Title: INFECTIONS NOSOCOMIALES EN PEDIATRIE
1INFECTIONS NOSOCOMIALES EN PEDIATRIE
1ère partie
2INFECTIONS NOSOCOMIALES en PEDIATRIE
- Le taux d incidence moyenne en pédiatrie est de
6 - Ce taux varie selon plusieurs facteurs
3FACTEURS DE RISQUE
- L AGE
- Fréquence accrue des IN gastro-intestinales
bactériennes et respiratoires hautes chez les
enfants de moins de 2 ans - LE TYPE DE SERVICE
- Prévalence particulièrement élevée dans 4 types
de services - 40 des IN sont regroupées dans ces services
- Unités de soins intensifs néonataux
- Réanimations pédiatriques polyvalentes
- Onco-hématologie
- Neurochirurgie
- LA DUREE DE SEJOUR
- 72 des IN surviennent après 6 jours
d hospitalisation
4INCIDENCE INVERSEMENT CORRELEE A L AGE
Taux d incidence global 4 à 6 pour 100 admis
(Ford Jones PIDJ 1989, Jarvis PIDS 1987, Gaynes
PIDJ 1989)
Sites digestifs, respiratoires et septicémiques
5GRAVITE DES IN PEDIATRIQUES
- Risque d évolution létale rapide
- Risque de localisations secondaires(ostéoarthrites
, méningites) - Difficultés à multiplier les prélèvements à visée
diagnostique - Difficultés d isolement des patients
- dépendance totale /Environnement Personnel
- pour nutrition, hygiène, affect(parents,famille,
fratrie)
6REPARTITION DES IN PAR SITE ANATOMIQUE
Adulte Bergogne- Berezin, Presse Med, 1995
Enfant Ford-Jones, Pediatr. Infect.Dis.J., 1989
7MICRO ORGANISMES EN CAUSE prédominance de virus
et bactéries à gram positif
(Ford Jones PIDJ 1989)
8RESERVOIRS de micro-organismes responsables
d infections nosocomiales
9TUBE DIGESTIF ET EFFET DE BARRIERE
- FLORE DIGESTIVE NORMALE (g de selles)
- 1011 bactéries anaérobies strictes
- 108 109 E. coli, Entérocoques
- lt106 107 Klebsiella, Entérobacter, SNC, P.
aeruginosa - Extrêmement stable,
- responsable de l EFFET DE BARRIERE
- résistance à la colonisation par d autres
bactéries éventuellement ingérées. - CEPENDANT SI ...?
10FACTEURS DE RISQUE DE RUPTURE EFFET BARRIERE
- SI
- stase intestinale
- intervention chirurgicale
- alimentation entérale
- administration d antibiotiques
- ?modification de la flore et rupture de l effet
barrière - ALORS...?
