny-Champigny. Notons
toutefois une surface cumulée importante à Evry 2.
VAL DYERRES
OUEST
La densité commerciale départementale en 2003
était de 82 m² / 1 000 hab. la hausse est de 15
sur 3 ans.
CENTRE
EST
ETAMPOIS
(m²)
Source DDCCRF, janvier 2006
24
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Equipement de la personne répartition par
enseignes au 1er janvier 2006
Cette catégorie regroupe les magasins
dhabillement, de chaussures, de textiles, les
parfumeries, les bijouteries et les magasins
doptique.
Habillement répartition des surfaces de vente
par grands groupes ou enseignes

CONCERNANT LE MARCHÉ DE LHABILLEMENT Depuis
2003, on relève un tassement de la part de marché
du premier acteur, le groupe VIVARTE, qui perd 3
points. Ce rééquilibrage seffectue au profit des
 autres  enseignes, les principaux groupes
évoqués ci-dessous voyant leur part de marché
rester stable.
Groupe VIVARTE (ex groupe ANDRE )  LA HALLE,
PARTI PRIX Groupe ERAM  GEMO, HYPER AUX
VETEMENTS, FABIO LUCCI, TATI Groupe MULLIEZ 
KIABI, PIMKIE, BRICE ITM  VETIMARCHE CONCERNANT
LE MARCHÉ DE LA CHAUSSURE Si depuis 2003, la
part de marché du groupe ERAM est restée
identique, celle du groupe VIVARTE, via son
enseigne La Halle aux Chaussures, a fortement
baissé (- 50), au profit de  nouveaux  acteurs
tels Chaussland ou Multichaussures.
Chaussures répartition des surfaces de vente
par grandes enseignes
25
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
VAL DYERRES
Au 1er janvier 2006 Compte tenu des surfaces
importantes que réclame ce type de produits, nous
retrouvons en toute logique une localisation
préférentielle en lotissements commerciaux, au
premier rang desquels se positionne la
Croix-Blanche. Le poids dIKEA à Lisses est
également mis en exergue.
OUEST
La densité commerciale départementale, de 130 m²
/ 1 000 hab. en 2003, sétablit désormais à 148
m²/1 000 hab., soit une hausse de 14 .
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Source DDCCRF, janvier 2006
26
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Equipement de la maison répartition par
enseignes au 1er janvier 2006
Ce secteur regroupe les commerces dameublement,
délectroménager , hifi vidéo, les arts de la
table, les luminaires, les magasins mixtes et les
 solderies biens doccasion . La principale
évolution de léquipement de la maison depuis
2003 est laccroissement de la part de marché des
magasins  mixtes , qui gagnent 5 points,
principalement au détriment de lélectroménager.
Lenseigne CASA a doublé sa part de marché sur
son segment. La part des meubles restant quant à
elle stable. La distinction par secteur est
reprise ci-dessous 
27
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Ce secteur dactivité regroupe les magasins de
bricolage-jardinerie, les jardineries, les
magasins de revêtements de sols et murs, les
magasins de bricolage-matériaux et les
animaleries. Au 1er janvier 2006 Les surfaces
se répartissent principalement le long des
principaux axes routiers du département,
essentiellement sous forme de lotissements.
VAL DYERRES
OUEST
La densité commerciale départementale en 2003
était de 230 m² / 1 000 hab. elle a donc
augmenté de 5,2 .
CENTRE
Bricolage, jardinage, animalerie
EST
ETAMPOIS
Source DDCCRF, janvier 2006
28
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Bricolage, jardinage, animalerie répartition
par enseignes au 1er janvier 2006
Les magasins du segment Bricolage / Jardinerie
confortent leur part de marché prépondérante, en
gagnant 3 points depuis 2003. Les répartitions
entre enseignes, dans chaque segment, demeurent
très proches de ce quelles étaient il y a 3 ans,
les leaders conservant leurs premières places,
malgré certains tassements des parts respectives
et un rééquilibrage entre les différents
acteurs. La distinction par secteur est reprise
ci-dessous 
Groupe MULLIEZ  LEROY MERLIN, BRICOMAN Groupe
KINGFISCHER  CASTORAMA, BRICO DEPOT Groupe ITM 
BRICOMARCHE Groupe CORA  TRUFFAUT,
ANIMALIS Groupe SAINT GOBAIN  LAPEYRE Groupe
BRICORAMA France  BRICORAMA, BATKOR
29
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Bricolage, jardinerie-animalerie répartition
par enseignes au 1er janvier 2006
Répartition des surfaces de vente par enseigne
dans le secteur du bricolage
Répartition des surfaces de vente par enseigne
dans le secteur des jardineries

Répartition des surfaces de vente par enseigne
dans le secteur des revêtements de sols et murs
30
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Ce secteur englobe les activités de musique,
presse, vente de produits culturels, matériel
informatique, sports, jouets, puériculture et
nautisme. Au 1er janvier 2006 Contrairement aux
secteurs dactivités précédents, loffre en
loisirs, sports et jouets se retrouve aussi bien
en lotissements commerciaux quau sein de
galeries marchandes intégrées à des centres
commerciaux.
