3.3. Indices et - PowerPoint PPT Presentation

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3.3. Indices et

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Par diff rences aux indices, les chelles ajoutent en principe cette sommation l'id e de hi rarchisation des indicateurs compris dans la mesure. ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: 3.3. Indices et


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3.3. Indices et échelles
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  • 1. Par différence à une typologie, un indice
    consiste en laddition des scores obtenus sur un
    nombre variable dindicateurs. On a donc affaire
    à une variable ordinale ou métrique plutôt quà
    une variable nominale. Un score donné peut être
    atteint par des  chemins  très différents fort
    score sur un indicateur ou score moyens sur
    plusieurs, etc.
  • 2. Phasesa) Sélection des indicateurs
  • b) Choix des états sur chaque indicateur
  • c) Choix d'une méthode de sommation
    équi-pondération ou non
  • d) Choix de létalement des scores
  • e) Remplacement des données manquantes
  • 3. Ex Participation des conjoints aux tâches
    domestiques Repas, Rangements, Lessives,
    Courses, Administration, Agenda, Réparations 4
    états, par quarts Pondération éventuelle par les
    heures ouvrées regroupement éventuel par
    1/5èmes remplacement par moyenne dans le secteur
  • 4. Ex. Répartition du pouvoir de décision Achats
    importants, Vacances, Budget, Invitations et
    sorties, Agencement du domicile, Routines
    quotidiennes 3 états Ego, autrui, Egal
    Equi-pondération ou constitution dune
    pondération par pré-test Remplacement par valeur
    modale

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  • Par différences aux indices, les échelles
    ajoutent en principe à cette sommation l'idée de
    hiérarchisation des indicateurs compris dans la
    mesure. Si la scalabilité est vérifiée, on na
    donc en principe quun chemin pour parvenir à un
    score donné.
  • Les échelles dites dattitudes concernent des
    opinions croyances, normes, valeurs dont on
    estime quelles sont sous-tendue spar une
    dimension sous-jacente, allant dun pôle de rejet
    à un pôle dacceptation totale.
  • La création de telles échelles obéit aux mêmes
    phases que les indices, avec deux étapes
    additionnelles- lexamen des corrélations
    inter-indicateurs avec rejet des situations
    extrêmes redondance et pluridimensionnalité-
    si possible, validation par des
    comportements-critères
  • On connaît différents genres déchelles. La plus
    simple est celle du modèle de Bogardus ici, la
    scalabilité est tenue pour  évidente .
  • P.ex. Xénophobie  Accepteriez-vous un ..comme
    1) gendre, 2) membre de votre club 3) voisin 4)
    collaborateur 5) citoyen 6) visiteur dans la
    région 7) Exclusion totale.
  • Attention aux intervalles arbitraires et à une
    sensibilité variable aux stimuli proposés

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  • Lapproche de Thurstone date des années 1927, en
    suite aux travaux de Weber et Fechner
  • Elle consiste dabord en la réunion dun ensemble
    important de  propositions  supposées
    correspondre au continuum recherché
  • Ces propositions sont soumises à des  juges  (
    en fait des sujets érigés en experts) une
    centaine selon Duverger, 20-40 selon Grawitz.
  • Chaque proposition est classée par chaque juge
    dans des  cases  (de 7 à 11) correspondant à
    des sortes de notes de positivité ou de
    négativité (sévérité, hostilité,etc) croissante.
  • Les propositions dont la dispersion est grande
    sont éliminées
  • Chaque proposition retenue est affectée dune
    note équivalant à la valeur médiane de ses
    classements par les juges.
  • Les propositions, mélangées sont présentées aux
     sujets  de lenquête ou de lexpérience, qui
    ont pour consigne de les accepter ou de les
    refuser
  • La position dun sujet est donnée par la médiane
    des valeurs déchelle des propositions que le
    sujet a retenues.

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  • Lapproche de Guttman se donne pour but de tester
    explicitement la  scalabilité .
  • Le principe est simple il y a scalabilité si
    lacceptation dun item donné implique
    lacceptation des précédents, et que le rejet
    dun item donné implique celui des suivants.
    Analogie avec les niveaux scolaires.
  • Les phases sélection ditems  pertinents ,
    avec réponse de préférence dichotomique éliminer
    les items qui reçoivent plus de 80 dacceptation
    ou de rejet par une population-test ordonner les
    items retenus de gauche à droite par ordre
    croissant de réponses positives et en ordonnant
    les répondants de haut en bas par ordre de
    réponse positive aux items les plus élevés
  • Sil y a stricte scalabilité, on obtient alors
    une sorte de parallélogramme les  erreurs 
    apparaissent comme des  trous  dans une
    séquence  ou comme des points isolés. Mesurer la
    valeur de léchelle, cest mesurer la distance
    entre la forme parfaite et la forme obtenue. La
    reproductibilité est calculée comme suit R
    1 (Nombre derreurs / (Nombre ditems x Nombre
    de sujets))
  • On estime que la limite de fiabilité est de R
    min.0,9
  • On peut évidemment améliorer la scalabilité en
    éliminant des items particulièrement
     perturbateurs  ou en éliminant du calcul les
    sujets sils sont rares dont les réponses
    paraissent non fiables ou aberrantes. Notons que
    la reproductibilité varie avec chaque échantillon.

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  • Les échelles de Likert sont en fait une sorte
    dintermédiaire entre un indice et une échelle,
    car la scalabilité y est bien moins validée que
    dans les cas précédents.
  • Il sagit de rassembler nombre de propositions,
    qui sont en fait des opinions ( éviter les
    faits!), sur le thème envisagé.
  • Ces propositions sont soumises aux sujets, qui
    les acceptent ou les refusent en indiquant leur
    avis sur une échelle en 5 positions (p.ex. tàf.
    daccord, assez, ni/ni,plutôt pas.., pas du
    tout daccord)
  • Notons que les items doivent être clairement
    favorables ou clairement défavorables à lobjet
    visé
  • On retient els items qui différencient le mieux
    et qui montrent la meilleure corrélation entre le
    score global et le score sur litem.

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  • La technique des différenciateurs sémantiques
    dOsgood part de lidée que l  attitude 
    vis-à-vis de lobjet considéré comprend trois
    dimensions - cognitive propriétés attribuées
    à lobjet- évaluative sympathie ou antipathie
    pour lobjet- active intentions daction par
    rapport à lobjet
  • On apparie alors à un  objet  donné ( p.ex.
    Mariage, Démocratie, Divorce, Université) un
    ensemble dadjectifs à significations clairement
    opposées (p.ex. bon marché/luxueux fort/faible
    agréable/déagréable bruyant/silencieux.)
  • Ces adjectifs sont séparés par sept cases
    numérotées de 1 à 7
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