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Avancer au clic votre rythme – PowerPoint PPT presentation

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Provided by: Michel476
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Tags: jamaique

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Title: Pr


1
Centgardes
Escadron d'élite de
Napoléon III
Avancer au clic à votre rythme
2
Centgardes , cest lescadron de la garde de
Napoléon III dans lequel a servi un de mes
aïeulslequel ??? Malgré mes nombreuses
recherches, je nai pu le déterminer jusquà ce
jour et ce malgré un arbre généalogique qui
remonte à 1755 ,lassociation ayant
disparue. Mais cest aussi le sobriquet donné à
mon père.il était plus connu sous ce nom que par
son patronyme.mes oncles, grand père,arrière
grand père, arrière et arrière Lexplication que
jai ,est, que lorsque cet aïeul est rentré au
pays après avoir fait son temps, on disait en le
voyant tiens voilà le Centgardes.et ce surnom
lui est resté et même il sest installé dans la
famille jusquà moi qui nétait plus que le
fils du centgardes . Cest pour lui rendre
hommage que jai fait ce diapo, qui peut aussi,
vous apporter un témoignage de cette époque. Je
vous invite à découvrir la suite en photo et
musique.
3
Lescadron des cent-gardes à cheval, couramment
appelé l'escadron des cent-gardes ou plus
simplement les cent-gardes, était un corps de
cavalerie délite du Second Empire, attaché
exclusivement à la personne de lempereur
Napoléon III. Créé par un décret impérial en
1854, il sera dissout en octobre 1870 après la
défaite de Sedan.Constitué exclusivement de
cavaliers expérimentés de grande taille,
l'escadron des cent-gardes escortait à cheval
l'empereur dans ses apparitions publiques, et
assurait sa garde et celle de sa famille dans les
palais impériaux et au cours de leurs
déplacements. Leur haute stature et leur brillant
uniforme leur conféraient un très grand prestige
4
Le colonel baron Jacques Albert Verly
(1815-1883),commanda du 21 février 1856 au 2
septembre 1870. Né à la Jamaïque, il est simple
élève-cavalier à l'école de cavalerie de Saumur
en 1833-34, puis gravit progressivement tous les
grades de sous-officier avant d'être nommé
sous-lieutenant au 6e régiment de chasseurs en
1843. Devenu lieutenant, il entre aux guides
d'état-major, puis est promu capitaine en 1852
avant d'être nommé capitaine-commandant des
cent-gardes le 21 février 1856 puis termine sa
carrière au grade de colonel dans cette unité. Il
reçoit le titre de baron en 1867 et est élevé au
grade de commandeur de la Légion d'honneur le 24
décembre 18697. Fait prisonnier avec l'empereur
le 2 septembre 1870 à Sedan, il est mis en
retraite d'office durant sa captivité, en totale
contravention avec les lois en vigueur à
l'époque. Le colonel Verly était très apprécié 
 M. Verly qui sortait des rangs, était un brave
et excellent homme qui menait très convenablement
son brillant escadron. 
5
Recrutement Les officiers étaient choisis parmi
l'élite des troupes de cavalerie. Les
sous-officiers et gardes devaient satisfaire à
plusieurs critères  outre une conduite et une
moralité irréprochables, ils devaient avoir un
minimum de trois ans d'ancienneté dans leur corps
d'origine, avoir une durée d'engagement à
effectuer également de trois ans et posséder un
grade de sous-officier. La prestance était aussi
indispensable  ils devaient mesurer au minimum
1,78 m à la création du corps en 1854, ce qui
était une taille élevée à l'époque.
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Après sa prise de fonction en 1856, le colonel
Verly s'attacha à développer le niveau
d'instruction générale du corps. Savoir lire et
écrire correctement furent ajoutés aux critères
de sélection. Un professeur de français, affecté
à l'escadron, donnait des cours pendant les
heures de service. À la réorganisation du corps
en 1858, les conditions d'admission furent
modifiées  les simples cavaliers pouvaient
postuler et les sous-officiers candidats devaient
abandonner leur grade. L'ancienneté requise
était réduite à deux ans, mais la taille minimale
était portée à 1,80 m.
Colonel Watrin
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Casernement   À sa création, l'escadron fut
provisoirement installé dans les Grandes écuries
du château de Versailles. Transféré à Paris, il
occupa d'abord les écuries du Louvre avant de
s'installer définitivement en 1857 dans la
caserne de Bellechasse . Ce bâtiment fut
construit sous le Premier Empire sur des terrains
pris par la Révolution à l'abbaye de Penthemont
et au couvent des dames de Bellechasse. La
caserne accueillit le 23 septembre 1805 un partie
de la garde impériale, puis les gardes-suisses à
la Restauration et un régiment de dragons sous
Louis-Philippe. En attendant leur installation
définitive rue Bellechasse, les cent-gardes
s'installent au Pavillon des cent-gardes à
Marnes-la-Coquette
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Caserne Bellechasse
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Banquet fraternel réunissant cent-gardes et Horse
guards en août 1855
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Grande tenue à cheval Casque dacier poli avec
jugulaire, plaque portant un N et cimier dorés.
