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Champs micro-ondes et sant

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Exemple : ensemble des valeurs de temp rature en tout point d'un local ... Actuellement : pas d montr que exposition r p t e micro-ondes faible niveau ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Champs micro-ondes et sant


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Champs micro-ondes et santé
Congrès des Sciences Louvain-la-Neuve Août 2006
  • AndrĂ© VANDER VORST
  • HyperfrĂ©quences UCL
  • MiC6 s.a.

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Présentation
  • 1. Introduction
  • 2. MĂ©canismes dinteraction
  • 3. Effets biologiques
  • 4. ApprĂ©hensions
  • 5. Conclusions

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2. MĂ©canismes dinteraction
  • 2.1 Champs, puissance, frĂ©quence, longueur
    donde, Ă©nergie
  • 2.2 BioĂ©lectricitĂ©
  • 2.3 CaractĂ©risation des tissus biologiques
  • 2.4 Thermodynamique

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2.1 Champs, puissance, fréquence,longueur
donde, Ă©nergie
  • Champ distribution spatiale d'une grandeur
    physique
  • Exemple ensemble des valeurs de tempĂ©rature en
    tout point d'un local
  • Ce champ est dit champ scalaire la tempĂ©rature
    est définie par un nombre et un seul, ce qui est
    propre aux grandeurs scalaires
  • Champ Ă©lectrique, magnĂ©tique ou
    électromagnétique, selon cas
  • Expressions non interchangeables les trois
    grandeurs sont différentes
  • Dans les trois cas champ vectoriel, dĂ©fini par
    deux nombres indispensables, grandeur et direction

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  • ProximitĂ© pile ou batterie champ Ă©lectrique
  • ProximitĂ© aimant permanent ou fil conduisant
    courant continu champ magnétique
  • ProximitĂ© ligne de distribution Ă©nergie
    Ă©lectrique on parlera surtout mais non
    exclusivement de champ magnétique
  • Continu et basse frĂ©quence champs Ă©lectrique et
    magnétique peuvent être traités séparément,
    aucune puissance associée
  • FrĂ©quence Ă©levĂ©e, notamment frĂ©quences dites
    radio et micro-ondes, on doit parler de champ
    électromagnétique champ électrique n'existe pas
    sans champ magnétique et réciproquement
  • Au produit de ces deux champs est nĂ©cessairement
    associée une densité de puissance
    électromagnétique
  • Champs donde Ă©lectromagnĂ©tique, se propageant
    dans l'espace
  • celle-ci peut donc transporter puissance Ă 
    distance

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(No Transcript)
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  • Autre caractĂ©risation longueur d'onde
  • Produit longueur donde par frĂ©quence constante
  • longueur d'onde d'autant plus petite que
    fréquence élevée
  • Cette constante vitesse de phase dans milieu
    considéré
  • diffère daprès milieu dans lequel se propage
    londe
  • Vide appelĂ©e vitesse de la lumière, 300.000
    km/s
  • longueur d'onde dans vide
  • 6.000 km Ă  50 Hz
  • 3 m Ă  100 MHz
  • 33.3 cm Ă  900 MHz
  • 12.25 cm Ă  2.45 GHz
  • 3 cm Ă  10 GHz
  • 3 mm Ă  100 GHz
  • Autres matĂ©riaux bĂ©ton, mur de brique, corps
    humain,
  • vitesse presque toujours plus petite
  • Ă€ frĂ©quence donnĂ©e
  • longueur d'onde plus petite notamment dans corps
    humain

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  • Énergie associĂ©e Ă  onde plus Ă©levĂ©e si
    fréquence plus élevée
  • Rayonnements ionisants frĂ©quences les plus
    élevées, supérieures à celles du visible, telles
    que rayons X
  • Rayonnements non ionisants frĂ©quences plus
    basses, notamment ondes radio, micro-ondes,
    infrarouge, visible
  • Micro-ondes (microwaves) ou hyperfrĂ©quences non
    ionisantes
  • frĂ©quences 100 MHz Ă  300 GHz (jusquĂ  1 THz)
  • longueurs d'onde 3 m Ă  1 mm vide (jusquĂ  0.3
    mm)
  • Micro-ondes longueurs d'onde du mĂŞme ordre de
    grandeur que dimension objets couramment utilisés
  • mètre, dĂ©cimètre, centimètre, millimètre
  • Pour cette raison
  • thĂ©ories, techniques et mĂ©thodes de mesure
    particulières
  • Pour cette raison aussi
  • interrogation Ă  propos d'effets particuliers,
    notamment biologiques

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2.2 Bioélectricité
  • Interaction micro-ondes - tissus biologiques,
    trois mécanismes 
  • 1. pĂ©nĂ©tration onde et propagation dans système
  • 2. interaction primaire onde avec tissus
    biologiques
  • 3. effets secondaires induits par interaction
    primaire
  • RĂ©sultats influencĂ©s par rĂ©action du système
    vivant
  • Systèmes vivants capacitĂ© compenser effets
    dinfluences externes
  • Compensation physiologique
  • effort imposĂ© par facteur externe entièrement
    compensé
  • organisme peut fonctionner normalement
  • Compensation pathologique
  • effort imposĂ© induit perturbations dans fonctions
    de lorganisme
  • altĂ©rations structurelles peuvent mĂŞme apparaĂ®tre

