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Prof.%20Andreas%20Ladner

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Title: Approche institutionnelle de l administration cantonale Author: Service Informatique Last modified by: aladner Created Date: 3/7/2002 2:06:24 PM – PowerPoint PPT presentation

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Title: Prof.%20Andreas%20Ladner


1
Politiques et Institutions4.2 Les Parlements
  • Prof. Andreas Ladner
  • Cours de base automne 2010

2
Les parlements
  • Comment travaille-t-on dans les parlements?
  • Pourquoi les parlementaires ont-ils le temps de
    lire le journal pendant les séances?
  • Qui a le plus dinfluence, le parlement ou le
    gouvernement?

3
Liens
  • Das Schweizer Parlament www.parlament.ch
  • Schweizerische Gesellschaft fĂĽr Parlamentsfragen
    http//www.parlement.ch/sgp-ssp/
  • Europäisches Zentrum fĂĽr Parlamentsforschung
    http//www.ecprd.org/
  • Das EU-Parlament http//www.europarl.eu.int/home/
    default_de.htm

4
Table des matières
  1. Concept et comparaison
  2. Le niveau national
  3. Le niveau cantonal
  4. Le niveau communal
  5. Problèmes et enjeux

5
Quelques noms
6
Parlamentsstrukturen im Vergleich (Lijphart 1999)
7
Unterschiedliche FrĂĽhformen
  • Seit dem Spätmittelalter Gremien der
    Steuerbewilligung
  • In GB Gremium des Petitionswesens gegenĂĽber dem
    König
  • In den zentralstaatlichen, absolutistischen
    Monarchien Kontinentaleuropas Reduzierung auf
    gerichtsförmige Aufgaben
  • Im Heiligen Römischen Reich Deutscher Nation
    Vertretung der Fürsten und Stände gegenüber dem
    Kaiser

Vgl. Nohlen/Schultze 2002 610.
8
Die Herausbildung der Parlamente im heutigen Sinne
  • Mit der Herausbildung des Legitimationskonzepts
    der Volkssouveränität in der Französischen
    Revolution und der Ausweitung des Wahlrechts im
    19. und 20. Jahrhundert entwickeln sich die
    Parlamente zu repräsentativ-demokratischen
    Volksvertretungen, in denen Einzel- und
    Gruppeninteressen aufgenommen und zu
    gemeinwohlorientierten, allgemeinverbindlichen
    Entscheidungen verarbeitet werden.

9
Proclamation de l'Assemblée nationale, le 17 juin
1789 - d'après un dessin de Moreau le Jeune
10
Le parlement de lUE
11
Le Parlement européen
  • Tous les 5 ans, les dĂ©putĂ©s du Parlement europĂ©en
    sont Ă©lus au scrutin proportionnel. Ils exercent
    leur mandat de façon indépendante et ne peuvent
    être liés par des instructions ni recevoir de
    mandat impératif.
  • Pour la pĂ©riode 2004-2009, le Parlement europĂ©en
    est composé de 785 parlementaires répartis
    différemment entre les 27 Etats membres. A partir
    de 2009 751 membres au lieu de 736.
  • Chaque pays a un nombre fixe de sièges,
    s'Ă©tendant de 99 pour l'Allemagne Ă  5 pour
    Malte.
  • Les membres du Parlement europĂ©en ne siègent pas
    par délégation nationale, mais se regroupent
    suivant leurs affinités politiques en groupes
    politiques transnationaux.

12
RĂ©sulats des Ă©lections par groupe politique, 1979
à 2004. de gauche à droite 
 Extrême gauche  Groupe socialiste  Régionalistes (inc. Verts)  Verts  CDI ou TGI  Non-Inscrits  Liberaux-Démocrates  Radical Alliance (Liberaux)  PPE-DE  Forza Europa  Conservateurs  Eurosceptiques  Conservateurs nationalistes  Extrême droite
13
(No Transcript)
14
2. Le niveau national
15
Comparaison internationale
  • Die Bundesversammlung besitzt Kompetenzen wie
    kaum ein ausländisches Parlament (Schmid 1971
    191 ff.).

16
Le Conseil des Etats
17
Le Conseil des Etats répartition des sièges
1975-2007
18
Le Conseil national
19
Le Conseil national répartition des sièges
1975-2007
20
Le parlement comme acteur suprĂŞme (?)
  • Art. 148 RĂ´le de lAssemblĂ©e fĂ©dĂ©rale et
    bicamérisme
  • 1 LAssemblĂ©e fĂ©dĂ©rale est lautoritĂ© suprĂŞme de
    la Confédération, sous réserve des droits du
    peuple et des cantons.
  • 2 Elle se compose de deux Chambres, le Conseil
    national et le Conseil des Etats, dotées des
    mêmes compétences.