VAL DYERRES
OUEST
La densité commerciale départementale en 2003
était de 45 m² / 1 000 hab. en passant à 65
m²/1 000 hab., elle augmente de 45,5 .
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Source DDCCRF, janvier 2006
31
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Loisirs, sport et jouets répartition par
enseignes au 1er janvier 2006
On relève essentiellement un fort développement
de la surface totale des enseignes de Jeux et
Jouets depuis 2003 (en hausse de 74 ), ainsi que
des magasins de musique (une augmentation de 57
). Les autres segments on connu des croissances
plus mesurées. La répartition par secteur est
reprise ci-après 
32
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
VAL DYERRES
Au 1er janvier 2006 Loffre en accessoires
automobiles est localisée le long des principaux
axes routiers du département, préférentiellement
dans des lotissements commerciaux (Brétigny
Maison-Neuve, la Croix-Blanche).
OUEST
La densité commerciale départementale est passée
de 21 m² / 1 000 hab. en 2003 à 16 m² / 1 000
hab. en 2006, soit une baisse de 22,5 .
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Source DDCCRF, janvier 2006
33
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Au 1er janvier 2006 LEssonne se démarque de
lIle-de-France par une offre proportionnellement
plus importante en hypermarchés, bricolage et
jardinage, et une présence moindre des
supermarchés et des grands magasins. Analyse par
secteur Centre une présence plus importante
que dans le reste de lEssonne de léquipement de
la personne et de la maison. Est un taux
déquipement en hypermarchés et en équipement de
la personne inférieur à la moyenne
départementale. Ouest un léger déficit pour
léquipement de la maison. Val dYerres une
sous-représentation de léquipement de la maison,
des loisirs, de la culture, du bricolage et
jardinage une surreprésentation de
lalimentaire (hypermarchés, supermarchés,
magasins populaires). Etampois un déficit de
loffre sur lensemble des postes sauf pour le
bricolage, jardinage et surtout les supermarchés.
La lecture du diagramme radar Représente loffre
(surface de vente en m²) par type de commerce
exprimée en
100 de loffre commerciale de lIle-de-France
Exemple de lecture loffre commerciale en
Essonne est composée de 18 dhypermarchés, de
11 déquipement de la personne,
100 de loffre commerciale essonnienne
34
Les commerces de 300 m² et plus en Essonne
Source DDCCRF, janvier 2006
35
Les commerces de 300 m² et plus
Etat d'avancement par rapport au Schéma de
Développement Commercial
Département Essonne
Dans le Schéma adopté en septembre 2004, selon
les projections les plus favorables, près de 530
000 m² de surfaces de vente supplémentaires
étaient susceptibles de se créer à horizon de fin
2010. A fin septembre 2006, le taux d'avancement
est de presque 48 , toutes activités
confondues. 17 de ces surfaces de vente
existent déjà, le différentiel correspondant à
des m² acceptés par les différentes instances
décisionnelles, mais non encore créés. Dans
l'alimentaire, le taux d'avancement est de 90 ,
dont 34 de ces surfaces commerciales qui sont
déjà ouvertes.
36
Les commerces de 300 m² et plus
Etat d'avancement par rapport au Schéma de
Développement Commercial
Secteur Centre
Deux pôles commerciaux concentrent l'essentiel
des surfaces commerciales autorisées à se créer
sur ce secteur ZAC de la Croix Blanche
(Sainte-Geneviève-des-Bois/Fleury-Mérogis) et ZAC
Maison Neuve (Brétigny-sur-Orge). Le taux
d'avancement moyen est de 36 . Nous constatons
un fort développement des surfaces commerciales
en culture/loisirs. Dans l'équipement de la
maison et de la personne, de nombreux m² ont été
accordés mais très peu sont ouverts (5 ).

