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Consommateur risque = buveur excessif, expos un risque soit en raison de sa ... Consommateur habituel de produit contenant de l' thanol qui subit une ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Pr


1
Prévention des maladies liées à lalcool en
Médecine Générale
  • Dr G. GARDON
  • Melle C. DUPRE
  • 2009/2010

2
Définitions
  • Alcool éthylique
  • Alcool de composition CH3-CH2-OH
  • Cest léthanol

3
Définitions
  • Sujets abstinents ils ne consomment pas du tout
    dalcool.
  • Sujets tempérants leur consommation est
    modérée, intermittente ou régulière, nentraînant
    pas de problème dans la relation avec lalcool et
    avec les autres.
  • Consommateur à risque buveur excessif, exposé à
    un risque soit en raison de sa propre
    vulnérabilité, soit de limportance de la
    quantité déthanol consommée.

4
Alcoolique
  • Consommateur habituel de produit contenant de
    léthanol qui subit une altération notable de sa
    capacité à maîtriser sa consommation et/ou qui a
    une ou plusieurs complications physiques de
    lalcoolisme.

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Définitions
  • Sevrage arrêt de la prise de toxique chez un
    sujet dépendant.
  • Tolérance nécessité daugmenter les doses dun
    produit pour obtenir les effets désirés, cest un
    état adaptatif.
  • Seuil toxique il ny en a pas.

6
Alcoolo-Dépendance
  • Cest la sujétion à la prise de boissons
    alcooliques ou alcoolisées, dont la suppression
    entraîne un malaise psychique et/ou des troubles
    physiques.

7
Dépendance physique
  • Cest un état adaptatif, caractérisé par
    lapparition dun syndrome de sevrage à la
    suppression de ladministration dalcool.

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Dépendance psychologique
  • Cest le désir intense de renouveler la prise
    déthanol sans quapparaisse le syndrome de
    sevrage en cas de cessation de la prise.

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Séméiologie clinique
  • Symptômes sensibilité inconnue, spécificité
    faible
  • - troubles du sommeil cauchemars
  • - troubles de lhumeur irritabilité
  • - troubles des fonctions psychiques supérieures
    difficulté de concentration, anomalie de la
    mémoire immédiate
  • - troubles digestifs soif (ADH), anorexie,
    pituite matinale
  • - céphalées

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Signes cliniques faible spécificité, faible
sensibilité
  • Cutanéo muqueux
  • Visage bouffi, blafard, congestionné.
  • Télangiectasies sur les pommettes, les ailes du
    nez, les oreilles.
  • Acné rosacée est fréquente.
  • Présence de brûlures, écorchures et cicatrices
    anciennes.
  • Les conjonctives sont hyperhémiées.

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Clinique bucco-dentaire
  • Langue saburrale ou rouge vif et dépapillée
  • Gencives sanguinolentes et oedématiées
  • Mauvais état dentaire.

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Autres signes cliniques
  • - Signes aponévrotiques maladie de Dupuytren,
    souvent bilatérale
  • - Signes neurologiques tremblements des
    extrémités, du visage, démarche maladroite avec
    élargissement du polygone de sustentation
  • - Signes endocriniens gynécomastie sensible et
    bilatérale, hypertrophie parotidienne.

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Séméiologie biologique
  • GGT
  • ASAT/ALAT
  • TRIGLYCERIDES
  • URICEMIE
  • La recherche

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La C.D.T.
  • Carbohydrate Deficient Transferrin (ou
    transferrine déficiente en acide sialique) est un
    nouvel indicateur de limprégnation alcoolique.
  • Sujet normal, taux de CDT 2 (la majeure partie
    de la transferrine étant tétrasialylée.
  • Sujet alcoolique chronique forte augmentation
    du taux de la CDT. Devient détectable dès que la
    consommation dalcool atteint 50 à 80 g / jour
    pendant au moins 8 jours.

