Title: Pr
1Travail collaboratif et Communautés
I C C E
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2Le programme Des apports théoriques Un
panorama des solutions collaborative Mise en
œuvre Débat
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3Sommaire ou cartographie
- 1) DEFINITION
- Rappels historiques
- ? Le principe de la division du travail
- La révolution informatique
- Quelques concepts
- Intelligence collective
- Création de valeurs, chaîne de valeurs
- Economie de limmatériel,
- Economie du savoir et de la connaissance
- Définition du travail collaboratif
- Quest ce quune communauté
- 2) PRINCIPES
- Les pré-requis
- Démarche participative,
- Logique de mutualisation
Intelligence Collective
Travail Collaboratif
Organisation en réseau
E-Communauté
Communauté de pratiques
Economie du savoir et de la connaisance
Compétences combinatoires
Le KM
Chaîne de valeurs
Cyberespace
Mutualiser linformation
Espace virtuel
La confiance
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4- Rappels historiques
- Une approche sociologique du travail
- 1900-1930, le triomphe du taylorisme
- travail à la chaîne,
- cadences soutenues,
- répétition des gestes et des tâches
- apparition le terme de management
- Taylor lance sa théorie du scientific
management - transformer les artisans, qui s'appuient sur un
savoir-faire, - en ouvriers responsables de tâches parcellisées
- découper le travail en procédures, systématisée
- pour gagner du temps.
- Les ouvriers sont déqualifiés, mais la
productivité améliorée
- 1) DEFINITION
- Rappels historiques
- ? Le principe de la division du travail
- La révolution informatique
- Quelques concepts
- Intelligence collective
- Création de valeurs,
- chaîne de valeurs
- Economie de limmatériel,
- Economie du savoir
- et de la connaissance
- Définition du travail collaboratif
- Quest ce quune communauté
- 2) PRINCIPES
- Les pré-requis
- Années 30-50 l'école des relations humaines
- Les Etats-Unis découvrent le facteur humain
- Développement de la formation, de la
participation, de lanimation
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5- Rappels historiques
- Une approche sociologique du travail
- Années 60 le temps du management
- management participatif
- fixer des objectifs
- zéro défaut
- Années 70 le management stratégique
- le règne des matrices
- les outils d'aide à la décision
- réorganisation de lentreprise
restructurations, reconversion
- Années 80 le modèle japonais et le culte de
l'excellence - l'écoute du client et celle du personnel
- Amélioration, évolution, organisation du
travail, - favoriser l'autonomie et linnovation...
- les cercles de qualité
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6- Rappels historiques
- Une approche sociologique du travail
- Années 90 le re-engineering
- la reconfiguration des processus,
- moins d'échelons hiérarchiques
- décloisonnement des services, mise en place de
groupes - de travail transversaux
- travail en mode projet
- télé-travail
- Années 2000 la gestion du savoir et de la
connaissance - la capitalisation pour anticiper le turn-over,
les départs - Capitaliser pour favoriser linnovation
- Manager par les valeurs
-
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7- Rappels historiques
- Le principe de la division du travail
- Il y a 2 siècle, Adam Smith soulignait le rôle du
travail collaboratif dans un fameux - texte sur la "fabrique d'épingles
- Dix ouvriers travaillant chacun de leur côté ne
parviennent pas à produire plus de - 20 épingles par jour et par ouvrier.
- S'ils se spécialisent chacun dans une étape de la
fabrication, les cadences montent - à 4 800 épingles par ouvrier et par jour.
- Organiser les interactions entre les employés,
- les faire collaborer et coopérer".
-
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8- Aujourdhui
- La métaphore de lépingle
- sapplique à information
- qui circulent entre les salariés.
- Les échanges se sont dématérialisés,
- ils gagnent régulièrement en complexité
- Taylor avait énoncé trois principes de management
- appliqués au travail du début du 20e siècle
- Le travail est individualisé
- Le travail est prescrit
- Le travail est mesuré
-
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9- Aujourdhui
- Au début du 21e siècle toutes les entreprises
- doivent faire face à une nouvelle forme du
travail - intellectuel
- dématérialisé
- Ce travail est difficilement individualisable
- Ce travail est difficilement prescriptible
- Ce travail est difficilement mesurable
-
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10- La révolution informatique
- Les phénomènes accélérateurs
- La loi de Moore, le cycle dun produit,
lobsolescence - Capacité exponentielle des processeurs, RAM,
- capacité de stockage
- Le taux déquipement toujours croissant
- Lessor des réseaux
- Technologique
- - Fibres optiques, cables, ADSL, Satellite
- Spatial
- Maillage du territoire, désenclavement
- Organisme de régulation, ART
- Concurrence
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11- La révolution informatique
- Les phénomènes accélérateurs
- Les contenus le tout numérique
- La politique de numérisation des fonds culturels
- Le passage progressif du papier au numérique
- Le développement de contenus multimédias
- Loisirs
- Formation
- Services
- Lavènement du DVD, (accès non linéaire à
linformation) - Les services marchands en ligne
- Le développement de lexternalisation de
services - Les services aux citoyens, information publique
- Les services culturels, loisirs, réservation,
- achat de contenus en ligne
- Larrivée de bouquets de services on line haut
débit (Free)
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12- Quelques concepts
- Définition du travail collaboratif
- collaboration
- Le Larousse dit
- travailler avec d'autres à une œuvre commune.
