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Syndrome de sjogren

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Syndrome de sjogren Mirieme GHAZI CRRF introduction Le syndrome de Sj gren (SS) est une pith lite auto-immune Appellation actuelle : syndrome de sjogren (SS ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Syndrome de sjogren


1
Syndrome de sjogren
  • Mirieme GHAZI
  • CRRF

2
introduction
  • Le syndrome de Sjögren (SS) est une épithélite
    auto-immune
  • Appellation actuelle syndrome de sjogren (SS)
  • caractérisée par
  • - syndrome sec Sécheresse buccale
    sécheresse oculaire
  • - Manifestations systémiques
    (articulaire)
  • - infiltration lymphoplasmocytaire
    des glandes exocrines.
  • Le SS peut être
  • - primitif
  • - associé à une autre maladie
    systémique
  • - associé à d'autres maladies
    auto-immunes spécifiques d'organes.
  • Surveillance régulière nécessaire ?La
    complication la plus redoutable un syndrome
    lymphoprolifératif.

3
Historique
  • 1888 Mikulicz gtun prussien de 42 ans avec un
    gonflement des glandes.
  • 1925 Gougerot individualisa son syndrome
    sécheresses muqueuses.
  • 1933 Sjögren gt la kératoconjonctivite sèche, et
    lassociation à la PR.
  • 1966 Talal gt les complications lymphomateuses.
  • 1975 Tan, Alspaugh gt les anti-SSA/SSB.
  • 1984 Daniels insista sur la valeur de
    lhistologie.
  • 1993 Vitali gt critères de classification
    transdisciplinaires.

4
Épidémiologie
  • 0,1 à 0,4 de la population adulte.
  • 2éme maladie auto-immune systémique derrière la
    PR.
  • sex-ratio 9 f gt h.
  • Le pic de fréquence de la maladie se situe autour
    de 50 ans.

5
Les données physiopathologiques
6
  • Le développement de la maladie dépend de
    lactivation successive de limmunité innée et de
    limmunité adaptative, suite à laction de
    facteurs environnementaux et génétiques sur la
    cellule épithéliale.

7
Les facteurs génétiques
  • même famille
  • - SJ chez plusieurs patients est
    exceptionnelle.
  • - apparentés 1er degré autre maladie
    auto-immune (PR, LES, thyroïdite auto-immune)
  • HLA A1, B8, DR3, DQ2 ? SS primitif
  • 2 des enfants de mères ayant une maladie
    auto-immune et des anticorps anti-SSA développent
    un bloc atrio ventriculaire congénital (BAVc).

Revue du Rhumatisme 75 (2008)
8
les facteurs environnementaux
  • étiologie virale
  • - le virus dEpstein-Barr (EBV)
  • - certains autres virus du groupe
    herpès,
  • - les rétrovirus,
  • - le virus de lhépatite C (VHC),
  • - les virus coxsackies,
  • mais aucune étude na pu démontrer de manière
    certaine limplication de ces virus dans le
    développement de la maladie.

9
La cellule épithéliale
  • la cible de lagression déclenchant
    lauto-immunité,
  • responsable, en raison dune apoptose épithéliale
    accélérée, de lexpression de certains
    autoantigènes.
  • véritable cellule présentatrice dantigènes aux
    lymphocytes T.
  • sécrétion cytokines.

10
Dysfonctionnement de la synapse neuroexocrine
  • lié à la sécrétion de cytokines et
    dautoanticorps antirécepteur muscarinique de
    type M3 et peut-être à des anomalies de
    répartition membranaire de certains canaux à eau

11
BAFF (B-cell-activating factor)
  • Cytokine de la famille du TNF.
  • joue un rôle majeur dans la survie et
    lactivation des lymphocytes B (autoréactifs)
  • exprimée par
  • - les lymphocytes T
  • - les cellules épithéliales salivaires
  • - certains lymphocytes B infiltrant la
    glande salivaire.
  • Cette expression est fortement augmentée après
    stimulation par les interférons.
  • BAFF pourrait être le lien entre lactivation de
    limmunité innée (infectieuse) et lactivation de
    limmunité adaptative ( lymphocytes B).

12
  • La transformation clonale des lymphocytes B est
    liée
  • - à la conjonction dune stimulation
    antigénique persistante,
  • - à la sécrétion locale de facteurs
    de survie B,
  • - à des événements oncogéniques
  • - à un défaut dimmunorégulation
    locale au niveau des muqueuses.
  • Lactivation des lymphocytes B pourrait être
    entretenue par lactivation du récepteur des
    lymphocytes B à activité facteur rhumatoïde
    (présent dans 40 des lymphomes salivaires de
    type MALT).

