SYNDROME INFECTIEUX ET OBSERVATION INFIRMIERE - PowerPoint PPT Presentation

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SYNDROME INFECTIEUX ET OBSERVATION INFIRMIERE

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SYNDROME INFECTIEUX ET OBSERVATION INFIRMIERE 1. G n ralit s Les maladies infectieuses r sultent de l'agression de l'organisme par un tre vivant microscopique ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: SYNDROME INFECTIEUX ET OBSERVATION INFIRMIERE


1
SYNDROME INFECTIEUX ET OBSERVATION INFIRMIERE
2
1. Généralités
  • Les maladies infectieuses résultent de
    l'agression de l'organisme par un être vivant
    microscopique ou macroscopique.
  • On distingue quatre variétés de germes
    infectieux
  • ? Les virus.
  • ? Les bactéries.
  • ? Les champignons.
  • ? Les parasites.

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  • L'agression de lorganisme par un agent
    infectieux entraîne généralement une ou des
    altérations anatomiques ou fonctionnelles.

4
  • La capacité de l'organisme humain à se défendre
    ne peut maîtriser pleinement ces altérations dues
    à la virulence
  • des agents infectieux.

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  • Les altérations diverses de l'organisme
    infecté ont pour conséquences des modifications
  • anatomiques,
  • chimiques,
  • biologiques,
  • physiologiques.

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  • En pathologie infectieuse, les signes cliniques
    sont très diversifiés et recouvrent une grande
    partie de la sémiologie médicale.
  • Un recueil de données soigneux sappuyant sur un
    examen clinique complet est primordial.

7
  • Les signes cliniques et biologiques qui résultent
    de lagression de lorganisme par un agent
    infectieux forment le syndrome infectieux.

8
  • Le recueil et lanalyse des données
    sémiologiques sont des étapes fondamentales
    permettant dévoquer un diagnostic et de
    programmer les examens complémentaires pour le
    confirmer.

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2.
  • LE SYNDROME INFECTIEUX
  • CLINIQUE

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Il regroupe
  • Des signes généraux
  • la fièvre,
  • la tachycardie,
  • la polypnée
  • des signes hématologiques.
  • Des signes spécifiques en fonction du foyer
    infectieux
  • des signes urinaires.
  • des signes respiratoires.
  • des signes ORL.
  • des signes digestifs.
  • des signes neuropsychiques.
  • des signes cutanéo-muqueux.

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2.1.
LES SIGNES GENERAUX
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La fièvre
  • La fièvre se définit par une température
    supérieure à 37,6 C.
  • La fièvre est un signe objectif et contrôlable
    qui a une grande valeur d'orientation
    diagnostique et de surveillance clinique.

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  • Elle se traduit par une impression de chaleur ou
    de froid.
  • Elle accompagne la majorité des maladies
    infectieuses.
  • Dans certains cas, on peut avoir une hypothermie
    ( gram ou choc septique) ou une apyrexie
    (infection latente).

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  • Elle est due à un dérèglement de la
    thermorégulation au niveau de lhypothalamus sous
    linfluence des cytokines pyrogènes produites par
    les leucocytes en présence dagents infectieux.
  • La fièvre est une réaction de défense de
    lorganisme.

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  • La fièvre peut être accompagnée de
  • frissons,
  • sueurs profuses ou non, diurnes ou nocturnes,
  • de myalgies,
  • darthralgies

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  • Toutefois, la fièvre peut apparaître dans le
    cadre d'autres pathologies inflammatoire,
    tumorale ou endocrinienne par exemple.

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  • Il est préférable, notamment face à une fièvre
    prolongée, de contrôler la température
  • à distance des repas et
  • après une demi-heure
  • de repos allongé.

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  • La fièvre est surveillée par une courbe
    thermique réalisée à partir d'une prise toutes
    les
  • 4 à 6 heures à l'hôpital
  • (ou 2 prises quotidiennes en ville) Attention
    risque dulcérations rectales thermométriques.
  • On doit aussi prendre la température lors de la
    survenue de frissons.