-
- (com et laborare)
- travailler avec .
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13- Quelques concepts
- La collaboration
- Quand un groupe organisé d'acteurs oriente et
négocie ses interactions collectives vers une
finalité qui ne pourrait être atteinte par un
seul acteur. - Ces interactions sont
- orientées (finalisées)
- négociées (discutées) pour permettre le partage
de ressources - (coopération) et la mise en œuvre de routines
de coordination. - La collaboration s'appuie donc sur
- la co-réflexion
- la co-décision
- la co-conception
- la co-production
- la co-action
- le co-pilotage
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14- Quelques concepts
- La collaboration
Collaboration Intra- services
Collaboration Inter-services
Collaboration Inter-entreprises
Collaboration sensible
Collaboration Fournisseurs Sous-traitants
et pour vous ?
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15- Quelques concepts
- La collaboration
Nature des échanges
Co-évolution
Définition conjointe des stratégies
Réalisation conjointe des opérations
Identification conjointe des objectifs
Echange de plan Utilisation de la capacité et des
objectifs
Echange opérationnel et tactique
Echange transactionnel
faible
Intensité de collaboration
forte
Relation transactionnelle
Relation collaborative de planification Et
dexécution des opérations
Relation de planification conjointe
Relation déchanges dinformation
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16- Quelques concepts
- La collaboration
- Lintensité de la collaboration
- Intensité des buts partagés
- Intensité des échanges
- Imbrication des processus internes
- Confiance mutuelle
- . . .
- La collaboration inter-entreprise consiste
- en la réalisation commune et interdépendante
dactivités non routinière et dans le partage
des risques, des récompenses et des
responsabilité. - Elle permet aux participants datteindre un
niveau de performances plus élevé que sils
avaient travaillé de manière isolée
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17- Quelques concepts
- La collaboration
- Lintensité de la collaboration
- Intensité des buts partagés
- Intensité des échanges
- Imbrication des processus internes
- Confiance mutuelle
- . . .
- La collaboration inter-entreprise consiste
- en la réalisation commune et interdépendante
dactivités non routinière et dans le partage des
risques, des récompenses et des responsabilités. - Elle permet aux participants datteindre un
niveau de performances plus élevé que sils
avaient travaillé de manière isolée
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18 Opportunités de collaboration Favoriser la
collaboration pour améliorer la qualité du
service client
- Gestion du cycle de vie des produits
- Développement de nouveaux produits
- Gestion collaborative des promotions
- Gestion collaborative des gammes
- CPFR, VMI/CMI
- Catalogue
- Échange de données sur les clients
- Amélioration de loffre au client
- Embauche collaborative
- Co-traitance de spécialité
- Partage de ressources
- Veille technologique
- Transport conjoint
- Publicité conjointe
- Achats de groupe
- Veille technologique
- Achats de groupe
- Embauche collaborative
- Formation partagée
- Co-traitance de capacité
- Partage de ressources
- Transport conjoint
- Échange de données sur le marché
Entreprises complémentaires
Fournisseursde services technologiques et
logistiques
Associations Universités Consultants
- Impartition technologique
- Projets conjoints de RD
- Impartition logistique
- Veille technologique
- Projets conjoints de RD
- Gestion des connaissances
- Catalogues
- Partage de ressources
- Mesures dévaluation/gestion de la qualité
- Gestion des connaissances
- Entente sur cadre dinteraction
- Prévision de la demande
- Gestion des promotions
- Conception collaborative de produits
19- Quelques concepts
- Lintelligence collective
- Un processus combinatoire
- Mise en relation fine et productive
- dans un but commun
- Elle échappe au rationnel
- Elle est proportionnelle
- aux valeurs partagées
- à lengagement
- à la confiance
- à la créativité
- à la dilution de lindividuel dans le collectif
- Personne ne sait tout, tout le monde sait
quelque chose
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20- Quelques concepts
- Lintelligence collective
- A ressources matérielles égales, à contraintes
économiques équivalentes, la victoire va aux
groupes dont les membres travaillent pour le
plaisir, apprennent vite, tiennent leurs
engagements, se respectent et se reconnaissent
les uns des autres comme des personnes, passent
et font passer plutôt que de contrôler des
territoires.
