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GESTION DURABLE DES

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GESTION DURABLE DES FOR TS DIVERSIT BIOLOGIQUE et MOYENS D EXISTENCE Cette pr sentation fait partie de la publication Gestion durable des for ts, diversit ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: GESTION DURABLE DES


1
GESTION DURABLE DES FORÊTS DIVERSITÉ BIOLOGIQUE
et MOYENS DEXISTENCE
Cette présentation fait partie de la publication
Gestion durable des forêts, diversité biologique
et moyens dexistence un guide des bonnes
pratique . La Convention sur la diversité
biologique autorise la modification de cette
présentation à des fins non commerciales. Si la
présentation est modifiée, les crédits
photographiques devront être maintenus
2
?
APERÇU
  • INTRODUCTION
  • Foresterie, diversité biologique et réduction
    de la pauvreté
  • Services des écosystèmes fournis par les forêts
  • Impacts environnementaux de la foresterie un
    instantané
  • Quelques tendances actuelles
  • BONNES PRATIQUES
  • Diversité biologique dans les forêts de
    production
  • Agroforesterie
  • Restauration des paysages forestiers
  • Zones protégées forestières
  • Produits forestiers non ligneux
  • Paiements des services environnementaux
  • Le rôle des communautés autochtones et locales
  • Biodiversité forestière dans les stratégies et
    les plans daction nationaux
  • Accès et partage des avantages
  • Communication, éducation et sensibilisation du
    public
  • RESSOURCES

3
Foresterie, diversité biologique et réduction de
la pauvreté
i
  • Daprès les estimations, 60 millions de
    personnes issues des peuples autochtones
    dépendent presque totalement des forêts. Les
    forêts contribuent pour une très grande part aux
    ressources et revenus de 350 millions de
    personnes (Banque Mondiale 2004).
  • Les populations pauvres dépendent des biens et
    des services des écosystèmes des forêts pour de
    nombreux besoins de première nécessité
    lalimentation, lhabitat, le chauffage et les
    vêtements.
  • Cette présentation, et la brochure qui
    laccompagne, propose quelques outils pour la
    réduction de la pauvreté et les objectifs de
    préservation de la diversité biologique dont
    lexploitation des grumes, lagroforesterie, les
    produits forestiers non ligneux, les zones
    protégées, les utilisations autochtones locales,
    et autres.

INTRODUCTION
4
Services des écosystèmes produits par les forêts
i
  • Les forêts sont les systèmes terrestres les plus
    riches en diversité biologique.
  • Il est aujourdhui compris que la biodiversité
    forestière supporte un grand nombre de biens et
    de services qui contribuent au bien-être des
    êtres humains
  • Stockage et purification de leau potable
  • Atténuation des catastrophes naturelles comme la
    sécheresse et les inondations
  • Stockage du carbone et régulation du climat
  • Approvisionnement en nourriture, eau de pluie et
    un large éventail de produits à usage médicinal,
    culturel et spirituel.
  • La conservation de la biodiversité forestière
    est une condition préalable à lapprovisionnement
    abondant et sur le long terme des services des
    écosystèmes.
  •  

INTRODUCTION
5
i
INTRODUCTION
  • Biens et services des écosystèmes
  • Lévaluation des écosystèmes pour le millénaire
    montre quun nombre important et croissant
    décosystèmes forestiers, populations et espèces,
    sont globalement menacés ou perdus à cause de la
    perte ou de la dégradation de leur habitat
    forestier.
  • Les forêts tropicales humides hébergent le plus
    grand nombre despèces menacées comparé à tout
    autre biome. Il est admis, mais pas encore prouvé
    scientifiquement que des espèces disparaissent en
    même temps que leur habitat forestier tropical
    (EM 2005).

