Evolutions de loccupation du sol dans les franges franciliennes - PowerPoint PPT Presentation

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Evolutions de loccupation du sol dans les franges franciliennes

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Paris 27 janvier 2006. Rappel : la MIIAT GBP a fait r aliser : 1. Une cartographie ... affectent de. petites aires. difficilement. lisibles. l' chelle ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Evolutions de loccupation du sol dans les franges franciliennes


1
Evolutions de loccupation du soldans les
franges franciliennes
  • F.P. Tourneux
  • Théma, CNRS UFC - UB
  • Paris 27 janvier 2006

2
Rappel la MIIAT GBP a fait réaliser
La fin des années 90 (environ 1997) CLC niveau
2
1. Une cartographie occupation du sol début des
années 90 (environ 1992) CLC niveau 4
2. Une carte des évolutions entre...
La fin des années 80 (environ 1987) CLC niveau
3
Ces cartes sont aussi des bases de données
SIG Leurs nomenclatures sont compatibles, leurs
précisions diffèrent.
3
Etat 1992
Le périmètre détude des franges franciliennes (27
700 km²) autour de lIle-de-France La
mosaïque de loccupation du sol une
carte pointilliste qui associe tendances et
diversité locale.
4
Etat 1992 et évolutions
Les évolutions affectent de petites
aires difficilement lisibles à léchelle régionale
5
Localement, bilan de loccupation du sol, 1992
Compiègne et vallée de lOise
6
Les évolutions de loccupation du sol dans leur
contexte
Ligne TGV // A1, gravières de Verberie, ZA
Compiègne
7
Présentation de 4 axes danalyse
  • Bilan surfacique de loccupation du sol et de ses
    évolutions
  • Urbanisation, artificialisation étalement ou
    concentration autour des villes des franges ?
  • Leffet de la distance à Paris ?
  • Carte de synthèse sur lensemble régional.

8
1. Bilan surfacique de loccupationdu sol et de
ses évolutions
9
Evolutions un piquetis plus ou moins dense et
quelques traits
Zone 27700 km² dont 201 km² en mutation, soit
0,7 en 10 ans.
PM en Ile de France, 0,2 par an en
consommation despaces agricoles et naturels
10
Les superficies en évolution
Destination
Origine
Pertes aux ¾ agricoles, 1/3 sur prairies Gains
1/3 labours, le reste en artificialisations peu
urbaines
11
Occupation et évolutions, représentation en
système, association de stocks et de
flux. Ensemble de la zone détude.
12
Répartition spatiale émiettement ?
Tous types dévolution confondus
Quelques vides ? Perche, Gâtinais, Sénonais
Des répartitions différentes pour les différents
flux ?
13
Nord-Ouest Oise (Noyon)
Vexin
Sud Aisne (Château-Thierry)
Nouvelles emprises des labours
Extension des cultures au nord, sur 3 foyers
14
A16
LGV
Artificialisations, 1/5
Nouvelles emprises des infrastructures linéaires
Autoroutes et LGV, contournements, bretelles
des axes clairs
A5
15
Creil
Soissons
Artificialisations, 2/5
Evreux
Nouvelles emprises des tissus urbains
Dreux
Chartres
Urbanisation polarisée sur certaines villes, et
un peu sur le NO parisien
Orléans
16
Artificialisations, 3/5
Nouvelles emprises des zones dactivité
  • Polarisation et étalement
  • autour des villes
  • Axes Seine aval et Oise
  • NO bordure parisienne

17
Artificialisations, 4/5
Nouvelles emprises des chantiers et extractions
  • Idem précédent
  • Affirmation Seine, Oise
  • Etalement ou diffusion ?

18
Artificialisations, 5/5
Nouvelles emprises des parcs et zones de loisirs
  • Ponctuation régulière
  • Urbain et rural
  • Sauf à lest !

