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plante invasive au Liban

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plante invasive au Liban et risque – PowerPoint PPT presentation

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Title: plante invasive au Liban


1
Les Plantes invasives au Liban Impacts sur la
biodiversité et stratégies de luttes
Université Libanaise Faculté des sciences
Section 1 - Hadath
MAGED Liliane , ID 82389, Mastère 1,
Biologie végétale et environnement , BioD401
2
Plan
  • Introduction - Une plante invasive ?
  • - Importance de la
    biodiversité du Liban
  • D'où proviennent les plantes exotiques
    envahissantes
  • Les différents stades dune invasion biologique
  • Impacts de lintroduction dune plante invasive
  • Les plantes ornementales De dangereuses beautés
    ?
  • Se prémunir contre les plantes invasives, une
    priorité pour le Liban
  • Conclusion

3
Plante envahissante
espèce exotique naturalisée dans un territoire
qui modifie la composition, la structure et le
fonctionnement des écosystèmes naturels ou
semi-naturels dans lesquels elle se
propage (Cronq et Fuller, 1995)
4
Le Liban
75 de la faune européenne (invertébrées)
gt 25 000 espèces de plantes à fleurs
Au point chaud méditerranéen
Très haut niveau de biodiversité
Site de reproduction de plus de 30 espèces de
rapaces
les régions du Nord
Quatre grandes régions biogéochimiques
Le Liban se trouve sur une route de migration
importante,
10 des espèces connu sur 1.5 des terres
émergées de la planète
Lhyène rayée (Hyaena hyaena) espèce libanaise
d'origine africaine
Itinéraires de migration des oiseaux planeurs
les régions du Sud
Occupées par les oiseaux en hiver
5
D'où proviennent les plantes exotiques
envahissantes?
Les échanges de marchandises
Introduits
Amérique du nord
Amérique Latine
Involontairement
volontairement
Amérique du Sud
Asie
Sud de lAfrique
Les flux de personnes
Australie
6
Facteurs qui favorisent la propagation des
espèces exotiques invasive
7
Modèles de productivité
Modèles dadaptation
La plupart des plantes invasives ont été
introduites pour une utilisation horticole par
les pépinières, jardins botaniques et
individus. (Reichard White, Biosciences, 2001)
Servent à végétaliser talus, bords de routes et
autres lieux incultes
Modèles de résistance
Indéniables qualités ornementales
8
Les espèces invasives, très prolifiques, se
propagent dans les milieux naturels et profitent
de labsence de compétiteurs, de prédateurs ou de
maladies, détruisant ainsi des écosystèmes
entiers en provoquant la disparition despèces
indigènes ou en altérant léquilibre de ces
écosystèmes.Nos écosystèmes méditerranéens,
caractérisés par un grand nombre despèces
originales et uniques (endémiques), sont fragiles
et doivent donc impérativement être préservés de
cette menace.
Impacts de lintroduction dune plante invasive
9
Les différents stades dune invasion biologique
10
La réussite des invasions biologiques entre
écosystème daccueil et caractéristiques de l
espèce introduite
Hypothèse de fusion invasive David Simberloff et
Betsy Von Holle (1999)
Hypothèse de résistance biotique des
écosystèmes Charles Elton (1958)
Le taux de réussite invasive augmente au cours du
temps
Richesse spécifique augmente
Résistances aux invasions augmente
  • Tous les types de ressources sont déjà utilisés
    par les espèces natives
  • La probabilité quun prédateur ou quun
    compétiteur efficace de lorganisme invasif soit
    présent est plus grande

