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Title: Pr sentation PowerPoint Author: Daniel C t Last modified by: Andr Samson Created Date: 10/15/2004 2:59:41 PM Document presentation format – PowerPoint PPT presentation

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Title: Facult


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Facultédéducation
  • EDU 5670
  • Dimensions déontologiques et juridiques du
    counselling
  • Semaine 7 Linconduite sexuelle
  • André Samson Ph.D., c.o.
  • Professeur

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Plan de la présentation
  • 1. Attirance sexuelle perspectives des
    intervenants et gestion des risques
  • 1.1 Lattirance sexuelle et relation daide
  • 1.2 Les réactions psychologiques associées à
    lattirance sexuelle
  • 1.3 Formation des intervenants
  • 2. Protection de la vulnérabilité du client
  • 2.1 Les causes de la vulnérabilité
  • 2.2 La responsabilité de lintervenant
  • 2.3 Les conséquences néfastes de labus sexuel
  • 2.4 Les conséquences négatives pour lintervenant
  • 2.5 Les normes déontologiques
  • 2.6 Conduite sexuelle avec les anciens clients
  • 3. De linterdit au tabou
  • 3.1 Le dit et le non-dit

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Étude de cas
  • Visionnement du vidéo
  • Quelle est le type de problématique?
  • Quelles sont les valeurs éthiques en jeux?
    Pourquoi? Est-ce que laidant a respecté ces
    valeurs? Justifiez.
  • Quelles sont les normes déontologiques qui
    sappliquent?
  • Quelles auraient été les autres comportements
    possibles chez laidant?

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1. Attirance sexuelle perspectives des
intervenants et gestion des risques
  • 1.1 Attirance sexuelle et relation thérapeutique
  • Dans une étude empirique intitulée, Sexual
    Attraction to Clients The Human therapist and
    the (Sometimes) Inhuman Training System, Pope,
    Keith-Spiegel, et Tabachnick (1986) ont
    interviewé 585 professionnels.
  • Ces chercheurs ont tenté de répondre aux
    questions suivantes
  • Quel est le taux de fréquence en matière
    dinconduite sexuelle?
  • Les thérapeutes se sentent-ils coupables ou
    inconfortables?
  • Ont-ils tendance à en parler avec leurs clients?
  • Consultent-ils leurs collègues?
  • Croient-ils que leur formation universitaire peut
    les aider?

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1. Attirance sexuelle perspectives des
intervenants et gestion des risques
  • 1.1 Attirance sexuelle et relation thérapeutique
  • 77 répondants déclarent navoir jamais ressenti
    une forme dattirance sexuelle.
  • 508 répondants ont ressenti ce sentiment au moins
    une fois.
  • 82 nont jamais considéré sérieusement de
    passer à lacte.
  • 93,5 nont jamais eu de relation sexuelle avec
    leurs clients.
  • 81 des répondants pensent que lattirance était
    mutuelle.
  • En ce qui concerne léducation portant sur la
    gestion de ce sentiment.
  • 55 déclarent navoir jamais suivi une
    formation.
  • 24 ont reçu une formation minimale.
  • 9 ont reçu une formation adéquate.

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1. Attirance sexuelle perspectives des
intervenants et gestion des risques
  • 1.2 Les réactions psychologiques associées à
    lattirance sexuelle
  • Selon Pope, Sonne, et Holroyd (1993), lattirance
    sexuelle est un sujet tabou. Ce qui rend
    difficile la reconnaissance et lacceptation de
    ce sentiment chez les intervenants.
  • Ces chercheurs ont identifié les réactions les
    plus communes associées à lattirance sexuelle
  • les intervenants se sentent effrayés, choqués,
    coupables, anxieux.
  • Ils craignent de perdre le contrôle, dêtre
    critiqué.
  • Ils sont frustrés du fait quils ne peuvent en
    parler ouvertement ou quils ne peuvent passer à
    lacte.
  • Ils éprouvent de la confusion concernant les
    actions à prendre, de la colère envers le client
    et ils sont inconfortables par rapport aux
    demandes du client.
  • Il nest donc pas surprenant que beaucoup
    dintervenants choisissent de nier leur attirance
    au lieu de reconnaître leurs sentiments et de
    consulter un collègue.