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La fréquence cardiaque
  • Lors dune maladie infectieuse,
  • le système nerveux autonome augmente le travail
    cardiaque et notamment
  • la fréquence cardiaque qui se traduit
    cliniquement par
  • une augmentation de
  • la fréquence du pouls (tachycardie).

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  • Le pouls est perçu grâce à la pulpe du doigt
    sachant que chaque pulsation correspond au volume
    sanguin éjecté dans le réseau artériel par le
    ventricule gauche à chaque systole.
  • Valeurs physiologiques du pouls
    70 à 80 battements/mn.

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En général,
  • Une fièvre à 38 C
  • ? pouls environ 100
    batts/mn.
  • Une fièvre à 40 C
  • ? pouls environ 140
    batts/mn.
  • Cette règle n'est pas toujours vérifiée,
  • notamment dans la fièvre typhoïde
  • où le pouls est plus lent que ne le voudrait la
    fièvre (pouls dissocié de la température),
  • et dans la scarlatine où le pouls est plus
    rapide.

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La fréquence respiratoire
  • Lors d'une infection, le système nerveux autonome
    entraîne en général une augmentation de la
    fréquence respiratoire.
  • Elle favorise la déperdition de chaleur par l'air
    expiré.

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La fréquence respiratoire
  • La fréquence respiratoire se mesure sur
    1 mn en comptant les mouvements dampliation
    thoracique.
  • La fréquence respiratoire normale est de 15
    cycles/mn.
  • En cas de fièvre, on a souvent une polypnée
    (respiration rapide par diminution de la durée du
    cycle respiratoire).

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Signes hématologiques
  • On se retrouve souvent avec des adénopathies
    satellites de linfection
  • Cervicales,
  • Axillaires,
  • Inguinales.
  • Adénopathie unique ou poly adénopathie.
  • Les ganglions sont indurés et douloureux à la
    palpation.

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Signes hématologiques
  • Parfois, on observe une splénomégalie (paludisme,
    septicémie) mais ce signe clinique nest pas
    spécifique dune infection. On le rencontre aussi
    lors de maladies inflammatoires ou
    hématologiques.

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2.2 Les signes associés
27
2.2.1 Urinaires et/ou génitaux
  • Lors daccès fébrile important, on note le plus
    souvent une diminution de la diurèse se
    traduisant par une oligurie et une concentration
    des urines.

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2.2.1 Urinaires et/ou génitaux
  • Dans les cas dinfection de lappareil urinaire,
    on observe des brûlures mictionnelles, une
    pollakiurie, voire une hématurie.
  • Les urines sont troubles, parfois foncées avec
    une odeur fétide.
  • Le patient se plaint parfois de lombalgies.

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2.2.1 Urinaires et/ou génitaux
  • On peut dans des cas dinfection de lappareil
    génital avoir
  • des leucorrhées, chez la femme,
  • des écoulements urétraux, chez lhomme.

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2.2.2 Respiratoires
  • On peut observer, dans les cas
  • dinfection de lappareil respiratoire
  • de la dyspnée,
  • de la cyanose cf lèvres et ongles,
  • des douleurs thoraciques pleurésie
    pneumopathie,
  • de la toux sèche, grasse, quinteuse,
  • des expectorations muqueuses, collantes,
    mucopurulentes, purulentes.

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2.2.3 Digestifs
  • Ils sont non spécifiques.
  • Il y a toujours une anorexie /- prononcée.
  • On trouve parfois
  • ? des nausées,
  • ? des vomissements,
  • ? des douleurs abdominales
  • ? des diarrhées pouvant être responsables d'une
    déshydratation extracellulaire parfois sévère
    (surtout chez le nourrisson et la personne âgée).