Les populatons invasives déjà présentes ont pu
déstabiliser lécosystème considéré et peuvent
avoir des effets positfs sur les organismes
invasifs suivants
Plus les populations non natives saccumulent
plus le taux dinvasion diminue
11
le nombre cumulatif dinvasions réussies atteint
un palier au cours du temps
le nombre cumulatif dinvasions réussies augmente
de plus en plus vite
12
Les habitats naturels soumis à des perturbations
dorigine naturelle (incendie, éruption
volcanique, crues) et surtout artificielle
(déforestation, mise à nue de la terre,
surpâturage) sont généralement les plus sensibles
aux invasions végétales.
13
Impacts de lintroduction dune plante invasive
Impacts écologiques
Possibilités d hybridation
Abondance, taux de croissance populationnel
Taux démographique (le taux de naissance ou de
mortalité)
disponibilité en nutriments, production primaire
Richesse spécifique, diversité, structure
trophique
14
Impacts Sociales
Impacts Economiques
  • Dommages sur des infrastructures culturels,
    destructions de paysages
  • Modifications des habitats
  • Conséquences sanitaires
  • En facilitant larrivée de nouveaux pathogènes
  • En rendant les écosystèmes plus vulnérables à des
    pathogènes déjà existants
  • Il faut Calculer le coût économique pour les
    États
  • Déstruction des ressources naturels
  • Affecte l éco-tourisme
  • Diminution des rendements agricole (modifiant le
    contenu nutritif du sol, la salinité, l'acidité
    ou les communautés microbiennes et modifiant à
    leur profit le cycle de lazote )
  • Détérioration des infrastructure

15
Impacts de lintroduction dune plante invasive
16
Calculs des impacts Parker et al. (1999)
Impact écologique dune population
Il est difficile de mesurer les conséquences
dune invasion biologique. La plupart des études
tentent soit de comparer un même écosystème avant
et après linvasion, soit de comparer deux
écosystèmes similaires, lun envahit lautre non.
I R x A x E
Impact écologique par unité de biomasse de
lorganisme invasif
Densité de lorganisme invasive
Aire dextension de lorganisme invasive
17
Les plantes ornementales De dangereuses beautés ?
Click here Full List - 1671 Species
18
Les plantes ornementales De dangereuses beautés ?
19
Acacia dealbata Mimosa dhiver
Il est originaire du sud-est de lAustralie et de
Tasmanie.
UTILISATION EN CULTURE
  • Ce Mimosa est une espèce des milieux chauds et
    secs.
  • Il ne supporte pas les sols inondés et bien quil
    résiste au gel, il naime pas les températures
    trop basses.
  • Il se développe dans les zones ensoleillées ou
    mi- ombragées, et même dans les endroits ventés.
  • Il est principalement planté pour lornement,
    isolé ou en haies, et pour ses fleurs à couper.
    Ce Mimosa est le plus cultivé en raison de son
    abondante floraison hivernale.
  • Il sert de porte-greffe aux autres espèces
    dAcacia qui sont, pour la plupart, elles
    aussi, déclarées envahissantes ailleurs dans le
    monde.

Nuisances
  1. Forme des peuplements denses qui entrent en
    compétition avec la flore indigène.
  2. Il émet des substances toxiques qui limitent la
    germination et la croissance racinaire de la
    végétation locale.
  3. Les colonies quil forme perturbent la dynamique
    naturelle de formations végétales littorales ou
    rivulaires
  4. Le système racinaire du Mimosa est superficiel.
    Lorsquil sinstalle le long des cours deau, il
    peut être déraciné lors des crues et conduire à
    la formation dembâcles. Ce phénomène peut
    ensuite entraîner lérosion des berges.
  5. Très inflammables, favorisent les risques
    dincendie.

20
Ailanthus altissima Faux-vernis du Japon
Il est originaire des régions allant du sud de la
Chine à lAustralie.
UTILISATION EN CULTURE
  1. LAilante est très peu exigeant.
  2. Il pousse indifféremment sur tous les sols.
  3. Il tolère même les pH très acides (4,1) et les
    sols à faible concentration en phosphore.
  4. Il est robuste et résiste au froid (jusquà
    13C), à la sécheresse, à la pollution
    atmosphérique (il absorbe le sulfure et le
    mercure) ainsi quaux poussières industrielles.
  5. Sa résistance en fait un bon colonisateur des
    sols pollués comme les mines.
  6. Cultivé pour ses qualités ornementales, Il nest
    plus planté en milieu urbain à cause de son odeur
    désagréable et de son fort pouvoir drageonnant.

Nuisances
  1. Entre en compétition avec les espèces arborées
    autochtones pour la lumière et lespace.
  2. Il produit des substances toxiques qui
    saccumulent dans le sol et inhibent le
    développement dautres espèces. Ces toxines sont
    tellement efficaces quelles sont actuellement
    testées pour produire un herbicide naturel.
  3. Son suc est irritant et peut provoquer des
    éruptions cutanées.
  4. En ville, son puissant système racinaire et sa
    grande faculté à drageonner occasionnent des
    dommages sur les fondations, les bouches
    dégouts, les trottoirs et les places et Chaque
    fragment de racine peut donner naissance à un
    nouvel individu.
  5. Les fleurs dAilante sont pollinisées par le
    vent. Les nombreuses graines produites sont
    disséminées par le vent ou leau et germent très
    facilement.