BIENS ET SERVICES DES ECOSYSTEMES BIENS ET SERVICES DES ECOSYSTEMES
Services dapprovisionnement   ? Alimentation, fibres et combustible ? Ressources génétiques ? Substances biochimiques ? Eau douce Services culturels   ? Valeurs spirituelles et religieuses ? Systèmes de connaissances ? Education et inspiration ? Loisirs et valeur esthétique
Services de régulation   ? Résistance aux invasions ? Herbivorisme ? Pollinisation ? Dispersion des graines ? Régulation du climat ? Régulation des nuisibles ? Régulation des maladies ? Protection contre les catastrophes naturelles ? Régulation de lérosion ? Purification de leau Services de soutien   ? Production de matières premières ? Logement ? Cycle nutritif ? Formation et rétention des sols ? Production de loxygène atmosphérique ? Cycle de leau
EM (2005)   
6
i
Impacts environnementaux de la foresterie
La foresterie peut causer des impacts négatifs
sur la diversité biologique, en particulier quand
elle nadopte pas de standards de gestion conçus
pour protéger le capital naturel.   Perte de
diversité biologique Lexploitation non durable
de la forêt ainsi que dautres pressions sur ses
ressources, comme la collecte de bois de
combustion, peut conduire à sa dégradation et à
des préjudices permanents pour la diversité
biologique. Changements Climatiques Etant
donné leur rôle de stockage du dioxyde de
carbone, la perte des écosystèmes forestiers a de
sérieuses implications sur les changements
climatiques. La déforestation et la dégradation
des forêts conduisent à des émissions de gaz à
effet de serre estimées à 20 par an (Secrétariat
de la Convention sur la diversité biologique
2008).   Moyens dexistence et habitants de la
forêt La foresterie peut avoir des impacts
négatifs sur les communautés autochtones et
locales, et sur les moyens dexistence des
habitants de la forêt en entrant, en compétition
avec eux pour laccès à une ressource limitée
sans tenir compte des aspects culturels et
spirituels des sites et des pratiques.  
INTRODUCTION
7
i
Impacts environnementaux de la foresterie
Chasse illégale Laugmentation de la chasse
continue de menacer sérieusement la biodiversité
forestière dans de nombreux pays.
Lappauvrissement de la vie sauvage est
étroitement lié aux questions de sécurité
alimentaire et de moyens de subsistance des
habitants des régions de forêts tropicales qui,
pour la plupart, disposent de peu de sources
alternatives de revenus et de protéines (voir
page 25). Les activités de chasse illégale sont
souvent combinées à labattage des arbres. (Nasi
et autres, 2008).   Installations illégales
Elles sont un effet secondaire possible de
lexploitation forestière. Les installations
illégales, qui accompagnent la construction de
nouvelles routes qui permettent daccéder à des
zones jusqualors inaccessibles, menacent la
biodiversité forestière.    
INTRODUCTION
8
i
Impacts positifs de la foresterie
  • Cependant, la gestion de la foresterie a beaucoup
    évolué au cours des dernières décennies,
    saccompagnant dimpacts positifs significatifs
    pour la conservation de la diversité biologique
    et davantages sociaux et économiques pour les
    communautés hôtes.
  •  
  • Gestion durable des forêts (GDF) LAssemblée
    générale des Nations Unies a adopté en décembre
    2007 la définition de gestion durable des forêts
    la plus largement acceptée au niveau
    intergouvernemental un concept dynamique et
    évolutif qui vise à maintenir et à améliorer la
    valeur économique et sociale de tous les types de
    forêts, pour le bénéfice des générations
    présentes et futures (ONU 2008, Résolution
    62/98).
  • LExploitation à faible impact (EFI) peut inclure
    les pratiques suivantes
  • L'abattage directionnel des arbres pour
    infliger limpact le plus minime sur la forêt
    environnante,
  • Létablissement de groupes de zones tampons et
    des zones de protection des bassins versants,
  • La planification minutieuse pour éviter un
    nombre de routes trop important facilitant
    laccès aux colons de passage.  

INTRODUCTION
9
i
Quelques tendances actuelles la biodiversité
forestière
  • La biodiversité forestière disparaît à un rythme
    alarmant. Des publications de référence comme
    lévaluation des écosystèmes pour le millénaire
    (EM 2005) et la Liste rouge des espèces menacées
    (IUCN 2004) montrent quun nombre croissant
    décosystèmes forestiers, de populations et
    despèces sont globalement menacées ou perdues en
    raison de la dégradation de lhabitat forestier.
  • Le pourcentage de zones forestières définies
    comme zone de conservation de la diversité
    biologique a augmenté de manière notable entre
    1990 et 2005. On estime à 11,2 le total des
    forêts dont cest la fonction principale
  • Les zones humides boisées représentent une
    catégorie particulièrement vulnérable de forêts.
    Les zones humides boisées sont très riches en
    biodiversité et fournissent de nombreux services
    des écosystèmes, comme la séquestration du
    carbone, et soutiennent la pêche productive.
  • Les zones agricoles et de pâturage sont en
    expansion souvent au détriment des forêts.

INTRODUCTION
10
i
Quelques tendances actuelles consommation et
utilisation durables
  • Plus d1,6 milliards de personnes dépendent des
    forêts, à des degrés divers, pour assurer leurs
    moyens de subsistance, comme le bois de chauffe,
    les plantes médicinales et les produits
    alimentaires.
  • La consommation des principaux produits ligneux
    (bois rond, bois scié, pulpe, papier) devrait
    augmenter au cours des 30 prochaines années.
  • Labattage illégal et/ou non durable et
    lexploitation des produits forestiers affectent
    sérieusement les efforts nationaux pour améliorer
    la gestion durable des forêts de bien des pays.
    Les pertes pour les gouvernements, des pays en
    développement essentiellement, sont estimées à 15
    milliards de dollars US par an, correspondant aux
    taxes et royalties non collectées.
  • Les marchés de certains produits forestiers non
    ligneux (PFNL) ont connu une croissance
    importante grâce à lextension de ces marchés
    vers des zones reculées, à l intérêt croissant
    pour les produits comme les herbes médicinales,
    la production dustensiles artisanaux et dobjets
    décoratifs, et grâce aux projets de développement
    se concentrant sur la production et léchange des
    PFNL.

