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Title: modele 1 ppt Subject: pr sentation ppt Author: Communication CHU Clermont Ferrand Last modified by: JPB Created Date: 2/23/2005 12:53:52 PM – PowerPoint PPT presentation

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Title: modele 1 ppt


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Incontinence urinaire de ladulte
Service dUrologie Constance de
Lapasse Professeur Boiteux Hôpital Gabriel
Montpied
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I. Définition, épidémiologie
  • Lincontinence urinaire (IU) est une perte
    involontaire durine par lurètre ? fuites
    durine comprend les pertes en dehors de
    lurètre, par exemple les fistules
    vésico-vaginales.
  • Concerne 20 des femmes en France tous âges
    confondus soit 2 millions de femmes.
  • Aux Etats-Unis 13 millions de femmes et 16
    milliards de dépenses annuelles.

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II. Mécanismes physiopathologiques
  • Deux mécanismes
  • IU à leffort 30 des cas
  • IU sur besoins impérieux ou urgenturie 30 des
    cas
  • Association des deux IU mixte, 30 des cas.
  • IU à leffort
  • Hypermobilité urétrale perte du tonus des tissus
    de soutènement vésical
  • Insuffisance sphinctériennebaisse du tonus
    sphinctérien
  • IU sur besoins impérieux
  • Vessie hyperactive, contractions vésicales
    anarchiques
  • Diminution de la compliance , de lélasticité
    vésicale gt petite capacité vésicale
  • Diagnostic différentiel infection urinaire,
    tumeur vésical, corps étranger intravésical.

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III. Facteurs de risque chez la femme
  • Age
  • Lésions traumatiques de la vessie et du
    sphincter épisiotomie, cure de prolapsus
  • Antécédents obstétricaux
  • Gros poids du bébé
  • Expulsion à vessie pleine
  • Expression abdominale
  • Efforts expulsifs à dilatation non complète
  • Déchirure périnéale
  • Facteurs constitutionnels Prédisposition
    familiale, obésité
  • Activité sportive renforcement excessive de la
    musculature abdominale sans renforcement périnéal
  • Toux chronique
  • Troubles de la défécation constipation
    terminale sévère avec efforts de poussée
    abdominale importante

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IV. Examen clinique
  • Linterrogatoire précise le mécanisme et oriente
    la prise en charge thérapeutique
  • Chez la femme
  • IU deffort pas de sensation de besoin
  • Concomitante dun effort toux, rire, marche
    rapide, port de charge et cédant avec lui
  • Diurne
  • Urgenturie
  • impossibilité de retenir ses urines
  • Besoin demblé urgent et persistant
  • Parfois déclenché par un stimulus exposition au
    froid, audition ou vision de leau qui coule,
    introduction de la clé dans la porte de la
    serrure
  • Symptômes associés dysurie, pollakiurie,
    brûlures mictionnelles
  • Chez lhomme
  • Idem , plus deux facteurs atteinte iatrogène du
    sphincter, post op par exemple, et rétention
    complète durines avec mictions par regorgement.

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IV. Examen clinique (2)
  • Lexamen physique
  • Femme
  • Objectiver la fuite faire tousser vessie pleine
  • ManÅ“uvre de Bonney/ dUlmsten
  • Examen au spéculum
  • Touchers pelviens
  • Pad-test
  • Homme
  • Rechercher un résidu post mictionnel.

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  • Photos manÅ“uvre de bonney

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V. Examens complémentaires
  • ECBU seul examen vraiment indispensable, une
    infection peut expliquer à elle seule une
    urgenturie
  • Si les troubles majoriraires sont limpériosité
    ou la pollakiurie cystoscopie et frottis
    urinaire
  • Bilan urodynamique
  • Recommandation ANAES pas en première intention
    pour prescrire une rééducation mais obligatoire
    si diagnostic incertain, traitement inefficace de
    lurgenturie, chirurgie envisagée, pathologie
    associée de type neurologique par exemple.
  • Comprend une débitmétrie, une cystomanométrie,
    une uréthromanométrie, une sphinctérométrie.

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  • Courbes de BUD

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VI. Principes thérapeutiques chez la femme
  • Vessie hyperactive, instabilité vésicale
  • Traitement pharmacologique anti-cholinergiques
    Ditropan_at_, Céris _at_
  • Reeducation manuelle, electro stimulation,
    biofeedback, traitements comportementaux
  • Chirurgie
  • Neuromodulation des racines sacrées atténue
    lexcès de stimulation sensitive au niveau de S3
  • Toxine botulique Botox_at_ paralyse le détrusor
    par blocage de la jonction neuromusculaire
  • La chirurgie dagrandissement vésical