11SI RUPTURE EFFET BARRIERE
- EN CAS
- De sélection et multiplication d une bactérie
résistante à partir de la flore indigène
(pullulation bactérienne) - D implantation et multiplication d une BMR
d origine exogène - ? risque de SEPTICEMIE
- D ORIGINE ENDOGENE par
- TRANSLOCATION DIGESTIVE
- CHEZ les
- Immunodéprimés, prématurés, nouveau-néslt1mois
- D où l intérêt de surveillance de la flore
fécale des sujets
12INFECTIONS LIEES AUX CATHETERS VEINEUX CENTRAUX
(ILC)
1ère cause d infection bactériennes acquises
dans les unités de soins intensifs en pédiatrie
ILC définie par la présence de
micro-organismes à la surface interne et/ou
externe du cathéter responsable d une infection
locale et/ou générale (bactériémie/septicémie)
13VOIES DE CONTAMINATION DU CATHETER
4 voies théoriques
- Exoluminale
- le micro-organisme colonise le point d insertion
du CVC et progresse à sa surface externe
jusqu au vaisseau sanguin - Endoluminale
- Le micro-organisme pénètre par le pavillon du CVC
et progresse à sa surface interne - Hématogène
- secondaire à une bactériémie lors de l existence
d un foyer infectieux à distance - Contamination par perfusion d un produit non
stérile
14VOIES DE CONTAMINATION DU CATHETER (Les 2 plus
fréquentes)
MAINS DU PERSONNEL
Pavillon
SITE INSERTION
MICROFLORE
Peau
Veine
15VOIES DE CONTAMINATION DU CATHETER (Les 2 plus
rares)
Contamination du perfusat
Peau
Voie hématogène
Veine
16INFECTIONS NOSOCOMIALES VIRALES
- Cause importante et probablement très sous
estimée des IN - Causes de sous estimation
- Durée d incubation survenue des signes
cliniques après la sortie du patient - Diagnostic peu de virus sont recherchés en
routine
17INFECTIONS NOSOCOMIALES VIRALES EN PEDIATRIE
- Deux infections nosocomiales attirent notre
attention - Les Bronchiolites
- liées au Virus Respiratoire Syncytial
- Les Gastro-entérites
- liées au Rotavirus
18VIRUS RESPIRATOIRE SYNCYTIAL (VRS)
- Virus à tropisme respiratoire bronchiolite
- Épidémie hivernale (novembre à avril)
- ?1 des infection justifient une hospitalisation
- Caractère nosocomial si
- symptomatologie après au moins 5 à 7 jours
d hospitalisation - Extrêmement contagieux
- transmission aéroportée et manuportée
19ROTAVIRUS
- Agent principal des
- gastro-entérites d enfants de moins de 2 ans
- Épidémie hivernale/- superposée à bronchiolite
- Incidence 5 à 9 admis
- Extrêmement contagieux
- Transmission oro-fécale et manu-portée
- le rotavirus, survie de 1 à 10 jours sur surfaces
inertes
20CONCLUSION
- Le mode principal de transmission chez les
enfants est - la transmission manu-portée (personnel,contact
parents et enfants, autres enfants)
212ème partie
HYGIENE et Pédiatrie
22PLAN
- 1 les mesures dhygiène de base
- a.applicables aux parents et aux enfants
- b.applicables aux professionnels
- 2 Précautions standart
- a.Utilisation de containers spécifiques
- b.Port de gants
- c.Port de lunettes, masques, tabliers efficaces
- caractéristiques et utilisation des masques
- d.Lavage et/ou désinfection des mains
- utilisation des solutions/gels hydroalcooliques
- 3 QUALITE DE LA FRICTION HYDROALCCOLIQUE
- 4 Elimination des déchets rappel
- 5 LA SELF ATTITUDE
231 les mesures dhygiène de base
Sont le prérequis à lapplication des
précautions standard Objectifpermettre de
limiter la transmission et/ou la contamination
par,des microorganismes.. Personnes concernées
parents et enfants professionnels
C.CLIN-OUEST/hygiène en pédiatrie dans les
services de nourrissons
241.a les mesures dhygiène de base applicables
aux parents et aux enfants
- hygiène personnelle
- tenue adéquate
- hygiène du linge
- hygiène des mains avant et entre chaque tâche,
avant de manger ou après être allé aux
toilettes.. - Précautions à prendre en cas de peau lésée
251.b les mesures dhygiène de base applicables
aux professionnels
- hygiène personnelle
- Dès la prise de poste veiller à ce que les ongles
soient courts et propres. Les bagues, montres et
bracelets enlevés, les cheveux attachés - tenue adéquate fournie et entretenue par
lhôpital les manches seront courtes ou relevées - hygiène des mains avant et entre chaque tâche,
avant de manger ou après être allé aux toilettes,
sêtre mouché.. - nettoyage des surfaces et des locaux
- désinfection ou stérilisation des matériels
réutilisables selon le niveau requis ( fiches
techniques validées par le CLIN ) - utilisation de lusage unique
- hygiène du linge réception et entreposage
- port de gants obligatoire en cas de peau lésée
- port de masque adapté en cas de rhume ou toux
26les mesures dhygiène de base applicables aux
professionnels
Evacuation du linge
- Linge manipulé doucement en le roulant sur
lui-même et en lévacuant immédiatement dans la
filière normale du linge hospitalier - Manipulation du linge sale avec sur- blouse et
gants
27les mesures dhygiène de base applicables aux
professionnels
NETTOYAGE ET DESINFECTION DE LA CHAMBRE
- Quotidien
- Environnement architectural sol, bord de
fenêtre, poignées de porte, interrupteurs - Matériel hôtelier lits, barrière, tables
(ide,as..) - Matériel médical pousse seringues, scopes,
stéthoscope.(IDE,AS..) - Utiliser une technique de bio- nettoyage
28les mesures dhygiène de base applicables aux
professionnels
NETTOYAGE ET DESINFECTION DE LA CHAMBRE
- A la sortie du patient
- Sur tous les éléments de la chambre, pratiquer
une technique de nettoyage désinfection. - Les couvertures du lit seront systématiquement
envoyées au nettoyage par la filière de
létablissement.