37
Les commerces de 300 m² et plus
Etat d'avancement par rapport au Schéma de
Développement Commercial
Secteur Est
Compte tenu que ce secteur présentait des
densités commerciales au-dessus des moyennes du
département, notamment dans l'équipement de la
maison ( 62 ), les possibilités de
développement avaient été minimisées. Sur ce
secteur, il existe aujourd'hui plus de 40 000 m²
de surfaces accordées en CDEC mais non encore
réalisées, dont 28 000 m² pour le seul projet
commercial des "Granges" à Corbeil-Essonnes. Par
ailleurs, depuis l'adoption du Schéma, près de 15
000 m² de surfaces commerciales se sont
effectivement créées. Tout ceci se traduit par un
taux d'avancement par rapport aux perspectives du
SDC de plus de 150 .
38
Les commerces de 300 m² et plus
Etat d'avancement par rapport au Schéma de
Développement Commercial
Secteur Ouest
Près de 40 des surfaces de vente susceptibles
de se créer (hypothèses du SDC) ont soit
effectivement ouvert, soit été accordées en
CDEC. C'est dans le secteur culture/loisirs que
la progression a été la plus importante (Les Ulis
et La-Ville-du-Bois). Dans l'équipement de la
maison, le tiers des surfaces commerciales a été
réellement créé.
39
Les commerces de 300 m² et plus
Etat d'avancement par rapport au Schéma de
Développement Commercial
Secteur Val d'Yerres
Ce secteur présente le taux d'avancement le plus
faible. Par contre, 40 des surfaces
commerciales sont déjà ouvertes.
40
Les commerces de 300 m² et plus
Etat d'avancement par rapport au Schéma de
Développement Commercial
Secteur Etampois
Sur lEtampois, aucune surface na été ni ouverte
ni autorisée par la CDEC dans le domaine de
l'équipement de la personne et de la
culture/loisirs. Dans l'équipement de la maison,
le taux d'avancement est de 40 , dont plus du
tiers déjà réalisé.
41
Les commerces de 300 m² et plus
Les projets commerciaux
Département Essonne
  • Sont comptabilisés ici
  • - les projets enregistrés au 1er septembre 2006
    par le secrétariat de la CDEC et qui seront
    examinés par la Commission dans les 6 mois
  • les projets ayant fait lobjet dune enquête
    publique au cours des douze derniers mois, mais
    non encore enregistrés en CDEC ou retirés par les
    pétitionnaires avant leur examen par la CDEC.
  • Le secteur Centre concentre lessentiel des
    projets. Nous recensons un programme commercial
    sur la commune de Brétigny-sur-Orge (Les
    promenades de Brétigny) denviron 27 000 m² et un
    autre sur la commune de Ris-Orangis, sur le site
    de lancienne usine LU, denviron 65 000 m².  Par
    ailleurs, il existe également des projets
    dextension de la ZAC de la Croix Blanche à
    Sainte-Geneviève-des-Bois/Fleury-Mérogis. Cette
    extension se fera à la fois par agrandissement de
    surfaces commerciales existantes (ALINEA) et par
    création de nouvelles surfaces commerciales.

Sur lEtampois, il existe un projet sur la
commune dEtampes (ZAC de Guinette) qui concerne
la création dun hypermarché avec une galerie
marchande et des moyennes surfaces spécialisées.
Enfin, sur le secteur Est, il sagit
essentiellement dune restructuration/extension
du centre commercial Art de Vivre sur la commune
de Corbeil-Essonnes. Ce sont ainsi plus de 120
000 m² de surfaces de vente qui sont susceptibles
dêtre créées sur notre département. Si nous y
ajoutons lensemble des projets que nous avons pu
identifier dans la presse spécialisée ou auprès
de différents acteurs, ce sont plus de 250 000 m²
de surfaces commerciales qui sont en projet sur
notre département.
42
Les commerces de moins de 300 m² en Essonne
Répartition générale au 1er janvier 2006
VAL DYERRES
OUEST
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Source CCI Essonne/CMA Essonne, janvier 2006
43
Les commerces de moins de 300 m² en Essonne
Densités pour 1 000 habitants au 1er janvier 2006
VAL DYERRES
OUEST
Les densités commerciales mettent en évidence les
principaux centres-villes de lEssonne.
