Title: Ecole Hubert Reeves de Rochechouart
1Rallye citoyen
Cette sortie nous a permis de nous amuser et de
comprendre ce que c'est qu'être citoyen.
- Ecole Hubert Reeves de Rochechouart
2- Un enfant a été renversé par une voiture à la
sortie de lécole.
3Interview
-
- Nous Lorsquon appelle les secours,
que faut-il dire ? - Les pompiers Nom et numéro de téléphone. Où
sommes-nous ? Qui sommes-nous ? Expliquer ce qui
sest passé et ne surtout pas raccrocher avant
quon nous le dise. Parler et protéger la
personne. Ne pas la bouger. -
- Nous Qui est responsable de la sécurité
devant lécole ? - Le Maire La municipalité.
-
- Nous Un enfant a-t-il le droit de témoigner
? - Les gendarmes Oui, cest même un devoir.
-
- Nous Quel panneau trouve-t-on aux abords des
écoles ? Que signifie-t-il ? - La principale du collège et le directeur de
lécole Le panneau triangulaire. Attention,
sortie décole, ralentir. -
-
-
Pascaline et Natacha.
4Bande dessinée de Maxime et Grégory
5(No Transcript)
6(No Transcript)
7- Pour se venger dun problème qui a eu lieu dans
lécole ou le collège, deux élèves ont crevé les
pneus des vélos de leurs camarades et en ont
desserré les freins. (Les vélos étaient à
lextérieur du collège).
8Compte rendu
-
- En premier, nous sommes allés voir la principale
du collège. Nous lui avons posé des questions. - Ensuite, nous sommes allés rencontrer les
gendarmes qui nous ont dit que les parents
pouvaient payer des amendes. Les parents des
enfants de 13 à 16 ans peuvent aller en prison et
les enfants de 16 à 18 ans peuvent aller aussi en
prison, comme les adultes. - Nous sommes descendus à l'école primaire pour
poser des questions au directeur. Nous sommes
revenus à la salle du Temps Libre pour manger. - Nous sommes retournés à l'école pour discuter
avec l'Inspectrice de l'Education Nationale. - Nous sommes allés au Centre de long séjour voir
l' assistance sociale. Puis, nous sommes revenus
à la salle du temps libre. - Cette journée était très intéressante, nous
avons appris beaucoup de choses. - Quentin, Nicolas, Mélanie, Morgane
9- Les murs de lécole et le monument aux morts ont
été recouverts de peintures et de tags.
10 Pour résoudre cette situation, nous avons
rencontré un ancien combattant, Monsieur
Navaud, un responsable des services techniques
de la mairie, le secrétaire du sous-préfet, le
conseiller général, un directeur d'école et
des gendarmes. Nous avons appris que tagger un
monument aux morts est un manque de respect pour
les gens morts à la guerre et que c'est aussi un
délit et que l'on risque jusqu'à 30 000 euros
d'amende et 2 ans de prison. On nous a aussi dit
que ce sont les services techniques de la mairie
qui nettoient les tags. Cette sortie nous a
permis de nous amuser et de comprendre ce que
c'est qu'être citoyen.
François, Mélina, Quentin, Elisa.
11- Un enfant de lécole a eu un accident au cours de
lannée scolaire et devient handicapé en fauteuil
roulant. Il revient à lécole mais sa classe est
au premier étage et il ny a pas dascenseur.
12- Lundi 28 avril 2008
- Pour résoudre ce problème, nous avons interrogé
- M. Fages, conseiller général,
- M. Mérigalet, représentant de la MDPH,
- Mme Defaye, Inspectrice de l'Education Nationale,
- M. Rougier, maire de Rochechouart,
- Mme Delbos, principale du collège
- et des directeurs d'école.
- Comme le dit l'article 26 de la Déclaration des
droits de l'Homme et du Citoyen, toute
personne a droit à l'éducation . - Si un handicapé arrive à l'école, c'est à
l'école de s'adapter, et non pas à l'élève. La
loi sur lhandicap (2005) oblige les maires à
aménager un accès pour les handicapés dans les
écoles et le conseil général à faire la même
chose au collège. - A la suite de ces discussions, nous avons eu
plusieurs réponses - La première installer une rampe, mais ce n'est
pas rapide à installer et pour un 1er étage, ça
ne monte pas assez. - La deuxième installer un ascenseur, ce n'est
pas rapide à installer non plus et c'est cher. - La troisième (la meilleure) déplacer la classe
au rez-de-chaussée, on peut le faire du jour au
lendemain et ça ne coûte rien. -
Thibaut, Axelle, Dylan et Franck
13(No Transcript)
14- Une usine a pollué
- la rivière.