15
Les Complications Somatiques
  • Les Manifestations Digestives
  • - Foie stéatose isolée
  • hépatite alcoolique (aiguë ou
    latente)
  • cirrhose éthylique
  • - Pancréas pancréatite chronique calcifiante
  • pancréatite aiguë ?
  • - Tube digestif œsophage (oesophagite, HO)
  • estomac gastrite
    aiguë, ulcère
  • intestin rôle des
    carences et de la malabsorption

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Les Complications neuropsychiatriques
  • Action directe de lalcool
  • Ivresse et coma alcoolique
  • Syndrome de sevrage
  • Association médicamenteuse
  • Syndrome carentiel (Vitamines B A)
  • Polynévrite des membres inférieurs
  • Névrite optique rétro bulbaire
  • Syndrome de Korsakoff
  • Encéphalopathie de Gayet-Wernicke

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Autres complications neuropsychiatriques
  • Syndrome Mixte
  • Atrophie cérébelleuse, Marchiafava-Bignami,
    myélinose centrale du pont
  • Complications métaboliques
  • Encéphalopathie porto cave
  • Coma hépatique terminal
  • A part
  • Épilepsie, Hématome sous dural chronique.

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Autres complications
  • - Cancer des V.A.D.S.
  • - Alcool et sexualité
  • - Alcool et cœur HTA
  • Myocardiopathies
  • - Alcool et nutrition apport calorique global
  • déficits en
    nutriments
  • - Embryofoetopathies alcooliques prématurité et
    hypotrophie

  • dysmorphie crânio-faciale, microcéphalie
    et rétrognathisme

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Les axes de la prévention
  • Prévention Primaire
  • - Informer langage conforme aux données
    scientifiques mais adapté à ses interlocuteurs.
    Information constante face aux incitations
    publicitaires
  • - Enseigner alcoologie au programme des
    facultés depuis 1976. FMC axe essentiel.

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Prévention primaire
  • - Étudier
  • lINSERM, les sociétés savantes, les services
    dalcoologie, mènent des études sur 2 points
    principaux le métabolisme de lalcool et ses
    effets sur lorganisme la psychologie de
    lalcoolisme.

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Prévention primaire
  • - Légiférer politique nationale
  • contrôle de la publicité
  • alcoolisme est une maladie à traitement
    obligatoire (loi de 1954)
  • limitation dans lentreprise livresse est une
    inaptitude au travail
  • loi sur la protection des mineurs
  • alcool au volant seuil légal (0.50)

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Prévention Secondaire
  • Dépistage biologique systématique hôpitaux,
    bilan de santé des CPAM.
  • Médecine du travail
  • C.M.P. (intérêt de la grille de Le Gô)
  • Médecine Générale

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Prévention tertiaire
  • Mouvements néphalistes
  • Médecins traitants et du travail
  • Services de post cure
  • Secteurs psychiatriques
  • CHAA

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Dépistage dun problème dalcool
  • 4 Questions Clés
  • 1/ Avez-vous déjà ressenti le besoin de DIMINUER
    votre consommation de boissons alcoolisées?
  • 2/ Votre ENTOURAGE vous a-t-il déjà fait des
    remarques au sujet de votre consommation?
  • 3/ Avez-vous déjà eu limpression que vous
    buviez TROP?
  • 4/ Avez-vous déjà eu besoin dALCOOL dès le
    matin pour vous sentir en forme?

25
Dossier n1
  • Mr B., 57 ans, alcoolique chronique invétéré bien
    connu du S.A.U. de St Roch est admis ce soir pour
    syndrome confusionnel. Il a été retrouvé dans la
    rue, débraillé, une bouteille pleine de rosé dans
    une main, une vide dans lautre, hurlant des
    propos incohérents, il avait une démarche
    zigzagante et instable au point de tomber tous
    les 2 ou 3 pas.

26
Question n1
  • Quelles sont les principales causes à évoquer
    devant une confusion chez un alcoolique chronique?

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Grille de correction Question n1 / 26 points
  • Ivresse aiguë (oubli 0/2)
  • Hypoglycémie (oubli 0/2)
  • Delirium tremens (oubli 0/2)
  • Iatrogène (2)
  • Hématome sous dural (oubli 0/2)
  • Hémorragie méningée (2)
  • Épilepsie crise temporale partielle complexe
    (2)
  • Épilepsie confusion post-critique (2)

28
  • Déséquilibre hydro électrolytique (hypo natrémie
    avec hyper hydratation intracellulaire) (2)
  • Méningite (2)
  • Encéphalopathie hépatique (2)
  • Encéphalopathie de Gayet Wernicke (2)
  • Encéphalopathie de Marchiafava Bignani (1)
  • Porphyrie aiguë intermittente (0.5)
  • Pancréatite aiguë (0.5)

29
Dossier n1 suite -
  • Lexamen confirme létat confusionnel, retrouve
    une paralysie bilatérale du nerf moteur oculaire
    externe avec un nystagmus dorigine centrale, un
    syndrome cérébelleux statique et cinétique, et
    une hypertonie des 4 membres augmentant lorsquon
    essaie de la vaincre et cédant au repos. Il
    existe une disparition bilatérale des réflexes
    achilléens, et une maigreur frappante. Pas de
    signe dinsuffisance hépato cellulaire. Biologie
    demandée en urgence est normale. Alcoolémie
    1.10g/l. Scanner cérébral sans injection est
    normal.

