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Logique floue exercices corrig s et exemples d'applications ', B. Bouchon ... Fuzzy sets, uncertainty and information ', G. Klir and T. Folger, Prentice Hall ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Pr


1
Présentation du cours
  • Théorie
  • Bases de la théorie des sous-ensembles flous
  • Pratique
  • Utiliser la théorie (exercices)
  • Applications FisPro

2
Bibliographie
  • La logique floue , B. Bouchon-Meunier,
    Que-sais-je? PUF, N 2702.
  • Logique floue exercices corrigés et exemples
    d'applications , B. Bouchon-Meunier, L. Foulloy
    et M. Ramdani, Cépaduès éd., 1998.
  • La logique floue et ses applications , B.
    Bouchon-Meunier, Addison Wesley éd., 1995
  • Fuzzy sets, uncertainty and information , G.
    Klir and T. Folger, Prentice Hall ed., 1988.

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Plan du cours
  • Introduction
  • Présentation du cours
  • Définitions de base
  • Sous-ensemble flou (sef)
  • Caractéristiques de sef
  • Opérations sur les sefs
  • Quelques applications commerciales de la logique
    floue

4
Introduction
  • L'imprécision du monde réel
  • Le flou est partout
  • Le flou est humain
  • Le flou est plus souple
  • Théorie des sous-ensembles flous
  • mesurer une gradation dans l'appartenance à un
    ensemble
  • Une théorie mathématique formelle pour la prise
    en compte de l'imprécision et des incertitudes
  • Article fondateur  Fuzzy Sets , L. A. Zadeh,
    in Information and Control, 1965.

5
Historique
  • 1965 Théorie des ensembles flou introduite par
    L.A. Zadeh (UC Berkeley)
  • En 1973, le Pr. Zadeh publie un article (dans
    l'IEEE Transactions on Systems, Man and
    Cybernetics) qui mentionne pour la première fois
    le terme de variables linguistiques (dont la
    valeur est un mot et non un nombre).
  • En 1974, Mamdani (Université de Londres) réalise
    un contrôleur flou expérimental sur un moteur à
    vapeur.
  • En 1980, F.L. Smidth Co. A/S (au Danemark) met
    en application la théorie de la logique floue
    dans le contrôle de fours à ciment. C'est la
    première mise en oeuvre pratique de cette
    nouvelle théorie.
  • Dans les années 80, plusieurs applications
    commencent à immerger (notamment au Japon).
  • En 1987,  explosion du flou  au Japon (avec le
    contrôle du métro de Sendaï) et qui atteint son
    apogée en 1990 (fuzzymania).
  • Aujourd'hui, une vaste gamme de nouveaux produits
    ont une étiquette produit flou (Fuzzy).

6
Gestion des imprécisions - Approche
conventionnelle
  • Dissoudre le flou puis traiter des données
    précises
  • informations floues ? informations précises
  • ? part importante d'arbitraire
  • analyse de la sensibilité indispensable
  • plusieurs jeux de données traités un par un
  • comparaison des résultats

7
Gestion des imprécisions - Approche floue
  • Traiter des données floues puis dissoudre le flou
  • Garder le flou comme une information
  • Reporter la dissolution du flou le plus tard
    possible et sur la décision uniquement
  • Accroissement de la fiabilité et de la stabilité
    du système

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Gestion des imprécisions
  • Théorie des ensembles flous introduite par Lotfi
    Zadeh en 1965.
  • Modèle mathématique pour représenter
    l'imprécision et l'incertitude.
  • Idée des ensembles flous facile à comprendre
  • Freine dans 32m50
  • ou
  • Freine bientôt
  • La précision n'est pas toujours utile.
  • Capable d'interpréter des informations imprécises
    et d'agir.

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Ensembles classiques / Ensembles flous
  • ensemble classique ensemble des objets
    satisfaisant des propriétés précises
  • Exemple ensemble des nombres compris entre 6
    et 8
  • fonction caractéristique m R ? 0,
    1
  • m(x) 1 si 6 ? x ? 8
  • 0 sinon.
  • ensemble flou ensemble des objets satisfaisant
    des propriétés imprécises
  • Exemple ensemble des nombres proches de 7
  • fonction d'appartenance ?? X ? 0,
    1
  • ??(x) pas unique.
  • différence majeure unicité fonction
    caractéristique / infinité fonction d'appartenance

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Théorie des sous-ensembles flous
11
Théorie des sous-ensembles flous
  • Infinité de fonctions d'appartenance possibles
  • flexibilité, ajustement maximal pour une
    situation donnée
  • Ensemble flou toujours et seulement des
    fonctions
  • Toute fonction ????X ? 0, 1 est un ensemble
    flou dans le sens mathématique. D'un point de vue
    sémantique, il faut qu'une telle fonction soit
    interprétable à l'aide de propriétés imprécises
    décrivant les éléments de X.