INTRODUCTION
11
i
Quelques tendances actuelles consommation et
utilisation durables
  • Les acteurs de la société civile et du secteur
    privé jouent un rôle important dans la gestion
    des produits forestiers, reflétant la volonté du
    public de sécuriser une variété de services des
    écosystèmes des forêts.
  • Un mouvement important de privatisation et de
    décentralisation du contrôle sur les forêts, des
    services de gestion des forêts et des entreprises
    a été observé.
  • Les réponses basées sur le marché redistribuent
    les droits aux parties prenantes, les rendant
    plus aptes à sécuriser lapprovisionnement en
    bois et en autres services des écosystèmes.
  • La zone forestière sous certification a
    rapidement augmenté au cours des dernières
    années. Cependant cette tendance est surtout
    observée dans les pays développés, et localement
    dans certains pays en développement où la
    certification ne semble pas encore affecter la
    production ou léchange des grumes à grande
    échelle.

INTRODUCTION
12
Diversité biologique dans la gestion forestière
gtgt Diversité biologique dans les forêts de
production
LOrganisation internationale des bois tropicaux
(OIBT) et lUnion internationale pour la
conservation de la nature ont développé des
Directives pour la conservation et l'utilisation
durable de la biodiversité dans les forêts
tropicales productrices de bois, (OIBT etIUCN
2009), qui comprennent entre autres les points
suivants 1. Observer les lois nationales, les
plans et les pratiques de gestion des forêts des
communautés locales et le soutien à la mise en
œuvre des accords internationaux relatifs à la
diversité biologique.   2. Etablir un plan de
gestion de la forêt dans lequel les objectifs de
conservation de la diversité biologique sont
clairement et explicitement identifiés pour
chaque zone de gestion de la forêt.   3. En
préparation des plans dexploitation, une
attention particulière sera apportée aux espèces
qui poussent localement, aux habitats qui
demandent une attention de conservation
particulière et aux espèces qui remplissent des
fonctions écologiques vitales.  
BONNES PRATIQUES
13
Diversité biologique dans la gestion forestière
gtgt Diversité biologique dans les forêts de
production
4. Planifier lallocation des forêts tropicales
de production à léchelle du paysage et planifier
lattribution des blocs dexploitation de manière
à ne pas interrompre la continuité des forêts
matures.   5. Augmenter la sensibilisation
politique et publique à propos des lois
internationales et nationales et diffuser des
informations sur la diversité biologique et ses
stratégies en utilisant différents media. 6.
Coordonner laction des propriétaires, des
utilisateurs et des gestionnaires des forêts pour
assurer lentretien dun habitat de bonne qualité
pour les espèces. 7. Les grandes plantations
forestières peuvent fournir une matrice pour
assurer la protection et la gestion des zones à
forte valeur pour la conservation. Encourager
limplantation dune forêt naturelle
représentative dans la plantation et, dès que
possible, la restauration des forêts naturelles
sur les sites le permettant. 
BONNES PRATIQUES
14
ÉTUDE DE CAS
  • Diversité biologique dans les forêts de
    production (Malaisie)
  • Environ 1,5 millions dhectares de létat
    malaisien de Sarawak sont des forêts dégradées,
    affectés aux plantations darbres (Hevea
    brasiliensis, hévéa, et Acacia mangium)
  • Grand Perfect Sdn Bhd, un consortium de
    compagnies forestières locales a planifié trois
    types dutilisation des terres dans la zone du
    projet
  • 1. les terres affectées aux plantations dA.
    mangium (230 000 hectares)
  • 2. les terres de droit coutumier autochtone et
    les anciennes terres de cultures itinérantes (110
    000 hectares), et
  • 3. Les zones de conservation (150 000 hectares)
    qui contiennent des forêts importantes
    écologiquement ou à forte valeur pour la
    conservation.
  • Le projet produira 5 millions de tonnes de bois
    industriel par an et jouera en même temps un rôle
    essentiel dans la conservation de la diversité
    biologique de létat de Sarawak.

BONNES PRATIQUES
Sources OIBT et IUCN 2009
15
Diversité biologique dans la gestion forestière
gtgt Agroforesterie
  • Lagroforesterie a été définie comme un
    système dutilisation des terres dans lequel les
    espèces ligneuses pérennes (arbres, arbustes,
    palmiers, bambous) sont délibérément utilisées
    sur les mêmes unités de gestion que les cultures
    agricoles (ligneuses ou non), animales ou les
    deux, selon un arrangement spatial ou temporel
    (ICRAF s. d.).
  • Les arbres peuvent contribuer de nombreuses
    façons aux systèmes agricoles
  • Les arbres fruitiers pour la nutrition et les
    arbres médicinaux pour combattre les maladies
  • Les arbres fourragers qui améliorent la
    production des animaux délevage des petits
    cultivateurs
  • les grumes et le bois de chauffe pour sabriter
    et se chauffer
  • les zones dagroforesterie ont une meilleure
    diversité biologique par unité que les zones
    agricoles et elles offrent un habitat à des
    espèces rares.
  • Lagroforesterie contribue au bien-être des
    êtres humaines en fournissant des ressources
    supplémentaires, en améliorant la sécurité
    alimentaire grâce à une plus grande diversité des
    produits agricoles (comme les noix, les fruits et
    les huiles comestibles) et en fournissant du bois
    de chauffe et des matériaux de construction
    réduisant ainsi la déforestation.

