Title: G
1Géologie Appliquée aux Ouvrages Souterrains
- Quelques mots sur les ouvrages souterrains
historique, situation actuelle, organisation de
la profession - Etudes Opportunité, Définition, Conception,
Exécution, Exploitation et Maintenance - Place de la géologie (sens large) dans les
travaux souterrains Excavation, Soutènement,
Vie de lOuvrage - Etude de la stabilité et des méthodes dexécution
2Historique - 1 -
- - 2700, premières mines organisées Au en Nubie,
Cu Chypre, Sinaï - - 530, Galerie dalimentation en eau dEupalinos
(1035 m ) dans lîle de Samos - 0 JC - 350 km daqueducs à Rome
- 745 ???????, premières mines métalliques en
Europe - 1190, première exploitation de charbon en Flandre
- 1556, De RE Metallica Agricola
- 1627, 1ère utilisation de la poudre noire en
Hongrie - 1680, tunnel de Malpas sur le canal du Midi
- 1828, 1er tunnel ferroviaire ( 2000 m ) sur la
ligne Roanne Andrézieu
3Historique - 2 -
- 1838, 1er marteau à vapeur
- 1846, découverte de la Nitroglycérine par A.
Sobrero - 1849, marteau perforateur ( 1862 Sommeiller )
- 1866, Invention de la Dynamite par Nobel
- 1857-1870, Tunnel ferroviaire ( 13 km ) du Mont
Cenis (du Fréjus ) Perforatrice Sommeiller - 1865-1875, Tunnels du Canal du Verdon (20 km )
- 1872-1882 Tunnel ferroviaire du Saint Gothard (
14,9 km ) - 1830-1900, Développement du réseau ferroviaire
Apogée
4Historique - 3 -
- 1900 19.., Poursuite du réseau ferroviaire(1930
) Métros, Assainissement, Hydroélectricité,
Aduction - .-1980, Ouvrages routiers souterrains rares
parce que très aléatoires et donc coûteux, mais
galeries hydrauliques et assainissement - 1952, Tunnel de la Croix Rousse
- 1965, Tunnel du Mont Blanc
- 1971, Tunnel de Fourvière
- 1975, Tunnel Maurice Lemaire (Sainte Marie aux
Mines) - 1980, Tunnel du Fréjus
- Depuis 1970/1980 Développement du réseau
autoroutier A 8, A 43, A 40, A 75, A 89, A 20,
etc. Et TGV Atlantique puis Méditerranée,
Tunnel sous la Manche et métros de Marseille,
Lyon, Toulouse, Rennes
5Aujourdhui
- Urbanisme souterrain infrastructures de
transport individuelles et en commun, Parkings,
etc . Espace Souterrain Patinoire de
Lillehammer - Très grandes infrastructures de transport
- Perpignan Figueras
- Lyon-Turin-Ferroviaire (LTF) une centaine de
kilomètres de tunnels - Suisse, Italie, Espagne
6Situation actuelle
- Reprise très forte de lactivité souterraine
depuis une trentaine dannées en France et dans
le monde autoroutes, TGV, métros,
assainissement, hydraulique grâce aux progrès en
foration, explosifs, machine foreuse ponctuelles
et tunneliers - Annuellement 1 Milliard dEuros 5 des TP
- Organisation de la profession Entreprises de
BTP, BE, MOE, MO AFTES
7AFTES
- Association Française des Travaux En Souterrain
- Edite une revue technique T.O.S. bi-mensuelle
- Groupes de Travail rédigent des recommandations
techniques pouvant être considérées des règles de
lart de la profession - Journées techniques internationales ( 3 ans )
- http/www.aftes.asso.fr
8Etudes douvrage souterrain
- Opportunité Pourquoi faire un ouvrage
souterrain infrastructure linéaire ferroviaire
ou routière voire fluviale - Définition Quoi , caractéristiques géométriques
et équipements adaptés aux fonctionnalités
attendues - Conception Comment , mise au point des
méthodes constructives appropriées aux conditions
de site (géologie au sens large) - Exécution travaux de réalisation, suivi et
surveillance, adaptation du projet aux conditions