29MESURES A APPLIQUER POUR TOUT PATIENT QUELQUE
SOIT SON STATUT INFECTIEUXLORS DES CONTACTS AVEC
LE SANG, LES LIQUIDES BIOLOGIQUES et LES
MATERIELS CONTAMINES
2 Précautions standard
- Elles visent à protéger le personnel et les
patients
CTLIN/1998/ 100 recommandations/recommandation
n52
302 Précautions standard
- Utilisation de containers spécifiques pour
objets piquants tranchants
- Port de gants si contact avec produits
biologiques
- Port de lunettes et/ou de masque et de tablier
efficace si risque de projection de produit
biologique
- lavage et/ou désinfection des mains
CTLIN/1998/ 100 recommandations/recommandation
n52
312.a Précautions standard
- Utilisation de containers spécifiques pour
objets piquants tranchants
Voir cours sur prévention des A.E.S voir cours
sur le tri des déchets
322.b Précautions standard
Port de gants Si risque de contact avec du sang
ou tout autre produit dorigine humaine si
contact avec la peau lésée du patient Lors de
soins à risque de piqûre et manipulation de
tubes et prélèvements biologiques Lors de la
manipulation de linge et matériel souillé Lors de
tout soin si mains du soignant lésées
Les gants doivent être changés entre deux
activités et entre deux patients UN SOIN Une
paire de GANTS
- Hygiène des mains avant utilisation et après
avoir ôté les gants - port de gants obligatoire lors du changement de
couche des patients
33Précautions standard
rappel
- Les gants ne sont pas une substitution au
nettoyage des mains
1 paire de gants 1 seul soin! Ne pas contaminer
les zones saines
- Hygiène des mains avant utilisation et après
avoir ôté les gants - port de gants obligatoire lors du changement de
couche des patients
342.c Précautions standard
- Port de lunettes et/ou de masqueet de
tablier efficace si risque de projection de
produit biologique
Si les soins ou manipulations exposent à un
risque de projection ou daérosolisation de sang
ou produit dorigine humaine
Voir cours prévention des A.E.S voir cours sur
isolement des patients par extension la
manipulation de produits corrosifs (eau de
javel, désinfectants..)
