Title: La MANOVA
1La MANOVA
2Type De question
Type De mesure des Variables Dépendantes
Nombre De Variables Dépendantes
Nombre De Niveaux ou de VI
Échantillons Dépendants ou indépendants
Satistiques
indépendants
?2
Deux
Une
dépendants
McNemar
Qualitatives
Analyse discriminante
Multiples
Multiples
indépendants
Test t (ind)
Deux
Différences
dépendants
Test t (dép)
Une
indépendants
ANOVA/ANCOVA
ANOVA/ANCOVA mesures répétées
Multiples
dépendants
Quantitatives
Ind dép
ANOVA/ ANCOVA (mixte)
MANOVA/ MANCOVA
Multiples
Multiples
Ind dép
Qualitatives
Deux
Une
Phi
Relations
Aucune
Analyse Factorielle
Multiples
Corrélation / Régression Simple
Une
Quantitatives
Une
Régression Multiple
Multiples
Corrélation Canonique
Aussi TF, p.29-31.
Multiples
Multiples
3Différences et relations
- Régression multiple et ANOVA
- Une variable dépendante
- Plusieurs groupes ou variables indépendantes
- Corrélation canonique et MANOVA
- Plusieurs variables dépendantes
- Plusieurs groupes ou variables indépendantes
4Motricité fine
Âge à la rentrée en garderie
Coordination
Logique
Niveau socio-économique
Capacité dabstraction
Reconnaissance des émotions
Style parental Démocratique vs autoritaire
Expression émotionnelle
5Corrélation canonique (R)
Motricité fine
Coordination
Gars (0) vs Fille (1)
?
Logique
Capacité dabstraction
Reconnaissance des émotions
Expression émotionnelle
6La MANOVA
- La MANOVA crée des combinaisons linéaires (des
variables canoniques) permettant de maximiser la
séparation des groupes.
Critère Trouver la combinaison linéaire qui
maximise la séparation entre les groupes
7La MANOVA
Variable canonique 1
8La MANOVA
Variable canonique 1
9Avantages dune approche multivariée
- Permet de contrôler pour laccumulation de
lerreur de Type I qui survient lorsque lon
effectue plusieurs tests dhypothèse - Permet de contrôler la redondance dinformation
au niveau des variables dépendantes - Les groupes peuvent différer de façon
significative au niveau de la combinaison
linéaire des variables dépendantes sans quils
diffèrent au niveau des variables individuelles.
10VD1 Santé physique
Personnes À faible revenu
Personnes âgées
Personnes Aisées mais hospitalisées
VD2 Optimisme
11Désavantages dune approche multivariée
- Lanalyse exige plus de participants
- Il doit y avoir plus de participants dans chaque
groupe que de variables dépendantes - et habituellement au moins 20 personne par groupe
- La MANOVA peut être moins puissante (p.ex., si
les VDs sont très corrélées positivement ou non
corrélées). - Si très fortement corrélées le nombre de
variables peut être réduit à laide dune analyse
par composante principale ou une analyse
factorielle - Si non corrélées ANOVA est plus puissant.
- Nous sommes souvent intéressé(e)s aux variables
prises individuellement et non à leur combinaison - Il est parfois difficile dinterpréter la
combinaison linéaire des variables dépendantes - Le choix des variables est donc important
12Corrélation canonique (R)
Motricité fine
Coordination
Gars (0) vs Fille (1)
?
Logique
Capacité dabstraction
Reconnaissance des émotions
Expression émotionnelle
13MANOVA
- Les combinaisons linéaires sont orthogonales
- La première corrélation explique le plus grand
pourcentage de variance - La prochaine corrélation cherche à expliquer la
variance résiduelle - Le nombre de corrélations canoniques sera le plus
petit de deux nombres - Soit le nombre de variables dépendantes ou le
degré de liberté du traitement (nombre de niveaux
- 1). - Sil y a 4 VDs et 3 niveaux, on peut obtenir 2
corrélations canoniques
14MANOVA
15Les tests statistiques multivariés
- Pillai-Bartlets trace (V)
- SCtraitement / SCtotal
- Similaire à un pourcentage de variance expliquée
- Le lambda de Wilks (Wilks ?)