21
Quelle forme de parlement?
  •  Parlement de discussion  ou  parlement de
    travail ?
  • Les outils de travail

Les groupes parlementaires et les commissions
22
Effectifs des groupes parlementaires de la 47e
législature 2003-2007
UDC non inscrit M. Siegrist, GLIZ M. Bäumle
23
Effectifs des groupes parlementaires de la 48e
législature 2007-2011
24
Commissions ad hoc -gt commissions permanentes
  • 1971-75 225 commissions ad hoc au Conseil
    national et 239 au Conseil des Etats
  • RĂ©forme du Parlement 1991 une douzaine de
    commissions permanentes remplacent les
    commissions ad hoc

25
Dix commissions législatives
  • Commissions de politique extĂ©rieure CPE
  • Commissions de la science, de lĂ©ducation et de
    la culture CSEC
  • Commissions de la sĂ©curitĂ© sociale et de la santĂ©
    publique CSSS
  • Commissions de lenvironnement, de lamĂ©nagement
    du territoire et de lénergie CEATE
  • Commissions de la politique de sĂ©curitĂ© CPS
  • Commissions des transports et tĂ©lĂ©communications
    CTT
  • Commissions de lĂ©conomie et des redevances CER
  • Commissions des institutions politiques CIP
  • Commissions des affaires juridiques CAJ
  • Commissions des constructions publiques CCP

26
Deux commissions de contrĂ´le
  • Commissions des finances CdF
  • Commissions de gestion CdG

27
Le ContrĂ´le parlementaire de ladministration CPA
  • Le ContrĂ´le parlementaire de ladministration
    (CPA) est le centre de compétences de lAssemblée
    fédérale en matière dévaluation. Il contribue à
    la haute surveillance parlementaire au moyen
    dexpertises scientifiques et Ă©value la
    conception, la mise en Ĺ“uvre et les effets des
    mesures prises par la Confédération.

28
Autres commissions
  • Commission des grâces
  • Commission de rĂ©habilitation
  • Commission de rĂ©daction
  • Commission judiciaire

29
Effectifs
  • Les commissions du Conseil national se composent
    de 25 membres, tandis que celles du Conseil des
    États en comptent 13.

30
Composition des commissions du Conseil national
(47e)
31
Répartition des sièges de commissions
32
Répartition des sièges (143) au Conseil des Etats
(48e législature)
  • PDC -gt 50
  • PRD -gt 37
  • PS -gt 28
  • UDC -gt 22
  • Verts -gt 6

33
LĂ©tude de LĂĽthi (1996)
  • Les dĂ©putĂ©s passent trois quarts de leur temps au
    sein des commissions
  • Le plĂ©num suit pratiquement toujours les
    propositions de la majorité de sa commission
    (env. 95 des cas)
  • Depuis la rĂ©forme, les commissions du Conseil
    national sont plus souvent confrontées à des
    propositions minoritaires ou Ă  des propositions
    du plénum
  • La rĂ©forme de 1991 a renforcĂ© le parlement face
    au gouvernement

34
Les fonctions du parlement
  • La fonction Ă©lective
  • La fonction de recrutement
  • La fonction lĂ©gislative
  • La fonction de contrĂ´le

35
(No Transcript)
36
(No Transcript)
37
Wesentliche Ă„nderungen
  • Unvereinbarkeiten klar festgehalten
  • Informationsrecht der Ratsmitglieder werden
    normiert (ausgeschlossen Entscheidungsfindung
    Bundesrat, Staatsschutz und Nachrichtendienst,
    Persönlichkeitsschutz)
  • Informationsrechte der Legislativkommissionen
    (analog Ratsmitglieder)
  • Informationsrechte der Aufsichtskommissionen
    (kein Persönlichkeitsschutz)
  • Parlamentarische Vorstösse (auf Auftrag und
    Empfehlung wird verzichtet), Ă„nderungen bei
    Motion, keine Ă„nderungen bei Postulat, parl.
    Initiative (Zustimmung der Kommission des
    Zweitrates erforderlich)
  • Mitwirkung der Bundesversammlung bei der
    politischen Planung (neu gibt es die Möglichkeit
    eines Grundsatz- oder Planungsbeschlusses in Form
    eines einfachen Bundesbeschlusses). Die Ziele der
    Legislaturplanung werden neu in Form eines
    einfachen Bundesbeschlusses verabschiedet.
  • Kommissionen erhalten das Recht konsultiert zu
    werden
  • Information und Konsultation im aussenpolitischen
    Bereich wird verstärkt