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2.2.4 Neuropsychiques
  • Lors d'une infection, on ressent une certaine
    fatigue (asthénie), des céphalées (dues à la
    fièvre), parfois de la confusion, une torpeur ou
    une obnubilation.
  • L'état de tuphos est l'association d'une stupeur
    et d'une prostration.
    Il correspond à une atteinte encéphalique.

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2.2.4 Neuropsychiques
  • On assiste dans certaines atteintes infectieuses
    neurologiques à une raideur de la nuque, une
    photophobie, une hyperesthésie cutanée ainsi que
    des vomissements.
  • La sensation de mal-être  lors d'une maladie
    infectieuse se caractérisant par un manque
    d'appétit, d'énergie, une baisse de libido, un
    repli sur soi, etc., est d'origine immunologique.

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2.2.5 Cutanéo-muqueux
  • On rencontre souvent des bouffées vasomotrices
    où la peau est rouge et chaude avec sensation de
    chaleur en lien avec lhyperthermie.
  • Dans les infections localisées, on trouve les
    signes cardinaux de la réaction inflammatoire ?
    chaleur, oedème, rougeur et douleur.

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2.2.5 Cutanéo-muqueux
  • Certaines maladies infectieuses se caractérisent
    par une éruption cutanée, voire muqueuse, qui est
    parfois spécifique rougeole, varicelle, purpura
    dans les complications de la méningitesméningococc
    ique...

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2.2.6 ORL
  • Au niveau nasal
  • Rhinorrhée écoulement, congestion, difficulté
    respiratoire.
  • Sinusite.
  • Au niveau auriculaire
  • Otalgies avec écoulement/- purulent.
  • Au niveau laryngé
  • Difficulté à la déglutition, douleur.

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2.2.7 Rhumatologique
  • Devant une articulation douloureuse avec œdème,
    rougeur et chaleur locale entraînant une
    réduction de la mobilité, on suspecte un
    épanchement qui souvent sera ponctionné par le
    médecin avec recherche bactériologique.

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2.3. Le contexte épidémiologique
  • Linterrogatoire du patient et de son
    entourage doit permettre de rechercher certains
    facteurs utiles au diagnostic.
  • ? Notion de contact avec un individu présentant
    les mêmes symptômes,
  • ? Notion de voyage récent.

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  • 3. Le syndrome infectieux biologique

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Le syndrome infectieux biologique
  • Il est variable selon la cause de la maladie
    infectieuse.
  • Toutefois, certains signes biologiques sont
    repérables simplement sur quelques examens
    complémentaires courants.

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3.1. La Numération Formule Sanguine (NFS).
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3.1.1 Les globules rouges
  • On peut rencontrer une anémie
  • ? Hb 12g/100ml
  • d'origine périphérique destruction des
    globules rouges dans le sang hémolyse comme
    dans le paludisme, infection par le Mycoplasma
    pneumoniae,
  • d'origine centrale faible production par la
    moelle osseuse rouge selon des phénomènes
    inflammatoires, toxiques ou hématologiques.

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3.1.2 Les globules blancs
  • Plusieurs anomalies du nombre
  • des leucocytes sont possibles
  • selon l'origine de la maladie
  • Hyperleucocytose
  • Leucopénie
  • Valeur normale 4000 à 10000/mm3

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Les globules blancs
  • Polynucléose ?  Polynucléaires neutrophiles
  • (gt 7 500/mm3)
  • Elle doit faire d'emblée penser à une maladie
    bactérienne.
  • (tuberculose, brucellose et fièvre typhoïde).
  • Parfois absente, lors des maladies
    bactériennes chroniques

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Les globules blancs
  • Hyper éosinophilie
  • (gt 500/mm3)
  • Elle se rencontre
  • lors de certaines maladies parasitaires.

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Les globules blancs
  • Lymphocytose
  • (gt 4 000/mm3)
  • Essentiellement causée par les maladies virales.
  • Toutefois, certaines maladies bactériennes comme
    la coqueluche,
  • la toxoplasmose en provoquent une.