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Probabilité / Flou
ensembles flous déguisement pour les
statistiques ? NON
B
A
???????????
p(B) 0.9
Quelle bouteille boirez-vous ?
13
Probabilité / Flou
  • A contient par exemple de l'eau vaseuse, pas de
    l'acide chlorydrique.
  • A est proche d'un liquide tout à fait potable.
  • Sur 100 bouteilles B, 90 sont potables, 10 sont
    dégoûtantes voire fatales.
  • Il vaut mieux boire de l'eau vaseuse que de
    prendre le risque de mourir.
  • 2 philosophies différentes

14
La théorie des sous-ensembles flous
  • Une extension de la théorie des ensembles
    classiques
  • Une théorie plus générale qui englobe la théorie
    des ensembles classiques
  • La théorie des ensembles classiques est un cas
    particulier
  • Des choix sont à faire pour conserver certaines
    des propriétés existantes dans la théorie des
    ensembles classiques
  • Toutes les propriétés ne peuvent pas être
    conservées en même temps
  • La logique floue application de la théorie des
    sous-ensembles flous pour la modélisation du
    raisonnement
  • Extension de la logique classique
  • La commande floue utilisation de la logique
    floue pour le contrôle de systèmes automatiques
  • Cas particulier de la logique floue

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Exemples de sous-ensembles flous
  • Xmoto,auto,train (moyens de transport)
  • A sous-ensemble de X des moyens de transport
    rapides
  • A 0.7 / moto 0,5 / auto 1.0 / train
  • X0, 130 (ensemble des âges)
  • A sous-ensemble de X des âges jeunes

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Fonctions dappartenance
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Caractéristiques d'un sef
  • Soit X un univers, et A un sous-ensemble flou de
    fonction d'appartenance fA.
  • Noyau de A
  • Noy(A) x ? X fA(x)1
  • Support de A
  • Supp(A) x ? X fA(x)gt0
  • Hauteur de A
  • h(A) supx ? X fA(x)
  • Cardinalité de A
  • A ?x ? X fA(x)

18
Support dun sef
19
Noyau dun sef
20
Opérations sur les sefs (1)
  • Extension des opérations de la théorie des
    ensembles classiques , ?, ?, ?, complément
  • Soient A et B deux sefs de X, de f.d'a. fA et
    fB.
  • Égalité de sefs
  • A B ssi ?x ? X, fA (x) fB(x)
  • Inclusion de sefs
  • A ? B ssi ?x ? X, fA (x) lt fB(x)
  • Intersection de sefs A ? B
  • ?x ? X, fAn B (x) min(fA (x), fB(x))
  • Union de sefs A ? B
  • ?x ? X, fA ? B (x) max(fA (x), fB(x))

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Opérations sur les sefs (2)
  • Certaines propriétés de la théorie des ensembles
    classiques sont vérifiées (à faire en exercice)
  • A UØ A, A n Ø Ø, A U X X, A n X A
  • Associativité de n et de U
  • (A U B) U C A U(B U C)
  • Commutativité de n et de U
  • AnB BnA
  • Distributivité de n par rapport à U
  • An(B U C) (AnB) U(AnC)
  • A U(BnC) (A U B)n(A U C)

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Opérations sur les sefs (3)
  • Complément Ac d'un sous-ensemble flou
  • ?x ? X, fAc (x) 1 fA(x)
  • Certaines propriétés de la théorie des ensembles
    classiques sont vérifiées (à faire en exercice)
  • (Ac)c A
  • (AnB)c Ac U Bc
  • (A U B)c Ac n Bc
  • D'autres propriétés ne le sont pas
    (généralement)
  • Ac nA ?Ø (contradiction)
  • Ac U A ? X (tiers exclu).