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  • Source extĂ©rieure Ă©lectromagnĂ©tique
  • partie Ă©nergie incidente absorbĂ©e et
    transformée dans système
  • Donc il faut Ă©tudier sĂ©quence source
    rayonnement récepteur
  • Lois physiques Ă©lectromagnĂ©tisme pour Ă©tudier
    et expliquer
  • thĂ©orie des champs, rĂ©flexion, diffraction,
    dispersion, interférence, optique, effets
    quantiques
  • MĂ©canismes bioĂ©lectriques naturels
  • responsables fonctionnement nerfs et muscles
  • Courants Ă©lectriques appliquĂ©s extĂ©rieurement
  • peuvent exciter cellules de nerfs et muscles
  • Système nerveux transmission rapide
    dinformation Ă  travers corps, sous forme de
    signaux Ă©lectriques
  • DivisĂ© entre système nerveux central et nerveux
    périphérique
  • central formĂ© cerveau et moelle Ă©pinière
  • pĂ©riphĂ©rique formĂ© des
  • neurones affĂ©rents information vers central
  • neurones effĂ©rents information du central
    vers corps

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  • Système effĂ©rent divisĂ© entre somatique et
    autonome
  • Autonome formĂ© de neurones conduisent
    impulsions vers tissus musculaires (cœur),
    glandes
  • en gĂ©nĂ©ral considĂ©rĂ© comme non conscient
  • divisĂ© sympathique et parasympathique
  • contrĂ´lent effets opposĂ©s dans organes variĂ©s
  • en gĂ©nĂ©ral considĂ©rĂ©s comme antagonistes
  • sympathique tend Ă  mobiliser en cas durgence
  • exemple sĂ©crĂ©tion dadrĂ©naline
  • parasympathique concernĂ© par fonctions
    végétatives exemple digestion
  • Niveaux de stimulation des nerfs gĂ©nĂ©ralement de
    beaucoup inférieurs à ceux nécessités par
    stimulation directe du muscle

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  • Toutes cellules vivantes prĂ©sentent phĂ©nomènes
    bioélectriques
  • Seule variĂ©tĂ© rĂ©duite prĂ©sente variations de
    potentiel Ă©lectrique
  • rĂ©vèlent leur fonction physiologique
  • on en dĂ©duit enregistrements bioĂ©lectriques par
    Ă©lectrodes
  • Ă©lectrocardiogramme (cĹ“ur)
  • Ă©lectromyogramme (muscle)
  • Ă©lectroencĂ©phalogramme (cerveau)
  • magnĂ©toencĂ©phalogramme (cerveau)
  • BioĂ©lectricitĂ© rĂ´le fondamental dans organismes
    vivants
  • utilitĂ© clinique
  • tension Ă©lectrique extĂ©rieure reconstitue os
    et cartilages
  • courant Ă©lectrique reconstitue tissus mous
  • et peut-ĂŞtre fibres nerveuses sectionnĂ©es
  • Prendre sĂ©rieusement en considĂ©ration
  • applications mĂ©dicales micro-ondes
  • effets pathogènes Ă©ventuels sur ĂŞtres humains
    et animaux

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2.3 Caractérisation des tissus biologiques
  • Ionisation "arracher  Ă©lectron dun des atomes
    constituants
  • profondes modifications chimiques
  • exemple rayons X
  • RadiofrĂ©quences et micro-ondes, mĂŞme
    millimétriques
  • rayonnement non ionisant
  • Ă©nergie de londe insuffisante pour arracher
    Ă©lectrons
  • PhĂ©nomènes produits requièrent moins dĂ©nergie
    que ionisation
  • dĂ©polarisation des matĂ©riaux
  • Parmi ceux-ci, seul effet bien connu chauffage

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  • Corps humain presque exclusivement diĂ©lectrique
  • CaractĂ©risation classique des matĂ©riaux
    diélectriques
  • suppose matĂ©riau de dimensions infinies
  • pas suffisant pour organisme vivant hĂ©tĂ©rogène
    !
  • suppose aussi sollicitation extĂ©rieure limitĂ©e
    linéarité !
  • macroscopique, ne sapplique pas aux systèmes
    moléculaires
  • Trois mĂ©canismes principalement responsables
  • orientation du dipĂ´le diĂ©lectrique
  • polarisation aux interfaces sĂ©parant matĂ©riaux
    différents diffusion dions
  • ThĂ©orie classique sapplique mal aux liquides,
    donc Ă  leau
  • organisme vivant essentiellement constituĂ©
    deau !
  • pertes diĂ©lectriques micro-ondes
  • dues Ă  relaxation dipolaire eau contenue dans
    les tissus !
  • PrĂ©sence de charges aux interfaces diffusion
    dions
  • particules chargĂ©es
  • appelĂ©e effets de contre-ions
  • Effets apparaissant principalement aux très
    basses fréquences
  • non aux micro-ondes

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  • Effets diĂ©lectriques caractĂ©risĂ©s par
    permittivité
  • plus particulièrement permittivitĂ© relative
  • compare la permittivitĂ© dun matĂ©riau Ă  celle
    du vide
  • PermittivitĂ© relative tissu vivant grande Ă  très
    basse fréquence
  • 1 Ă  10 millions Ă  50 Hz, effet contre-ion
  • PermittivitĂ© relative Ă©levĂ©e aux
    radiofréquences
  • sang Ă  3 MHz environ 2.000
  • Micro-ondes permittivitĂ© relative celle de
    leau
  • dĂ©croĂ®t denviron 80 Ă  partir de 0.5-1 GHz
  • vaut quelques unitĂ©s aux frĂ©quences
    millimétriques élevées