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Les globules blancs
  • Lymphopénie ? Lymphocytes lt 1 000/mm3
  • Elle est évocatrice
  • de l'infection par le VIH.

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Les globules blancs
  • Monocytose ?Monocytesgt 1000/mm3
  • Elle est évocatrice d'une endocardite ou d'une
    tuberculose.

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3.1.3 Les plaquettes
  • Thrombopénie
  • (plaquettes lt 150 000/mm3)
  • Résultat - d'une insuffisance de production par
    la moelle osseuse rouge,
  • - d'une destruction par des
    anticorps antiplaquettaires,
  • - d'une coagulation intra
    vasculaire disséminée (CIVD).
  • Elle se rencontre surtout lors d'une septicémie
    à bacilles Gram-, à pneumocoques ou à germes
    anaérobies.
  • Elle se rencontre également lors du
    paludisme.

50
  • Hyperplaquettose
  • (plaquettesgt 450 000/mm3)
  • Elle s'observe souvent dans les syndromes
    inflammatoires.

51
3.2. Les marqueurs de l'inflammation
  • Ils sont non spécifiques,
  • mais le plus souvent,
  • témoignent indirectement
  • d'une infection.

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3.2.1 La vitesse de sédimentation
(VS)
  • Elle traduit la rapidité de séparation par
    sédimentation des cellules sanguines d'avec le
    plasma d'un échantillon sanguin rendu
    incoagulable (s'exprime en mm/H).
  • L'évaluation de la VS à la 1ère heure est souvent
    suffisante. Les évaluations à
  • la 2ème heure, voire à la 24ème heure ont
  • moins d'intérêt.

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VS
  • La normale à la 1ère heure est
  • 3 à 8 mm
  • 10à20 à la 2ème heure
  • Ces normes varient sensiblement selon l'âge et le
    sexe
  • de la personne

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  • La VS augmente lors de la grossesse
  • (50 mm lors du troisième trimestre est une
    valeur normale).
  • La cause d'une VS accélérée est dans 45 des cas
    une maladie infectieuse, le reste étant des
    causes inflammatoires non infectieuses.
  • L'aspirine à forte dose et les AINS
    (anti-inflammatoires non stéroïdiens)
    ralentissent la VS.

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  • Lors d'une infection, il y a le plus souvent
    une augmentation de la VS. Toutefois, la VS peut
    être normale, notamment lors des maladies
    virales, de la typhoïde, la brucellose et même au
    début de la tuberculose.
  • Il faut savoir qu'une VS peut rester accélérée
    jusqu'à deux à trois semaines après la guérison
    d'une infection.

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Les protéines de l'inflammation
  • Le taux des protéines de l'inflammation est
    augmenté lors d'une maladie infectieuse.
  • Les principales protéines dosées sont
  • - Fibrinogène (2 lt Nle lt 4 g/l)
  • - CRP (0 lt Nle lt 6 mg/l)
  • Leur augmentation est le résultat de
    l'hyperactivité du foie lors d'une maladie
    infectieuse. Il fabrique des protéines qui
    permettent la stimulation de la moelle osseuse
    rouge afin de libérer des polynucléaires
    neutrophiles et des monocytes.

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Démarche infirmière
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ACCUEIL
  • Lhospitalisation dun patient en service
    dinfectiologie est souvent réalisé dans
    lurgence.
  • Cela demande à lIDE dêtre à lécoute des
    besoins du patient, de le rassurer ainsi que sa
    famille car cette hospitalisation est souvent
    vécue comme inquiétante.

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  • Le recueil de données devra satteler à
    lobservation des divers signes
  • Les signes cliniques généraux et spécifiques,
  • Les signes biologiques et bactériologiques
    éventuels que le patient aura en sa possession.

60
  • Grâce à ce recueil de données, lIDE pourra
    contribuer à la recherche diagnostic en
    collaboration avec léquipe médicale et sera
    capable didentifier les problèmes de santé du
    patient afin dy répondre par un projet de soins
    adapté et personnalisé.

61
FIN
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