19
Bilan global sur les franges franciliennes
  • Marque de la ruralité, 6 despaces
    artificialisés.
  • Evolutions
  • Faible taux global (0,7 en 10 ans)
  • 1/3 en gains des cultures sur les prairies (au
    nord)
  • 2/3 en artificialisations
  • Peu en urbanisation (8), polarisées sur villes
    principales
  • Surtout en zones dactivité, chantiers,
    extractions polarisées sur les villes, mais
    avec un étalement plus large, et marquant les
    axes Oise et Seine, ainsi que la bordure
    nord-ouest francilienne.

20
Bilans locaux, par aires urbaines, présentés en
cartes et en systèmes.
Les exemples de Senlis, Pithiviers et Louviers
21
Exemple 1 A.U. Senlis, petit espace tranquille ?
22
Senlis stocks et flux. Evolutions modestes, en
artificialisation. un cas atypique? (emprise
sur forêts, stabilité ZIC)
23
Exemple 2 A.U. de Pithiviers, contact ville et
grandes cultures
24
Pithiviers Stocks et flux. Une
orientation monodirectionnelle en
artificialisation, surtout au profit des
chantiers et des ZIC Un taux très faible
25
Exemple 3 A.U. de Louviers, un cas plus
complexe sur laxe de la Seine.
26
Louviers stocks et flux. Fortes
mutations, flux en treillis. De très gros
contrastes de croissance selon les types
artificiels
27
  • Comparer les
  • 26 aires urbaines,
  • les communes multipolarisées,
  • les communes rurales,
  • et lensemble régional ?
  • Volet cartographie thématique (hors
    présentation)
  • Volet typologique (analyse multivariée et
    classification)

28
Mutations Intra-agricoles
1
espaces naturels
7
Noyon Rouen
Vernon
6
Communes multipolarisées
Artificialisation sur prés
Louviers
Creil
Artificialisation sur broussailles ou
forêt (polyculture)
Beauvais
Elbeuf
Communes rurales
Semi-naturel
Soissons
ZIC Chantiers
Compiègne
Montargis
Prairies
Paris
Forêt Urbain
Axe 2 variété des évolutions, du minier au
grignotage de lhabitat, aux reconquêtes
naturelles, ou mutations agricoles
Orléans
Gournay
Cultures
2
Dreux
Evreux
3
Clermont
5
Gien
1. Rural 2. Rural à prairies 3. Ville mange
cultures 4. id.3 et ZIC sur forêts 5. La ville
grignote sur tout 6. id.5 en contexte naturel
7. Habitat sur forêt et naturel
Pithiviers
Reims
Artificialisation sur cultures
Gaillon
Chartres
4
Sens Epernay Troyes
ZIC sur forêts
Exclus Laon et Senlis
Axe 1 gradient de la campagne verte aux ZIC et
chantiers , et des mutations intra-agricoles à
la consommation des forêts par lhabitat
29
Les aires urbaines et leurs types occupation
évolution
  • 1. Rural
  • 2. Rural à prairies
  • 3. Ville mange cultures
  • 4. id.3 et ZIC sur forêts
  • 5. La ville grignote sur tout
  • 6. id.5 en contexte naturel
  • 7. Habitat sur forêt et naturel
  • Noir
  • Laon (ns)
  • Senlis (ext. urbain sur forêt)

Rural dominant, différence entre est et ouest,
Creil et Orléans, la Seine aval
30
Aires urbaines
  • Situations contrastées
  • AU en faible dynamique, flux simples
  • Peu d AU en plus forte dynamique, flux complexes
    (Seine, Oise, Orléans)
  • Extension de lAU de Paris sur les franges se
    reflète peu dans loccupation du sol (groupe
    rural , mutations intra-agricoles).
  • Les AU sont établies selon les déplacements
    domicile travail vers des pôles urbains. Cet
    indicateur de périurbanisation nest pas
    directement retranscrit dans loccupation du sol.