BONNES PRATIQUES
16
CASE STUDY
ÉTUDE DE CAS
  • Conservation de la diversité biologique et moyens
    dexistence locaux Agroforesterie
    traditionnelle de lhévéa (Sumatra)
  • Lagroforesterie traditionnelles de lhévéa est
    un système muli-strates complexe, important pour
    la diversité biologique, mais détruit par
    lintensification de lagriculture et des autres
    utilisations de la terre.
  • La possibilité de conserver la diversité
    biologique dans les agroforêts dhévéa dépend
    dinterventions innovantes, comme les mécanismes
    de paiement.
  • Le centre mondial de lagroforesterie (ICRAF),
    en partenariat avec les ONG locales WARSI et Gita
    Buana, ont mis en œuvre un projet
    action-recherche à Bungo, district de Jambi,
    Sumatra, sur les mécanismes de récompenses pour
    la conservation des agroforêts traditionnelles
    dhévéas.
  • Des accords pour conserver 2000 hectares de
     jungle rubber  ont été passés avec quatre
    villages. Des récompenses, sous forme de soutien
    à la mise en place de micro-générateurs
    hydroélectriques, de pépinières darbres et de
    modèles de forêts de villages, ont été
    distribuées.

BONNES PRATIQUES
Source Joshi, L. 2009  
17
Diversité biologique dans la gestion forestière
gtgt Restauration du paysage forestier
  • La surface des terres disponibles pour les
    activités de restauration des paysages forestiers
    (RPF) est estimée entre 350 et 850 millions
    dhectares.
  • Le Partenariat global pour la restauration des
    paysages forestiers identifie trois principes
    caractérisant les RPF
  • 1. La restauration dun ensemble équilibré et
    convenu des fonctions de la forêt
  • 2. Lengagement, la collaboration et la
    négociations actifs entre les parties prenantes,
  • 3. Travailler à travers le paysage.
  • Les paysages forestiers restaurés peuvent
    inclure les zones protégées pour la gestion des
    bassins versants et de la conservation de la
    nature, les plantations commerciales bien gérées,
    les tampons ou les bandes boisés le long des
    rivières pour protéger contre les inondations et
    lérosion, les systèmes dagroforesterie, et le
    développement communautaire planifié.
  • Les paysages forestiers restaurés peuvent offrir
    des bénéfices comme des emplois, une source de
    grumes pour les industries forestières et les
    communautés locales, une augmentation de
    lhabitat des animaux et des plantes, un
    approvisionnement sûr en eau claire de bonne
    qualité, et des possibilités de loisirs et de
    tourisme.

BONNES PRATIQUES
18
ÉTUDE DE CAS
  • La restauration des forêts dans le bassin versant
    du réservoir de Miyun pour le bénéfice des
    populations urbaines et rurales (Chine) 
  • Les trois quarts de la forêt du bassin versant
    du réservoir de Miyun, en Chine, qui
    approvisionne la quasi totalité des 17 millions
    dhabitants de Beijing, sont en mauvais état.
  • Une grande partie des résidents du réservoir
    sont pauvres et économiquement désavantagés,
    surtout en comparaison de leurs voisins citadins.
  • La stratégie moyens dexistence et paysage
    dIUCN collabore avec la Société forestière de
    Beijing pour améliorer laccès des populations
    locales aux produits forestiers, et augmenter
    leurs revenus de 25. Les activités mises en
    œuvre comprennent
  • Le développement dun plan de restauration du
    paysage et de la diversité biologique du bassin
    versant du réservoir de Miyun avec les parties
    prenantes
  • Lidentification et lamélioration des sources
    dénergie alternatives, la production de PFNL et
    lécotourisme
  • Lamélioration des schémas de compensation des
    services des écosystèmes du réservoir de Miyun.

BONNES PRATIQUES
Source IUCN 2009  
19
Diversité biologique dans la gestion forestière
gtgt Zones forestières protégées
  • Selon lIUCN, une zone protégée est une zone
    spécialement dédiée à la protection et à la
    préservation de la diversité biologique et des
    ressources culturelles associées et administrée
    selon des outils juridiques ou dautres moyens
    effectifs (IUCN s. d.).
  • Les zones forestières protégées peuvent aider à
    sauvegarder les biens et les services des
    écosystèmes et sont, de ce fait, un outil vital
    de gestion de la résiliences des écosystèmes
    forestiers et des communautés dépendant des
    forêts.
  • Les zones protégées fournissent des avantages
    nombreux et précieux
  • La protection de la diversité biologique et du
    processus dévolution
  • La prévention et la réduction de la pauvreté par
    la contribution aux moyens dexistence, en
    apportant une bonne gestion sociale et
    culturelle, et des valeurs de subsistance
  • La provision de zones de reproduction pour la vie
    sauvage, les poissons, essentiels pour garantir
    la sécurité alimentaire
  • La création davantages économiques directs
    extraordinaires, et en servant délément clé de
    lindustrie du tourisme, essentielle à de
    nombreux pays en développement.