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VI. Principes thérapeutiques chez la femme (2)
  • Incontinence urinaire deffort
  • Traitement pharmacologique oestrogénothérapie
    locale , chez la femme ménopausée uniquement,
    améliore la trophicité vaginale locale.
  • Reeducation 10 à 15 séances en moyenne
  • La chirurgie
  • Si hypermobilité de la jonction urétrale
    Bandelette sous urétrale de type TVT, TOT
  • Si insuffisance sphinctériennes
  • TOT mais amélioration dans 30 des cas et risque
    de dysurie,
  • sphincter artificiel,
  • injection de produits para uréthraux par voie
    endoscopique

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  • Photos et schéma tot, injection para uretrale

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Cas cliniques n1
  • Madame C. 41 ans, vient consulter pour des pertes
    durines. Elle a comme antécédents
  • G5P4, poids des enfants 2950g avec extraction
    par forceps et épisiotomie, 3100g, 3250g et
    3640g, AVB spontanée.
  • Pas dantécédents chirugicaux
  • Elle perd ses urines lorsquelle fait ses courses
    ou lorsquil fait très froid.
  • Quels sont les éléments en faveur dune IUE? Que
    doit-on rechercher comme autre facteurs
    favorisants?
  • Elle demande si elle aurait pu faire quelque
    chose auparavant pour éviter cette incontinence.
    Que lui répondez-vous?
  • Que recherchez-vous à lexamen clinique?
  • Quel traitement proposez-vous en première
    intention, pourquoi?

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Cas cliniques n1 (2)
  • Elle revient six mois plus tard et explique que
    le traitement proposé la améliorée mais nest
    pas parfait.
  • Que recherchez-vous comme symptômes?
  • Que pouvez-vous lui proposer maintenant? Faut-il
    prescrire un examen complémentaire ? Si oui,
    lequel et dans quelles conditions?

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Cas clinique n2
  • Madame X, 78 ans, est amenée aux urgence par sa
    fille pour des pertes durines apparues ou
    majorées depuis 48 heures, avec des mictions
    fréquentes mais peu abondantes. Elle présente
    également une hématurie macroscopique
    intermittente. Elle na pas de brûlure
    mictionnelle. A larrivée, elle est apyrétique
    avec une température à 372C.
  • Avec ce peu de renseignements, quels diagnostics
    évoquez-vous?
  • Que demandez-vous à linterrogatoire pour étayer
    vos diagnostics?
  • En fait, madame X a présenté des pertes urinaires
    à partir de lâge de 50 ans, mais plutôt à
    leffort, en toussant, en portant des charges
    lourdes, en montant les escaliers. Cette
    incontinence a ensuite delle-même  disparu .
  • De quel type dincontinence sagissait-il?
  • Comment expliquez-vous cette  disparition ?

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Cas clinique n2 (2)
  • Madame X a en effet une infection urinaire que
    vous traitez. Elle revient en consultation
    quelques mois plus tard. Vous lexaminez elle
    présente un volumineux prolapsus côté C3H2R3.
  • Elle explique par ailleurs quelle a toujours des
    épisodes de sang rouge dans les urines, et des
    pertes durine en dehors des efforts.
  • Que recherchez-vous à lexamen clinique?
  • Que proposez-vous comme thérapeutique?

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Cas clinique n3
  • Madame U., 62 ans, vient vous voir en
    consultation en désespoir de cause elle a des
    pertes durine depuis des années.
  • 1985 un AVB avec ventouse, enfant de 4230g,
    épisiotomie médio-latérale droite.
  • Dans les suites, 35 séances de rééducation
    périnéale amélioration transitoire.
  • 1995 10 nouvelles séances et intervention
    chirurgicale selon Burch
  • Dysurie post opératoire majeure avec urgenturies
    démontage du Burch.
  • 2004 BUD IU mixte mais prédominant à leffort,
    limpériosité est mise sur le compte de la
    chirurgie. Mise en place dun TOT.
  • Trouvez-vous la démarche thérapeutique adaptée?
    Pourquoi?

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Cas clinique n3 (2)
  • Vous expliquez à madame U quelle a été
    correctement prise en charge. Elle se plaint
    pourtant de fuites quasi permanentes, au repos
    comme à leffort. Elle ne sort plus de chez elle
    car elle  se garnit  en permanence. A peine
    arrivée devant sa porte, cest la catastrophe!
  • Le froid agrave encore les choses
  • Que recherchez-vous à lexamen clinique? Un
    examen complémentaire peut-il vous aider?
  • Que proposez-vous en première intention?
    Lamélioration doit-elle être rapide?
  • Elle revient deux mois plus tard le traitement
    la beaucoup améliorée, mais elle reste toujours
    recluse chez elle. Elle se change moins souvent.
    Comme toutes les femmes, elle voudrait plus!
  • Quelles sont les autres traitements possibles?
  • Dans quel ordre doit-on les proposer à la
    patiente?

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  • Merci de votre attention
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