réellement rencontrées (géologie au sens large) - Exploitation et Maintenance Contrôle du
comportement de louvrage en fonction du temps et
de lenvironnement (histoire de la construction,
avoisinants et géologie au sens large)
9Quest-ce quun ouvrage souterrain
- Création dune cavité artificielle au sein dun
massif rocheux Creusement ou excavation - Assurer la stabilité à court et moyen terme de
cette cavité Soutènement - Assurer la pérennité de louvrage et la
conservation des potentialités fonctionnelles
Soutènement Revêtement - Respecter les avoisinants bâti ( vibrations et
tassements) , autres ouvrages Méthodes
dexécution Soutènement Revêtement - Respecter lenvironnement déblais, nuisances
sonores et salissures, tassements Relationnel
Méthodes dexécution
10Clé de voûte
rein
naissance
piedroit
radier
11Clé de voûte
rein
naissance
piedroit
radier
12Vocabulaire
- Termes géométriques clé de voûte, rein,
piedroit, radier, pleine section, section
divisée, demi section supérieure (demi-sup ) demi
section inférieure ( stross ), intrados,
extrados, - Construction traçage, foration, chargement,
tir, ventilation, purge, marin, marinage,
soutènement, béton projeté, boulonnage, treillis
soudé, cintres, étanchéité, coffrage,
revêtement, bétonnage, banquettes
13Etudes de Fonctionnalités
- Insfrastructure ferroviaire, routière ou de
transport urbain ( voire fluvial ) - Galeries hydrauliques hydroélectricité,
approvisionnement, transfert - Stockages hydrocarbures, déchets radioactifs,
armement - Architecture souterraine parkings, patinoire,
remonte pente, installations industrielles
14Etude géométrique
- Ouvrages linéaires ( TGV, Routes, Métro )
- Tracé en plan, Profil en long, Profil en travers
( contraints par les fonctionnalités et
lenvironnement ) Idem air libre - Ouvrages volumiques ( Parkings, Salles, Usines,
Stockages ) - Choix de limplantation en fonction du contexte
15Etude Technique du Tunnel
- Analyse des conditions dexécution de
lexcavation à créer - Choix du principe de réalisation explosif,
abattage mécanisé, tunnelier - Conditions de creusement
- Besoins en soutènement
- Respect des avoisinants
- dépendent essentiellement du contexte géologique,
géotechnique et hydrogéologique
16Etude Géologique
- Techniques détudes
- Etude Bibliographique
- Etude par photo- interprétation
- Levé de terrain cartographie
- Géophysique
- Sondages
- Galerie de reconnaissance
- Essais in situ et de de laboratoire
17Géologie - 1
- Roches plutoniques ( éruptives ou volcaniques)
granite, gabbro, syénite - Résistance élevée, Déformabilité très faible,
fortement compétente - Roches métamorphiques gneiss,
schistes,micaschistes, quartzites - Résistance, Déformabilité et Compétence variables
en fonction de lanisotropie liée à la foliation
18Géologie - 2
- Roches sédimentaires
- calcaires, dolomies, grès
- Résistance et Compétence moyennement élevées,
Déformabilité faible teneur en CaCO3- karst,
poches sableuses, porosité des grès - Calcaires argileux, marnes, argiles, schistes
- Résistance moyenne à faible, Déformabilité forte,
non compétentes délitage- gonflement - Évaporites anhydrite, gypse solubilité
importante
19Coupe Géologique Prévisionnelle
- A partir des résultats de létude géologique
- Identification des unités lithologiques
traversées et arrangement géométrique de ces
unités les unes par rapport aux autres - Longueurs des tronçons à creuser dans telle ou
telle unité - Indétermination ou incertitudes
- Reconnaissances spécifiques à réaliser.