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21- Quelques concepts
- La création de valeurs
- Chaîne de valeurs
- La production de biens et de valeurs
- La production combinée
- Les compétences mobilisées et en relation
interdépendante - ex lextraction et le raffinage du pétrole
- Un géologue
- Un extracteur
- Un raffineur
- Un distributeur
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22- Quelques concepts
- Léconomie de limmatériel
- Dématérialisation des échanges
- La mondialisation des échanges
- Limmédiateté de linformation
- Le capital immatériel
- capitalisation de la connaissance et du savoir
- lintelligence collective
- capacité dinnovation
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23- Prenons un peu
- de recul
- avec pierre LEVY
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24Un nouvel espace anthropologique
- Des réseaux numériques au cyberespace
- Les évolutions technologiques
Vie Matière Information Collectif
Techniques Moléculaire génétique nano technologies numérique immanence
Techniques Molaires Sélection artificielle thermo dynamique médiatique transcendance
Techniques Archaïques Sélection naturelle mécanique somatique organicité
VITESSE
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25Tableau des grandes évolutions technologiques
Techniques archaïques là à lorigine des temps Techniques molaires Modification grossière des corps Techniques moléculaires agissent au niveau le plus fin du corps contrôlé la molécule pour la matière, le gène pour la vie, le bit pour linformation
Controle des espèces vivantes Sélection naturelle Absence de opère sur des populations Sélection artificielle Finalisation, échelle historique, opère sur des populations Génie génétique Finalisation Temps réel Opère gene par gene
Contrôle de la matière Mécanique Contrôle de la transmission et du point dapplication des forces Assemblages Thermo-dynamique Production dénergie et modification de la matière par chauffage et mélanges Nano-technologies Contrôle de la transmission et du point dapplication des forces à léchelle microscopique Assemblage atome par atome
Contrôle des messages Sémantique Produites par des corps vivant Variation en fonction du contexte Médiatique Fixation, reproduction Diffusion des messages Numérique Production, diffusion et interaction Contrôle des messages bit par bit
Régulation des groupes humains Organicité Les membres dun groupe ont la connaissance mutuelle de leurs identités et actes Transcendance Membres dun groupe organisés par catégorie, unifiés par un leader et des institutions Immanence Une grande collectivité en auto-organisation est un groupe moléculaire usant de toutes les technologies fines
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26- Un nouvel espace anthropologique
- " Quest-ce que lintelligence collective ?
- Cest une intelligence partout distribuée, sans
cesse valorisée, - coordonnée en temps réel, qui aboutit à une
mobilisation effective des compétences. - Lintelligence collective a des caractéristiques
- Décentralisation du savoir et des pouvoirs,
- Autonomie des individus valorisés en tant que
créateurs de sens, - Expansion d'un espace intersubjectif dégagé des
contraintes économiques et étatiques, - Interactivité constante entre les individus et
leur environnement (technique, économique,
écologique...) dont les modifications sont
perçues et contrôlées en temps réel, - Désagrégation des structures massives (que
l'auteur appelle "molaires") au profit d'entités
autonomes, petites et conviviales, - Emergence d'une nouvelle convivialité et d'une
nouvelle éthique...
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27- Un nouvel espace anthropologique
- LEspace du Savoir
- Quest un espace anthropologique?
- Un système de sens.
- En sémiologie, un espace de signification peut
être créé par une simple discussion entre deux
personnes, à la lecture dun livre, ou lors de la
constitution dun Etat. - Ces espaces sont plus ou moins plastiques, plus
ou moins permanents. - Chaque être humain, seul être vivant capable de
percevoir le sens, vit dans une multitude
despace différents. - Ainsi, je suis très proche de ma voisine de
palier dans lespace géographique, alors que dans
lespace affectif je me sens davantage proche de
mes parents qui vivent à 500 kilomètres.
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28- Un nouvel espace anthropologique
- LEspace du Savoir
- Un système de proximité, de repérage, un espace
au sens strict du terme. - Chaque espace a ses propres rapports à la
distance, mais aussi au temps et à nombre de
valeurs propres. - Un système structurant.
- Un espace anthropologique sapplique à
léchelle de lHumanité, il contient
nécessairement tous les autres espaces existants
et les structures en fonction de ses règles de
proximité propres. Il nexiste pas de plus grand
espace de signification. - Un système propre à lhumanité
- Un système irréversible. Un " retour en arrière
" est évidemment concevable, mais pas sans éviter
une catastrophe majeure, une régression de
civilisations. - Un système autonome (qui possède ses propres
règles et qui peut fonctionner en circuit fermé),
mais cependant pas isolé des autres espaces qui
lont précédé
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29- il nexiste peu despaces anthropologiques
- La Terre comme premier espace, " apparu " dès la
naissance de lhumanité. - La Terre fonctionne dans un rapport au cosmos
lhomme y est au sein dun tout omniprésent. - Sa place est dans la famille, dans la lignée,
mais aussi auprès des dieux, des rites, des
traditions - Lhomme est un microcosme, une parcelle du
cosmos, mais constamment reliée au tout. - Le Territoire comme second espace, émergeant au
néolithique avec la sédentarisation et la
constitution des Cités, est basé sur le rapport à
lEtat comme entité politique majeure. Cest
lépoque de la généralisation de la civilisation,
de laménagement du territoire, de lurbanisation
le Territoire recouvre progressivement la
Terre, il irrigue les terres arides, il canalise
les cours deau, il construits des routes, des
ponts, les rapports à la distance et au temps
changent. - Lindividu change également il devient un
micropolis, un citoyen membre dune nation. - LEspace des Marchandises comme troisième
espace, le plus abouti aujourdhui cest
lespace centré sur le capitalisme libéral,
apparu avec la révolution industrielle et ayant
atteint son apogée après la Seconde Guerre
Mondiale. - Le capitalisme centre la société sur les flux et
les liquidités il transmute en marchandise
tout ce quil parvient à entraîner dans ses
circuits. " Lindividu devient un micro-oïkos, un
agent économique. - Ces trois espaces sont reliés par une même
logique, celle de laccélération - en modifiant notamment les rapports au temps et à
la distance, en les raccourcissant, ils
accélèrent le rythme de vie des individus et des
groupes.