38
Impulsion les acteurs responsables
39
Les interventions parlementaires
  • Appel Ă  prendre des mesures ou Ă  lĂ©gifĂ©rer
  • La motion
  • Le postulat
  • Linitiative parlementaire
  • Demande de renseignements adressĂ©e au Conseil
    fédéral
  • Interpellation
  • Question
  • Heures de questions

40
La motion
  • Elle charge le Conseil fĂ©dĂ©ral de dĂ©poser un
    projet dacte de lAssemblée fédérale (loi
    fédérale, arrêté fédéral ou ordonnance) ou de
    prendre une mesure donnée.
  • Laccord de lautre conseil est nĂ©cessaire.
  • Une motion peut ĂŞtre modifiĂ©e par le second
    conseil sur proposition de la majorité de la
    commission chargée de lexamen préalable ou sur
    proposition du Conseil fédéral.
  • Le conseil prioritaire peut approuver la
    modification ou rejeter définitivement la motion.

41
06.3616 - Motion
42
Le postulat
  • Il charge le Conseil fĂ©dĂ©ral dexaminer
    lopportunité, soit de déposer un projet dacte
    de lAssemblée fédérale (loi fédérale, arrêté
    fédéral ou ordonnance), soit de prendre une
    mesure et de présenter un rapport à ce sujet.
  • Il noblige pas le Conseil fĂ©dĂ©ral Ă  prĂ©senter un
    projet dacte de lAssemblée fédérale.

43
06.3631 - Postulat
44
Linitiative parlementaire
  • Linitiative parlementaire permet de dĂ©poser un
    projet dacte (loi fédérale, arrêté fédéral ou
    ordonnance) ou les grandes lignes dun tel acte.
  • Les travaux lĂ©gislatifs incombent alors Ă  une
    commission parlementaire de lun des deux
    conseils.
  • Linitiative parlementaire permet au parlement
    dadopter un projet de loi de manière autonome.

45
06.469 - Initiative parlementaire
46
Linterpellation
  • Elle charge le Conseil fĂ©dĂ©ral dinformer le
    conseil sur une affaire de politique intérieure
    ou extérieure importante concernant la
    Confédération.
  • Il peut ĂŞtre demandĂ© que la rĂ©ponse du Conseil
    fédéral fasse lobjet dun débat.
  • Sous rĂ©serve de laccord du bureau, une
    interpellation peut être déclarée urgente et
    traitée pendant la session en cours, à condition
    davoir été déposée au plus tard au début de la
    troisième séance dune session de trois semaines
    (en règle générale le mercredi de la 1re semaine
    de la session).

47
06.3589 - Interpellation
48
La question
  • Elle charge le Conseil fĂ©dĂ©ral de fournir des
    informations sur une affaire de politique
    intérieure ou extérieure importante concernant la
    Confédération.
  • Le Conseil fĂ©dĂ©ral rĂ©pond par Ă©crit aux
    questions. Celles-ci ne sont pas traitées par le
    conseil.
  • Sous rĂ©serve de laccord du prĂ©sident ou du
    bureau du Conseil national ou du bureau du
    Conseil des Etats, une question peut ĂŞtre
    déclarée urgente.

49
Lheure des questions
  • Au Conseil national, la deuxième et la troisième
    semaine de la session débutent par une heure de
    questions liées aux problèmes dactualité.
  • Les interventions doivent impĂ©rativement avoir
    été déposées avant la fin de la séance du
    mercredi précédent.
  • Les questions sont Ă  rĂ©diger de manière concise
    (quelques lignes au plus, sans développement).
  • La rĂ©ponse, brève, est fournie par le chef du
    département concerné, à condition que lauteur de
    la question soit présent.
  • Ce dernier peut ensuite poser une question
    complémentaire ayant trait au même sujet. Lheure
    des questions dure au maximum 90 minutes.