21
Buddleja davidii Buddleia
Il est originaire des zones montagnardes de
Chine.
UTILISATION EN CULTURE
  1. Il tolère tout type de sol.
  2. Il préfère cependant les terrains bien drainés.
  3. Il affectionne les emplacements très ensoleillés
    mais supporte la mi-ombre.
  4. Il résiste à la sécheresse et à la pollution
    urbaine, ce qui lui vaut dêtre planté en masse
    pour les aménagements paysagers.
  5. Son parfum délicat attire les papillons.
  6. Cette plante est appréciée pour lornement,
    plantée isolée, en haies ou en bordures.

Nuisances
  1. Les peuplements denses de Buddleia concurrencent
    la végétation autochtone des cours deau
  2. Ils empêchent la reproduction et linstallation
    dautres espèces darbres et darbustes.
  3. Le Buddleia est un colonisateur à courte durée de
    vie (lindividu le plus vieux ayant été trouvé a
    37 ans).
  4. Les colonies de Buddleia empêchent laccès aux
    cours deau.
  5. Les plants, superficiellement enracinés, sont
    facilement emportés lors des crues, formant des
    embâcles et provoquant lérosion des berges.
  6. Cet arbuste a une croissance très rapide et
    rejette de souche si on le coupe.

22
Carpobrotus acinaciformis Griffes de sorcière
Elles sont originaires dAfrique du Sud (région
du Cap).
UTILISATION EN CULTURE
Les Griffes de sorcière supportent une très large
gamme de conditions de sol mais ont besoin dune
grande disponibilité en eau superficielle. Ce
sont des plantes de zones pleinement ensoleillées
qui supportent les atmosphères sèches et chaudes
ainsi que la proximité de la mer mais qui ne
résistent pas aux températures inférieures à
4C. Elles sont souvent utilisées en couvre-sol
ou en cascades pour ornementer les talus
routiers et les ronds-points. En végétalisation,
elles sont utilisées pour stabiliser les dunes,
les talus et les remblais (contre lérosion) et
couvrir des surfaces stériles (constructions,
murs).
Nuisances
  1. La consommation des fruits par les animaux,
    principalement les rats et les lapins, permet la
    dissémination des graines à plus de 150 m du
    plant mère. Lingestion par les mammifères
    favorise la germination de ces graines.
  2. Les Griffes de sorcière ont une grande facilité à
    senraciner.
  3. La croissance rapide des stolons (jusquà 1m/an)
    leur permet de couvrir rapidement de grandes
    surfaces.
  4. Les Griffes de sorcière sont parmi les végétaux
    exotiques posant le plus de problèmes écologiques
    dans les zones littorales à climat méditerranéen.
  5. Dans les falaises et les dunes, elles entrent en
    compétition pour la lumière et leau avec la
    flore locale et modifient le milieu. Elles
    peuvent aussi compromettre la survie despèces
    endémiques, rares ou protégées

23
Reynoutria japonica Renouée
Elles sont originaires dAsie (Chine, Japon,
Corée, Taiwan).
UTILISATION EN CULTURE
  1. Poussent de préférence sur des substrats acides
    et riches, bien alimentés en eau et semblent
    moins proliférantes sur des sols calcaires. Elles
    aiment particulièrement les expositions
    ensoleillées et les atmosphères humides. Elles
    sont capables, grâce à leurs rhizomes, de
    coloniser des terrains pollués par des substances
    toxiques.
  2. Leur système racinaire vigoureux fixe les dunes
    et stabilise les sols.
  3. Elles étaient autrefois utilisées pour la
    végétalisation et lornement.