20Etude Géotechnique
- Caractérisation physique et mécanique des
matériaux rocheux - Principalement en laboratoire sur échantillons
- Caractérisation du massif rocheux
- Discontinuités, état de contrainte, eau
21Caractérisation de la matrice rocheuse ( roche
intacte ) - 1
-
- Identification
- Masse volumique
- Teneur en eau
- Minéralogie teneur en CaCo3, teneur en argiles,
22Caractérisation de la matrice rocheuse ( roche
intacte ) - 2
- Caractéristiques mécaniques
- Vitesse du son
- Résistance à la compression simple Rc
- Résistance à la traction Rt
- Essai triaxial ( c et f caractéristiques de
rupture) - E et n module de déformabilité et coefficient de
Poisson - Essais spécifiques Dureté et Abrasivité
23Caractérisation du massif rocheux - 1
- Discontinuités
- Orientation Projection stéréographique
- Espacement R.Q.D. I.D.
- Persistance
- Géométrie des surfaces
- Ouverture
- Remplissage
24Caractérisation du massif rocheux - 2
- Déformabilité
- Mesure par essai dilatométrique
- Mesure par essai à la plaque
- Interprétation des déformations du massif (
galerie de reconnaissance )
25Caractérisation du massif rocheux - 3
-
- Hydrogéologie
- Présence dune nappe
- Charge hydraulique ( Pièzométrie )
- Perméabilité ( essais Lefranc, essais Lugeon,
essai de pompage )
26Caractérisation du massif rocheux - 4
- Etat de contrainte
- Mesure en surcarottage
- Mesure au vérin plat ( en paroi de galerie de
reconnaissance ) - Mesure en forage ( hydrofracturation )
- à défaut s g h
27Conditions de creusement
- Résistance de la roche Rc, Rt
- Dureté et abrasivité CERCHAR
- Discontinuités
- Creusement à lexplosif
- Creusement avec une machine à attaque ponctuelle
- Creusement au tunnelier
- Traitement du terrain ( injections, congélation )
28Etude de stabilité - 1-
- Approche théorique
- Méthode convergence / confinement - Géométrie
circulaire, contrainte isotrope. - Modélisation par calcul numérique calcul par
éléments finis ( code de calcul CESAR ) Permet de
représenter la géométrie et le phasage exact du
creusement. - Suppose un milieu continu et homogène
29Etude de stabilité - 2-
- Approche Empirique
- Par analogie avec un ouvrage de référence
construit dans des conditions similaires - En utilisant lexpérience acquise sur dautres
ouvrages Classifications géo-mécaniques et
recommandations AFTES. - Nouvelle Méthode autrichienne (NATM) / Méthode
observationnelle - Partiellement empirique en ayant recours à des
calculs de dimensionnement pour les charges
actives et les éléments de soutènements
30 Convergence / Confinement -1-
- Approche simplifiée moyennant les hypothèses
suivantes - Massif rocheux continu, isotrope et présentant un
comportement élastique caractérisé par E et n
module élastique et coefficient de Poisson - Etat de contrainte isotrope so
- Excavation circulaire de centre O et rayon r
- Déformations planes dans le plan perpendiculaire
à laxe du tunnel
31 Convergence / Confinement -2-
- Dans ce plan perpendiculaire à laxe du tunnel,
les contraintes exprimées en coordonnées polaires
en un point M quelconque situé à une distance r
de O sont de la forme avec a r / r - AVANT creusement
- sr s0 , st s0 et trt 0
- APRES creusement
- sr s0 ( 1 - a2 ) , st s0 ( 1 a2 ) et
trt 0
32 Convergence / Confinement -3-
- A la paroi de lexcavation a 1 doù
- sr O , st 2 s0 et trt 0
- Lexpression du déplacement radial ur sur la
paroi de lexcavation est de la forme - ur ( Ds0 .r )/ 2 G où
- Ds0 est la variation de contrainte radiale sr
responsable du déplacement Ds0 s0 - G est le module de cisaillement G E / 2.( 1 n
)
33Convergence / Confinement -4-
- Ce résultat correspond à un creusement du tunnel
instantané - ur ( Ds0 .r )/ 2 G s0 .r / 2 G
- En réalité les choses se passent différemment
parce que le déplacement radial se développe
progressivement au fur et à mesure de
lavancement du front de taille. - Au droit dune section transversale ce
déplacement radial commence même à se produire
avant que le front de taille nait atteint cette
section.