13
Activation de la voie des interférons
  • Augmentation dexpression des gènes induits par
    les interférons.
  • confirmée en PCR quantitative (IFITM1,
    BAFF,TLR8).
  • La surexpression des gènes induits par
    linterféron était corrélée à la présence
    danticorps anti-SSA et SSB.

J Gottenberg, X. Mariette Revue du Rhumatisme 74
(2007)
14
(No Transcript)
15
Clinique
16
CDD
  • variables.
  • association d'une sécheresse oculaire et d'une
    sécheresse buccale,
  • augmentation de volume des glandes parotides ou
    des glandes sous maxillaires,
  • polyarthrite non destructrice souvent
    séro-positive.
  • manifestations viscérales ou complications.

17
MANIFESTATIONS CLINIQUES (TDD SS
primitif)
  • A/ atteintes glandulaires
  • Atteinte lacrymalexérophtalmie
  • keratoconjonctivite sèche
  • - Sensation de corps étrangers,
  • - brûlures,
  • - paupières collées au réveil.
  • Formes sévères
  • - conjonctives rouges et enflammées
  • - Fréquence du clignement?
  • - ulcération cornéenne rare.

18
  • Test de Shirmer
  • Mesure la lacrymation
  • Papier filtre dans CdS conjonctival lt
  • 5 min
  • Longueur imprégnée
  • Normale si 5 mm
  • Positif si lt 5 mm

19
  • Rose bengale des kératoconjonctivites. (aniline,
    nest plus utilisé), douloureux!
  • Lexamen au vert de lissamine
    kératoconjonctivites sèches
  • ? score de Van Bijtersfeld (un critère
    diagnostique)
  • Temps de rupture du film lacrymal est raccourci
    (BUT).

20
  • Atteinte buccale xérostomie(80)
  • Svt latente
  • Sensation de bouche sèche (prise répétée de
    liquides lors des repas ?polydipsie nocturne)
  • Parfois gêne à lélocution et déglutition des
    aliments secs.
  • Xérostomies sévères
  • ? muqueuses jugales et linguales ternes
    et vernissées
  • ? langue dépapillée et fissurée.
  • ? Caries déchaussements des dents
  • ? douleurs buccales surinfection
    candidosique
  • (perlèche)
  • Candidose est présente chez 75 des SS.

21
(No Transcript)
22
(No Transcript)
23
(No Transcript)
24
  • Test au sucre
  • Test à la compresse test sensible (peser la
    compresse avant et après 5 min de mastication)
  • normal imbibition de1,5 ml de salive
  • Sensibilité 72 spécificité75
  • NB ?flux salivaire avec lâge.
  • Scintigraphie des glandes salivaires onéreux
    Résultats peu spécifiques
  • Scialographienest plus utilisée/ peu spécifique
  • Échographie hypoehogéneicité des glandes
    parotides
  • IRM hyper/ hyposignals(pas utilisée en routine,
  • diag Lymphome parotidien)

25
Sialographie de la parotide
Scintigraphie salivaire
26
  • Autres glandes exocrines

27
  • B/ atteintes extra glandulaires
  • Fatigue
  • fréquemment retrouvée
  • fièvre0,
  • AMG0.
  • Si présence complication (un lymphome)

28
  • Articulaires (75)
  • Poly arthralgies inflammatoires
  • Polyarthrite
  • - distale (MCP, IPP et genoux)
  • - bilatérale,
  • - symétrique,
  • - fugace
  • - sans signe de destruction articulaire
    PR

29
  • Musculaires (35)
  • Sans déficit musculaire
  • Douleurs diffuses non systématisées
    fibromyalgie
  • Faiblesse musculaire ? hypokaliémie ? acidose
    tubulaire distale.

30
  • vasculaires _25 à 50
  • Phénomène de raynaud

31
  • Cutanées
  • Purpura vasculaire
  • Livedo
  • Vascularite cutanée sur
  • cryoglobulinémie

32
  • Pulmonaires
  • FPID dyspnée deffort (évolution souvent
    bénigne)
  • Pneumonie lymphocytaire interstitielle rare
  • ? toux dyspnée syndrome restrictif
  • ? RX infiltrats bilatérales
  • ? Corticosensible
  • ? Peut être forme débutante de
    lymphome.