352.c Précautions standard
- Gants
- Tablier ou
- Sur- blouse
lunettes
Utilisation adaptée Des masques, gants, Tablier,
surblouse et lunettes En fonction du soin et
du contexte
36Caractéristiques des Masques
Masques de soins Arrêtent 99,4 des particules de 1µ Durée 3 heures Attaches élastiques
Masques de soins chirurgicaux Arrêtent 99,8 des particules de 1µ Durée 3 heures Imperméables aux fluides Attaches liens noués
Masques de protection respiratoires Arrêtent 99,97(FFP1) ou 99,98(FFP2) des particules de 0,6µ Durée 8 heures Fuite au visage lt20(FFP1), lt6(FFP2) Attaches élastiques FFP1 élastique jaune FFP2 élastique bleu
37Utilisation adaptée des masques
LE MASQUE DE SOIN
- désinfection des mains
- Prendre un masque dans la boite distributrice
- Le positionner sur le visage
- Accrocher les lanières derrière la tête ou
positionner les élastiques derrière les oreilles - Déplisser le masque sur sa hauteur(il doit
englober le nez et la bouche jusque sous le
menton) - Appliquer les mains sur la barrette (pas le
masque) pour quelle épouse le nez et le visage
38Utilisation adaptée des masques
LE MASQUE DE PROTECTION RESPIRATOIRE
- OUVRIR LE MASQUE
- LE POSITIONNER SUR LE VISAGE
- GLISSER LES ELASTIQUES DERRIERE LA NUQUE
- AJUSTER LE MASQUE AU NEZ(pincer la barrette
métallique) ET AU VISAGE
39Utilisation adaptée des masques
- Ne pas manipuler le masque après son
positionnement - Changer de masque entre chaque patient (ne pas le
garder autour du cou) - Enlever le masque avant de quitter la chambre du
patient - Le jeter dans la poubelle de la chambre
- Procéder à une antisepsie des mains après lavoir
jeté.
402.d Précautions standard
- lavage et/ou désinfection des mains
Après le retrait des gants, entre deux patients,
deux activités, en entrant et en quittant la
chambre..
412.d Précautions standard
- lavage et/ou désinfection des mains
- Simple savon doux
- Désinfection des mains SHA
- Antiseptie des mains savon antiseptique
422.d Précautions standard
le lavage des mains
Lavage simple des mains
Lavage hygiénique ou antiseptique
- Réalisé avec un savon doux,
- il nettoie les salissures et
- diminue la flore transitoire par action
mécanique. - Temps minimum de friction requis 30 secondes
- Réalisé avec un savon désinfectant, élimine les
salissures, - élimine la flore transitoire et
- réduit la flore résidente.
- Temps minimum de friction requis
- 1 minute
43lavage et ou antisepsie des mains
Faux ongles Ongles longs, vernis
bijoux
- Insister dans les gîtes microbiens
- interdigitaux
- bord cubital
- ongles
Gîtes microbiens
442.d Précautions standard
La désinfection des mains par utilisation de
solution ou de gel hydroalcoolique (S.H.A)
Associe une dose de S.H.A (3ml) Un temps de
friction (30) Une technique (norme EN 1500)
45La désinfection des mains par utilisation de SHA
- Sur des mains sans lésions visuellement propres
et sèches - Déposer la dose de S.H.A préconisée par le
fabricant (3 ml 2 pressions de pompe) dans le
creux de la main - Frictionner en respectant le temps préconisé par
le fabricant (30 s) jusquà évaporation du
produit et pénétration de lémollient - Respecter la technique (EN1500)
46TRAITEMENT HYGIENIQUE DES MAINS par friction
avec le gel hydroalcoolique
ANIOSGel 85 NPC
Mains propres et sèches Avant dentrer dans une
chambre Avant chaque soin Après chaque soin Entre
deux patients En sortant de la chambre