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2.4 Thermodynamique
  • LĂ©lectromagnĂ©tisme ne constitue quune manière
    de caractériser un tissu biologique
  • Dautres disciplines sont nĂ©cessaires Ă  cet
    effet, par exemple en ce qui concerne propriétés
    thermiques et propriétés mécaniques
  • Il y a donc lieu de dĂ©finir formes dĂ©nergie
    autres que Ă©m
  • En particulier faire intervenir
    thermodynamique

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  • ThĂ©orie classique de la thermodynamique
  • Traite des propriĂ©tĂ©s moyennes de systèmes
  • contenant grand nombre de particules
  • Évite description de mouvements individuels de
    celles-ci
  • Pas de connexion avec structure gĂ©omĂ©trique du
    système
  • Ignore mĂ©canismes internes
  • Ne connaĂ®t que quatre paramètres
  • volume, pression, tempĂ©rature et entropie
  • Considère interaction du système avec son
    environnement
  • Considère entropie et Ă©nergie Ă  entrĂ©e et sortie
    du système
  • Ne traite quavec trois types de systèmes
  • 1. isolĂ© aucun Ă©change avec environnement
  • 2. fermĂ© Ă©change dĂ©nergie avec environnement
  • peut ĂŞtre le cas de systèmes luminescents
  • 3. ouvert Ă©change dĂ©nergie et masse avec
    environnement
  • peut ĂŞtre le cas de systèmes photochimiques

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3. Effets biologiques
  • 3.1 Absorption
  • 3.1.1 DosimĂ©trie, TAS (SAR)
  • 3.1.2 ConsidĂ©rations thermiques
  • 3.2 Système nerveux
  • 3.3 Cellules, membranes, molĂ©cules
  • 3.4 Influence de mĂ©dicaments
  • 3.5 Effets microthermiques et isothermes
  • 3.5.1 Effets microthermiques
  • 3.5.1 Effets isothermes
  • (tempĂ©rature constante)

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3.1 Absorption
  • Seul champ intĂ©rieur Ă  matĂ©riau peut influencer
    celui-ci
  • Approche thĂ©orique tâche formidable
  • prĂ©sence conjointe inhomogĂ©nĂ©itĂ©s et formes
    compliquées
  • champ interne dĂ©pend dun très grand nombre de
    paramètres
  • Distributions très complexes de champs peuvent
    exister
  • Ă  la fois Ă  lintĂ©rieur et Ă  lextĂ©rieur du
    système biologique
  • DoĂą champs et consommations locales peu
    uniformes
  • Énergie micro-onde absorbĂ©e
  • plus grande partie convertie en chaleur
    chauffage

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  • PĂ©nĂ©tration de londe limitĂ©e par effet de peau
  • effet caractĂ©risĂ© par profondeur de peau
  • profondeur Ă©gale Ă  1 profondeur de peau
  • intensitĂ© de champ (1/2.72) de valeur sur
    peau
  • profondeur Ă©gale Ă  3 profondeurs de peau
  • densitĂ© de puissance 1 de valeur sur peau
  • En dautres termes organes intĂ©rieurs
    protégés,  blindés 
  • du rayonnement externe par couches extĂ©rieures
    du corps
  • Expression thĂ©orique d 1/(wms/2)1/2 mètres
  • ? profondeur de peau
  • ? pulsation (2? fois la frĂ©quence)
  • ? permĂ©abilitĂ© (propriĂ©tĂ©s magnĂ©tiques)
  • ? conductivitĂ© (conduction Ă©lectrique)
  • Ă€ frĂ©quence donnĂ©e
  • pĂ©nĂ©tration plus profonde dans os que dans
    tissu musculaire
  • Ă€ contenu en eau donnĂ©
  • pĂ©nĂ©tration plus profonde dans tissu Ă 
    fréquence faible

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(No Transcript)
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3.1.1 Dosimétrie, TAS (SAR)
  • DosimĂ©trie
  • quantifie interactions champs / tissus et
    effets
  • Exposition micro-onde densitĂ© de puissance onde
    incidente
  • Règle mesurer celle-ci en watts par mètres
    carré (W/m2)
  • MesurĂ©e aussi en unitĂ©s dĂ©rivĂ©es (confusion !)
  • milliwatt par centimètre carrĂ© (mW/cm2)
  • microwatt par cm carrĂ© ou millimètre carrĂ©
    (?W/cm2 ou ?W/mm2)
  • Évaluation basĂ©e sur habitude de ne sintĂ©resser
    quaux phénomènes déchauffement effets
    thermiques
  • Effets autres? on manque doutils adĂ©quats
  • Champ Ă©lectrique, mais Ă  quel endroit du corps
    lévaluer?
  • champ vectoriel grandeur et direction
  • La puissance a double avantage
  • grandeur scalaire un seul paramètre
  • moyenne sur un volume donnĂ©

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  • Paramètre
  • taux dabsorption spĂ©cifique (TAS)
  • en anglais Specific Absorption Rate (SAR)
  • exprimĂ© en watts par kilo (W/kg)
  • parfois en unitĂ©s dĂ©rivĂ©es (!) mW/kg ou mW/g
  • Watts de puissance absorbĂ©e par kilo de matière
    absorbante
  • Matière absorbante pas totalitĂ© du corps
    humain !
  • Seulement couche la plus extĂ©rieure du corps
  • Ă©paisseur Ă©gale Ă  environ 1 profondeur de peau
  • PossibilitĂ© effets non thermiques question
    controversée
  • Ne disposer que du TAS (SAR) narrange rien
  • TAS (SAR) peut permettre dĂ©valuer des effets
    autres que dabsorption direction du champ
    Ă©lectrique par rapport Ă  structure biologique ne
    doit pas être un paramètre nécessaire !

