Commentaire du sondage CSA

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• Commentaire du sondage CSA
• ANACT-Liaisons Sociales-France Info
•  Compétences, formation et qualité de vie au
  travail .
• Mars 2005

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Baromètre Qualité de vie au travail

• Quand on interroge les salariés du privé sur ce
  qui est le plus important concernant le travail
• Maintien dune forte préoccupation sur les
  conditions de travail (2e place avec 51 comme en
  2004) et particulièrement pour les femmes (58 )
• Montée de la préoccupation  rémunération  (59
  contre 55 en 2004) particulièrement pour les
  hommes (64) et les ouvriers (67)
• Le critère  intérêt du métier  ne varie pas
  (40)
• Recul de limportance du temps libre (16 contre
  19) et des possibilités de mobilité (16 contre
  19)

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La reconnaissance au travail

• Très forte satisfaction sur lautonomie et les
  responsabilités confiées (84)
• Forte satisfaction sur la reconnaissance de
  lexpérience professionnelle (68),
  linvestissement dans le travail (64) et les
  efforts de formation (63)
• Satisfaction mitigée sur les possibilités
  dévolution professionnelle (54 de satisfaits
  -7 points / 2004), notamment dans les petites
  entreprises
• Par contre, 53 des salariés du privé estiment ne
  pas pouvoir évoluer dans leur propre entreprise,
  en particulier les plus âgés et les femmes
  (impression de  carrières bouchées )

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Disponibilité au changement et à la mobilité

• On constate globalement une forte disponibilité
  déclarée au changement professionnel pour les
  salariés du privé fortement décroissante avec
  lâge
• 59 se disent prêts à changer de métier (en
  particulier les plus jeunes 69 des 25-34 ans
  41 des de 50 ans)
• 56 se disent prêts à changer dentreprise (68
  des Bac 2, seuls 34 des sans-diplôme et 20 des
  de 50 ans)
• 53 se disent prêts à changer de lieu de travail
  (moins les femmes 48)

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Les attentes vis-à-vis de la formation

• Pour les salariés du privé, la formation
  professionnelle
• et le développement des compétences sont
• un moyen pour lentreprise de devenir plus
  performante (44), de sadapter aux changements
  techniques et économiques (36) et peu un moyen
  dattirer ou de fidéliser les salariés (15)
• un moyen pour eux-mêmes de préserver leur emploi
  (25), devant lamélioration des rémunérations
  (19), la promotion dans lentreprise (17) ou le
  changement de métier (10)

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Anticipation des besoins par les entreprises

• Une majorité des salariés du privé (55) pensent
  que leur entreprise anticipe bien les besoins
  dévolution de lemploi et des compétences
• Cest moins le cas pour les cadres (47) et les
  employés (48)

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La connaissance des dispositifs

• Les outils de la formation professionnelles sont
  relativement bien connus par les salariés 63
  pour le bilan de compétence, 50 pour le CIF,
  53 pour le DIF, 46 pour la VAE
• Le plan de formation narrive quen quatrième
  position (53), avec un très gros écart entre les
  PME (42 dans les moins de 50) et les grandes
  entreprises (72)

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Souhaits en matière de formation

• Le développement des qualifications (48) avant
  lexercice dun nouveau métier (33) ou
  ladaptation au poste (31)
• La qualification est dautant plus importante
  quelle est déjà élevée au départ pour
  linterviewé 57 pour les cadres contre 43
  seulement pour les ouvriers
• Le diplôme (21) ou les centres dintérêt
  personnels (20) sont très minoritaires

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Le co-investissement formation

• 56 des salariés du privé se disent prêts à
  suivre une formation en plus et en dehors de leur
  temps de travail tout en étant rémunéré à 50
• Le co-investissement est particulièrement bien
  reçu par les femmes (58), les salariés en CDD
  (67) et par les salariés des PME (60 dans les
  entreprises de moins de 100 salariés)

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La formation professionnelle depuis trois ans

• Un salarié sur trois seulement déclare avoir
  suivi une formation professionnelle ces trois
  dernières années (2002, 2003 ou 2004)
• Près dun salarié sur deux ayant un diplôme égal
  ou supérieur à bac plus deux a suivi une
  formation depuis 2002 et un salarié sur quatre
  seulement des entreprises de moins de 50 ou
  ouvriers, 16 des non-diplômés
• Un salarié sur cinq est parti en formation en 2004