34Convergence / Confinement -5-
- Tout se passe donc comme si le front de taille
exerçait à la paroi de lexcavation une pression
fictive de soutènement Pi dont la valeur serait
fonction de son éloignement x par rapport à la
section transversale considérée. - La valeur de cette pression fictive est de la
forme - Pi ( 1 l ) s0
-
35Convergence / Confinement -6-
- Lexpression du déplacement radial devient alors
- ur ( Ds0 .r )/ 2 G s0 - ( 1 l ) s0 .r
/ 2 G - ur l .s0 .r / 2 G
- avec l taux de dé-confinement
- l f ( x ), variant de 0 à 1
- au droit du front est de lordre de 0,3
36Convergence / Confinement -7-
- Classiquement les variations du déplacement
radial ur en fonction de léloignement x du
front de taille sont représentées dans un repère
ur , Pi - Très en avant du front Pi s0 ,(l 0) et ur
0 - Très en arrière du front de taille Pi O ,(l
1 ) et ur s0 .r / 2 G
37Convergence / Confinement -8-
- Noter que cette pression fictive modifie
également la valeur de la contrainte tangentielle
qui natteint son maximum st 2 s0 que lorsque
l 1 - Noter que par hypothèse le matériau a conservé
un comportement élastique
38Convergence / Confinement -9-
- Comportement élasto-plastique parfait
- Lorsque le matériau est sollicité au delà dun
certain seuil il entre en rupture et son
comportement passe du domaine élastique au
domaine élasto-plastique ( où les déformations
deviennent plus importantes ) - Le seuil est défini par un critère de rupture
- Il existe plusieurs expressions du critère de
rupture proposées par différents auteurs.
39Convergence / Confinement -10-
- le critère de Mohr-Coulomb
- s1 s3 (1sin j)/(1-sin j) 2c (cos j)/(1- sin
j) - c cohésion et j angle de frottement
interne du matériau - Le critère de Hoek et Brown
- s1 s3 (m.s3/sc) ( s. sc2 )1/2
- m et s coefficients caractéristiques du matériau
intact
40Convergence / Confinement -11-
- La méthode convergence/confinement ainsi que le
code de calcul numérique CESAR le plus utilisé en
France pour les travaux souterrains utilisent le
critère de Mohr-Coulomb.
41Convergence / Confinement -12-
- Lors de lexcavation cest immédiatement à la
paroi de lexcavation que les contraintes sont
maximales et décroissent lorsque lon séloigne
du centre - Avant creusement sr s0 , st s0
- Après creusement
- sr s0 .(1 - a2 ), st s0 ( 1 a2 ), a r /
r
42Convergence / Confinement -13-
- La zone en rupture présentant un comportement
plastique se développe donc à partir de la paroi
de lexcavation en direction de lextérieur. - La limite de la zone plastique est définie par le
rayon plastique rd et lexpression du
déplacement radial devient - ur (rd / r )( le.s0.r ) / 2 G
43Convergence / Confinement -14-
- ur (rd / r )( le.s0.r ) / 2 G
- le 1 / ( Kp 1 ). Kp 1 (sc / s0 )
- Kp (1sin j)/(1-sin j)
- rd / r 2 le / (Kp1) le - (Kp-1) l 1/Kp-1
44Convergence / Confinement -15-
- Mise en place du soutènement
- La mise en place du soutènement est prise en
compte sous la forme dune structure circulaire
élastique parfaitement adhérente au terrain et
caractérisée par une raideur ks - Ce soutènement est mis en place alors que le
déplacement radial a atteint une valeur urs et
son déplacement radial est us - Lévolution du soutènement est représentée sur le
repère ur , Pi par une droite de pente ks
45Convergence / Confinement -16-
- Comportement différé
-
- Fluage E0 gt E?