Suivre les recommandations du fabriquant en
fonction de chaque produit
47TRAITEMENT HYGIENIQUE DES MAINS par friction
avec le gel hydroalcoolique
ANIOSGel 85 NPC
48TRAITEMENT HYGIENIQUE DES MAINS par friction
avec le gel hydroalcoolique
ANIOSGel 85 NPC
49TRAITEMENT HYGIENIQUE DES MAINS par friction
avec le gel hydroalcoolique
ANIOSGel 85 NPC
en fin de friction (30 ) si les mains ne sont
pas sèches reprendre la friction depuis létape
n2 Une fois les mains sèches exécuter le soin
503 QUALITE DE LA FRICTION HYDROALCCOLIQUE
taux février avril 2007
514 ELIMINATION DES DECHETS
- ENJEUX DE LA BONNE GESTION DES DECHETS
- Responsabilité du producteur
- Hygiène hospitalière
- Sécurité et condition de travail sur toute la
chaîne - Accréditation
- Image de marque du site producteur
- Impact économique
524 ELIMINATION DES DECHETS
- DEFINITION DES DECHETS DACTIVITE DE SOINS
- A RISQUES INFECTIEUX (DASRI)
- Ce sont les déchets issus des activités de
diagnostic, de suivi, et de tout traitement
préventif, curatif ou palliatif dans les domaines
de la médecine humaine et vétérinaire - soit car ils contiennent des micro-organismes
viables ou leur toxine - soit car ils relèvent dune catégorie suivante
- matériels piquants, coupants, tranchants
- produits sanguins à usage thérapeutique
incomplètement utilisés - déchets issus dactivité denseignement, de
recherche
Cas particulier les déchets anatomiques
humains, correspondant à des fragments humains
non aisément identifiables (placentas..) sont des
DASRI
534 ELIMINATION DES DECHETS
- CLASSIFICATION EUROPEENNE DES DECHETS
- Décret du 18 avril 2002 Déchets dont la
collecte et lélimination font lobjet de
prescriptions particulières vis-à-vis des risques
dinfections - le DASRI
- Est un déchet dangereux
- Soumis à la Réglementation Européenne pour le
transport des matières dangereuses par route - classe 6.2 / Matières infectieuses / ADR /
Emballages / Véhicules / Chauffeurs / Document - Identification du producteur
- Contenants fermés pendant le transport
DASRI
544 ELIMINATION DES DECHETS
- CIRCUIT DES DECHETS ACTIVITE DE SOINS A RISQUES
INFECTIEUX DASRI - Tri à la production par le personnel soignant
- Emballages à usage unique adapté conforme (à
larrêté du 24 novembre 2003) disponibles à RDB
Voir également cours sur sur prévention des AES
sacs plastiques jaunes
Caisses à double ou triple paroi intérieur
jaune
Fût plastiques jaune
boites à aiguille jaune
Stockage intermédiaire dans un local ventilé avec
eau (benne à couvercle jaune) Stockage
centralisé dans des Grands Récipients Vrac
plastiques ou aluminium conforme à larrêté 24
novembre 2003 et ADR
55TRI DES DECHETS DES SERVICES DE SOINS
Hôpital Robert Debré
Déchets à risques - DASRI - (Déchets d Activité
de Soins à Risques Infectieux)
Déchets ménagers - DAOM (Déchets assimilés aux
ordures ménagères)
Déchets hôteliers, ?déchets de bureau, papiers,
emballages, essuie-mains, ?Sachets de
prélèvements non souillés de sang ?Bouteilles ou
flacons en plastique ou en verre non
cassés ?Listings informatique
?Tubes, lames,cônes, godets, agitateurs, micropla
ques, cuvettes, segments, ?flacons et boîtes de
culture, ?Galeries et tubes d identification
?organes,tissus, pièces anatomiques ?Verre
cassé
Objets ?piquants,coupants, tranchants
aiguilles, bistouris, ampoules cassées,vaccinostyl
es,... ?flacon cassés ...