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Source CCI Essonne/CMA Essonne, janvier 2006
44
Les commerces de moins de 300 m² en Essonne
VAL DYERRES
Au 1er janvier 2006 La répartition des commerces
suivant leur destination fait apparaître une
nette majorité dentre eux dédiée au secteur non
alimentaire ainsi quune concentration sur le
nord du département.
OUEST
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Source CCI Essonne/CMA Essonne, janvier 2006
45
Les commerces de moins de 300 m² en Essonne
Evolution
  • Secteur alimentaire 
  • Augmentation des activités de restauration rapide
    (plats à emporter, sandwichs).
  • Situations hétérogènes pour les activités
    traditionnelles (exemples)
  • Augmentation des activités de commerce de détail
    alimentaire sur la période 2003-2006
    (alimentations générales, supérettes, fruits et
    légumes) principalement due aux commerces de
    produits exotiques et aux commerces
     ethniques , à lexistence denseignes
    nationales (Picard, Huit à Huit, Relais des
    Mousquetaires, Petit Casino, Point COOP,
    Coccinelle, Franprix, SPAR, Proxi, Grand Frais)
    ou encore à la progression des terminaux de
    cuisson.
  • Baisse notable sur la période 1998-2006 (-7,4 )
    pour les commerces purs.
  • Stabilisation des activités artisanales
    traditionnelles avec une forte augmentation de la
    restauration rapide.

Source CCI Essonne/CMA Essonne, janvier 2006
46
Les commerces de moins de 300 m² en Essonne
Evolution
  • Secteur non alimentaire
  • Baisse des activités traditionnelles (bijouterie,
    cordonnerie, studios de photographie, pressing)
    du fait des changements des modes de vie et de
    consommation (concurrence dInternet, des
    galeries marchandes et de la Grande Distribution)
    et de lévolution technologique (produits
    électroniques, recherche du  pas trop cher ).
  • Conséquence  transmissions dentreprises
    difficiles (manque de repreneurs, mise aux
    normes).
  • Augmentation des activités de services à la
    personne (coiffure, esthétique, soins corporels,
    retouche) du fait des changements des modes de
    vie et de loffre de nouveaux services (onglerie,
    massage, UV).
  • Baisse régulière des activités directement
    concurrencées par la Grande Distribution
    (équipement de la personne, de la maison,
    bricolage).
  • Même tendance pour les livres, la papeterie et
    les journaux, loptique et la photographie et les
    sports et loisirs.

Source CCI Essonne/CMA Essonne, janvier 2006
47
Les marchés en Essonne
Au 1er janvier 2006 Les marchés se répartissent
sur lensemble du territoire essonnien, avec une
concentration plus importante au nord de la
Francilienne, dans les centres urbains. Malgré
une diminution de 12 du nombre de marchés dans
le département entre 2003 et 2006, correspondant
à la disparition de marchés résiduels en zone
rurale, on peut observer une bonne résistance du
commerce non sédentaire face à la concurrence
dela grande distribution. Notons également
lapparition de deux nouveaux marchés Saclas et
Nozay.
VAL DYERRES
OUEST
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Source CCI Essonne, juin 2006
48
3 - Loffre hôtelière en Essonne
Au 1er janvier 2006 Sagissant avant tout dun
tourisme daffaires, loffre hôtelière se
concentre plus particulièrement dans les
principaux pôles économiques du département
agglomération dEvry, Massy, Courtabuf (les
Ulis, Villejust), à proximité de la plate-forme
aéroportuaire dOrly et le long des principaux
axes. 80 des établissements hôteliers nont pas
plus de 2 étoiles, pour la plupart intégrés à des
chaînes.
VAL DYERRES
OUEST
CENTRE
EST
ETAMPOIS
Source Préfecture de lEssonne, janvier 2006
49
4 Loffre cinématographique
Les cinémas
Nombre de cinémas et de fauteuils
Nombre de fauteuils
VAL DYERRES
OUEST
CENTRE
Hormis la présence dun multiplexe intégré au
Centre Commercial Régional dEvry 2, loffre
cinématographique est relativement diffuse, avec
toutefois une concentration au nord de la
Francilienne. A noter plus particulièrement la
présence de ce type déquipement dans certains
centres-villes du département, participant ainsi
de leur attraction Arpajon, Étampes,
Sainte-Geneviève-des-Bois (avenue Gabriel Péri),
EST
ETAMPOIS
Source Centre National de la Cinématographie,
janvier 2006
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