31
2. Urbanisation, artificialisation étalement ou
concentration autour des villes ?
32
  • Lurbanisation gagne-t-elle la campagne (effet
    tache dhuile), ou reste-t-elle accolée aux
    villes principales (agglutination)?
  • Les autres formes dartificialisation
    suivent-elles le même modèle ?
  • Observer la répartition des différents types
    dartificialisation en fonction de leur
    éloignement aux villes, et en fonction de la
    superficie de ces villes.
  • Approche bordure urbaine et périphérie au
    niveau local (indépendamment des organisations
    axiales, de la proximité parisienne)

33
2 étapes
  • Reconnaître les villes et leur périphérie, et les
    mettre en relation avec les artificialisations.
  • Comparer 3 variables
  • La taille des villes,
  • Léloignement aux villes,
  • Les formes dartificialisation.

34
Loccupation du sol sur la région de
Beauvais Villes, périphéries et évolutions (1)
35
Sélection et fusion des zones bâties (urbain
dense ou discontinu, zones dactivité) Compte non
tenu des aéroports, autoroutes (intérêt du niveau
3 de CLC) Villes, périphéries et évolutions (2)
36
Les zones bâties seules Villes, périphéries et
évolutions (3)
37
Ceintures (buffers)de 100 m autour des zones
bâties, et leur coalescence. 2 zones bâties
incluses dans la même ceinture appartiennent à la
même UUB, Unité Urbaine Bâtie (les UU INSEE sont
ensuite affectées aux communes) Villes,
périphéries et évolutions (4)
38
Milly et Troisseureux 1,1 km²
Lachapelle- aux-Pots 1,4 km²
Beauvais 16,6 km²
Goincourt 1,7 km²
Auneuil 1,4 km²
Calcul de laire bâtie de chaque UUB, En bleu,
les UUB de moins de 1km² Villes, périphéries et
évolutions (5)
39
Lenvironnement des UUB de plus de 1 km² 20
ceintures de 200 m 4 km au-delà de la bordure
urbaine. Au total, 45 de la zone détude Villes,
périphéries et évolutions (6)
40
Lenvironnement de chaque UUB délimitation par
la lisière urbaine la plus proche pour éviter
les doubles comptes Villes, périphéries et
évolutions (7)
41
Croiser les évolutions, léloignement aux villes
et la taille des villes Villes, périphéries et
évolutions (8)
42
En réduisant les évolutions aux seules
artificialisations Villes, périphéries et
évolutions (9)
43
Picardie, Normandie artificialisations,
périphérie des villes, éloignement aux villes et
taille des villes Villes, périphéries et
évolutions (12)
44
Zone détude des évolutions des franges
franciliennes artificialisations, périphérie
des villes, éloignement aux villes et taille des
villes Villes, périphéries et évolutions (13)
45
Relations entretaille / distance / type
dartificialisation
  • Lartificialisation près des villes / loin
    des villes
  • Les 3 entrées séparément
  • Les types dartificialisation
  • La taille des villes
  • La distance aux villes
  • Croiser les entrées 2 à 2
  • Distance aux villes et taille de villes
  • Distance aux villes et types dartificialisation
  • Types dartificialisation et taille de villes
  • Les 3 entrées simultanément, par taille de villes

46
Lartificialisation près des villes / loin
des villes
du total de chaque type dartificialisation sur
la proche périphérie des villes
47
Les types dartificialisation en périurbain
  • Lurbanisation stricto-sensu représente moins
    d1/6 des artificialisations
  • et moins du double de lextension des espaces
    verts sport et loisir
  • les zones dactivité forment le premier
    contingent (un tiers).
  • les chantiers et extraction sont presque à
    égalité un flou ambigu.
  • les nouvelles infrastructures de transport
    consomment beaucoup despace péri-urbain (plus
    que lurbanisation)

48
Artificialisation et taille des villes centre
(UUB)
  • 16 grandes villes concentrent plus du tiers des
    artificialisations.
  • Les villes moyennes, peu nombreuses, paraissent
    peu atteintes.
  • les très nombreuses petites villes recueillent
    plus de 40 des artificialisations (mais leur
    périphérie regroupe 66 de lespace péri-urbain
    )
  • Le taux dartificialisation (surface
    artificialisée / surface périurbaine décroît
    avec la taille des villes, mais cette
    décroissance est peu significative face à
    lampleur de la surface périurbaine des petites
    villes.