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3.1.2 Considérations thermiques
  • Effets thermiques Ă©tudiĂ©s depuis longtemps
  • notamment corps humain
  • Exemple nous avons mesurĂ© Ă©lĂ©vation de
    température du visage exposé à émission téléphone
    portable GSM, par caméra infrarouge mesurant plus
    de 10.000 points du visage pour déterminer des
    températures moyennes par zone du visage
  • Mesures faites Ă  divers endroits bâtiment
  • Notamment dans cave oĂą GSM Ă©met davantage
  • contrebalancer mauvais environnement
  • Excluant loreille, qui sĂ©chauffe davantage, on
    a constaté un échauffement progressif, atteignant
    0.7C après 10 minutes ensuite constant par
    thermorégulation due à circulation du sang
  • Visage refroidi par lair ambiant
  • estimation partie intĂ©rieure tĂŞte sĂ©chauffe
    environ 0.8-0.9C
  • Ă  proximitĂ© surface de celle-ci

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  • Grand nombre deffets thermiques observĂ©s
  • DĂ©pendent Ă©videmment de distribution spatiale du
    TAS (SAR) et du niveau de celui-ci 
  • 1. on estime quun TAS (SAR) de 1 W/kg produit
    une élévation de température du corps humain de
    lordre de 1C prenant en considération la
    thermorégulation du corps
  • 2. dommages oculaires (cataracte) observĂ©s Ă  100
    mW/cm2 et davantage, au-delĂ  de 1GHz
  • 3. dommages Ă  cornĂ©e observĂ©s sur singes pour
    TAS (SAR) de 2.6 W.kg, Ă  2.45 GHz
  • 4. dommages Ă  rĂ©tine observĂ©s sur singes pour
    TAS (SAR) de 4 W/kg, Ă  1.25-2.45 GHz

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  • Notion importante dimension du volume sur
    lequel on détermine
  • valeur de TAS (SAR) Ă  ne pas dĂ©passer
  • plus volume petit, plus norme contraignante
  • Imposer valeur Ă  ne pas dĂ©passer pour tout
    volume correspondant à 1 g matière vivante est
    plus contraignant que ne pas dépasser même valeur
    pour tout volume de 10 g
  • Il semble que effets comportementaux peuvent ĂŞtre
    détectés à niveau dexposition plus faible que
    effets thermiques classiques
  • De mĂŞme, il semble que ondes pulsĂ©es de façon
    diverse produisent effets détectables à niveau
    plus faible que ondes présentant un caractère
    continu

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3.2 Système nerveux
  • Système nerveux trois fonctions
  • percevoir variations dans corps et Ă 
    lextérieur
  • interprĂ©ter et intĂ©grer ces variations
  • rĂ©pondre en initiant des actions contractions
    ou sécrétions
  • Système sensoriel compte millions dorganes
    senseurs
  • fonctions de base rassembler linformation
  • Exemple nerfs sensoriels de la peau
  • transmettent impulsions au système nerveux
    central
  • signaux interprĂ©tĂ©s en sensation
  • pression, douleur, tempĂ©rature, vibration
  • De tels systèmes existent aussi pour ouĂŻe, goĂ»t,
    odorat
  • Beaucoup de fonctions système autonome contrĂ´lĂ©es
    par hypothalamus, cerveau
  • Affecte notamment système cardiovasculaire,
    température du corps, appétit, système
    endocrinien
  • TempĂ©rature corps, fonctions endocrines
    influence champs Ă©m

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3.3 Cellules, membranes, molécules
  • Membranes cellulaires site primaire interaction
    champs BF
  • amplification signaux faibles associĂ©s Ă  divers
    mécanismes
  • flux ions (Ca) jouent rĂ´le primordial dans
    amplification stimulus
  • gradient potentiel de membrane 107 V/m
  • champs millions de fois plus petits peuvent
    moduler réponse de cellules en surface
  • Analyse de leffet de micro-ondes sur molĂ©cules
    diverses accent particulier sur questions
    relatives Ă  lacide ADN
  • cellules exposĂ©es Ă  frĂ©quences, niveaux
    dexposition, durées
  • lĂ©sions chromosomiques plus nombreuses
  • Modèle thĂ©orique propriĂ©tĂ©s diĂ©lectriques du
    noyau cellulaire
  • entre 0.3 et 3 GHz en fonction des acides
    nucléiques
  • TAS (SAR) Ă  endroits proches (nm) peuvent
    différer
  • W/m3 10 Ă  100 fois supĂ©rieure Ă  environnement
  • Soulève question deffet biologique dĂ» Ă 
    production de chaleur préférentielle, non
    négligeable à lendroit des noyaux cellulaires

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3.4 Influence de médicaments
  • (3.1.2) dommages Ă  cornĂ©e observĂ©s Ă  TAS 2.6
    W.kg, 2.45 GHz
  • ConstatĂ© après prĂ©traitement mĂ©dicamenteux
    opioĂŻdes
  • mĂŞmes dommages observĂ©s Ă  TAS dix fois plus
    faible
  • OpioĂŻdes endogènes peuvent jouer rĂ´le dans
    effets neurologiques
  • Ainsi micro-ondes peuvent accentuer effets
    médicamenteux
  • MesurĂ© sur rats accentuation de catalepsie,
    hyperthermie, etc.
  • Actuellement pas dĂ©montrĂ© que exposition
    répétée micro-ondes à faible niveau peut induire
    effets neurologiques irréversibles
  • Question certains traitements mĂ©dicamenteux
    peuvent-ils accentuer sensibilité de certains aux
    micro-ondes?
  • Si quelquun se sent particulièrement sensible
  • Si absorbe mĂ©dicament contenant opioĂŻdes
    (réduire stress)
  • Possible que celui-ci accentue sensibilitĂ© aux
    micro-ondes