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Opérations sur les sefs (4)
  • Autres extensions des opérations de la théorie
    des ensembles classiques n et U
  • Ces opérations sont en fait des fonctions
    mathématiques F0,10,1 ? 0,1 telle que ?x,
    y, F(x,y) ? 0,1.
  • L'intersection peut être réalisée en prenant
    comme opérateur une t-norme (opérateur ET)
  • L'union peut être réalisée en prenant comme
    opérateur une t-conorme (opérateur OU)

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Opérations sur les sefs (5)
  • Justification des choix des opérateurs
  • Les opérateurs min et max sont les seuls
    opérateurs qui soient commutatifs, associatifs,
    mutuellement distributifs, continus et doublement
    non décroissants
  • D'autres opérateurs sont possibles
  • conjonction normes triangulaires (t-normes)
  • disjonction conormes triangulaires (t-conormes)
  • Propriétés communes associativité,
    commutativité, monotonie, élément neutre.

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Normes triangulaires (t-normes)
  • Soit une fonction ?0,10,1 ? 0,1 telle que
    ?x, y, z ? 0,1
  • ?(x,y) ?(y,x) (commutativité)
  • ?(x, ?(y,z)) ?( ?(x,y),z) (associativité)
  • ?(x,y)? ?(z,t) si x ? z et y ? t (monotonie)
  • ?(x,1) x (1 est élément neutre)
  • Exemples de telles fonctions
  • min(x,y), xy, max(xy-1,0)
  • ? est une t-norme
  • Utilisée pour l'intersection ou la conjonction

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Normes triangulaires (t-conormes)
  • Soit une fonction ?0,10,1 ? 0,1 telle que
    ?x, y, z ? 0,1
  • ?(x,y) ?(y,x) (commutativité)
  • ?(x, ?(y,z)) ?(?(x,y), z) (associativité)
  • ?(x,y) ? ?(z,t) si x ? z et y ? t (monotonie)
  • ?(x,0) x (0 est élément neutre)
  • Exemples de telle fonction
  • max(x,y), xy-xy, min(xy,1)
  • ? est une t-conorme
  • Utilisée pour l'union

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Dualité t-norme / t-conorme
  • Le choix d'une t-norme et celui d'une t-conorme
    est lié
  • Etant donné un opérateur de complémentation
  • par exemple fc 1-f
  • Déf. Une t-norme et une t-conorme sont duales si
    et seulement si
  • 1 ?(x,y) ?(1-x, 1-y)
  • 1 ?(x,y) ?(1-x, 1-y)
  • En termes de sous-ensembles, la dualité permet de
    conserver les lois de De Morgan
  • Ainsi, par exemple, le min et le max sont duaux
  • on a 1 min(x,y) max(1-x, 1-y) ainsi que 1
    max(x,y) min(1-x, 1-y)
  • On montre que (à faire en exercice)
  • les opérateurs probabilistes sont duaux
  • les opérateurs de Lukasiewicz sont duaux

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Comparaison des normes de Zadeh et des normes
probabilistes
29
Exemples
  • Xmoto,auto,train (moyens de transport)
  • Transport rapide A 0.7 / moto 0,5 / auto
    1.0 / train
  • Transport familial B 0.1 / moto 1.0 / auto
    0.6 / train
  • X0, 130 (ensemble des âges)

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Caractéristiques d'un sef (2) ?-coupes
  • Une ?-coupe (alpha-coupe) d'un sef A est un
    sous-ensemble classique A? extrait du sef A,
    défini en fonction d'un seuil ? ? 0,1 fixé
  • soit ? ? 0,1, ? x ? X, x ? A? si et seulement
    si fA(x) ??
  • A? est un sous-ensemble classique de X. (fA?
    prend ses valeurs dans 0,1).
  • On vérifie que (à faire en exercice)
  • Si ? gt ? ' alors A? ? A?' et si B ? A alors B?
    ? A?
  • (A n B)? A? n B ?, et (A ? B) ? A ? ? B ?
  • ? x ? X, fA(x) sup??0,1 ? f?(x) (i.e. on
    peut reconstruire A à partir de ses ?-coupes).