15Lécolier.
- Mai 2002
- Le journal des
éco-citoyens -
CM2 -
Ecole de
Rochechouart. - Numéro 16
- Prix 2 euros.
- ______________________________________________
- Pollution de la
Barbette. -
- Le lundi 26 mai 2002, la Barbette a été polluée
par les produits chimiques dune usine voisine. - Des pêcheurs ont vu des poissons flotter dans
leau. Ils ont averti la mairie, la
sous-préfecture et la gendarmerie. Ils ont
constaté que cétait lusine voisine qui avait
pollué la Barbette. Les pompiers sont tout de
suite intervenus pour mettre en place un barrage
flottant qui évitera que la pollution sétale.
Des gendarmes et le sous-préfet ont expliqué
quils risquaient une amende, de la prison et
quils devaient réparer les dégâts. Le maire a
rassuré les habitants de la commune en leur
annonçant que tout était maîtrisé. Le PNR a aussi
aidé pour les mesures de précautions. - Adrien,
Steven, Alexis et Benoît.
16- Dans mon école, pendant les récréations, des
élèves jouent au football. Il y a souvent un
manque de respect bousculades, injures,
conflits.
17Recette du jour Le gâteau du respect
- 1) Ingrédients
- - Une bonne dose de calme,
- - Du respect,
- - De la politesse,
- - Du courage et de la volonté.
- 2) Si on te manque de respect, tu dois
- - Rester calme
- - Essayer de calmer ton interlocuteur,
- - Respecter les règles de vie,
- - Appeler un responsable adulte.
- 3) Tu ne dois pas
- - Frapper en retour,
- - Rajouter des problèmes,
- - Violer les droits de lenfant.
- - Les conséquences, elles peuvent être des
blessures, les gens se battent - 4) Si tu assistes à un manque de respect, tu dois
18- Un enfant ne vient plus à la cantine depuis
trois semaines ses parents ne peuvent plus
payer les repas.
19Rallye Citoyen
- Nous sommes allés à la maison du Temps Libre le
28 avril 2008, pour participer au Rallye Citoyen,
on nous a donné un papier où il y avait une
situation Un enfant ne vient plus à la
cantine depuis trois semaines ses parents ne
peuvent plus payer les repas. Nous avons mené une
enquête durant une journée. - Nous sommes allés, dabord voir le responsable
du restaurant scolaire. On lui a demandé le prix
dun ticket, il nous a répondu que cétait 1,90
dans notre commune, il nous a dit quelques
solutions si jamais les parents ne pouvaient pas
payer. - La gestionnaire du collège
- Nous avons rencontré la gestionnaire du collège.
Nous lui avons demandé les tarifs de cantine de
chaque trimestre. Les tarifs sont décidés par le
Conseil Général. Si les parents ont des problèmes
dargent, lassistante sociale peut les aider à
payer une partie du tarif. - Lassistante sociale
- Lassistante sociale nous a parlé du RMI (Revenu
Minimun Insertion) qui donne de largent chaque
mois aux gens en difficulté. - Le C.C.A.S.
- Valérie FILLOUX et Hélène TRICARD (maire adjoint)
elles se chargent du CCAS. - Le CCAS est un établissement public communal. Il
est géré par un conseil dadministration. Madame
FILLOUX conseille les gens pour aller vers
lassistante sociale. - Le secours populaire
- Nous avons rencontré les personnes du secours
populaire qui est une association caritative. Il
donne des aides alimentaires, des jouets de Noël,
les vêtements, des soins - Cela peut donc aider les parents.
- Nous sommes contents davoir participé au Rallye
Citoyen qui nous permettra de résoudre des
problèmes qui peuvent se passer dans notre vie. - Blanche, Romain, Tristan, Charlène
20- Un enfant arrive à lécole après lincendie de sa
maison durant la nuit. - Toute la famille est sauve mais ne possède plus
rien.
21Qui pourrait laider ?
Le secours populaire (association caritative)
donne des vêtements, de la nourriture.
Lécole primaire fournit le matériel scolaire.
Le centre communal daction sociale (CCAS) peut
trouver un logement durgence (le gîte
communal). Il peut aider à remplir les papiers
dassurance, dimpôts Il oriente la famille vers
les associations daide.
Lassistante sociale peut, elle aussi, aider à
remplir les papiers. Elle peut aider les victimes
à parler et sils ne peuvent pas parler, ils
peuvent aller voir un psychologue. Elle aide les
gens à faire des dossiers pour une nouvelle
maison.