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1. Attirance sexuelle perspectives des
intervenants et gestion des risques
  • 1.3 Formation des intervenants
  • Selon Wiederman et Sansonne (1999), il importe
    daccorder une attention spéciale aux questions
    sexuelles durant la formation des intervenants en
    relation daide.
  • Mais les universités peuvent aussi participer au
    renforcement du tabou. Si elles évitent de
    traiter de cette problématique.
  • La pratique, les stages et la supervision offrent
    la possibilité daborder le thème de lattirance
    sexuelle.
  • Selon Heiden (1993), les conseillers doivent
    sinterroger sur leur manière dentrer en
    relation avec leurs clients comme la manière de
    les aborder, la désirabilité de les toucher ou de
    passer plus que le temps nécessaire avec eux.

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1. Attirance sexuelle perspectives des
intervenants et gestion des risques
  • 1.3.1 Responsabilité des universités
  • Selon Gerald Corey et Marianne Corey (2003), les
    programmes universitaires en counselling doivent
    aider leurs étudiants et étudaintes à identifier
    et discuter ouvertement de leurs préoccupations
    concernant la problématique de lattirance
    sexuelle.
  • Pour Gutheil (1989) les étudiants doivent
    recevoir une instruction explicite sur les
    implications éthiques, légales, et cliniques
    concernant les abus sexuels en relation daide.
  • Il sagit dune mesure de prévention de la
    méconduite sexuelle.

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2. Protection de la vulnérabilité du client
  • 2.1 Les causes de la vulnérabilité
  • Les personnes qui amorcent un processus de
    consultation vivent souvent un état émotif qui
    affecte leurs fonctions cognitives.
  • Le processus thérapeutique favorise un état de
    dépendance par rapport à laidant (crainte de
    labandon).
  • Létat psychologique de ces personnes les rend
    plus sujettes à subir diverses formes dabus.
  • 11 des personnes qui consultent ont un
    historique dabus. Ce type de perturbation
    émotive peut favoriser la recherche compulsive
    dune forme dintimité.

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2. Protection de la vulnérabilité du client
  • 2.1 Les causes de la vulnérabilité
  • Le client peut se méprendre sur la nature des
    sentiments de laidant, dans un contexte de
    dépendance thérapeutique.
  • En dautres termes, la dynamique même de la
    relation daide peut donner lieu à des
    interprétations erronées de la part de laidé.
  • Difficulté chez certains clients de concevoir une
    relation sans rapport sexuel.
  • En conséquence, il importe de présumer que le
    client vit un état psychologique qui est de
    nature à amoindrir ses capacités de prendre des
    décisions libres et éclairées.

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2. Protection de la vulnérabilité du client
  • 2.2 La responsabilité de lintervenant
  • La vulnérabilité du client nexcuse ou ne diminue
    en rien la responsabilité de lintervenant et ce,
    même si le client initie un comportement qui
    invite à un rapport sexuel ou même sil manifeste
    une certaine ouverture à cette possibilité.
  • Dans un contexte de transfert, la relation daide
    risque de prendre un caractère incestueux, car le
    client se trouve à établir un contact intime avec
    une figure parentale.
  • Cest à lintervenant que revient ultimement le
    devoir de maintenir une relation claire qui ne
    laisse aucune place à linterprétation.
  • Il faut que lintervenant conserve toujours en
    mémoire que le client nest pas en mesure de
    donner un consentement
  • Libre
  • Volontaire
  • Et informé

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2. Protection de la vulnérabilité du client
  • 2.3 Les conséquences néfastes de labus sexuel
  • Sentiments ambivalents envers lintervenant.
  • Culpabilité, sentiment de responsabilité.
  • Isolement, difficulté à créer des liens.
  • Difficulté à faire confiance.
  • Mauvaise gestion dans létablissement des
    limites.
  • Risque de suicide (14).
  • Dysfonctionnement cognitif.
  • Hospitalisation (11).

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2. Protection de la vulnérabilité du client
  • 2.4 Les conséquences négatives pour lintervenant
  • Poursuites devant les tribunaux civils pour
    dommages et intérêts.
  • Selon le cas et si la loi sapplique poursuite
    au criminel (sil ny a pas de consentement).
  • Suspension de lassociation professionnelle.
  • Selon les cas, perte du droit de pratique.
  • Atteinte difficilement réparable à la réputation
    de lintervenant fautif.
  • Répercussions de nature psychologique.
  • Image publique négative de la profession.

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2. Protection de la vulnérabilité du client
  • 2.5 Les normes déontologiques
  • 10.06 Sexual Intimacies With Relatives or
    Significant Others of Current Therapy
    Clients/Patients (APA).
  • Psychologists do not engage in sexual intimacies
    with individuals they know to be close relatives,
    guardians, or significant others of current
    clients/patients. Psychologists do not terminate
    therapy to circumvent this standard.
    Psychologists do not accept as therapy
    clients/patients persons with whom they have
    engaged in sexual intimacies.
  • B12. Intimité sexuelle (ACC).
  • Le conseiller doit éviter tout type de rapports
    sexuels avec ses clients et ne doit pas aider des
    personnes avec lesquelles il a déjà eu une
    relation dordre sexuel.