33
  • Rénales
  • Acidose tubulaire distale souvent latente
  • ? Hypokaliémie, hyperchlorémie,
    Nephrocalcinose,
  • Ostéomalacie
  • ? néphropathie tubulaire
  • ? Latteinte glomérulaire est rare.

34
  • Neuropsychiques( 10 à 15)
  • Neuropathie
  • surtout sensitive ( 1/10 cas) liée à vascularite
  • du trijumeau évocatrice
  • Atteinte centrale
  • troubles psychiques, dépression, hypochondrie
  • rares atteintes démyélinisantes type SEP

35
  • Cardiaques
  • Myocardites (exceptionnelles)

36
Paraclinique
37
  • Syndrome inflammatoire
  • VS ? ? hypergammaglobulinémie
  • CRP souvent normale(? formes sévères /
    vascularites)
  • NFS anémie inflammatoire, leucopénie,
    éosinophilie.

38
  • Syndrome immunologique
  • Anticorps les caractéristiques
  • Anti-SSA et anti-SSB
  • Anti-SSB
  • caractéristiques du GS primitif
  • dans 50-70
  • associé 1/2 à anti-SSA
  • Détection des 2 évocatrice du SS
  • Moins retrouvés dans SS secondaire

39
  • Anticorps antinucléaires
  • En IF indirecte
  • gt2/3 cas dans GS primitif
  • 1/2 cas dans GS secondaire
  • Facteur rhumatoïde
  • 2/3 cas

40
  • Les Ac anti-CCP 9,9 à taux faible,
  • facteur rhumatoïde 66,7 ,
  • AAN 95 ,
  • anti-SSA 81,6 ,
  • anti-SSB 39 .
  • En comparant les SS avec et sans anticorps
    anti-CCP, les auteurs ont retrouvé une forte
    association entre la présence de ces anticorps et
    la présence de signes d'authentiques synovites

ACR 2007
41
Biopsie des glandes salivaires
  • En ambulatoire
  • Incision-prélèvement lèvre lt
  • Examen histo
  • Pour quantifier linfiltrat lymphoplasmocytaire
  • Classification Chisholm et Masson 5 stades
  • Stade 0 glande N
  • Stade 3 et 4 évocateurs du SS
  • Prédominance de
  • Infiltrats LP aux stades précoces
  • Fibrose voire atrophie aux stades tardifs

42
stade Infiltrat L P
0 Infiltrat0
1 Infiltrat léger
2 Moyen lt 4mm³
3 Un Foyer/mm³
4 Plus dun foyer/mm³
un foyer agrégat de plus de 50 cellules
mononucléés
43
Positive si au moins un nodule lymphocytaire (gt50
c) / 4 mm² Stade 3
44
Atteinte pulmonaire interstitielle lymphoïde
45
Atteinte pulmonaire interstitielle fibrosante
46
IRM T2 Lésions démyélinisantes de la substance
blanche
47
  • Critères internationaux du diagnostic de SS
  • 1) Signes oculaires. Une réponse positive à au
    moins une des questions.
  • - Avez-vous une sensation d'oeil sec de façon
    gênante, persistante et
  • quotidienne depuis trois mois ?
  • - Avez-vous fréquemment la sensation d'avoir du
    sable ou du gravier dans les
  • yeux ?
  • - Utilisez-vous des larmes artificielles plus de
    trois fois par jour ?
  • 2) Signes buccaux. Une réponse positive à au
    moins une des questions.
  • - Avez-vous quotidiennement et depuis plus de
    trois mois la sensation d'avoir
  • la bouche sèche ?
  • - Avez-vous eu de façon récidivante ou permanente
    un gonflement des
  • parotides à l'âge adulte ?
  • - Buvez-vous souvent pour aider à avaler les
    aliments ?
  • 3) Signes oculaires objectifs. L'un des tests au
    moins doit être positif.
  • - Test de Shirmer 5 mm en 5 minutes.
  • - Test au rose Bengale 4 selon le score de Van
    Bijsterveld.
  • 4) Signes histologiques
  • - Focus score 1 sur la biopsie de glande
    salivaire accessoire (focus score
  • nombre de foyers par surface glandulaire examinée
    de 4 mm2). On définit un

48
DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
  • Médicamenteux
  • Atropine, morphine, antihistaminiques,
    antiparkinsoniens, AD, diurétiques,
  • Radiothérapie
  • Physiologique vieillissement, ménopause
  • Psychologique stress, anxiété, dépression
  • Infections virales VIH, VHC
  • Maladies systémiques
  • sarcoïdose, amylose, diabète décompensé

49
Formes cliniques
50
Formes associés
  • Polyarthrite Rhumatoïde
  • Forme la plus fréquente
  • Formes anciennes LWR positif ? SS secondaire
  • Prévalence SS sous estimée
  • Recherche systématique
  • Clinique Syndrome sec oculaire parotidomégalie
    rare
  • Dégénérescence lymphomateuse est exceptionnelle
  • Efficacité des APS.