Eleanor, Benjamin, Lisa et Romain
22- Un SDF sest installé depuis quelques jours près
de lécole. Il semble avoir des problèmes
déquipement (habits, protection contre les
intempéries) et être en mauvaise santé.
23Rallye citoyen.Un SDF en difficulté.
- Le lundi 28 avril, à Rochechouart, nous sommes
partis faire un rallye citoyen avec plusieurs
écoles. - Chaque groupe avait une situation différente.
Voici la nôtre - Situation 12
- Un SDF sest installé depuis quelques jours près
de lécole. Il semble avoir des problèmes
déquipement (habits, protection contre les
intempéries) et être en mauvaise santé. - Dabord on est allé voir lassistante sociale
pour linterroger sur notre situation. - Ensuite, nous sommes allés rencontrer le
Conseiller Général. - Nous sommes revenus à la maison du temps libre
pour manger. - Après ça, nous nous sommes rendus à la mairie
discuter avec les personnes du Secours populaire. - En dernier, nous avons rencontré les gendarmes.
- Lassistante sociale peut permettre au SDF de
trouver un logement provisoire. - Le conseiller général a expliqué que le SDF
pouvait avoir le RMI (revenu minimum
dinsertion). Cest le Conseil Général qui sen
occupe. - Le secours populaire est une association
caritative, elle peut lui proposer des habits et
de la nourriture. - Les gendarmes protègent le SDF.
- Cette journée nous a appris comment il faut
faire si on rencontre un SDF en difficulté.
Cétait intéressant. -
Kevin et Alexandre.
24 - Les S.D.F. (sans domicile fixe), aidons les !
- Lundi 28 Avril 2008, un S.D.F. sest
installé près dune école. - Nous sommes allés nous renseigner auprès de l
assistante sociale au Centre de long séjour, Mme
Gaulier. Cette dame nous a montré un dépliant sur
le R.M.I (revenu minimum dinsertion). - Nous sommes allés voir aussi le conseiller
général, Mr Fages qui nous a informés sur toutes
les associations. - Nous sommes revenus à la maison du Temps
Libre pour déjeuner. - Et puis, nous sommes allés voir Nathalie
Allard qui fait partie du Secours Populaire. - Nous avons terminé la journée avec les
gendarmes. Cette journée était très amusante. - Les solutions
-
- - Leur proposer daller dans un local S.D.F.
- - Leur donner un bon dachat dune valeur
de 10 pour acheter de la nourriture. - - Donner des habits trop petits ou quon
ne met plus au Secours Populaire, les SDF
pourront shabiller. - - Lui dire bonjour et parler avec lui, le
considérer comme les autres. -
Arnaud, Lydéric
25Les SDF
- Robin Ellie Amélie Guillaume Amandine
- Un SDF, cest une personne qui vit dans la
rue et qui na plus de famille et dargent. - Il y a des personnes pour les aider et le R.M.I.
(revenu minimum d'insertion)? -
26(No Transcript)
27- Un élève de ma classe ne vient plus à lécole
depuis une semaine. On sait quil nest pas
malade parce quon la vu jouer dehors.
28Lécolier.
- Mai 2002
- Le journal des éco-citoyens
-
CM2 -
Ecole de
Rochechouart - Numéro 17
- Prix 2 euros.
- --------------------------------------------------
---------------- -
- Un manque déducation ?
-
- Le 22 mai 2002, la gendarmerie sest rendue au
domicile dun enfant qui nest pas venu à lécole
depuis une semaine, il était donc recherché. - Etienne F. nest pas venu à lécole, ses
camarades layant vu dehors, il nétait sans
doute pas malade. Le directeur prévenu a contacté
les parents qui nont donné aucune réponse. Il a
appelé alors lInspecteur dacadémie qui, lui, a
prévenu les gendarmes et lassistante sociale. On
pensait quil faisait lécole buissonnière. Les
gendarmes sont allés au domicile de lenfant afin
dinterroger les parents. En effet,
lenseignement est obligatoire de 6 à 16 ans.
LInspectrice de léducation nationale va essayer
de rencontrer la famille. Elle va aussi aider le
directeur à faire revenir lenfant à lécole. Si
les parents savaient que lenfant nétait pas à
lécole, et nont rien dit, ils risquent alors
que leur enfant soit confié à une famille
daccueil afin de mieux léduquer. Lenquête se
poursuit. - Benjamin A., Damien S., Manon T., Sarah
M.,Amandine L.,Anthony M., Karine S.,
Angélique V., Benjamin L.