-
- Gonflement Pg
46Paramètres nécessaires
- Milieu continu homogène et isotrope THEORIQUE
- Terrain
- Rc, E0, E? , n, s0, (ou s1, s2, s3), c et j
(ou m et s) - Ouvrage
- r, ks
- Milieu naturel discontinu, anisotrope, non
homogène EMPIRIQUE - Discontinuités
- Gravité
47Etude de stabilité - 2
- Approche empirique
- Recommandations AFTES
- Classes AFTES de valeurs
- Pertinence de chaque type de soutènement
- Classifications géomécaniques
48Recommandations AFTES - 3 -
- Recommandations pour une Description des
massifs rocheux utiles à létude de la stabilité
des ouvrages souterrains - Recommandations pour le choix des Paramètres et
essais géotechniques utiles à la conception, au
dimensionnement et à lexécution des ouvrages
creusés en souterrain - Recommandations relatives au Choix du
soutènement en galerie
49Respect des avoisinants
- Contrôle des ébranlements dus aux tirs
- Contrôle des tassements de surface
- Contrôle des perturbations aux nappes
50Suivi et auscultation des travaux
51(No Transcript)
52Tunnels à grande profondeur
- Tunnel profond loin de la surface
reconnaissances dificiles méthodes
dinvestigations innovantes (sondages très longs,
sismique réflexion) - Durée de creusement importante sauf si attaques
intermédiaires en complément des attaques depuis
chaque tête - Pour ce faire rechercher tracé et profil en long
permettant raisonnablement la création dune
descenderie - Tunnel profond tunnel soumis à de fortes
contraintes écaillage et/ou convergence forte,
ex Tunnel du Fréjus - Risque lié aux circulations deau souterraines
pouvant être sous une charge importante (liée à
lépaisseur de couverture) et éventuellement
deau chaude - Risque lié à la température du massif rocheux (
0,03 /m) - Tunnel profond tunnel long mais linverse nest
pas toujours vrai, ex tunnel sous la Manche
50 km, 40 à 50 m deau, 50 m de terrain
53(No Transcript)
54Ouvrages souterrains et Géologie
- Terrain encaissant est lacteur principal de
lacte de construire (contrairement à ce qui se
passe pour les autres ouvrages de génie civil où
le terrain nintervient que dans les fondations) - matériau, hétérogène, le plus souvent anisotrope,
le plus souvent discontinu - matériau naturel dont les caractéristiques sont
mal connues parce que variables (à lintérieur de
certaines limites) - variable dans lespace (un tunnel nest
quexceptionnellement construit dans un seul et
même terrain) - Pouvant être baigné par une nappe phréatique ou
être le siège de circulations deau importantes - Matériau imposé par les contraintes
fonctionnelles usage de linfrastructure et
géométrie
55Recommandations AFTES - 2-
- Recommandations pour une Description des
massifs rocheux utiles à létude de la stabilité
des ouvrages souterrains - Recommandations sur l Emploi de la méthode
Convergence/Confinement - Réflexions sur les méthodes usuelles de calcul
- Présentation de la méthode de construction des
tunnels avec soutènement immédiat par béton
projeté et boulonnage
56Recommandations AFTES - 1 -
- Recommandations pour une Description des
massifs rocheux utiles à létude de la stabilité
des ouvrages souterrains - Recommandations AFTES relatives aux Choix des
techniques dexcavation mécanisée - Propriétés relatives aux Mesures et essais
réalisés dans le cadre dun chantier de
creusement mécanisé. Caractéristiques des roches
sur échantillons - Recommandations relatives au Choix du
soutènement en galerie