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3.5 Effets microthermiques et isothermes
  • Effets non thermiques micro-ondes question
    controversée
  • Question pas seulement scientifique politique
    et commerciale
  • Accepter existence effets non thermiques
    implique possibilité effets exposition à très
    faible niveau ce qui nest pas accepté
  • 1971 deux auteurs très respectĂ©s pour leurs
    travaux sur effets biologiques micro-ondes
    Ă©crivaient
  • "Limportance de la diffĂ©rence entre les vues
    soviétique et occidentale apparaît dès quon
    réalise que la signification pratique de
    lexposition maximum permissible est basée sur
    lacceptation ou la réjection des effets non
    thermiques comme biologiquement significatifs"

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  • Ensemble de donnĂ©es obtenues quant aux effets
  • constitue un ensemble hĂ©tĂ©rogène
  • malaisĂ© classer entre "thermiques" et "non
    thermiques"
  • Ă€ Ă©viter le mot "non thermique 
  • une dĂ©finition nĂ©gative nest pas une
    définition
  • (remarque identique Ă  propos de  non
    ionisant )
  • Recommandation utiliser microthermiques ou
    isothermes
  • selon le cas, prĂ©cisĂ© plus loin
  • Se souvenir effets biologiques pas
    nécessairement pathogènes
  • Lorsquon Ă©tudie effets micro-thermiques ou
    isothermes
  • considĂ©rer toutes les composantes de puissance
  • pouvoir faire distinction par rapport Ă  effets
    thermiques !

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  • TempĂ©rature pas un paramètre Ă©lectromagnĂ©tique
  • consĂ©quence dabsorption Ă©nergie micro-onde
  • ÉlectromagnĂ©tisme ne possède pas loutil
    mathématique permettant dimposer une température
    constante
  • pas possible dĂ©tudier effets autres que
    thermiques en nutilisant que lélectromagnétisme
  • Il faut donc joindre Ă  lĂ©lectromagnĂ©tisme une
    autre discipline
  • pour laquelle la tempĂ©rature est un paramètre
  • Il sagit de la thermodynamique (3.1.2)
  • Elle permet
  • travailler Ă  tempĂ©rature constante
  • et donc Ă©tudier effets isothermes

33
3.5.1 Effets microthermiques
  • Effets microthermiques
  • champ Ă©m très faible peut crĂ©er effet biologique
    significatif jouant le rôle de "gâchette"
    (trigger)
  • Systèmes biologiques font parfois preuve de
    propriétés semblables à celles déquipements
    électroniques les plus raffinés
  • on ne comprend pas encore très bien comment
  • Exemple système visuel, sensibilitĂ© proche de
    limite théorique
  • Entre Ă©nergie dun quantum de lumière et celle
    dune impulsion nerveuse, on trouve gain de plus
    dun million
  • Quantum de lumière agit comme une gâchette pour
    impulsion nerveuse, Ă©nergie de celle-ci fournie
    par le système biologique
  • ThĂ©orie possibilitĂ© de dĂ©clencher des
    excitations cohérentes puissantes de membranes
    cellulaires, sous leffet dactions non
    cohérentes, faibles, lorsque certaines conditions
    sont réunies

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  • Permet dĂ©voquer action de micro-ondes Ă  faible
    niveau
  • dĂ©livrent Ă©nergie au matĂ©riau
  • rĂ©ponse linĂ©aire proportionnelle Ă  intensitĂ© du
    rayonnement
  • amplitude et phase dĂ©terminĂ©es par permittivitĂ©
    complexe
  • Action sur mouvement thermique des dipĂ´les
    Ă©lectriques
  • mouvement seulement lĂ©gèrement perturbĂ©
  • provoque lĂ©gère augmentation locale de
    température
  • transmis aux rĂ©gions avoisinantes
  • provoque lĂ©gère diminution de tempĂ©rature
  • compensant la prĂ©cĂ©dente
  • En rĂ©gime stationnaire, tempĂ©rature Ă  peu près
    constante
  • Pas dĂ©vidence indiscutable dexcitation
    cohérente
  • sinon il ny aurait plus de controverse
  • Nombre de rĂ©sultats expĂ©rimentaux supportent
    cette théorie
  • essentiellement aux ondes millimĂ©triques

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  • Argument très gĂ©nĂ©ral en faveur de ces thĂ©ories
  • Effets produits aux très basses frĂ©quences (50
    Hz)
  • en termes de champ magnĂ©tique
  • De mĂŞme, effets dus aux radiofrĂ©quences
  • essentiellement en termes de champ Ă©lectrique,
    courants induits
  • Micro-ondes on ne considère que Ă©chauffement,
    dĂ» Ă  puissance
  • on nenvisage pas effets directement dus aux
    champs
  • FrĂ©quences optiques, une grande caractĂ©ristique
    biologique
  • Ă©nergie solaire utilisĂ©e en partie pour
    constituer et maintenir organisation très
    complexe dans systèmes biologiques végétaux
  • Le soleil chauffe effectivement les plantes
  • Pourtant, personne ne dit que laction du soleil
    sur les plantes est exclusivement thermique