30
Question n2
  • Quelle est votre principale hypothèse
    diagnostique?

31
Grille de correction Question n2 / 10 points
  • Encéphalopathie de Gayet Wernicke

32
Question n 3
  • Il existe des examens biologiques pouvant
    apporter des arguments en faveur de ce
    diagnostic.
  • Lesquels?
  • Que peut-on en attendre? (Valeur élevée, basse,
    normale)

33
Grille de correction Question n3 / 15 points
  • - Pyruvicémie (3) Élevée (2)
  • - Activité transcétolasique des hématies (3)-
    Abaissée (2)
  • - Dosage plasmatique de la vitamine B1 (3)-
    Abaissé (2)

34
Question n4
  • Quel traitement durgence mettez-vous en route?

35
Grille de correction Question n4 / 14 points
  • Vitamine B1 (2) (oubli 0)
  • Injection intra musculaire de 0.5 à 1 g/ jour (2)
  • Poly vitaminothérapie B, surtout B6 et PP (2)
  • Réhydratation (2) (oubli 0), parentérale (2)
  • 4 à 6 litres/24 heures (2)
  • G5 avec 3 g/l de Na Cl et 1 g/l de K Cl (2)
  • Si glucosé sans B1 0 au dossier
  • Surveillance, oubli 0

36
Dossier n1 suite -
  • Votre patient évolue favorablement sous ce
    traitement. Avec, à 48 heures, une disparition du
    syndrome confuso-onirique, une régression du
    syndrome cérébelleux et des signes oculomoteurs.
    Persiste une D.T.S. Au bout dune semaine, seule
    persiste labolition des achilléens. Mais lorsque
    vous entrez dans la chambre, Mr B. Vous prend
    pour un ancien collègue de travail et vous
    explique le programme de la journée. Vous sortez
    et quelques minutes plus tard vous y retournez,
    la même scène se produit.

37
Question n5
  • Quel est votre diagnostic?

38
Grille de correction Question n5 / 15 points
  • Syndrome de Korsakoff

39
Question n6
  • A quelle lésion anatomique correspond cette
    pathologie?

40
Grille de correction Question n6 / 10 points
  • Lésion bilatérale (5) du circuit de Papez (5).
  • Également accepté hippocampomamillothalamique.

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Question n7
  • Quelle mesure médico-légale allez-vous demander
    pour Mr B?

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Grille de correction Question n7 / 10 points
  • Tutelle

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Dossier n2
  • Madame R. âgée de 38 ans, consulte pour des
    tremblements matinaux. Lexamen clinique retrouve
    une hépatomégalie modérée, indolore, sa pression
    artérielle est à 160 mm Hg de systolique (fait
    nouveau). Mme R. déclare une asthénie, des
    troubles de la concentration et du sommeil.
    Interrogée sur la question de lalcool, elle
    déclare ne boire  quun petit verre de vin le
    soir . Elle affirme avoir  toujours bu et que
    le vin est moins toxique que le café .

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Question n1
  • Vous soupçonnez une consommation abusive
    dalcool. Pouvez-vous vous aider de
    questionnaires pré-établis?
  • Citez en un.
  • Quelle sera leur validité?

45
Grille de correction Question n1 / 5 points
  • - DETA, Grille de Le Go.
  • - Rapide et exploitable, leur sensibilité est
    équivalente à celle dun bilan biologique
    standard systématique.

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Question n2
  • Vous décidez, pour objectiver la consommation
    dalcool de prescrire un bilan biologique quels
    examens demander?
  • Quen attendez-vous en terme de spécificité,
    sensibilité, variation?