51
  • Lupus Érythémateux Systémique
  • LES avancés(50ans)
  • Formes articulaires séro positives
  • Anti SSA,anti SM.

52
  • Sclérodermie
  • Syndrome CREST
  • syndrome sec buccal
  • anti SCL 70
  • biopsiehistologie salivaire particulièrement
    fibreuse.

53
  • SHARP
  • Anti RNP
  • Fréquence de latteinte pulmonaire

54
  • Hépatopathies auto-immunes
  • Cirrhose biliaire primitive
  • Anticorps anti mitochondries
  • Syndrome Reynolds
    CBPSGSCREST
  • Hépatite chronique active
  • anticorps anti muscle
    lisse.

55
  • endocrinopathies
  • Dysthyroïdie Thyroïdite
    dhaschimoto
  • Diabète
  • maladies inflammatoire générales
  • Vascularites rares (PAN ,
    horton..
  • Dermatomyosite
  • Associations anecdotiques
    SPA, Bechet, still

56
Formes selon âge et sexe
  • Enfant
  • SS rare
  • Age de début 11 ans
  • Hypertrophie parotidienne fréquente
  • SS infantile? LES ( puberté)
  • SS secondaires à LAIJ.
  • Homme
  • ferait atteintes systémiques(articulaires)
  • Anomalies immunologiques diminuées
  • Sujet âgé
  • syndrome sec buccal fréquent
  • causes iatrogènes!!!

57
Évolution pronostic
  • BON
  • Atteintes viscérales rares
  • Pas dérosion articulaire
  • Mais mauvaise qualité de vie
  • 1/10 cas très invalidant
  • ? lymphomes
  • Handicap aggravé psychologiquement
  • par non-reconnaissance par entourage voire
    médecin

58
  • Pronostic vital survenue dun syndrome lympho
    prolifératif.
  • 2 à 5 SS développeront un lymphome
  • Femmesgtgthommes
  • Lymphome de la zone marginale de faible malignité
  • Rarement lymphome de haute malignité à grandes
    cellules.

59
  • Localisation des lymphomes est variée
  • Ganglionnaire, salivaire, lacrymale, pulmonaires,
    digestives.
  • signes fréquents chez les patientes qui risquent
    de développer un lymphome
  • ? Splénomégalie
  • ? parotidomégalie
  • ? adénopathies
  • ? ATCD de RX cervicale
  • Surveillance clinique et biologique

Bernadette Saint-Marcoux, Michel De BandtRevue
du Rhumatisme 74 (2007) 737744
60
Signes cliniques AEG Apparition dune fièvre Modification/extension des ADP
Signes biologiques Ig M? gammaglobulines ? Disparition des ANN LWR ? B2 u globuline? Ig monoclonale Cryoglobuline Chaînes légères ds les urines
61
Traitement
62
Œil
  • Larmes artificielles ou gels lacrymaux sans
    conservateur
  • Bouchons méatiques ou Lunettes à chambre humide
  • Éviction facteurs irritants externes
  • fumée de tabac, air conditionné, vent, écran
    dordi trop haut
  • Eviction lentilles de contact

63
Type de larmes Nom commercialisé particularités
Sol isotoniques Hydralarm Unilarm Action brève Tolérance bonne
polymères Dulcilarmes Gel-larmes lacrigel
Méthycellulose Dacryolarmes Action durable Risque vision brouillée
64
BOUCHE
  • Bonne hygiène dentaire
  • Chewing-gum au fluor sans sucre
  • Salive artificielle (spray ou gel)
  • Agonistes muscariniques (preuve defficacité)
  • Pilocarpine la plus efficace(SALAGEN)1gel/4
    fois/ j (AMM) pour le SS.
  • Bisolvon et SULFARLEM améliore qualité
    salivaire
  • Cévimeline(EVOXAC), disponibilité USA
  • Cantabiline 3cp / j (maroc).
  • Si douleurs ou brûlures
  • Eau bicarbonatée ou aspirine
  • Gel polysilane
  • Gel anesthésique