Une forte concentration autour des grandes
villes, et un signe de diffusion sur les plus
petites ?
49
Artificialisation et distance aux villes
  • forte prime à la proximité
  • 50 à moins de 600 m
  • 80 à moins de 2000 m
  • seuils à 600 m, 1400 m et 2800 m ?

50
  • La prime à la proximité est vérifiée quelque
    soit la taille des villes.
  • Le pic daccroissement est à proximité des
    grandes villes (20 de toutes les
    artificialisations à moins de 600 mètres)
  • le second pic à proximité des plus petites (13
    -id-).
  • Les villes moyennes sétendent peu
  • Mais la périphérie des petites villes montre une
    dynamique assez forte au-delà de 600 m beaucoup
    de petites villes avec une artificialisation
    diffuse le signe de létalement ?

51
  • La prime à la proximité reste vraie pour tous
    les types dartificialisation,
  • mais elle est surtout marquée pour
    lurbanisation (70 à de 200m, 80 à 800 m).
  • Les ZIC, les plus gourmandes au contact,
    sétalent modérément jusquà 2 km
  • Les chantiers et extractions, marqués au
    contact, montrent létalement maximal
  • Les infrastructures linéaires, consommatrices au
    contact, ont une emprise stable au-delà de 1,5 km
  • Les espaces verts sont collés aux villes ou
    projetés à faible distance

52
  • la périphérie des grandes villes garde le 1er
    rang pour urbanisation et ZIC
  • les villes moyennes (faible évolution)
    saccroissent de 1/2 par urbanisation et ZIC
  • les petites villes ne représentent que peu
    durbanisation, elles sont surtout marquées par
    les autres formes dartificialisation.

53
Autour des 16 plus grandes villes, types et
distance
  • Urbanisation et zones dactivité dominent très
    fortement
  • Lurbanisation reste bloquée au contact des
    villes (- de 400m)
  • Les zones dactivité se concentrent au contact,
    et sétalent modestement jusquà 1,4 km
  • Les chantiers sont principalement accolés à la
    ville.

54
Autour des 156 villes de 1 à 2,5 km², types et
distance
  • Lurbanisation, faible, se limite au contact de
    la ville
  • Les zones dactivité supplantent largement
    lurbanisation au contact du bâti, et se
    diffusent au-delà (2,2 km, 3,4 km distance aux
    villages voisins ?)
  • Les chantiers et extraction montrent une
    importance et un étalement maximal
  • Qui se retrouve, dans une moindre mesure, pour
    espaces verts et nouvelles infrastructures
    linéaires.

La périphérie des petites villes le site dun
étalement très peu urbain !
55
Faits marquants (1/2)
  • Approche ciblée sur lespace situé à moins de 4
    km des villes de d1 km², soit 45 des
    franges cet espace est formé aux 2/3 par la
    périphérie de petites villes.
  • Il concentre 90 de lurbanisation et des
    nouvelles zones dactivité, 80 des chantiers et
    extraction, les 2/3 des autres artificialisations.
  • Lurbanisation ne représente que 14 des
    artificialisations (catégories principales 
    zones dactivité, chantiers et extractions)
  • Lurbanisation  très majoritairement au contact
    direct des villes, et pour plus de moitié au
    contact des 16 plus grandes villes.
  • Artificialisation globale 
  • 50 à moins de 600 m des villes, 80 à moins de 2
    km
  • 2/5 près des plus grandes villes, 2/5 près des
    plus petites
  • Faiblesse de la dynamique des villes
    intermédiaires