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Grille de correction Question N2 / 10 points
  • - GGT sensible, assez spécifique, hausse
    rapide, mesure surtout la quantité consommée (3)
  • - VGM assez sensible, spécifique en dehors des
    anémies, tardif. Cest le marqueur de
    lénolisation chronique (3)
  • - CDT sensible, très spécifique sauf
    grossesse, anomalie génétique, pathologie
    hépatique sévère (4)

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Suite Q.2
  • Alcoolémie ce nest pas un marqueur de la
    consommation chronique
  • Transaminases peu sensible, peu spécifique
  • Triglycérides peu sensible, peu spécifique,
    augmentent en cas dalcoolisation aiguë
  • Uricémie peu sensible, peu spécifique

49
Dossier n2 suite -
  • Mme R. revient vous voir, sa pression artérielle
    est à 165/85 de mm HG, son bilan biologique
    révèle lexistence dun taux de GGT à 130 (Nlt
    25), un VGM à 103 µ3.
  • Mme R. est interrogée plus précisément quant à sa
    consommation dalcool et répète dun ton ferme
     navoir jamais bu plus dun demi verre de vin
    le soir avec son fromage .

50
Question n3
  • Comment sappelle le refus dadmettre une
    consommation excessive dalcool?

51
Grille de correction Question n3 / 10 points
  • Le déni.

52
Question n4
  • Quel bilan proposer pour son hypertension?

53
Grille de correction Question n4 / 5 points
  • Aucun. Il faut au préalable, réaliser un sevrage
    en alcool.

54
Dossier n2 - suite
  • Mme R. et vous, décidez de clarifier sa
    consommation dalcool et son éventuelle
    dépendance par la méthode du  contrat .

55
Question n5
  • Décrire cette méthode et établir un schéma de
    prise en charge au long court de la dépendance à
    lalcool.

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Grille de correction Question n5 / 20 points
  • Demander à Mme R. une abstinence totale en alcool
    et en substances psycho actives pendant une brève
    période (3 à 7 jours), puis reconsulter.
  • 1/ première consultation alcoolisation
    hypothèse ? Contrat expérience
  • 2/ deuxième consultation vérifier le contrat

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Deux possibilités
  • 2a/ échec de labstinence, dépendance probable ?
    proposition de sevrage (ambulatoire, hospitalier)
  • 3a/ consultations suivantes suivi rapproché
    vers un objectif labstinence
  • 2b/ abstinence possible, buveur excessif, à
    risque, non dépendant.
  • 3b/ consommation contrôlée, si maîtrise du
    contrôle ? suivi sur le long terme. Si maîtrise
    impossible ? retour vers 2a/

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Dossier n2 - suite
  • Mme R. na pas pu tenir sa part du contrat, vous
    décidez ensemble dun sevrage ambulatoire.

59
Question n6
  • Quels sont les signes du manque en alcool?

60
Grille de correction Question n6 / 10 points
  • Anxiété, agitation, irritabilité, insomnies,
    cauchemars.
  • Sueurs, tremblements, tachycardie, hypertension
    ou hypotension artérielle, crampes.
  • Anorexie, nausées, vomissements.

61
Question n7
  • Quelle est la principale complication du sevrage
    en alcool?
  • Donnez-en les signes cliniques et le traitement.

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Grille de correction Question n7 / 25 points
  • A/ Delirium tremens (5) (oubli 0)
  • B/ Confusion mentale avec vécu de persécution,
    onirisme, zoopsie et fausses reconnaissances.
  • Sudation, tachycardie, polypnée, tension
    fluctuante.
  • Hyperthermie, signes de déshydratation (oubli
    0), langue sèche, pli cutané, soif.
  • Tremblement fin et distal, hypertonie
    oppositionnelle franche, ROT exacerbés (10).

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Correction Question n7 - suite
  • C/ Hospitalisation en soins intensifs, isolement,
    surveillance.
  • Diazépam IV (10 mg/heure), Flunitrazépam (150
    mg/j), Midazolam IV (Hypnovel)utilisé mais non
    validé.
  • Haldol si syndrome hallucinatoire persistant.
  • Rééquilibrage hydro électrolytique,
    vitaminothérapie B1 B6 B12. 500 mg/jour de
    Thiamine si apport glucosé (oubli 0). K et
    Mg si besoin, Clonidine si HTA sévère. (10)

64
Question n8
  • Quel traitement allez-vous proposer à Mme R.?

65
Grille de correction Question n8 / 15 points
  • BZD à demi vie longue ou Oxazépam si insuffisance
    hépatocellulaire.
  • Diazépam 10 4 / jour pendant 3 jours, puis
    diminution et stop en 7 jours.
  • Somnifère.
  • Thiamine.
  • Acamprozate 6/jour pendant un an ou Naltrexone
    1/jour pendant 3 mois après le sevrage.
  • Soutien psychologique, groupe néphaliste à
    proposer demblée.
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