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3.5.2 Effets isothermes (température constante)
  • Thermodynamique, notamment le concept dentropie
  • nĂ©cessaire pour Ă©valuer certains phĂ©nomènes en
    Ă©lectronique
  • Exemple luminescence
  • chaleur convertie en rayonnement luminescent
  • vient de lĂ©nergie thermique du cristal
    luminescent
  • Énergie luminescente peut ĂŞtre plus grande que
    énergie dexcitation absorbée, aux dépens de
    énergie thermique matériau
  • Il en rĂ©sulte refroidissement du matĂ©riau
  • car Ă©nergie dexcitation transformĂ©e en
    Ă©nergie luminescente
  • moins ordonnĂ©e
  • souvent appelĂ© refroidissement optique
  • PhĂ©nomène semblable sur systèmes biologiques
    vivants
  • luciole Ă©met de Ă©nergie luminescente dans le
    noir
  • par transformation de lĂ©nergie lumineuse reçue
    de jour

37
  • Sur systèmes biologiques
  • Luminescence dĂ©montrĂ©e lors dexposition
    interface air-eau
  • mesures faites sur eau diversement salĂ©e
  • aussi sur interface air - tissu humain
  • Interface exposĂ©e Ă  faisceau inclinĂ©
  • ondes millimĂ©triques, de 48 Ă  120 GHz
  • Interface rĂ©Ă©met rayonnement aux ondes
    décimétriques
  • dans plan diffĂ©rent du plan incident
  • mesurĂ© Ă  0.4 et 1 GHz (figure)
  • DensitĂ© puissance incidente 1 ?W/cm2, soit 10
    mW/m2
  • mille fois infĂ©rieur Ă  niveau limite admis par
    OMS
  • au-delĂ  de 2 GHz pour ĂŞtre humain
  • On ne voit pas comment expliquer par
    raisonnement thermique
  • Il nest pas prouvĂ© que ce soit pathogène ou non
    pour lĂŞtre humain

38
(No Transcript)
39
3.6 Études épidémiologiques
  • DifficultĂ© Ă©tablir relation de cause Ă  effet
  • Ă©tude Ă©pidĂ©miologique nĂ©gale pas lien cause -
    effet !
  • Ă€ ce jour Ă©tudes nĂ©tablissent pas clairement
    risque de cancer
  • mĂŞme si installations ninduisaient pas de
    cancer
  • milliers dutilisateurs dĂ©velopperaient cancer
    chaque année
  • car centaines de millions dutilisateurs dans
    monde
  • Après apparition dune nouvelle cause possible de
    cancer
  • il faut au moins 1015 20 ans pour tumeurs
    décelables
  • GSM introduit dans nos pays 01.01.1994 et
    développé 1997-1999
  • attendre 2015-2020 pour constater phĂ©nomène
    Ă©ventuel
  • Normes aujourdhui ne doivent pas viser Ă 
    protéger dun effet connu
  • elles doivent protĂ©ger dun effet Ă©ventuel
  • dont on ne connaĂ®tra rĂ©sultats que vers 2015-2020
    pour cancer

40
  • Novembre 2004 TNO Ă©tude effets signaux GSM sur
    comportement
  • jugĂ©e fort intĂ©ressante, Ă  approfondir, car
    Ă©chantillon trop petit
  • DĂ©cembre 2004 Reflex Ă©tude europĂ©enne sur
    cellule vivante
  • a montrĂ© effets positifs sur ADN
  • rĂ©sultats non directement gĂ©nĂ©ralisables Ă  ĂŞtre
    humain
  • Avril 2005 Ă©tude danoise sur cancer
  • plus de 1.000 personnes
  • rĂ©sultat nĂ©gatif quant Ă  usage accentuĂ© de GSM
  • Auteurs prĂ©cisent il faut durĂ©e dĂ©tude plus
    longue, il est préférable de limiter usage du GSM
    par enfants et utiliser oreillette
  • Mai 2005 Ă©tude suĂ©doise sur cancer
  • 1.400 personnes Ă  tumeur et 1.400 personnes
    saines
  • risque plus Ă©levĂ© Ă  la campagne
  • Lie ce risque Ă  antennes plus dissĂ©minĂ©es,
    impliquant usage de puissances plus élevées

41
  • Étude Ă©pidĂ©miologique sur rats se termine Ă  UCL,
    Belgique
  • grande amplitude 124 rats
  • longue durĂ©e 21 mois
  • faible niveau dexposition  OMS pour rats 
    (figure)
  • exposition diversifiĂ©e 4 groupes de 31 rats
  • 1 GHz CW, 1 GHz  radar  10, 10 GHz CW,
    témoin
  • ModalitĂ©s dĂ©crites dans littĂ©rature
  • rats exposĂ©s 2 heures par jour pendant 21 mois
  • correspond Ă  environ Ă  70 de leur durĂ©e de vie
  • (1 mois rat 3 ans humain)
  • Premiers rĂ©sultats bientĂ´t publiĂ©s
  • comparent rĂ©sultats groupes exposĂ©s Ă  groupe
    témoin

42
Microwave exposure in 4 units
43
Adaptation to rat of ICNIRP for man
man
2 GHz
10 W/m2
20 GHz
(f/200)
0.4 GHz
2 W/m2
rat
4 GHz
44
4. Appréhensions
  • 4.1 Exposition de longue durĂ©e Ă  faible niveau et
    modulation numérique
  • 4.2 HypersensibilitĂ© Ă©lectromagnĂ©tique
  • 4.3 Barrière sang-cerveau (BBB) (barrière
    hémato-encéphalique)
  • 4.4 Critique du texte initial de lOMS