56
Faits marquants (2/2)
  • Les zones dactivité, chantiers et extractions
    restent largement collés aux villes, et sétalent
    modestement jusquà 2km.
  • Seules les plus petites villes échappent à cette
    règle, avec des artificialisations étalées.
  • Une urbanisation faible, réalisée par
    agglutination directe, majoritairement au profit
    des plus grandes villes, et très peu à proximité
    des plus petites.
  • Un étalement à 2 ou 3 km dartificiel non
    résidentiel, autour des plus petites villes, en
    moyenne peu important pour chaque site, mais
    globalement conséquent en raison du nombre de
    petites villes.
  • Attention, le taux global dévolution se limite à
    0,7 en 10 ans, dont 1/3 concerne lextension des
    labours

57
3. Leffet de la distance à Paris ?
  • Le centre est Parisien ou francilien
  • La périphérie est lensemble des franges pour
    lesquelles on connaît les mutations de
    loccupation du sol.
  • Mais plusieurs centres peuvent être retenus,
  • Impliquant des distances très différentes, et une
    couverture très inégale de la périphérie

58
  • Centre Paris ?
  • Centralité symbolique
  • Des franges qui commencent entre 15 km et 80 km
    du centre

59
  • Centre Unité urbaine de Paris ?
  • Centralité du noyau bâti
  • Des franges qui commencent entre 0 km et 40 km du
    centre

60
  • Centre
  • Ile-de-France ?
  • Signification ?
  • Des franges qui commencent au contact !

61
  • Centre
  • Aire urbaine de Paris ?
  • Centralité parisienne du pôle et de la zone des
    migrations domicile - travail
  • Des franges qui appartiennent à laire urbaine,
    ou commencent au-delà de laire urbaine

62
Démarche
  • Pour chaque centre ,
  • Croiser les zones en mutation et des ceintures
    concentriques, par pas de 10 km
  • Récapituler les superficies (km²) mutantes, par
    type et par éloignement
  • Ce qui peut sexprimer en termes absolus (km²
    mutants) ou relatifs (km² mutants / surface de
    chaque couronne), pour rendre compte de
    (consommation / disponibilité)

63
Centre Paris (données brutes)
Fin des franges
Début des franges
La proximité parisienne semble repousser les
évolutions, léloignement aussi. Les pics
dévolution sont regroupés sur les intervalles de
distance correspondant à la zone détude, il est
donc imprudent de pousser plus loin lanalyse.
64
Centre Unité Urbaine de Paris, 1999 (données
brutes)
Fin des franges
Début des franges
  • On retrouve la même incertitude, avec un pic
    central plus significatif. Sur ce pic
  • un affaissement des évolutions vers 60 km
  • la part de lurbanisation varie peu avec la
    distance
  • La part des mutations agricoles reste très
    importante

65
Centre Île-de-France (données brutes)
Fin des franges
Début des franges
  • Le centre est peut être abusif, mais les données
    plus significatives.
  • -Le pic nest pas au contact (10 km), et un
    ralentissement au-delà de 30 km
  • la part de lurbanisation varie peu avec la
    distance, mais augmente vers 50 km
  • La part des mutations agricoles reste très
    importante

66
Centre Aire Urbaine de Paris, 1999 (données
brutes)
Fin des franges
Début des franges
En apparence, un bel effet centre
périphérie Qui ne résulte peut-être que des
dispositions relatives de laire urbaine et de la
zone détude.
67
Pondération des superficies en mutation par la
surface étudiée
  • 1 gradient centre vers périphérie
  • 1a décroissance rapide (1a) gt 60 km
  • 1b paliers de décroissance
  • croissance de la part agricole
  • 2 palier stable de 60 à 100 km, taux gt moyenne
    mais forte part agricole
  • 3 au-delà de 100 km, taux dévolution moyenne
    mais forte part des artificialisations

1a
1b
2
3
Taux de mutation, Taux dartificialisation et
distance au centre
Centre PARIS
68
Pondération des superficies en mutation par la
surface étudiée
  • 1 gradient centre vers périphérie
  • décroissance rapide gt 30 km
  • hausse de la part agricole
  • 2 ressaut à 40 km, et lente décroissance, taux
    gt moyenne, part agricole forte.
  • 3 au-delà de 70 km, taux dévolution en
    progression, avec une part dartificialisation en
    hausse.