BONNES PRATIQUES
20
ÉTUDE DE CAS
  • Bénéfices pour les moyens dexistence dune
    réserve forestière (Brésil)
  •  
  • La réserve Alto Juruá Extractive (AJER), dont
    la surface atteint 506 200 ha, est située dans la
    partie la plus occidentale de lAmazonie. Elle a
    été créée en 1990.
  • La création de lAJER a permis aux habitants de
    la réserve de sorganiser pour développer des
    plans de gestion et pour attribuer les
    responsabilités de la gestion de la réserve.
  • La création de la réserve sest accompagnée de
    la mise en place dun régime foncier plus stable
    qui a conduit à la diversification de léconomie
    locale. Les haricots ont remplacé lhévéa comme
    produit de base principal. Ils sont
    essentiellement cultivés le long des berges des
    rivières.
  • Lanalyse des changements de la couverture
    forestière au cours de la première décennie de
    lAJER (1989-2000) a montré que le taux de
    déforestation nétait que de 1.
  • Il y a des éléments qui montrent un
    rétablissement despèces menacées comme les
    jaguars, les pécaris et des espèces de primates.
    Ce résultat serait attribué à la dépopulation des
    zones reculées de la forêt.

BONNES PRATIQUES
Sources Ruiz-Pérez et autres, 2005  
21
Diversité biologique dans la gestion forestière
gtgt Produits forestiers non ligneux (PFNL)
  • Lévaluation des écosystèmes pour le millénaires
    a estimé que 96 de la valeur des forêts est
    issue de produits forestiers non ligneux (PFNL)
    et de services (EM 2005).
  • La plupart des 5.000 produits forestiers
    commerciaux sont des produits non ligneux, comme
    les produits pharmaceutiques et alimentaires.
  • Les forêts jouent souvent le rôle de pharmacie
    et de supermarché des populations pauvres.
  • Cependant, le rôle important que jouent les PFNL
    dans léconomie nationale, et en particulier
    rurale, nest souvent pas reflété dans les
    statistiques nationales ou les stratégies et
    plans concernés.
  • La bonne gestion des forêts, incluant un régime
    foncier clair et lapplication de la
    réglementation concernée, joue un rôle important
    dans lutilisation durable des PFNL. Les
    approches de gestion les plus réussies reposent
    sur un modèle tripartite où le gouvernement, la
    société civile et le secteur privé saccordent
    sur des réformes nécessaires et sur des
    améliorations.
  •  

BONNES PRATIQUES
22
ÉTUDE DE CAS
Linitiative Novella Africa (Afrique de lOuest,
Afrique Centrale, Afrique de lEst)
  • Linitiative Novella Africa est un partenariat
    entre secteur privé et public, formé en 2002 par
    Unilever, des ONG internationales et de
    nombreuses organisations gouvernementales et non
    gouvernementales en Afrique.  
  • Linitiative entreprend une collecte et une
    extraction à léchelle commerciale de lhuile des
    graines dallanblackia, un arbre natif des forêts
    tropicales dAfrique de lOuest, Centrale et de
    lEst. Lhuile est utilisée par Unilever pour
    produire des produits alimentaires, comme les
    pâtes à tartiner, et des détergents.
  • Au Ghana et en Tanzanie, la plantation des
    allanblackias est passée de quelques milliers à
    environ 100 000 par an et elle commence à être
    intégrée aux projets de restauration des paysages
    forestiers.
  • Le projet devrait continuer de croître et
    inclure 150 000 fermiers au Ghana, en Tanzanie,
    au Nigeria, au Cameroun et au Liberia au cours de
    la prochaine décennie et générer 100 millions de
    dollars US en retour.

BONNES PRATIQUES
Sources IUCN 2008, PNUD s. d.  
23
Diversité biologique dans la gestion forestière
gtgt Exploitation non durable, non réglementée et
non autorisée les produits forestiers non
ligneux
  • Labsence des PFNL des stratégies et des
    politiques de développement gouvernementales les
    rendent plus susceptibles de subir une
    exploitation non durable, non réglementée et non
    autorisée comme cest le cas de la chasse pour la
    viande de brousse.
  • La chasse pour la viande de brousse concerne
    lextraction de tout mammifère terrestre non
    domestique, reptile, oiseau et amphibien.
  • La chasse alimentaire dans les forêts tropicales
    est un enjeu par son ampleur et par la menace
    quelle fait peser sur de nombreuses espèces de
    ce type de forêts. Elle est aussi liée aux
    questions de sécurité alimentaire et aux moyens
    dexistence des habitants des régions de forêts
    tropicales qui ont ont très peu de sources
    alternatives de protéines et de revenus.
  • Les questions de gestion doivent recevoir plus
    dattention (comme la politique et la
    réglementation, les liens à lassistance au
    développement), et considérer le commerce à forte
    valeur de la viande de brousse comme un aspect de
    léconomie nationale.
  • La responsabilisation locale des utilisateurs
    des ressources est une stratégie clé potentielle
    pour atteindre la durabilité de long terme.

