Classe de premire littraire Enseignement obligatoire au choix - PowerPoint PPT Presentation

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Classe de premire littraire Enseignement obligatoire au choix

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Ils savent additionner, soustraire, multiplier et diviser, ils crivent les premi res fractions. ci-contre: Horus, l'homme t te de faucon ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Classe de premire littraire Enseignement obligatoire au choix


1
Classe de première littéraireEnseignement
obligatoire au choix
  • Mathématiques
  • BO du 9 septembre 2004

Marie Verriez
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Une petite histoire de la numération
  • La numération additive et la numération de
    position

3
La numération additive
Image aimablement prêtée par le site histoire de
chiffres
4
30 000 Av JC lère paléolithique
  • Pour mémoriser les quantités les hommes
    faisaient des entailles dans du bois ou de los à
    laide de silex

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Déjà les civilisations utilisent la cartographie
corporelle
  • Cest-à-dire, ils dénombrent grâce à leurs corps
    (doigts, orteils, jambes, articulations) afin de
    mémoriser les quantités.
  • ci-contre trace récente de cette pratique,
    image du 16ème siècle

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Ils utilisent également les numérotations figurées
  • Des objets, comme des cailloux, des perles, des
    coquillages, des nuds,représentent des nombres
    et divers matériels vont commencés à être mis au
    point les calculi, les abaques, les bouliers
    qui pour certains vont traverser les siècles.

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8000 Av JC les calculi
  • Au Moyen-Orient, apparaissent les calculi. Chaque
    caillou vaut  un , et vint lidée de remplacer
    un tas de cailloux par un caillou de nature ou de
    forme différente.

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Défaut
  • Ces dispositifs matériels souffrent dune grande
    faiblesse leur impuissance à garder trace du
    passé puisque chaque étape du calcul efface la
    précédente.

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Les premières numérations écrites
  • arrivent vers 3300 Av JC en Mésopotamie.
  • Elles servent à gérer terres, troupeaux, grains
  • Le potier compte ses
    amphores

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Les premières numérations écrites sont sumériennes
  • La tablette dargile (2400 ans av JC) en écriture
    cunéiforme, où clous et chevrons représentent les
    chiffres de leur numération
  • (Sumer partie méridionale de la Mésopotamie)

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Les premières numérations écrites sont sumériennes
  • Stèle du 23ème siècle Av JC, où le nombre des
    offrandes est consigné dans le tableau de droite.

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Les premières numérations écrites sont sumériennes
  • Exemple de table de multiplication (2000 Av JC)
    conservée au musée du Louvre, provenant de Suse

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Vers 3000 Av JC la numération égyptienne
  • Moins de traces de cette numération que de la
    précédente car le support est très fragile ici
    le papyrus Rhind où sont utilisés des
    hiéroglyphes simplifiés (hiéroglyphes signifie
    écriture des dieux, de hieros sacré et
    gluphein graver)
  • Cest ce quon appelle lécriture hiératique.

Image aimablement prêtée par le site histoire des
chiffres
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Vers 3000 Av JC la numération égyptienne
  • Sur les monuments , ils utilisent les
    hiéroglyphes.
  • A droite, le nombre 1527

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Vers 3000 Av JC la numération égyptienne
  • Ils savent additionner, soustraire, multiplier et
    diviser, ils écrivent les premières fractions
  • ci-contre Horus, lhomme à tête de faucon

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Vers 3000 Av JC la numération égyptienne
  • Les additions sont dune grande simplicité

Image aimablement prêtée par le site histoire des
chiffres
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Vers 3000 Av JC la numération égyptienne
  • Qui était
  • 784
  • 133 917

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Vers 3000 Av JC la numération égyptienne
  • Une multiplication réclame un peu
    dorganisationsoit à calculer 28 x 15
  • (Les Egyptiens décomposaient le plus grand des
    deux nombres en puissances de 2)

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Vers 3000 Av JC la numération égyptienne
  • Ils utilisaient les fractions mais ne les
    écrivaient pas comme nous. Certaines fractions
    étaient même divines.

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Vers 3000 Av JC la numération égyptienne
  • Ci-dessus, loudjat , symbole de la clairvoyance,
    et qui signifie complet en égyptien. Il
    représente les fameuses fractions divines.
  • Le 1/64 manquant serait le liant magique ajouté
    par le mathématicien Thot, pour permettre à lil
    de fonctionner.