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30Vers un nouvel espace. . . lEspace du Savoir
- Cher à Pierre Lévy
- Epanouissement du collectif humain
auto-organisé, - lieu de lintelligence collective sous-tendue
par le cyberespace. - centré sur le savoir humain au sens large, comme
le savoir-faire, savoir-vivre, la compétence,
lexpérience - De nouveaux rapports de vitesse caractérisés à
lheure actuelle par lInternet, mais aussi de
nouveaux rapports au collectif (manipulation
moléculaire). - Une rupture
- labandon de la transcendance qui était présente
dans les trois espaces précédents (Dieu, lEtat,
le marché financier), - limmanence caractéristique de lintelligence
collective ne peut être entendue comme une
version moléculaire de la transcendance ! - les individus étaient caractérisés dans chaque
espace précédent par une donnée particulière,
propre et unique - leur nom sur la Terre,
- leur adresse sur le Territoire,
- leur profession sur lEspace des Marchandises.
- lEspace du Savoir implique labandon des
systèmes de différenciation et la discontinuité
des structures. Lhomme y est un polycosme, et
non plus un micro-être, une parcelle dun tout
il est le tout, cest le principe fondamental de
lintelligence collective. - lEspace du Savoir présente une grande rupture
vis-à-vis des espaces précédents.
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31- Les 4 espaces Terre, Territoire, Marchandises,
Savoir
temps
Espace du savoir
Identité compétences, Coopération nomade
noolitique
Cyberespace Economie de la connaissance?
Qualités humaines
Espace des marchandises
Identité place dans la production et la
consommation
révolution industrielle
Economie des biens matériels statistiques
Capital
Espace du territoire
Identité inscription territoriale
néolitique
Ecriture Géométrie cartographie
Etat
Espace de la terre
paléolitique
Identité Totems lignage
Mythes rites
Cosmos
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32- Michel Serres, " le savoir est devenu la nouvelle
infrastructure - Le phénomène de tensions lorsque lon change
despaces anthropologique - Au Sud (dans les pays pauvres de la planète
évidemment ), - la Terre envahit les espaces supérieurs du
Territoire et des Marchandises. Résultat les
clans, les tribus se placent par la force à la
tête des Etats et détournent les richesses des
Marchandises à leur profit. - A lEst (dans lancien bloc soviétique), cest
lEtat qui entend régenter les autres espaces
adjacents, et se développe donc léconomie
planifiée et finalement contre-productive
(Territoire envahit Marchandises) et la
propagande (Territoire envahit Savoir). - Au Nord (dans les pays " riches " de lOccident
présent), lespace des Marchandises est
tout-puissant. Non seulement il a assouvi la
Terre (pollution, exploitation), il a domestiqué
le Territoire (libéralisme) mais surtout il a
envahi le Savoir, et cela donne la société du
spectacle. - Que va t -il se passer à louest. . .
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33- En guise de conclusion
- LEspace du Savoir repose avant tout sur le
cyberespace qui joue le role de passerelle - Le principe de lémergence dune " intelligence
collective " rassemble les philosophes, penseurs
. . - Le père jésuite Teilhard de Chardin
- (1881-1955), théoricien du concept athée de la
noosphère, littéralement la sphère de lesprit,
qui émanerait des êtres humains sociables et
intelligents et qui envelopperait la Terre
physique. Voulant réconcilier religion et
science, il développa une vision spiritualiste de
lévolution naturelle. - Lastrophysicien Hubert Reeves
- lévolution pousse naturellement vers davantage
de performance, ce qui se traduit par davantage
de complexité mais également une raréfaction des
" représentants " de chaque étape qualitative.
Les quarks sont la base de sa " pyramide de la
complexité ", puis viennent les nucléons
(protons, neutrons qui ne rassemblent pas tous
les quarks !), puis les atomes (qui ne
rassemblent pas tous les nucléons), puis les
molécules (idem), les biomolécules, les cellules
vivantes, les organismes vivants, les êtres
humains A chaque fois, les élus sont moins
nombreux, mais plus performants en termes
qualitatifs. Quel est donc le stade supérieur à
lhomme dans lévolution ?