Nuisances
  1. Les boutures de tiges ou les fragments de
    rhizomes peuvent être facilement disséminés par
    leau, les animaux ou lhomme lors de travaux
    daménagement et ainsi coloniser de nouveaux
    territoires.
  2. Représentent une réelle nuisance essentiellement
    dans les milieux perturbés par les activités
    humaines.
  3. Leur expansion peut menacer des espèces à valeur
    patrimoniale liées aux cours deau et perturber
    la régénération naturelle des forêts alluviales
    (forêts daulnes, de saules, de frênes,).
  4. Favorisent lérosion des berges et peuvent
    provoquer la formation de barrages et dembâcles
    quand, en automne, les tiges sèches sont
    emportées par le courant.
  5. Elles peuvent dégrader ponts et barrages et
    posent également problème dans les champs
    irrigués en obstruant les canaux. Dans leurs
    peuplements denses, le passage des usagers comme
    les pêcheurs est fortement gêné.

24
Baccharis halimifolia L. Séneçon en arbre
Le Séneçon en arbre est originaire de lest des
Etats-Unis (Floride, Texas, Golfe du Mexique).
UTILISATION EN CULTURE
  1. Le Séneçon en arbre aime les zones pleinement
    ensoleillées ou mi-ombragées et supporte une très
    large gamme de conditions de sol et dhumidité.
  2. Il tolère les sols salés et les embruns
    maritimes.
  3. Il résiste au vent, à la sécheresse et au grand
    froid (jusquà 15C).
  4. Il est utilisé pour lornement, isolé ou en haies
    brise-vent sur le littoral.
  5. Il est également planté pour stabiliser les
    digues ou les berges des cours deau.

Nuisances
  1. La dispersion de ses graines se font par le vent.
  2. Le Séneçon en arbre entre en compétition pour la
    lumière et leau avec la flore locale
  3. Cest un très bon combustible. Il peut élever le
    risque dincendie dans les friches et augmenter
    le coût de leur entretien.
  4. Il sinstalle volontiers autour des marais
    salants et dans les salines délaissées. Il limite
    les possibilités de remise en état .
  5. Les peuplements denses gênent le passage des
    usagers comme les chasseurs ou les manadiers.
  6. Le couvert dense quil forme protège les gîtes
    larvaires des moustiques et nuit à lefficacité
    des traitements de démoustication. Le Séneçon en
    arbre nest pas appétant et diminue la qualité
    des pâturages.
  7. Ses feuilles et ses fleurs contiennent des
    substances toxiques pour le bétail.
  8. Les fruits plumeux présents dans lair pourraient
    provoquer des allergies respiratoires.

25
Cortaderia selloana Herbe de la pampa
LHerbe de la pampa est originaire dAmérique du
Sud (Chili, Brésil, Argentine, Uruguay).
UTILISATION EN CULTURE
  1. LHerbe de la pampa préfère les terrains fertiles
    et bien drainés.
  2. Une fois installée, elle supporte une très large
    gamme de conditions de sol et dhumidité.
  3. Elle aime les zones pleinement ensoleillées.
  4. Elle tolère les conditions salines et résiste
    jusquà 20C.
  5. Elle est utilisée pour lornement, plantée seule
    ou en haies.
  6. Elle sert aussi de protection contre le vent et
    stabilise les sols.

Nuisances
  1. LHerbe de la pampa est envahissante dans les
    milieux dunaires et les milieux ouverts des
    régions méditerranéennes
  2. Elle a une croissance rapide et forme des
    colonies denses qui entrent en compétition avec
    les autres plantes pour la lumière, leau et les
    nutriments.
  3. Son installation en masse entraîne des
    modifications importantes dans la structure et la
    composition des habitats envahis.
  4. Elle diminue la qualité des pâturages et ses
    feuilles très coupantes provoquent, sur le bétail
    mais aussi sur les personnes, des blessures qui
    ont tendance à senflammer.
  5. Labondant feuillage quelle produit est
    hautement inflammable et augmente le risque
    dincendie.

26
Opuntia spp. Oponces ou Figuiers de Barbarie
Ils sont originaires dAmérique Centrale.
UTILISATION EN CULTURE
  1. Les Oponces affectionnent les sols sableux,
    caillouteux, mais poussent sur tout type de
    terrain, sils ne sont pas humides.
  2. Ces arbustes des climats doux aiment les
    expositions ensoleillées et ne résistent pas au
    gel.
  3. Il sont utilisés pour lornement ou pour former
    des haies défensives.
  4. Ils sont également cultivés pour leurs fruits.
  5. Les fleurs sont pollinisées par les insectes. La
    consommation des fruits par les animaux ou les
    hommes permet la dissémination des graines.
  6. Les Oponces se multiplient très facilement par
    bouturage à partir de raquettes tombées à terre.
    Celles-ci peuvent également être entraînées lors
    dinondations et coloniser ainsi de nouveaux
    territoires

Nuisances
  1. Les Oponces entrent en compétition avec la flore
    autochtone, notamment dans les milieux rocheux,
    habitats de nombreuses espèces rares.
  2. Les formations denses quils forment gênent
    laccès et les déplacements des personnes et du
    bétail.