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2. Protection de la vulnérabilité du client
  • 2.6 Conduite sexuelle avec les anciens clients
  • Les codes de déontologie prohibent toute forme de
    contact sexuel avec les anciens clients et ce,
    pour une période plus ou moins longue dans le
    temps.
  • Ce terme peut varier dune association à lautre.
    Cependant, tous les codes indiquent bien que les
    relations sexuelles avec les anciens clients
    doivent toujours faire lobjet dun examen
    scrupuleux.
  • Le fardeau de la preuve repose toujours sur les
    épaules de lintervenant.

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2. Protection de la vulnérabilité du client
  • 2.6 Conduite sexuelle avec les anciens clients
  • 2.6.1 La responsabilité de lintervenant
  • Il est possible détablir une relation intime
    entre deux adultes lorsque certaines conditions
    sont remplies
  • La relation thérapeutique est clairement
    terminée.
  • La problématique a trouvé sa conclusion.
  • La problématique nétait de nature
    transférentielle.
  • Laidé peut donner un consentement libre et
    volontaire.
  • Aucun doute de subsiste sur la nature de la
    relation engagée à la suite de la thérapie.

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2. Protection de la vulnérabilité du client
  • 2.6 Conduite sexuelle avec les anciens clients
  • 2.6.1 Les normes déontologiques
  • 10.08 Sexual Intimacies With Former Therapy
    Clients/Patients (APA)
  • (a) Psychologists do not engage in sexual
    intimacies with former clients/patients for at
    least two years after cessation or termination of
    therapy.
  • (b) Psychologists do not engage in sexual
    intimacies with former clients/patients even
    after a two-year interval except in the most
    unusual circumstances. Psychologists who engage
    in such activity after the two years following
    cessation or termination of therapy and of having
    no sexual contact with the former client/patient
    bear the burden of demonstrating that there has
    been no exploitation, in light of all relevant
    factors, including
  • (1) the amount of time that has passed since
    therapy terminated
  • (2) the nature, duration, and intensity of the
    therapy
  • (3) the circumstances of termination
  • (4) the clients/patient's personal history
  • (5) the clients/patient's current mental status
  • (6) the likelihood of adverse impact on the
    client/patient and
  • (7) any statements or actions made by the
    therapist during the course of therapy suggesting
    or inviting the possibility of a posttermination
    sexual or romantic relationship with the
    client/patient. (See also Standard 3.05, Multiple
    Relationships.)

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2. Protection de la vulnérabilité du client
  • 2.6 Conduite sexuelle avec les anciens clients
  • 2.6.1 Les normes déontologiques
  • B12. Intimité sexuelle (ACC)
  • Il doit éviter les rapports sexuels avec un
    client qui la déjà consulté pendant une période
    dau moins trois ans après la fin de la relation
    daide.
  • Cette interdiction ne se limite pas à la période
    de trois ans, mais peut se prolonger indéfiniment
    si le client demeure de toute évidence
    vulnérable, en raison de problèmes émotifs ou
    cognitifs, face à une relation dabus de la part
    du conseiller.
  • Celui-ci, dans de telles circonstances a
    évidemment lobligation de sassurer quaucune
    influence de cette nature na eu lieu et de
    consulter à ce sujet.

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3. De linterdit au tabou
  • 3.1 Le dit et le non-dit
  • Linterdit des relations sexuelles entre client
    et intervenant est très claire et ne laisse place
    à aucune interprétation.
  • Il ne faudrait pas que cet interdit devienne un
    tabou. Cest-à-dire un refoulement et une
    culpabilisation du désir.
  • Il importe que lintervenant puisse accueillir
    son désir sans se culpabiliser.
  • Nécessité de trouver les espaces pour que le
    désir passe à la parole.
  • Une attirance sexuelle soutenue et récurrente
    peut être le signe que lintervenant doit
    lui-même consulter afin de trouver la cause de ce
    type de comportement.
  • La divulgation de lattirance sexuelle au client
    ne semble pas être recommandée.