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34- Quest ce quune communauté
- Toutes les expériences récentes en KM démontrent
l'importance de l'interaction sociale dans les
flux de savoirs et savoir-faire entre
professionnels - les communautés professionnelles sont des lieux
privilégiés - d'intelligence collective,
- d'innovation,
- de création de valeur.
- C'est l'organisation en réseaux de connaissance,
- fondement de la Société du Savoir.
- Elle oblige à prendre en compte la dimension
humaine
- 1) DEFINITION
- Rappels historiques
- ? Le principe de la division du travail
- La révolution informatique
- Quelques concepts
- Intelligence collective
- Création de valeurs,
- chaîne de valeurs
- Economie de limmatériel,
- Economie du savoir et
- de la connaissance
- Définition du travail collaboratif
- Quest ce quune communauté
- 2) PRINCIPES
- Les pré-requis
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35Quest ce quune communauté Une communauté
est "un groupe de personnes qui partagent une
interaction sociale, des liens communs, et, à
certains moments, une place commune" plusieurs
individus, des rapports sociaux, un intérêt face
au groupe, le tout s'inscrivant dans une
dynamique temporelle La communauté virtuelle se
définit donc comme la résultante d'un intérêt
commun, ponctuel entre des individus autonomes en
situation d'interaction, et non
d'interdépendance, dans un espace symbolique.
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36- Les différents types de communautés
- La communauté virtuelle est un terme générique
regroupant en son sein d'autres types de
communautés tels que - communauté d'intérêt
- communauté de pratique
- communauté d'apprentissage
- communauté dexpert
- communauté de projets
- . . .
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37- Les différents types de communautés
- Communauté d'intérêt
- Regroupement de gens qui partagent des idées,
croyances une cause commune réseau parfois
implicite, elle joue un rôle important dans la
dissémination de l'information. - Ex anciens élèves d'une grande école
- Communauté de pratiques
- S'entraider, échanger de l'information,
construire des relations, partager les idées et
les pratiques. - C'est un mode d'organisation centré sur la
compétence - Ex club d'experts, congrès médical
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38- Les différents types de communautés
- Communauté d'apprentissage
- Communauté dexperts
- rassemble des experts sur un ou des sujets
communs de recherche, dinnovation. - Les processus de travail sont orientés vers la
mise en commun dexpertise, la confrontation, la
validation, la co-expertise - 5. Communauté de projet
- Le flux d'information et de connaissance y est
subordonné à l'accomplissement d'une séquence de
tâches pour délivrer un produit avec des acteurs
qui ont un rôle donné. Le groupe projet est
centré sur la tâche.
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392) PRINCIPES . . . de la collaboration aux
communautés. . . Le modèle de Tuckman un
développement en 4 étapes
- 1) DEFINITION
- Rappels historiques
- ? Le principe de la division du travail
- La révolution informatique
- Quelques concepts
- Intelligence collective
- Création de valeurs,
- chaîne de valeurs
- Economie de limmatériel,
- Economie du savoir et
- de la connaissance
- Définition du travail collaboratif
- Quest ce quune communauté
- 2) PRINCIPES
- Les pré-requis
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40- Le développement des communautés
- Forming, naissance
- La communauté est naissante, les membres ne se
connaissent pas encore - La communauté n'est en fait qu'une collection
d'individualités. - Repérage des affinités sujets d'intérêt
commun, compétences ou savoir-faire
complémentaires - 2. Storming, turbulence
- A l'occasion d'une situation d'action collective
(crise, résolution d'un problème), les acteurs
sont amenés pour la première fois à agir
ensemble. - conflits
- débats où chacun cherche à imposer son
point-de-vue
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41- Le développement des communautés
- 3. Norming, normalisation
- Si les acteurs arrivent à dépasser l'étape
précédente, - définition des rôles
- mission de chacun
- les objectifs du groupe
- procédures de communication
- 4. Performing, performance
- Les règles établies, lle groupe devient un TOUT
supérieur à la somme des individus - Le processus de mutualisation de linformation
est en marche
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42Le développement des communautés
Phase I
Establish Community Components
Launch Community
Define Community Project
Expand Community
Establish Community
Sub- community
Sub-community
Phase II
Evaluate Purpose Direction
Grow Community
Checkpoint Progress Value
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43- Le développement des communautés
- La démarche participative
- Elle se développe avec la présence
- dune envie dapprendre
- d'un climat favorable
- de ressources internes
- d'un gestionnaire de la documentation
- d'experts thématiques
- de membres
- dune économie du dispositif
- dun environnement technologique
- Trouver un rythme aux échanges
- Manager le développement organique des
communautés - Le problème de la confiance. . .