27
Se prémunir contre les plantes invasives, une
priorité pour le Liban
Face à ce fléau, des stratégies nationales de
prévention (législation, analyse de risques) et
de lutte active (lutte biologique par
lintroduction de prédateurs, lutte mécanique par
arrachage des plantes invasives ou encore lutte
chimique, en dernier recours) sont actuellement
développées par les pays. Notons que la gestion
de ces plantes devient dautant plus difficile
que leur expansion est avancée.
Un devoir légal
Un devoir moral et éthique
le Liban est signataire de la convention sur la
biodiversité (loi 360/1994)
28
Que faire ???
  • Lorsque les peuplements sont de faible densité,
    il est possible darracher ou de faucher les
    petits arbres et de couper les gros et les
    incinérer afin dempêcher la dissémination des
    graines.
  • Pour éviter les rejets, les souches doivent faire
    lobjet dattention. Il est nécessaire de les
    badigeonner dherbicides systémiques dans les
    quelques minutes qui suivent la coupe, ou de les
    recouvrir dun plastique noir puis de terre pour
    les priver de lumière.
  • Les semis, les plants provenant de drageons et
    les rejets pourront être arrachés en prenant soin
    de tirer toutes les racines et de les évacuer.
    Ces plants peuvent également être fauchés afin
    dépuiser leurs réserves, ou traités
    chimiquement.
  • Les sites ainsi traités doivent être revisités au
    moins une fois par an pendant plusieurs années.

29
Comment prévenir lintroduction de plante
invasive au Liban
30
le gouvernement, les institutions de recherche,
ONG
  • Pour
  • la prévention,
  • l'éradication
  • le contrôle de plantes invasive

Presser
De mettre en Å“uvre les meilleures pratiques
1
La gestion et le contrôle des plantes invasive et
limitent la dispersion et l'introduction de ces
espèces
Forger des lois
2
qui prennent en compte
  • Pour
  • lélaboration de listes de travail
  • la conception dune base de données pour stocker
    et restituer des informations bibliographiques et
    cartographiques

à partager expériences, compétences,
technologies et données
Encourager
les gestionnaires et les experts
3
Pour constituer un réseau dobservateurs et
Définir une méthode de relevé de linformation
sur le terrain
Pour Localiser les plantes en nature
les gestionnaires despaces naturels et les
botanistes amateurs
Mobiliser
4
  • Lhistorique de linvasion,
  • Les flux de plantes,
  • Les conditions écologiques, Lintérêt patrimonial
    de la zone et son usage,
  • Les objectifs de gestion.

Définir des méthodes de lutte
5
prenant en compte
31
Préparer des codes de conduite
Pour les groupes d'acteurs (du secteur public et
du secteur privé)
En prenant en compte, en adaptant et en
développant le cas échéant, les directives
existantes
6
Des programmes de prévention, de gestion et de
suivi, des recherches nécessaires et des études
économiques sur les plantes exotiques
envahissantes.
Augmenter les financements
7
pour permettre le développement
Pour gérer les plantes exotiques envahissantes
8
D'aménagement du territoire
Elaborer des outils
avec d'autre pays qui luttent contre les plantes
invasive
Pour l'élaboration et la distribution de
matériels destinés à la sensibilisation et à la
formation du grand public
9
Coopérer
Dans le cadre de programmes de contrôle biologique
10
Soutenir l'échange
Dinformations, de méthodologies et de personnels
Pour trouver des espèces de substitution
répondant aux besoins des consommateurs
Avec les organisations professionnelles
11
Collaborer
32
Permet de
Va conduire à
Va attirer
Ceci va donner, promouvoir et supporter
33
Sensibiliser pour éradiquer
34
Conclusion
35
(No Transcript)
36
Merci pour votre attention
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