BONNES PRATIQUES
24
ÉTUDE DE CAS
Gestion de la vie sauvage dans une réserve
communautaire (Pérou)
  • La réserve communale de Tamshiyacu-Tahuayo en
    Amazonie péruvienne, sétend sur 3225 Km2.
  • La diversité des mammifères dans la réserve y
    est plus grande que dans nimporte quelle autre
    zone protégée dAmazonie et peut-être du monde.
  • La pression de la chasse est limitée à la
    consommation de subsistance locale, à la vente de
    viande séchée à Iquitos et à celle de peaux de
    pécaris sur les marchés internationaux.
  • La gestion de la vie sauvage repose sur des
    stratégies communautaires et de co-gestion, qui
    impliquent les communautés locales, les agences
    gouvernementales, les vulgarisateurs des ONG et
    les chercheurs.
  • Les décisions sur lutilisation et la gestion
    des ressources sont votées pendant des réunions
    communautaires, éclairées par les recherches et
    le suivi.
  • Les données montrent que les espèces sont
    exploitées durablement, sauf les tapirs, et que
    des recherches sont menées pour que la chasse aux
    tapirs soit réduite à un niveau durable.

BONNES PRATIQUES
Sources Nasi et autres, 2008  
25
Paiements des services environnementaux
  • Les paiements pour les services environnementaux
    (PSE) peuvent être définis comme les
    transactions volontaires selon lesquelles un
    service environnemental (ou lutilisation des
    terres pour sécuriser ce service) est acheté à un
    fournisseur, à la condition que le fournisseur
    assure lapprovisionnement de ce service (Wunder
    2008).
  • Les PSE sont un instrument économique qui
    fournissent des incitations aux propriétaires
    terriens pour la provision de services
    environnementaux qui bénéficient à la société
    plus largement.
  • Les marchés des services environnementaux ont
    été développés pour le stockage du carbone, les
    services aux bassins versants, la conservation de
    la diversité biologique et de la beauté des
    paysages / les loisirs.
  • Les projets PSE peuvent potentiellement répondre
    lobjectif dual de préservation des services des
    écosystèmes essentiels et de la diversité
    biologique dont ils dépendent, tout en
    contribuant à la réduction de la pauvreté (PNUE
    et IUCN s. d.).

BONNES PRATIQUES
26
ÉTUDE DE CAS
Lancement des paiements pour les services
environnementaux de la forêt (Costa Rica)
  • Pagos por Servicios Ambientales (PSA) au Costa
    Rica, reconnaît quatre services environnementaux
    fournis par les forêts latténuation des
    émissions de gaz à effet de serre, les services
    hydrologiques, la conservation de la diversité
    biologique et la beauté des paysages pour les
    loisirs et lécotourisme.
  • Les propriétaires terriens doivent soumettre un
    plan de gestion durable de la forêt, préparé par
    un forestier assermenté, décrivant les plan de
    prévention contre le braconnage, lexploitation
    illégale, et proposant des calendriers de suivi.
  • Les paiements aux propriétaires terriens sont de
    64 US/ha/an pour les plans de conservation de
    la forêt, et de 816US/ha/an, sur plus de 10 ans,
    pour les plantations.
  • En 2005, 270 000 ha ont été enrôlés dans ce
    programme, essentiellement dans les contrats de
    conservation.
  • Le programme PSA a été en partie crédité davoir
    contribué au taux de déforestation nul du Costa
    Rica début 2000, après avoir été lun des pays
    avec le taux le plus élevé.

BONNES PRATIQUES
Source Pagiola 2008 
27
Le rôle des communautés autochtones et locales
  • Les forêts hébergent environ 60 millions de
    personnes issues de peuples autochtones qui
    dépendent directement des ressources de la forêt
    et de la santé des écosystèmes forestiers pour
    assurer leurs moyens dexistence.
  • Lidentité culturelle et spirituelle des peuples
    autochtones est souvent liée aux forêts primaires
    intactes et riches en diversité biologique.
  • Dans le bassin de lAmazonie, les connaissances
    des utilisations médicinales, nutritionnelles, et
    culturelles de plus de 1300 espèces de plantes
    différentes forestières est courante chez les
    communautés autochtones.
  • Les opérations forestières, ainsi que la
    planification au niveau du paysage, devraient
    prendre en compte à la fois les droits et les
    connaissances traditionnelles des communautés
    autochtones et locales.
  • Le principe majeur pour y parvenir consiste à
    assurer la participation effective des
    communautés autochtones et locales et des parties
    prenantes dans les processus de prise de décision
    et de gestion, sur la base dun consentement
    préalable et en connaissance de cause libre pour
    tous les projets, plans et changements qui
    affectent leurs communautés, leurs modes de vie
    traditionnels et leur environnement. 