1
2
3
Taux de mutation, Taux dartificialisation et
distance au centre
Centre Unité urbaine de Paris
69
Faits marquants
  • Les premiers graphiques surfaces par distance
    montrent des profils qui traduisent clairement
  • Le problème de recouvrement des ceintures
    périphériques et de la zone détude franges
    franciliennes
  • Et le comportement géométrique de ces ceintures
    périphériques.
  • Les résultats évolutions pondérés par les
    surfaces dobservation montrent un résultat plus
    conforme à lattente (gradients).
  • Le découpage de la zone détude brouille encore
    les résultats
  • Mais laisse percevoir
  • un palier intermédiaire (40 70 km UU Paris), en
    évolution modeste, avec une forte part
    intra-agricole
  • Et une reprise dévolution au-delà, surtout par
    artificialisation.

70
4. Carte de synthèsesur lensemble régional.
  • Généraliser linformation de détail
  • Pour retrouver des tendances
  • Les grandes formes doccupation du sol (le
    contexte)
  • Les évolutions et leurs directions principales
  • Lintensité de ces évolutions.

71
Rappel Réduire léchelle de la carte ne suffit
pas pour obtenir une vue densemble.
Etat 1992 et évolutions 1998
72
Même au niveau local, la complexité de la
mosaïque rend difficile la perception densemble
Orléans, 1992
73
Et lajout des évolutions accroît toujours le
problème
74
Il faut donc simplifier
  • Tout en conservant
  • Le contexte (occupation du sol)
  • Les types dévolution
  • Lintensité des évolutions

Généralisation et croisement graphique
dinformations
75
Le contexte 1. Réduction du nombre de
catégories (artificiel, cultures, prairies,
forêts, eau) 2. Pour chaque super catégorie ,
comptabiliser son de présence dans un rayon de
1 km 3. Si une catégorie est majoritaire (gt
50), elle lemporte sur les autres.
1. Simplification thématique
2. Pour chaque catégorie, Calcul de son de
présence
3. Type majoritaire
76
  • Les cinq super catégories précédentes
  • sont tour à tour majoritaires, selon les lieux.
  • Mais il reste des zones hétérogènes (sans
    majorité)
  • Ce sont des zones mixtes
  • Parmi lesquelles ont peut distinguer 2 cas
  • Présence de peu dartificiel (lt20)
  • Présence dartificiel plus marquée (de 20 à 50)
  • On obtient donc 7 types de contextes très
    simplifiés.

77
(No Transcript)
78
Pour les types dévolution, démarche identique
1. Simplification des catégories de
destination (seules les plus significatives sont
conservées) Urbain, Activités, Chantiers et
extractions, Sport et loisir, Routes et
LGV, Labours, Eau 2. Pour chacune,
comptabilisation de son de présence dans un
rayon de 1 km 3. Si une évolution est
majoritaire (gt50) elle lemporte sur les
autres 4. Reste une petite catégorie Mixte ,
peu représentée
79
(No Transcript)
80
  • Mais lintensité
  • des évolutions
  • nest pas
  • partout égale
  • le pourcentage
  • de surface
  • en évolution
  • à 1 km
  • Nul dans les 2/3 des franges
  • Souvent faible (1 à 2)
  • Mais parfois plus fort

81
Un seuil à 2 permet de repérer les zones les
plus affectées, et den généraliser les contours
82
  • Au final
  • les 3 informations
  • essentielles
  • figurent sur
  • la même carte
  • densemble
  • Le contexte
  • Les gains
  • Un seuil dintensité
  • Il sagit dune très forte
  • généralisation, utile
  • pour appréhender
  • globalement lensemble
  • des franges, qui ne
  • doit pas se substituer

83
La représentation peut être modulée, par exemple
en ne conservant les évolutions que pour les
zones les plus affectées. Limage est plus
forte, mais on perd la marque de la dispersion
des petites évolutions, faibles en termes de
superficie, mais fréquentes dans lespace.
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