45
4.1 Exposition de longue durée à faible niveau et
modulation numérique
  • Exposition micro-ondes pulsĂ©es faible niveau
    affecte neurochimie du cerveau dune manière
    semblable au stress
  • activitĂ© cholinergique de lavant du cerveau
  • rĂ©pĂ©tition compensation concentration
    récepteurs cholinergiques
  • PrĂ©traitement avec antagonistes narcotiques
    bloque les effets
  • donne un rĂ´le Ă  limplication opioĂŻdes
    endogènes
  • Similitude effets micro-ondes avec sources
    Ă©tablies de stress
  • spĂ©culation sur exposition micro-onde comme
    facteur de stress
  • Conclusion importante des recherches dans ce
    domaine conséquences à long terme exposition
    répétée dépendent des paramètres dexposition
  • Actuellement pas dĂ©vidence quexposition
    répétée micro-ondes à faible niveau entraîne
    effets neurologiques irréversibles

46
  • DĂ©veloppement mobilophonie sans fil
  • signaux très spĂ©cifiques, dits numĂ©riques
  • en particulier signaux système GSM
  • Signal Ă  porteuse micro-onde
  • modulation par impulsions
  • modulation contient frĂ©quences très basses
  • 217 Hz permanent et 8.3 Hz certaines
    conditions
  • GSM transmet micro-ondes en "paquets" (bursts)
  • pas le cas pour modulation amplitude ou
    fréquence, dits analogiques
  • Ce type de dĂ©veloppement pose la question
  • "paquets" micro-ondes et très basses frĂ©quences
  • dans la modulation sont-ils susceptibles
    dexercer
  • influence nĂ©gative sur tissus humains et/ou sur
    cerveau
  • en induisant des effets non thermiques ?

47
4.2 Hypersensibilité électromagnétique
  • Certaines personnes se plaignent de troubles
    divers quelles attribuent Ă  exposition Ă©m,
    notamment micro-onde, niveaux bien inférieurs à
    effets nocifs connus et normes/recommandations
  • Certaines relient leurs troubles
  • davantage Ă  exposition Ă  très basse frĂ©quence
  • ou Ă  antennes micro-ondes, essentiellement GSM
  • ou aux deux sources
  • Certaines sont tellement affectĂ©es quelles
    sisolent, cessent le travail, changent leur
    style de vie
  • Dautres rapportent symptĂ´mes moins sĂ©vères
  • Ă©vitement de certaines sources de champ Ă©m
  • Plupart des recherches scandinaves plaintes
    dermatologiques
  • rougeurs, picotements, sensations de brĂ»lure,
    etc.

48
  • Nombre croissant
  • personnes prĂ©sentant symptĂ´mes neurasthĂ©niques
    et végétatifs
  • fatigue, cĂ©phalĂ©es, concentration, vertiges,
    nausées, palpitations
  • ConstatĂ© perturbations psychophysiologiques
  • hyper-rĂ©activitĂ© du système nerveux central
  • dĂ©sĂ©quilibre au niveau du système nerveux
    autonome
  • Sagit de facteurs prĂ©disposant ou dune
    conséquence de la souffrance de ces personnes ?
  • SymptĂ´mes rĂ©els (CSH) mĂŞme sils ne peuvent ĂŞtre
     objectivement  attribués aux champs ém
  • Type de symptĂ´mes proche de ce quon a appelĂ© dès
    1960 syndrome micro-onde après exposition à
    faible niveau ambassade U.S.A. Moscou par
    Soviétiques

49
  • Pour notre part
  • contact avec trentaine personnes, rencontrĂ©
    vingtaine
  • La plupart explicitent de façon très prĂ©cise ce
    dont elles souffrent, Ă  quels endroits et sous
    quelles formes cela se manifeste
  • Nous nous sommes souvent demandĂ©s y a-t-il eu
    effet exacerbé par médicaments divers ?
  • Depuis peu, hypothèse personnelle de travail
  • lien cause-effet entre exposition micro-onde et
    troubles décrits
  • ExposĂ©s techniques sur façon de se protĂ©ger,  se
    blinder 
  • sans guère de difficultĂ©s
  • sans trop de frais
  • de façon relativement conviviale
  • A dĂ©bouchĂ© dans quelques cas sur accès Ă  vie plus
    normale

50
4.3 Barrière sang-cerveau (BBB) (barrière
hémato-encéphalique)
  • Protège cerveau des mammifères de composants
    potentiellement dangereux qui se trouveraient
    dans le sang
  • DĂ©fense naturelle,  barrière  permĂ©able de
    façon sélective
  • Peut causer oedèmes cĂ©rĂ©braux, augmentation de
    pression intracrânienne, voire dommage cérébral
    irréversible
  • 30 investigations expĂ©rimentales sur rats
    rapportées fin 2001
  • RĂ©parties par moitiĂ© entre effets positifs et
    effets négatifs
  • Certains effets positifs - transfert de sĂ©rum
    dalbumine - observés à TAS (SAR) de 0.016 W/kg,
    soit 5 fois plus bas que niveau OMS
  • Question 
  • sous effet de tĂ©lĂ©phones portables, albumine ou
    autres molécules toxiques peuvent-elles se porter
    au cerveau et sy accumuler ?