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3. De linterdit au tabou
  • 3.2 La pertinence du toucher en relation daide
  • Dans un contexte dinterdit qui risque de devenir
    un tabou, quelle est la place du toucher en
    relation daide?
  • Certaines approches interdisent tout contact
    physique avec les clients (psychanalyse
    classique). Car le toucher risque dajouter à
    lambivalence de la relation daide
  • Dautres approches sont moins réfractaires au
    toucher et même sont franchement plus positives.
  • Mais si lintervenant éprouve une forme
    dattirance sexuelle, il devrait éviter toute
    forme de contact physique.
  • Aussi, lintervenant devrait toujours questionner
    ses motivations.
  • La symbolique ou le sens du toucher, peut
    beaucoup varier dune culture à lautre. Il faut
    aussi prendre en compte cet élément.
  • Tout en sachant conserver une certaine mesure, il
    importe de prendre en compte le client lui-même,
    son histoire personnelle et le contexte général
    de la relation.

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3. De linterdit au tabou
  • 3.3 Suggestions pratiques
  • Reconnaître les sentiments dattirance sexuelle.
  • Se demander sil y a quelque chose chez le client
    qui répond à un besoin.
  • Éviter les actes qui alimentent lattirance
    comme sasseoir trop près du client, le serrer
    dans ses bras ou létreindre, lembrasser ou
    prolonger les sessions.
  • Chercher de laide auprès des collègues
    expérimentés.
  • Consulter afin de comprendre les sentiments
    envers le client et didentifier les
    problématiques personnelles qui favorisent
    lattirance sexuelle.
  • Mettre fin à la relation daide et référer à un
    autre intervenant si lattirance perdure et
    parasite le processus thérapeutique.

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4. Étude de cas
  • Lhistoire dAdriana et Clint
  • Le mari dAdriana était un officier de police qui
    a été assassiné au travail. Adriana se retrouve
    complètement seule pour veiller à léducation de
    ses trois garçons.
  • Un an après la mort de son mari, Adriana
    rencontre Clint. Celui-ci est conseiller
    dorientation à lécole secondaire fréquentée par
    lun des fils dAdriana.
  • Adrinana perçoit Clint comme un partenaire qui la
    seconde dans léducation de son fils.
  • Mais, Adriana se confie aussi à Clint sur le plan
    personnel. Cette relation daide lui permet
    dassumer son mal dêtre et de mieux vivre sa
    solitude.
  • Clint prend toujours le temps découter Adriana.
    Il ne lui facture aucun honoraire professionnel
    et il ne tient aucun dossier sur ses échanges
    avec Adriana.
  • Après deux ans découte et de collaboration, le
    fils dAdriana quitte lécole secondaire pour
    entreprendre ses études universitaires.
  • Adriana avoue à Clint quelle sest attachée à
    lui et quelle tient à poursuivre sa relation
    avec lui dans un contexte non-professionnel et
    ce, afin de socialiser avec lui, de devenir son
    amie et même plus.

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4. Étude de cas
  • Lhistoire dAdriana et Clint
  • Clint surpris, réalise quil éprouve beaucoup de
    respect à lendroit dAdriana. Il lui exprime sa
    tendresse et son attachement.
  • Cependant, il lui confie que la nature
    professionnelle de leur relation le contraint de
    se soumettre aux principes déontologiques qui
    interdisent aux conseillers scolaires
    dentretenir des relations sociales ou intimes
    avec les parents de leurs jeunes clients.
  • Clint propose à Adriana de cesser toute relation
    ou contact pendant une année. Si jamais leurs
    sentiments persistent, alors il serait
    probablement ouvert à initier des rapports
    personnels avec elle. Adriana, déçue de cette
    réponse, accepte néanmoins dattendre pendant une
    année.
  • Quel est votre opinion éthique face à ce cas ?

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RÉFÉRENCES
  • Corey, G., Corey, M. S., and Callanan, P.(2003).
    Issues Ethics in Helping Professions.
    Brooks/Cole
  • Gutheil, T.G.(1989). Patient-therapist sexual
    relations. The California Therapist, pp. 29-31.
  • Heiden, J.M. (1993). Preview-prevent A training
    strategy to prevent counselor-client sexual
    relationships. Couselor Education and
    Supervision, 33(1), pp. 53-60.
  • Pope, K.S., Keith-Spiegel, P., Tabachnick, B.G.
    (1986). Sexual attraction to clients The human
    therapist and the (sometimes) inhuman training
    system. American Psychologist, 41(2), pp.
    147-158.
  • Pope, K.S., Sonne, J. L., Holroyd, J. (1993).
    Sexual feelings in psychotherapy Explorations
    for therapists and therapists-in-training.
    Washington, DC American Psychological
    Association.
  • Wiederman, M.W., Sansone, R. A. (1999).
    Sexuality training for professional
    psychologists A national survey of training
    directors of doctoral programs and predoctoral
    interneships. Professional Psychology Research
    and Practice, 30 (3), pp. 312-317
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