BONNES PRATIQUES
28
ÉTUDE DE CAS
Les communautés pygmées utilisent le GPS et la
radio communautaire pour protéger les sites
culturels (Congo)
  • Congolaise Industrielle des Bois (CIB) gère 1,3
    millions dhectares de la forêt congolaise qui
    hébergent 9000 pygmées Mbendjeles.
  • Les standards du FSC impliquent que la CIB
    protège les sites qui revêtent un aspect
    culturel, écologique, économique ou religieux
    particulier pour les peuples autochtones.
  • De telles informations ne pouvaient provenir que
    des Mbendjeles eux-mêmes, qui sont dispersés dans
    toute la forêt, et dont la plupart ne parle
    aucune langue européenne.
  • Le projet  Indigenous Peoples Voices  a
    permis aux Mbendjeles de délimiter plusieurs
    zones en utilisant un système dinformation
    géographique (SIG) qui stocke et analyse des
    points de référence.
  • Grâce aux technologies SIG et radio, les
    Mbendjeles peuvent informer sur les zones à
    protéger et sur les zones à exploiter, les aidant
    à protéger leurs terres et leur culture.

BONNES PRATIQUES
Source CTA 2008  
29
Biodiversité forestière dans les plans daction
et les stratégies nationales
Les stratégies et plans daction nationaux pour
la diversité biologique (SPANB) sont des outils
nationaux importants pour la conservation et
lutilisation durable de la biodiversité
forestière. Mais de nombreux autres stratégies et
plans daction traitent des forêts comme les
documents de stratégie pour la réduction de la
pauvreté. Les DSRP, les SPANB, les programmes
forestiers nationaux et les autres plans et
stratégies doivent converger vers une approche
holistique de la gestion de la ressource
naturelle au niveau du paysage.
BONNES PRATIQUES
30
ÉTUDE DE CAS
Régime foncier local facilitant la reforestation
et la réduction de la pauvreté (Tanzanie)
  • Le projet HASHI (Hifadhi Ardhi
    Shinyangaconservation du sol en Swahili)
    soutient la restauration du ngitili (usage des
    forêts et des broussailles pour les réserves
    traditionnelles de pâturage et de fourrage).
  • Avant le projet HASHI, les terres forestières de
    Shinyanga étaient très dégradées, résultat de
    politiques gouvernementales (coloniales et
    post-coloniales), comme la villagisation et
    lexploitation commerciale du café.
  • le Forest Act de 2002 a autorisé la tenure
    forestière au niveau local grâce aux réserves
    forestières des terres villageoises et aux
    réserves forestières communautaires. Les droits
    dutilisation et de vente de produits forestiers
    issus du ngitili ont été reconnus.
  • En 2004, environ 350 000 hectares de ngitili ont
    été restaurés ou crées dans 833 villages,
    englobant une population de 2,8 millions de
    personnes. Le bénéfice par personne et par mois
    du ngitili a été estimé à 14 dollars US.

BONNES PRATIQUES
Source PROFOR 2008
31
Accès et partage des avantages
  • Le troisième objectif de la Convention sur la
    diversité biologique concerne le partage juste
    et équitable des ressources découlant de
    lutilisation des ressources génétiques .
  • Les propriétés de certaines ressources
    génétiques de produits forestiers ligneux et non
    ligneux ont contribué au développement de
    nombreux produits dont des produits
    pharmaceutiques et cosmétiques.
  • La Convention établit quune personne ou une
    institution qui cherche à accéder à une ressource
    biologique dans un pays étranger afin den
    utiliser le matériel génétique, doit dabord
    obtenir le consentement préalable et en
    connaissance de cause du pays où la ressource est
    localisée.
  • Le partage des avantages, par le transfert de
    technologie, le partage des résultats de
    recherche, la formation et les profits, peut
    contribuer à la réduction de la pauvreté et au
    développement durable dans les pays en
    développement riches en diversité biologique.
  • Le partage des avantages peut prendre la forme
    de paiement de royalties, de droits de propriété
    conjointe, de fourniture déquipements, etc.
  •  

BONNES PRATIQUES
32
EXEMPLES
Ressources génétiques issues des produits ligneux
et non ligneux
  • Les propriétés de certaines ressources
    génétiques de produits forestiers ligneux et non
    ligneux ont contribué au développement de
    nombreux produits dont des produits
    pharmaceutiques et cosmétiques.
  • En voici quelques exemples
  • Le calanolide A et le calanolide B sont des
    composants isolés du latex issu des espèces de
    Calophyllum, que lon trouve dans la forêt
    pluvieuse de Malaisie, et qui ont montré un
    potentiel pour traiter le virus de
    limmunodéficience humaine de type 1 (VIH-1),
  • Un arbre nommé Cussonia zimmermannii, que lon
    trouve en Tanzanie, au Kenya, en Ouganda, au
    Mozambique et largement présent en Afrique du
    Sud, est utilisé pour le traitement des désordres
    mentaux,
  • Lécorce du Prunus Africana, présent en Afrique
    sub-saharienne est utilisée par les communautés
    locales pour le traitement de nombreuses maladies
    dont la malaria, la syphilis, la tension
    artérielle, lasthme, etc.