Aigrette en crin blanc, crinière blanche, plumet
écarlate olive dorée.Cuirasse dacier poli à
gouttière d'un poids de 3 kg, resserrée à la
taille  épaulières en cuir recouvertes
décailles dacier rivetées avec plaques de
fermeture en laiton. La cuirasse se portait sur
un gilet matelassé en grosse toile écru bordé
d'un galon écarlate et or.Tunique longue à jupe
en drap bleu clair, collet écarlate à double
galon doré, parement écarlate. Epaulettes, et
boutons timbrés dune grenade dorés. Aiguillette
doubles en fil doré et écarlate. Ceinturon en
buffle blanc à plaque dorée.Culotte en peau de
daim blanc, bottes hautes dites  à lécuyère 
garnies d'éperons dits  à la chevalière  en
acier poli, gants blancs à crispins. Manteau de
cheval en drap bleu clair.
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Grande tenue de bal ou de gala Habit, collet et
parements, épaulettes et aiguillettes comme sur
la tunique. Bicorne à ganse et à glands d'or aux
coins, cocarde tricolore. Culotte de casimir
blanc, bas de soie blanche et escarpins.
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Petite tenue de ville Tunique, bicorne,
épaulettes et aiguillettes, pantalon garance et
épée. Tenue du matin Identique à la tenue de
ville, mais le bicorne est remplacé par un képi
ou un bonnet de police.
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Tenues des trompettes Tunique écarlate aux jupes
doublées de bleu, ornée de brandebourgs d'or sur
le plastron, aux coutures galonnées d'or sur le
plastron. Chevrons d'or sur les manches.
Culottes, bottes et gants identiques à ceux des
gardes.
Ils étaient pourvus d'une trompette argentée
droite, portant une flamme carrée brodée faisant
office de fanion pour l'escadron qui n'avait pas
d'étendard spécifique.
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Tenues des gardes Les tenues des gardes ne
différaient de celles des officiers que par la
qualité du drap utilisé et les distinctions de
grades. Différait aussi la soubreveste des
tenues de palais, qui ne comportait qu'un seul
galon d'or.
15
Tenue de cantinière Il fut envisagé de doter
l'escadron d'une cantinière, mais l'effectif
restreint et les contraintes budgétaires firent
que le projet n'aboutit pas. Son uniforme avait
toutefois été conçu et fabriqué. Il fut porté une
unique fois par l'épouse du commandant Verly à
l'occasion d'un bal masqué au palais des
Tuileries
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Grande tenue à l'intérieur des palais Elle
était identique à la grande tenue à cheval, mais
la cuirasse était remplacée par une soubreveste,
sorte de casaque sans manches en drap couleur
chamois, bordé d'un large double galon d'or et
portant en son centre les armoiries impériales
brodées en fil doré. Cet équipement, dit
 cuirasse de salon  ne fut porté que peu de
temps et remplacé par le port de la cuirasse en
toutes occasions.
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Armement
En 1856, l'escadron fut doté du mousqueton
Treuille-de-Beaulieu, du nom de son inventeur,
dont il été le seul corps à être équipé. De ce
fait, l'arme fut couramment dénommée  le
mousqueton des cent-gardes . Il était équipé
d'une bretelle en buffle blanc. C'est le futur
Napoléon III en personne, alors qu'il était
encore Prince-président, qui en avait demandé la
création au capitaine Treuille de Beaulieu,
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Montures Les chevaux des cent-gardes, tous de
couleur noire ou bai-brûlé, à l'exception de
ceux des trompettes qui étaient gris, étaient
réputés être les plus beaux de la cavalerie.
Sélectionnés dans les élevages de Normandie par
le chef de corps en personne, ils devaient être
âgés de 3 à 4 ans et mesurer au minimum 1,68 m
au garrot.
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Leur immobilité légendaire, qui les faisait
ressembler à des statues de pierre lorsqu'ils
montaient la garde, leur valut le surnom de
 cariatides  Pour les bals et les réceptions,
tout l'escadron était mobilisé. Les gardes
étaient échelonnés sur les marches de l'escalier
d'honneur, et des factionnaires étaient placés à
toutes les portes donnant accès aux appartements
et aux salons. Ils étaient relevés toutes les
demi-heures.
Les dames étaient particulièrement admiratives
des  cariatides  
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Le prestige de l'uniforme  Les cent-gardes
échelonnés de marche en marche, immobiles au port
d'armes, avec leur élégant uniforme bleu clair à
revers rouges, leur cuirasse éclatante, leur
casque paré d'une longue crinière blanche,
étaient recrutés parmi les plus beaux hommes de
l'armée. Avec leur air martial, leur noble
prestance, leur taille élevée, ils formaient la
plus magnifique escorte qu'un souverain pût
avoir.
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  Prise d'arme de l'escadron des cent-gardes au
camp de Châlons en 1857
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Défilé des centgardes
23
Retour de la campagne d Italie
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Napoléon III à Solférino
25
Désastre de Sedan
26
Conçu et Réalisé
par la
Production M.D.
Photos et textes du Net .
Musique militaire
Février 2014
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