65
  • XEROSE CUTANEE
  • Savon surgras crème hydratante
  • SECHERESSE NASALE
  • Solution NaCl
  • SECHERESSE VAGINALE
  • Ovules, crèmes, gels

66
Traitements symptomatiques
  • ? Antalgiques paliers OMS articulaires
  • Paracétamol
  • ? AINS( respect des CI)
  • Corticoïdes
  • ? formes sévères/ atteintes
    viscérales ?PC vital
  • 0,5 mg/Kg/j? dose minimale
    efficace(7,5mg/j)
  • ?Formes articulaires
    corticothérapie faibles doses

67
Traitements de fond
  • Anti paludéens de synthèse
  • ? limitent la prolifération lymphocytaire et peut
    être la formation de lésions extra-glandulaires
  • plaquenil 400 mg/j
  • ? effets secondaires rétinotoxiques
  • Rétinite pigmentaire à maximum maculaire
    sans ?AV
  • ? Toxicité est dose dépendante et non de la
    durée.
  • Surveillance semestrielle(vision couleurs/ champ
    visuel)
  • Atteintes ariculaires
  • NBpas deffet sur le syndrome sec

68
  • MTX
  • - proposé si échec des APS
  • - les formes articulaires invalidantes.
  • - 0,2 mg/kg par semaine amélioration
    subjective du
  • syndrome sec
  • azathioprine(IMUREL)
  • - proposée cp viscérales
  • - Efficacité incertaine
  • - oncogène!!
  • Pas dintérêt des anti-TNF alpha pour traiter le
    SS.

69
Rituximab (anticorps anti-CD 20)
  • lutilisation du rituximab est encore limitée,
    ces résultats semblent prometteurs mais devront
    être validés par des études contrôlées pour
    déterminer lefficacité et la tolérance réelle de
    cette molécule.
  • 4 perfusions à la posologie de 375 mg/m2 toutes
    les semaines
  • Le RTX est à lorigine dune percée considérable
    dans le traitement du SS. Lidéal serait même de
    viser uniquement les cellules B autoréactives ou
    celles qui présentent les Ag ou produisent des
    cytokines dans ces conditions.
  • (Ce projet est en cours)

Revue du Rhumatisme 74 (2007) Rituximab in
rheumatic diseases. Joint Bone Spine 20077446
70
lepratuzumab (anti-CD22)
  • Dans une étude ouverte de phase I/II , 16
    patients avec un SS actif ont été traités par
    quatre perfusions de 360 mg/m2 depratuzumab (à
    15 jours dintervalle) avec un suivi de six mois.
  • Lepratuzumab semble un traitement prometteur
    dans le SS.
  • Une étude contrôlée multicentrique randomisée est
    nécessaire pour confirmer ces résultats dans
    cette indication.

71
traitement des complications
  • ? Les candidoses buccales fluconazole
    (TRIFLUCAN).
  • ? La pneumonie lymphoïde corticoïdes 0,5 à
    1mg/kg/jour
  • corticodépendance lazathioprine(IMUREL)
  • ? Les mononeuropathies multiples corticothérapie
    initiale 0,5 et 1 mg/kg/jour .
  • corticodépendance (IMUREL ou lENDOXAN)
  • ? Les neuropathies périphériques traitement
    symptomatique (LAROXYL) Les corticoïdes sont peu
    efficaces.
  • ? Les vascularites bolus de corticoïdes (1 g x
    3 / j) bolus de cyclophosphamide (ENDOXAN) ou
    azathioprine (IMUREL).

72
  • ? La néphropathie interstitielle corticoïdes 1
    mg/kg/jour
  • /- immunosuppresseur dans les formes
    corticodépendantes.
  • ? Les poussées parotidiennes corticothérapie(
    0,25 à0,5 mg/kg/jour, en cure courte de 10 à 15
    jours)
  • ? Les lymphomes chimiothérapie(grade de
    malignité) ou radiothérapie seule en cas de
    localisation unique.

73
Conclusion
  • ? syndrome de sjogren exocrinopathie
    fréquente.
  • ? isolé primitif / associé secondaire
  • ? Maître symptôme syndrome sec oculaire et
    buccal.
  • ? Biopsie labiale examen primordial
  • ? surveillance dégénérescence lymphome.
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