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44- Le développement des communautés
- Le concept de Mutualisation
- Mettre en commun
- Ce nest pas logique
- partager des valeurs communes
- construire une information de contenu
- structurer les échanges
- donner-recevoir
- respecter les règles
- construire le savoir collectif
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45- Le développement des communautés
- Contribuer pour gagner à plusieurs
- Les règles de la contribution
- définir les buts à atteindre, les objectifs
communs - structurer linformation
- réguler les échanges
- évaluer les besoins de la communauté, ses axes
de développement, de croissance - évaluer les résultats des échanges pour
capitaliser - la visibilité de la contribution
- la qualité de l'animation.
- Optimisation des échanges collectifs gain
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46Le développement des communautés Capitaliser
linformation La culture du retour
dexpérience La culture de la bonne
pratique Structurer linformation pour la
diffuser Toute la capitalisation de
linformation tient sur la valeur ajoutée de son
contenu et sur sa structuration Ecrire pour
Etre LU
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48- Identification et analyse
- des différents types dattentes
- Partager de la documentation
- Partager des savoir-faire
- Diffuser une information sélective
- à haute valeur ajoutée
- Fédérer des compétences, des partenaires,
- des acteurs
- Offrir une visibilité transversale sur un projet
- Piloter des actions en ayant les mêmes
informations - Intégrer des collaborateurs dans une démarche
- collective
- Centraliser linformation
-
- 1) DEFINITION
- Rappels historiques
- ? Le principe de la division du travail
- La révolution informatique
- Quelques concepts
- Intelligence collective
- Création de valeurs,
- chaîne de valeurs
- Economie de limmatériel,
- Economie du savoir et
- de la connaissance
- Définition du travail collaboratif
- Quest ce quune communauté
- 2) PRINCIPES
- Les pré-requis
Et pour vous
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49LES OUTILS
Une plate-forme de travail collaboratif
- Quest ce que cest?
- Un espace sécurisé créé sur Internet
- où les membres dun ou plusieurs organismes
partagent - et mettent en commun leurs ressources et
savoir-faire - afin de réaliser un projet
- ou de manière plus générale,
- datteindre un but commun
-
50LES OUTILS
LES OUTILS
Les outils de communication de base Leur rôle
est avant tout de faire circuler une
information entre deux collègues. C'est l'outil
"de première nécessité" On recense - La
messagerie, le mail - Le chat - La
visio-conférence - L'Instant Messaging - Le SMS
51LES OUTILS
- Les outils de travail partagé
- On recence
- Le partage d'applications
- ex plusieurs personnes travaillent sur le
même plan de la future voiture - d'un constructeur automobile)
- L'édition partagée, la co-édition
- - Les forums et outils apparentés
52LES OUTILS
- Les outils d'accès au savoir
- - Les bibliothèques dinformations
- Les outils de peer to peer
- - Les portails
- - La cartographie des compétences
- - Les annuaires électroniques
- - Les listes de diffusion
- - Les FAQ, questions les plus fréquemment posées
- Les WiKi (sortes de portails qui s'enrichissent
- gràce à la contribution des personnes qui les
consultent) - - Les moteurs et méta-moteurs de recherche
- Google, Yahoo
53LES OUTILS
Les outils de Workflow, de gestion des flux
dinformation
- On recense
- - Les workflows
- - Les outils de gestion de taches
- - Les agendas partagés
- Les outils de Gestion de la Relation Client
54Les plate-formes de travail collaboratif
Les logiciels ou plate-formes de travail
collaboratif Ils agrègent différents outils
et proposent un travail au sein dune
plate-forme partagée et sécurisée puisque seuls
les membres peuvent y accéder. La plateforme
peut être apparentée à une maison que lon
aménage en fonction des besoins et dans laquelle
on crée des salles de travail réservées à
certains membres.
- Les outils sont
- La publication dynamique de documents Word au
format HTML - Un moteur de recherche intégré (recherche de
documents sur libellés et contenu - Lagenda partagé
- La gestion des tâches
- Une bibliothèque de documents
- Un index de publication
- Labonnement aux actualités de la plate-forme
- La notification
- Le fonctionnement en mode déconnecté
- Un espace de publication pour tout type de
documents
55Les plate-formes de travail collaboratif
- Les différents types de plateformes
collaboratives - Peer to Peer (P2P)
- - Cest le partage dun disque dur et la
possibilité den offrir une partie réservée aux
autres. - Ce système permet de créer des plateformes
sécurisées et accessibles - via une connexion Internet
- - Une interface Web peut être mise en œuvre pour
lutilisation - Orienté Web
- - La plateforme est hébergée sur un serveur.
- - Elle est accessible 24H sur 24H de nimporte
quel endroit - Logiciel libre
- Plusieurs outils collaboratifs sont en cours de
développement - SPIP. . .
56Les plate-formes de travail collaboratif
KANARI
p2p
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57Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
- KANARI
- Kanari est un logiciel de Groupmail
- Une nouvelle génération demessagerie développée
- pour les échanges de groupe.
- Création instantanée despaces privés
- d'échanges et de collaboration,
- à l'aide d'une simple adresse e-mail.
