Ourika, ou la maladie de la race - PowerPoint PPT Presentation

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Ourika, ou la maladie de la race

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Si nous examinons les femmes de la race. ou plut t de l'esp ce n gre, ... comme l'infini, sans bornes ; c'est alors que s'isolant de tout ce qu'elle aima ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Ourika, ou la maladie de la race


1
Ourika, ou la maladie de la
race
2
François Gérard, Jean-Baptiste Isabey et sa
fille, 1795
3
Si nous examinons les femmes de la race ou
plutôt de lespèce nègre, nous leur trouverons
généralement une disposition extrême à la
lascivité, et même une conformation
particulière dans les organes sexuels. --Virey
(1825) De la femme sous ses rapports
physiologique, moral et littéraire
4
Mme Récamier par David, 1800
5

Mlle M. Gérard, LEnfance de Paul et Virginie,
1798-1804
6

Mme Benoist, Portraitdune négresse, 1800
7
Delacroix, La Liberté guidant le peuple, 1830
8
Les quatre humeurs, ou Les humeurs
fondamentales de lancienne médecine
La bile
Latrabile
Le flegme
Le sang
9
La bile noire, humeur (supposée) de la rate (ang.
spleen) à linfluence de laquelle on attribuait
les accès de tristesse.
10
Mélancolie gr. Melagkholia bile
noire, humeur noire Etat pathologique
caractérisé par une profonde tristesse, un
pessimisme généralisé
11
Latrabile (de bilis et atranoir) liquide
visqueux et amer secrete par le foie, cette
humeur noire étant considérée comme liée aux
manifestations de colère.
12
Le flegme lat. phlegma humeur (aussi la
lymphe, liquide organique incolore ou ambre dans
les vaisseaux lymphatiques)  1835 
tempérament flégmatique, un des quatre
tempéraments de lancienne médecine humorale,
caractérise par la lenteur ou lapathie et des
formes alourdies et graisseuses.
13
Le sang  humeur plus ou moins chaude qui
commande les passions  Toutes les passions ne
sont autre chose que les divers degrés de la
chaleur et de la froideur du sang  (La
Rochefoucauld).
14
Lâme des femmes tend, sans cesse vers
lexaltation  cest là que, pour elles, est la
source de toutes les douleurs. Subjuguée dans
tout son être, dans toutes ses facultés, cest
alors que la femme rêve un amour, comme linfini,
sans bornes  cest alors que sisolant de tout
ce quelle aima elle se réfugie heureuse et
confiante dans cet amour, ne vivant plus que par
lui, nattendant plus rien que de lui !
15
La femme doit chercher dans lamour de ses
enfants, ou dans les ressources de létude,
loubli des passions  elle doit vivre sans
cesse en méfiance de son cur. --Mélanie
Waldor, 1836
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