BONNES PRATIQUES
33
Communication, éducation et sensibilisation du
public
  • La gestion forestière durable reflète un
    ensemble de valeurs sociétales en relation avec
    la conservation et lutilisation de la forêt, et
    cen est lun des principes fondamentaux.
  • Les activités de communication et de
    sensibilisation jouent un rôle important en
    informant et en éduquant le public pour une
    participation plus efficace aux décisions de
    gestion durable des forêts.
  • La gestion forestière durable demande le
    soutien, à des moments et des lieux divers, de
    plusieurs départements gouvernementaux, ONG,
    communautés autochtones et locales, entreprises
    et industries, scientifiques, groupes de femmes,
    de jeunes et groupes communautaires.
  • Travailler avec ces groupes, communiquer,
    éduquer, sensibiliser le public (CESP) sont des
    instruments essentiels pour construire une
    relation de confiance, une compréhension et se
    mettre daccord sur les actions à prendre et pour
    limiter les conflits.
  • La CESP est nécessaire pour aider les peuples à
    travailler ensemble, à innover et à diffuser les
    informations, les connaissances, les valeurs et
    les objectifs.

BONNES PRATIQUES
34
ÉTUDE DE CAS
The Green Wave pour la diversité biologique  
  • The Green Wave est un projet global déducation
    sur la diversité biologique qui encourage les
    jeunes à faire la différence et à agir pour
    conserver la base de la vie sur terre.
  • The Green Wave invite les enfants et les jeunes
    dans les écoles et des groupes dans le monde
    entier à planter un arbre à 10h du matin heure
    locale, le 22 mai, journée internationale de la
    diversité biologique, pour créer une vague verte
    à travers les fuseaux horaires.
  • Les participants ont téléchargé leurs photos et
    leurs textes sur le site de The Green Wave
    (http//greenwave.cbd.int/) pour partager leurs
    histoires sur la plantation des arbres avec les
    autres. Une carte interactive en direct est mise
    en ligne à 20h10 heure locale, créant une seconde
    vague verte, virtuelle.
  • En 2009, 42 écoles et 1430 étudiants de
    Managua, Nicaragua ont participé à la campagne
    The Green Wave campaign.

BONNES PRATIQUES
35
RÉFÉRENCES
Banque mondiale. 2004. Sustaining Forests A
Development Strategy. Washington, D.C. Banque
mondiale. (CTA) Le Centre technique de
coopération agricole et rurale. 2008. ICT Update,
Numéro 42 Savoir autochtone, Exploitation
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RÉFÉRENCES
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Tutin, G. van Tol, et T. Christophersen. 2008.
Conservation and use of wildlife-based resources
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Business (GSB) Case Study. Project Novella The
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of Tanzania. Voir le site http//www.undp.org/pa
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20Case20Study20-20Tanzania20B_C01.pdf.
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greener world economy. Voir le site
http//www.unep.ch/etb/areas/pdf/IPES_IUCNbrochure
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RÉFÉRENCES
(PROFOR) The Program on Forests at the World
Bank. 2008. Poverty and Forests Linkages A
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http//www.profor.info/pdf/livelihoods/PovertyFore
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Postigo, et A. Goulart de Andrade. 2005. Ambio.
34(3) 218-223. Secrétariat de la Convention sur
la diversité biologique. 2008. Organe subsidiaire
chargé de fournir des avis scientifiques,
techniques et technologiques (13/3). Examen
approfondi du programme de travail élargi sur la
diversité biologique des forêts. Voir le site
http//www.cbd.int/doc/meetings/sbstta/sbstta-13/o
fficial/sbstta-13-03-fr.pdf.   Wunder, S. 2008.
Necessary Conditions for Ecosystem Services
Payments. Conference Paper Economics and
Conservation in the Tropics A Strategic
Dialogue (31 janvier - 1 février, 2008). Voir le
site http//www.rff.org/Documents/08_Tropics_Con
ference/Tropics_Conference_Papers/Tropics_Conferen
ce_Wunder_PES_markets.pdf
Note Une liste complète des références de cette
présentation est disponible dans la brochure qui
laccompagne Gestion forestière durable,
diversité biologique et moyens dexistence un
guide des bonnes pratiques.
Crédits photographiques Diapositive 1, de haut
en bas - Eric Belvaux, PNUE, PNUE/S. Nazan,
Flickr.com/retro traveler. Diapositive 2, en haut
FAO / David Gilbert.
38
Pour plus dinformations, veuillez contacter
Secrétariat de la Convention sur la diversité
biologique  
  413 rue Saint Jacques, Suite 800 Montréal QC ,
Canada H2Y 1N9 Tél 1 514 288 2220 Fax
1 514 288 6588 Email secretariat_at_cbd.int
Site Web www.cbd.int
Union internationale pour la conservation de la
nature
28, rue Mauverney 1196 Gland Suisse Tél 41 22
999 0000 Fax 41 22 999 0020 Email
webmaster_at_iucn.org Web www.iucn.org
  Avec le soutien technique de lIUCN Avec le
soutien financier du Ministère français des
affaires étrangères et européennes  
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