- SCerreur / SCtotal
- Similaire à un pourcentage de variance
non-expliquée - Hotelling-Lawleys trace (T)
- SCtraitement / SCerreur
- Ne devrait être interprété quavec deux groupes.
- Roys largest root (R)
- Considère la première paire de variables
canonique seulement.
16Les tests statistiques multivariés
- Lorsquil y a seulement deux groupes, ils sont
identiques. - Lorsque leffet est grand, ils devraient
concorder. - Si leffet se trouve au niveau de la première
dimension - Du plus puissant au moins puissant
- Roys largest root gt Wilks lambda gt Pillais
trace - Si, au contraire, leffet se manifeste à
plusieurs niveaux - Du plus puissant au moins puissant
- Pillais trace gt Wilks lambda gt Roys largest
root - Le lambda de Wilks est donc un bon compromis et
le plus généralement accepté - Pillais trace est par contre plus robuste
lorsque le postulat dhomogénéité de la
variance-covariance nest pas respecté.
17La matrice des SCeffet
SCeffet,VD1
Covariabilité des variances intergroupes autour
de la grande moyenne des DVs prises deux par
deux (covariance)
18La matrice des SCerreur
SCerreur,VD1
Covariabilité intragroupe des DVs prises deux par
deux (covariance)
19Le lambda de Wilks (Wilks ?)
- Le lambda de Wilks (Wilks ?) nous dit sil y a
une combinaison linaire de variables dépendantes
qui permet de séparer les groupes de façon
statistiquement significative.
20Le lambda de Wilks (Wilks ?)
- Le lambda de Wilks (Wilks ?) sera distribué
comme un F lorsque - Il y a seulement deux variables dépendantes.
- Il y a seulement 2 ou 3 groupes.
- Sinon, les probabilités sont ajustés en modifiant
les degrés de liberté (dl en décimaux, Raos F) - P. ex., F(4,2345)4.54, p lt .05
21Le pourcentage de variance expliquée par le
traitement
- de variance expliquée 1- Wilks ? ?
- Mais ce est trop élevé et doit être ajusté pour
tenir compte du fait que les variables canoniques
nexpliquent pas toute la variance de nos
variables dépendantes - Tau-carré (Kline, 2004) 1 - Wilks ?1/s
- où s est le plus petit de deux possibilités
dleffet ou DVs - SPSS rapporte cette statistique ajustée
- Cramer et Nicewander (1979, cité dans Stevens,
1996, p. 443) recommande dutiliser la moyenne
des corrélations canoniques significatives au
carré. - Le Tau-carré (1 - Wilks ?1/s ) peut être
interprété de façon similaire.
22Les postulats
- Lindépendance des observations
- Si les scores dun même groupe sont corrélés,
lerreur sera sous-estimée. Donc, inflation de
la probabilité de commettre une erreur de type I. - La normalité multivariée
- Une elipse et non une forme inégale, mais
difficile à examiner. - Enlever les scores extrêmes vous permet
habituellement de respecter ce postulat - Le test est relativement robuste si le N est
assez grand - au moins 20 personnes par groupe
- plus de personnes dans chaque groupe quil y a de
variables dépendantes - Absence de multicolinéarité
- Examinez vos corrélations (voir le cours
précédent) - Les relations doivent être linéaires
- Examinez vos nuages de points (voir le cours
précédent) - Et
23Lhomogénéité des matrices de variance-covariance
- Si les groupes sont égaux ou relativement égaux
(32), le test est robuste - Si les groupes sont inégaux et que le test M de
Box (Fapproximatif) nest pas significatif à p lt
0.001, alors il y a homogénéité. - Si les groupes sont inégaux et que le test M de
Box (Fapproximatif) est significatif à p lt 0.001,
alors - Si les variances et covariances les plus élevées
se retrouvent dans le plus grand groupe, le test
est conservateur - Si, au contraire, les variances et covariances
les plus élevées se retrouvent dans le plus petit
groupe, le Wilks est libéral. Utilisez plutôt le
test de Pillai ou égalisez vos groupes
(Tabachnick Fidell, 2001).
V1
V1
1.40
1.20
Groupe A
Groupe B
24(No Transcript)