?Gants, masques, Compresses, chiffons ou
sopalins souillés, papiers filtres, sachets
Gaspak ?Seringues
Cartons (mis à plat)
Boîte à aiguilles
Roll carton
Sac gris
SACS JAUNES
SEPTIBOX
CONTAINER couvercle gris
CONTAINER couvercle jaune
Elimination gt460 la tonne
Elimination 115 la tonne
56Un Hôpital pédiatrique parisien Total déchets année 2006 en tonnage Un Hôpital pédiatrique parisien Total déchets année 2006 en tonnage Un Hôpital pédiatrique parisien Total déchets année 2006 en tonnage Un Hôpital pédiatrique parisien Total déchets année 2006 en tonnage Un Hôpital pédiatrique parisien Total déchets année 2006 en tonnage Un Hôpital pédiatrique parisien Total déchets année 2006 en tonnage Un Hôpital pédiatrique parisien Total déchets année 2006 en tonnage Un Hôpital pédiatrique parisien Total déchets année 2006 en tonnage Un Hôpital pédiatrique parisien Total déchets année 2006 en tonnage Un Hôpital pédiatrique parisien Total déchets année 2006 en tonnage
MOIS DAOM DIB Déchets verts CARTONS DASRI Déchets labos TUBES et NEONS Déchetselectroniques TOTAL
JANVIER 63,8 5,5 0,7 6,1 19,5 2,2 98
FEVRIER 57,7 10,5 0,5 17,7 2,3 2,224 91
MARS 61,3 5,0 0,5 5,5 19,2 3,3 95
AVRIL 55,1 8,7 6,3 16,9 1,9 2,758 92
MAI 54,5 4,2 1,7 7,3 18,8 2,2 89
JUIN 63,5 7,2 1,6 4,7 18,1 2,7 1,331 99
JUILLET 57,9 5,4 5,0 19,8 2,0 90
AOUT 51,0 8,2 2,0 5,8 16,0 1,8 85
SEPTEMBRE 52,9 4,0 1,0 6,7 16,8 3,0 0,57 85
OCTOBRE 62,2 8,4 1,9 5,2 18,3 1,9 0,162 98
NOVEMBRE 60,0 9,6 1,8 5,0 17,0 2,4 96
DECEMBRE 63,3 1,9 5,9 18,9 2,7 93
TOTAL 703,1 78,4 11,4 63,3 216,9 28,4 0,162 6,883 1109
575 Infection du Site Opératoire
- RÉSEAUX DE SURVEILLANCE
- Depuis 1997, le CCLIN Paris-Nord coordonne un
réseau de surveillance des infections du site - opératoire (ISO) dans les services de chirurgie
des hôpitaux de linterrégion Paris-Nord. Les
établissements - publics ou privés volontaires pour participer,
doivent inclure 200 patients sur une période - de deux mois, de janvier à mars, dans le cadre
dune surveillance globale (toutes interventions - confondues).
585 Infection du Site Opératoire
- EN DIRECT DES ÉTABLISSEMENTS
- Le Bulletin du CCLIN Paris-Nord n30, septembre
2007 - Sujet majeur de la politique damélioration de la
prise en charge des patients et de lutte contre
les infections nosocomiales, - les infections sur site opératoire (ISO)
représentent 14 des infections nosocomiales
(IN) et environ 2 des interventions
chirurgicales (un peu plus de 1 des
interventions les moins à risque).
595 Infection du Site Opératoire
- Afin de réduire le risque dapparition de ces
infections, plusieurs mesures sont recommandées
dont la préparation cutanée de lopéré et
antibioprophylaxie - La conférence de consensus du 5 mars 2004
recommande notamment une préparation cutanée en
quatre temps. - En 2006 ont été reçus au CCLIN Nord deux
signalements dIN graves après interventions
chirurgicales chez des patientes pour lesquelles
le défaut de pratique observé était
linsuffisance de la préparation cutanée en salle
dopération.
605 Infection du Site Opératoire
- PREPARATION DE LOPERE
- La veille de lintervention
- Le jour de lintervention
- Traçabilité ?Feuille de liaison avec le bloc
opératoire - Au bloc opératoire
Attention aux antiseptiques et désinfectant
utilisés en pédiatrie
61 62Blouses, surblouses, pyjama de bloc.. INTERDITS
pour accéder au self Y compris le week-end et les
jours fériés
63La positive attitude POUR ACCEDER AU
SELF Sourire Tenue de ville Chaussures de ville
64JE VOUS REMERCIE DE VOTRE ATTENTION