51
4.4 Critique du texte initial de lOMS
  • Pourquoi controverse actuelle risques Ă©ventuels
    micro-ondes ?
  • première recommandation OMS publiĂ©e en 1993
  • avant implantation du GSM, 1er janvier 1994
  • plusieurs annĂ©es avant son dĂ©veloppement massif
    1997-99
  • Recommandation particulièrement ambigĂĽe
  • Surtout
  • maintenue telle quelle en 1998 par
    lInternational Commission for Non-Ionizing
    Radiation Protection (ICNIRP) 1998

52
  • Texte initial OMS p.21, 1.1.6.1
  • In normal thermal environments, an SAR of 1-4
    W/kg for 30 minutes produces average body
    temperature increases of less than 1C for
    healthy adults
  • Établit facteurs sĂ©curitĂ© population, p.23,
    1.1.7.1
  • A safety factor of 10 is introduced, in order to
    allow for unfavourable, thermal, environmental,
    and possible long-term effects, and other
    variables, thus arriving at the basic limit of
    0.4 W/kg
  • An additional safety factor should be introduced
    for the general population, which includes
    persons with different sensitivities to RF
    exposure. A basic limit of 0.08 W/kg,
    corresponding to a further safety factor of 5, is
    generally recommended for a public at large
  • TAS (SAR) 0.08 W/kg correspond Ă  champ Ă©lectrique
    41.2 V/m Ă  900 MHz
  • Safety factor facteur de sĂ©curitĂ©, Ă  lĂ©gard
    effet connu
  • Rien Ă  voir avec facteur de prĂ©caution, Ă  lĂ©gard
    effet non connu
  • Norme fĂ©dĂ©rale belge plus exigeante limite 20.6
    V/m Ă  900 MHz
  • 2 en champ Ă©lectrique, 4 en puissance et TAS
    (SAR)

53
  • 1-4 W/kg
  • facteur 10 Ă  partir de 4 W/kg, menant Ă  0.4
    W/kg
  • Si effet Ă  partir de 1 W/kg, facteur menant Ă 
    0,1 W/kg doĂą facteur 4
  • 30 minutes
  • exposition permanente !
  • il faut facteur pour diffĂ©rence 24 heures/24 -
    30 minutes
  • less than 1C
  • il faut facteur pour Ă©lĂ©vation permanente de
    température admise
  • healthy adults
  • tous ne sont pas adultes, facteur?
  • tous ne sont pas en bonne santĂ©, facteur?
  • certains ni adultes ni bonne santĂ©, facteur ?
  • Enfin, facteur entre travailleurs secteur et
    public est 5
  • il est 20 en Belgique pour rayonnements
    ionisants 4 !
  • Ne pas sĂ©tonner si certains estiment que les
    recommandations OMS ne sont pas assez exigeantes

54
5. Conclusions
  • Controverse au sujet des normes et
    recommandations
  • aussi alimentĂ©e par le fait que les mĂ©canismes
    de chauffage diélectrique sont très bien connus,
    ce qui nest pas le cas des mécanismes autres que
    le chauffage
  • En dautres termes il nexiste pas ou guère
    de valeurs chiffrées concernant ces autres effets
  • Fixation des normes locales dĂ©pend donc surtout
    de la sensibilité des populations à lensemble de
    la problématique et de lattention que les
    politiques locaux portent aux préoccupations de
    leurs populations

55
Tableau de normes et recommandations
  • Grande variĂ©tĂ©, valeurs pour le grand public,
    exprimées en V/m
  • Ă  900 MHz
  • (1) OMS, ICNIRP et Union europĂ©enne
  • ne pas dĂ©passer 41.2 V/m
  • (2) Plusieurs gouvernements europĂ©ens normes
    plus exigeantes
  • Belgique  20.6 V/m
  • Italie  20 V/m, et 6 V/m pour exposition gt 4
    heures
  • Suisse  6 ou 4 V/m
  • Luxembourg  3 V/m
  • (3) Effets sur barrière sang-cerveau (BBB)
  • effets positifs dans 50 des Ă©tudes (sur rats)
  • certains effets positifs observĂ©s Ă  0.016 W/kg,
    soit 18 V/m

56
  • (4) Effets isothermes ou microthermiques
  • au moins 100 (en puissance), soit maximum 4 V/m
  • (5) Etudes Ă©pidĂ©miologiques exposition TV/FM
  • deux Ă©tudes/quatre  doublement taux leucĂ©mie,
    de 2 Ă  4 V/m
  • (6) Conseil SupĂ©rieur dHygiène belge
  • facteur supplĂ©mentaire de 200, soit 3 V/m
  • il sagit dune valeur maximum
  • tient compte de toutes Ă©missions 10 MHz - 10
    GHz
  • (7) Notre recommandation a Ă©té  3 V/m
  • RĂ©gion wallonne, RĂ©gion bruxelloise
  • il sagit dune valeur maximum
  • tient compte de toutes Ă©missions 10 MHz - 10 GHz

57
  • (8) FĂ©vrier 2003, Ville de Paris de 1 Ă  2 V/m
  • il sagit dune valeur moyenne par jour
  • ne porte que sur GSM
  • (accord entre Ville et opĂ©rateurs)
  • (9) Juin 2000, Ville de Salzbourg  0.6 V/m
  • il sagit dune valeur moyenne par an
  • ne porte que sur GSM
  • Rapport entre valeurs extrĂŞmes de champ
    Ă©lectrique 41.2/0.6 68.67
  • Rapport entre valeurs extrĂŞmes de
    puissance (41.2/0.6)2 4720
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