31
?-coupes dun sef
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Relations entre sous-ensembles flous
  • Relation notion fondamentale des mathématiques
    classiques
  • Basée sur le produit cartésien d'ensembles
  • Les relations établissent des liens entre
    éléments
  • soit d'un même ensemble
  • soit d'ensembles différents
  • Elles permettent de construire des applications
  • une application est une relation particulière

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Produit cartésien de sefs
  • Cas où l'on désire combiner l'information venant
    de plusieurs ensembles de référence
  • Soit X1 et X2, deux univers de référence et X
    leur produit cartésien (classique), XX1X2, dont
    les éléments sont les couples (x1,x2), x1?X1 et
    x2?X2
  • Déf. Soient A1 et A2 respectivement définis sur
    X1 et X2, on définit le produit cartésien
    AA1A2 comme un sef de X, de fonction
    d'appartenance
  • ?x ? X, x(x1,x2), fA(x)min( fA1(x1), fA2(x2) )

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Produit cartésien
x2
(x2 , x1)
A2
x1
X1
A1
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Exemple d'application du produit cartésien
  • X1moto,auto,train (moyens de transport)
  • Transport rapide
  • A1 0.7 / moto 0,5 / auto 1.0 / train
  • X2pasCher, cher (prix)
  • Prix souhaité
  • A2 0.7 / pasCher 0.4 / cher
  • Donnez la fonction d'appartenance du produit
    cartésien (transport rapide, prix souhaité)

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Relations floues
  • Une relation floue R entre 2 ensembles de
    références X et Y, est un sous-ensemble flou de
    XxY de fonction d'appartenance fR
  • Si X et Y sont finis, R peut être représentée par
    la matrice M(R) des valeurs de sa fonction
    d'appartenance
  • Exemple la relation est préféré à sur XxX
    avec XTrain, Voiture, Moto, Avion
  • La composition de 2 relations floues R1 sur XxY
    et R2 sur YxZ définit une relation floue RR1 R2
    sur XxZ de f.a. définie par
  • ?(x,z)? XxZ, fR(x,z) sup y ? Y min(fR1(x,y),
    fR2(y,z))

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Relation floue transitive
  • Transitivité propriété très utilisée pour des
    relations
  • si A ressemble à B, et que B ressemble à C, alors
    est-ce que A ressemble à C ?
  • si x lt y et que y lt z alors x lt z
  • Une relation floue R sur X est dite transitive si
    elle vérifie R?R ? R.
  • En particulier, si on utilise la composition
    max-min, on dira que la relation floue R est
    max-min transitive si
  • ?(x,z)? XxZ, fR(x,z) ? sup y ? Y min(fR(x,y),
    fR(y,z))

38
Principe d'extension (1)
  • Principe d'extension utilisé pour étendre une
    fonction classique aux sefs.

39
Entrée précise
40
Entrée floue
41
Principe d'extension (2)
  • Idée possédant une fonction sur un univers
    classique X, permettre son utilisation avec des
    sefs de X.
  • Définition Étant donné un sef A de X, et une
    application ? de X vers Y, le principe
    d'extension permet de définir un sef B de Y
    associé à A par ?
  • ?y?Y, fB(y) supx ? X y ?(x)fA(x) si
    ?-1(y)?Ø 0 sinon
  • Le sef B est l'image du sef A par la fonction ?.

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Exemple d'application du principe d'extension (1)
  • Xcamion, caravane, voiture, moto (moyens de
    transport)
  • YRapide, Lente, Normale (mesures des vitesses)
  • On définit la fonction ? qui associe une vitesse
    à un moyen de transport
  • ?(camion)L, ?(caravane)L, ?(voiture)N,
    ?(moto)R
  • Nouveau véhicule side-car 0.5moto
    0.4voiture 0.1caravane
  • Mesure de la vitesse d'un side-car?
  • fB(L) max(fsc(camion),fsc(caravane))max(0,
    0.1) 0.1
  • fB(N) fsc(voiture) 0.4
  • fB(R) fsc(moto) 0.5

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Exemples d'application du principe d'extension (2)
  • Fonction mathématique classique ?(x) x2
  • A un sef de 0,1 de f. a. fA, le sef B de 0,1
    de f.a. fB qui correspond à la A2.
  • ?y ?Y, fB(y) supx ? X yx2 fA(x) si
    ?-1(y)?Ø 0 sinon
  • Mesure de surprise ?(p) -log(p)
  • A un sef de 0,1 de f. a. fA, le sef B de 0,1
    de f.a. fB qui correspond à la valeur floue de
    surprise causée par A.
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