- Partagez vos favoris, vos contacts, vos
documents - Discutez au sein de forums
- Organisez vos projets communs
- Cataloguez vos DVDs, CDs, livres
- Préparez vos rencontres ou réunions
- Diffusez vos albums photos
- Echangez vos documents dans des bibliothèques
- Publiez votre newsletter
- Capturez des pages web pour les stocker
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58Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
KANARI
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59Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
Peer to Peer (P2P)
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60Les plate-formes de travail collaboratif
- Groove
- Groove est un outil collaboratif en peer-to-peer,
self-service - et prêt à l'emploi.
- Un outil de collaboration synchrone persistant
- Les
- Une interface ergonique
- Lintégration de la voix IP
- La compatiblité avec Microsoft Office
- La sécurité, le cryptage des échanges
- Les -
- La nécessité d'utiliser un client propriétaire
- On ne peut l'imposer à ses partenaires
- La nécessité de développer ou dacheter des
outils spécifique - Les couts de licence
61Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
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62Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
eRoom 100 Web eRoom a été créé en 1996 Une
approche plus orientée gestion de fichiers
collaborative sur le Web, la publication des
formats des documents n'étant pas directement
prise en compte (à part une visionneuse rajoutée
dans la dernière version). Les coûts de licence
d'eRoom élevés Le rapprochement avec Documentum
risque de positionner eRoom sur un segment
gestion de documents d'entreprise
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63Les fonctionnalités
Les plate-formes de travail collaboratif
eRoom
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Les plate-formes de travail collaboratif
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65Les fonctionnalités
Les plate-formes de travail collaboratif
Affinityz 100 Web
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66Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
Affinityz
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Les plate-formes de travail collaboratif
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68Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
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69Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
Contributions internes/externes
E-mail
Moteur de recherches
Base Acteurs Rôles habilitations
Base de connaissance
Centres d'intérêt Domaines ? ? ? Thèmes
S/thèmes ? ? ? ? mots
ou phrases libres
Moteur Push
Centres d'intérêt/compétence Domaines ? ? ?
Thèmes S/thèmes ? ? ?
? mots ou phrases libres ...
Publications date objet détail Domaines Thèmes
S/thèmes fichier attaché lien Url source
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70Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
- Un outil de collaboration orienté KM
- Les
- Le push
- Le paramétrage des profils
- La sécurité
- Les -
- La lenteur des accès
- La complexité du système
- La logique de modules spécifiques
- Les coûts de licence et dhébergement
Moteur Push
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71Les plate-formes de travail collaboratif
72Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
MAYETIC Lotus QUICKPLACE
- Le Self-Service
- Création en self service des espaces de travail,
24h24, 7j/7 - Organisation et Structuration des espaces par les
gestionnaires/utilisateurs eux-mêmes - Le Prêt à lemploi
- Toutes les fonctions collaboratives directement
disponibles aux utilisateurs finaux - Prise en compte complète de la chaîne
collaborative (de la production à la publication,
en passant par la révision/validation) - Laccès 100 Web
- Plus de contrainte de client propriétaire
- Accès Universel aux espaces de travail (intranet,
extranet,) - Laccès Off-line
- Pouvoir continuer à travailler sans connexion au
LAN ou à internet
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73Les fonctionnalités
Les plate-formes de travail collaboratif
MAYETIC Lotus QUICKPLACE
- Création despaces en self-service
- Gestion des membres et des droits daccès
- Sous-espaces de travail privés
- Création/modification/suppression de documents en
ligne - Partage de fichiers
- Publication de documents Office en HTML
- Publication de toute application dentreprise au
format VIKAO - Importation de fichiers HTML et multi-média
(flash, audio, vidéo, ...) - Gestion de versions de documents
- Circuits de validations multiples
- Moteur de recherche (avec indexation des
fichiers) - Canaux dinformations internes ou externes
- Suivi des usages (statistiques)
- Collaboratif synchrone (chat, partage
dapplications, réunions virtuelles, )
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74Les fonctionnalités
Les plate-formes de travail collaboratif
MAYETIC Lotus QUICKPLACE
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75Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
MAYETIC Lotus QUICKPLACE
Gestion de documents/versions
CREATION / REVISION
76Les fonctionnalités
Les plate-formes de travail collaboratif
MAYETIC Lotus QUICKPLACE
Création de pages, dossiers,
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77Les fonctionnalités
Les plate-formes de travail collaboratif
MAYETIC Lotus QUICKPLACE
Conversion des documents MS Office et Adobe
Acrobat en html
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78Les fonctionnalités