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Vers 1800 av JC, le système babylonien,
numération de position déjà
  • La numération babylonienne na que 2 symboles le
    clou et le chevron. Selon leurs positions, les
    symboles peuvent représenter des unités, ou des
    groupes de 60 unités, ou de 60 x 60 unitésCest
    un système de base 60.

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Vers 500 Av JC la numération romaine
  • Numération toujours additive, dont les symboles
    ont évolué au fil des siècles, mais encore
    utilisée aujourdhui pour numéroter des
    paragraphes, des rois, écrire des siècles

23
Vers 500 Av JC la numération romaine
  • Voilà comment les Romains comptaient, ce qui
    demandait énormément de signes pour écrire un
    nombre (ici le nombre 23). Ceci a représenté une
    nette régression par rapport à certaines
    numérations antérieures.
  • Par contre, abaques et bouliers étaient largement
    utilisés.

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Exemple dabaque
  • Abaque (abex en grec et abacus en latin) désigne
    un objet à surface plane destiné à différents
    usages, permettant entre autres deffectuer des
    calculs.

Image du livre de Georges Ifrah
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Lalgoriste et labaciste
  • Gravure du 16ème siècle où lalgoriste (à
    gauche) pratique ses algorithmes de calcul
    pendant que labaciste déplace les apices.

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De labaque au boulier
  • Un abaque antique
  • et un boulier chinois

Images aimablement prêtées par oasis francophone
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Lart de compter avec un boulier
  • Les boules du haut valent 5
  • Et celles du bas valent 1.
  • De droite à gauche, on lit les unités, les
    dizaines, etc.
  • Ci-contre 723

Images aimablement prêtées par oasis francophone
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Vers 400 Av JC la numération grecque
  • Une nette avancée par rapport à la numération
    romaine

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Enfin arrive linvention du zéro
  • Son introduction se fait en trois étapes.
  • Le zéro est introduit dans un premier temps quand
    on désire multiplier par dix. Le premier zéro est
    babylonien. Il est apparu au 3ème siècle Av JC.

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Puis la numération positionnelle décimale fait
son apparition
  • Initiée au 2ème siècle Av JC par les Chinois et
    finalisée vers lan 500 de notre ère en Inde, la
    mise en place des systèmes arithmétiques
    positionnels (en particulier le système décimal)
    fut une découverte majeure de lhistoire des
    mathématiques.

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La numération positionnelle utilise alors le zéro
  • Chaque signe représente un chiffre et cest la
    position du signe dans le nombre qui donne son
    ordre de grandeur. Notre numération décimale est
    une numération positionnelle.
  • Mais un chiffre doit marquer la position vide et
    on réutilise le zéro (2ème étape de
    lintroduction du zéro)

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La numération positionnelle utilise alors le zéro
  • Il devient possible dexprimer tout nombre dans
    un système à position, qui seul permet
    lutilisation généralisée dalgorithmes
    arithmétiques et qui rend superflu lusage de
    bouliers, etc.
  • Algorithme méthode de résolution de problème,
    énoncée sous la forme dune série dopérations à
    effectuer.

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En Inde alors apparaît le nombre zéro
  • Le zéro nétait alors quun chiffre, et il faudra
    attendre le 5ème siècle de notre ère, en Inde,
    pour quil soit considéré comme chiffre et comme
    nombre. (3ème étape de lintroduction du zéro)
  • Un nouveau nombre demande une définition le zéro
    est le résultat de la soustraction dun entier
    par lui-même.
  • Le mot indien (sùnya) signifiait vide, espace,
    vacant et la graphie (dabord un cercle) était
    inspirée de la voûte céleste.

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Le zéro arrive en Europe
  • Au 9ème siècle, le zéro est introduit en Espagne
    par les Arabes (zéro tout comme chiffre vient de
    larabe sifr)
  • En 982, un moine auvergnat, Gerbert dAurillac
    qui deviendra le pape Sylvestre II, après un
    voyage en Espagne, introduit les chiffres arabes
    en Europe occidentale.
  • Ils évolueront jusquau 12ème siècle où ils
    prendront leur forme définitive, grâce entre
    autres à Léonard de Pise dit Fibonacci.

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Lévolution de la numération moderne
  • De haut en bas
  • La nagari ancienne
  • La nagari moderne
  • Larabe ancienne orientale
  • Larabe moderne orientale
  • Larabe occidentale
  • La moderne

36
Fin de notre petite histoire
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