Les plate-formes de travail collaboratif
MAYETIC Lotus QUICKPLACE
Vikao publication de tout document en ligne
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79Les fonctionnalités
Les plate-formes de travail collaboratif
MAYETIC Lotus QUICKPLACE
Agenda partagé
Gestion de tâches
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80Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
MAYETIC Lotus QUICKPLACE
Notification par e-mail
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81Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
MAYETIC Lotus QUICKPLACE
Recherche dans la eCommunauté
Recherche sur Internet
Actualités personnalisées
Chat, notifications, didactitiel (2h30 de vidéos
pédagogiques)
Authentification des utilisateurs
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82Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
MAYETIC Lotus QUICKPLACE
Gestion des droits daccès des membres (lecteur,
auteur ou gestionnaire)
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83Les tendances et comportements
Les plate-formes de travail collaboratif
- Ladaptation des outils à la notion de fillière,
métiers - Ladministration des contenus et les compétences
sont déportées vers lutilisateur - Laccès par profil push
- La formation en ligne
- Le tutorat en ligne
84e-communauté
Les plate-formes de travail collaboratif
- Une philosophie
- Le partage de linformation
- Publier pour être lu, information structurée,
valeur ajoutée - Un mode de travail virtuel
- Ré-organiser le travail
- Créez des outils de suivi, dévaluation
- Créer un nouveau mode de management
- Une organisation en réseau
- Limportance du lien
- Une nouvelle forme dorganisation
85La personnalisation des plateformes
Les plate-formes de travail collaboratif
- Lidentité graphique de la e-communauté
- - catalogue de thèmes graphiques intégrés ou
disponibles en ligne
86Lintégration doutils temps réél
Les plate-formes de travail collaboratif
- lespace et le temps sintègre dans les
- plate-formes
- la visio-conférence
- la voix IP
- la co-rédaction, co-création
- les outils de localisation GPS
87La versatilité
Les plate-formes de travail collaboratif
- Les plate-formes partagent et stockent tout types
de fichiers
88Segmentation des outils
Les plate-formes de travail collaboratif
- Portails netportal, suite arisem. . .
- Documentation arisem, docushare, knowledge
serveur, documentum, filenet. . . - Intelligence économique neurotext,Vstrat. .
- e-collaboration Net community, Quickplace,
Groove, Mayeticvillage, W2gether, Knowings kms,
e-room, Tomoyé, live link, Sharepoint portal
server. . .
89Les modèles économiques
Les plate-formes de travail collaboratif
- ASP 100 Internet
- Licences, avec agrégation doutils spécifiques
- Logiciels libres
90Les plate-formes de travail collaboratif
Les plate-formes de travail collaboratif
Volume d'infos faible Valeur ajoutée forte
Intelligence Économique
e-Communautés
Lotus Quickplace
Neurotext Grimmersoft
Groove
Vstrat Digimind
Knowings KMS Knowings
Net.communauty MGN
Informations externes
Informations internes
La suite produit ARISEM
Docushare Xerox
Knowledge Server Autonomy
Netportal Médiapps
Documentum 4I Documentum
File Net File Net
Portails
Documentation
Volume d'infos important Valeur ajoutée faible
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91Les plate-formes de travail collaboratif
Tomoyé
Affinityz
Groove
W2gether
MayeticVillage
92Les plate-formes de travail collaboratif
- Comment passer à une plate-forme collaborative ?
- ?Evaluation des besoins et attentes avec les
personnes - concernées
- Développement de micro-projets, des petites
plate-formes - collaboratives sur des besoins identifiés
- avec des personnes motivées
- ?Développement dun projet itératif et formateur
- servant de pilote
- ?En privilégiant les logiques de transversalité
- ?Faciliter lappropriation des outils par une
formation - adaptée et concrète
- ?Animer un dispositif de gestion et de suivi de
la plate-forme - avec un groupe moteur
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93- Les conditions du travail collaboratif
- De la motivation collective sur un projet commun
- c'est cette force qui va pousser les acteurs à
vouloir - travailler ensemble .
- Des interactions pour coopérer et se coordonner
- il faut que les acteurs puissent communiquer
entre eux et partager - rapidement des informations pour agir en
coordination. - Mobiliser les compétences collectives
G. ISOARD Associé ICCE
94La Communauté de pratique crée des connaissances,
principalement au bénéfice du salarié lui-même
(motivation, développement personnel). Ces
connaissances sont ensuite (éventuellement)
exploitées, mises en situation opérationnelle
dans les unités, au profit du marché (client) et
du compte d'exploitation de l'unité. En cas de
succès, l'entreprise peut alors mettre en œuvre
des dispositifs tendant à la formalisation,
validation, standardisation de ces pratiques
(brevets, modes opératoires, normes), les
déployer à toutes les unités, créant ainsi une
valeur pérenne sous la forme d'un actif
immatériel .
G. ISOARD Associé ICCE
95- Une stratégie pour réussir
- ?Réalisation dune maquette avec un groupe de
travail - Une économie du dispositif
- Présentation, évaluation, critique
- ?Développement dune plate-forme pilote
- ?Formation dun groupe dutilisateurs
- ?Des temps forts présentiels
- ?Evaluation
- ?Prévoir le développement
G. ISOARD Associé ICCE
96Bonne collaboration. . . Contact
isoard_at_icce-link.com
06.07.67.63.09