50
Impulsion destin des motions
51
Le destin des initiatives parlementaires
52
La phase parlementaire
  • Les conseillers
  • La cohĂ©rence des partis
  • Les coalitions
  • Les parlementaires et le peuple

53
Die politische Landkarte des Nationalrats
Quelle Michael Hermann
54
(No Transcript)
55
(No Transcript)
56
La part des propositions du Conseil fédéral
modifiée
Période Projets du Conseil fédéral Projets changés Projets non changés Part des projets changés

1971-1975 312 124 188 39.7
1991-1995 479 211 268 44.1
Quelle Linder 1999203
57
Succès des groupes parlementaires
Source Daniel Schwarz und Wolf Linder (2006)
Formation des majorités et des coalitions au
Conseil national suisse, 1996-2005
58
Positions isolées
Source Daniel Schwarz und Wolf Linder (2006)
Formation des majorités et des coalitions au
Conseil national suisse, 1996-2005
59
Schémas de confrontation
Source Daniel Schwarz und Wolf Linder (2006)
Formation des majorités et des coalitions au
Conseil national suisse, 1996-2005
60
Conclusion de Schwarz/Linder
  • On constate dune manière gĂ©nĂ©rale que les
    élections de 2003 nont ni débouché sur un
    virage à droite , ni incité le PDC et le PRD à
    se rapprocher du camp rose-vert. Aujourdhui, la
    formation des majorités au Conseil national est
    plus hétérogène et plus flexible que jamais, et
    elle nentraîne aucun blocage du processus
    législatif.

61
Etudes Hermann
NZZ am Sonntag, 26. Oktober 2008
62
Analyse (1)
  • Die CVP hat einen Teil ihrer SchlĂĽsselrolle als
    Mehrheitsmacherin eingebĂĽsst. Bis zum Ende der
    letzten Legislatur waren die Christlichdemokraten
    in der komfortablen Lage, dass sie sowohl mit der
    Ratslinken als auch mit der Ratsrechten
    Mehrheiten bilden konnte. Die Mitte-Partei war
    deshalb bei fast 95 Prozent der
    Parlamentsabstimmungen erfolgreich. Wenn CVP und
    SP zusammenspannten, setzten sie sich in vier von
    fünf Fällen durch. In der aktuellen Legislatur
    ist die Mitte-Links-Allianz nicht einmal mehr bei
    jeder zweiten Abstimmung erfolgreich.

63
Analyse (2)
  • Der Mitte-Links-Allianz ist im Dezember 2007
    mit der Abwahl von Bundesrat Blocher zwar ein
    spektakulärer Coup gelungen, im Parlamentsalltag
    hat diese vermeintlich neue Mehrheit jedoch an
    Bedeutung eingebüsst. SP und CVP können sich
    nicht nur seltener durchsetzen, sie haben in den
    vergangenen vier Sessionen auch weniger häufig zu
    Allianzen zusammengefunden. Vor den Wahlen
    spannten CVP und SP bei fast jeder vierten der
    umstrittenen Abstimmungen zusammen, im neuen
    Parlament kam es nur noch bei gut zehn Prozent
    der Abstimmungen zu einer solchen Konstellation.

64
Profilvergleich Parlament Volk
26.5 restriktive Ausländerpolitik -22.3 ausse
npolitische Ă–ffnung -18.7 wirtschaftliche
Liberalisierung -18.2 Regierung Parlament
stärken 10.8 starke Armee Polizei -10.1 Sch
utz der Umwelt - 8.6 gesellschaftliche
Liberalisierung 3.4 sparen Steuern
senken -2.4 starker Sozialstaat
Quelle Michael Hermann
65
3. Les parlements dans les cantons
66
Les noms
  • Kantonsrat (ZH, SZ, OW, ZG, SO, AR)
  • Landrat (UR, NW, GL, BL)
  • Parlament (JU)
  • Grosser Rat/Grand Conseil/Gran Consiglio (ĂĽbrige
    Kantone

67
Landsgemeindekantone
  • Landesgemeindekantone heute AI, GL
  • Landsgemeindekantone frĂĽher UR, SZ, OW, NW, ZG,
    GL, AI, AR

68
Institutionelle Rahmenbedingungen
  • Wahlorgan (Wahlfähigkeit, Wahlberechtigung)
  • Wahlsystem
  • Ermittlung der Mandatsverteilung
  • Wahlkreise
  • Wahlquoren
  • Listen- und Unterlistenverbindungen
  • Kumulieren und Panaschieren
  • Grösse
  • Dauer der Legislatur
  • Kommissionen

Vgl. Vatter 2002 117 ff.
69
Nombres de sièges dans les parlements cantonaux
70
Nombres de sièges dans les parlements cantonaux
Ohne AI und AR Anzahl Sitze 2006 2778
71
4. Les parlements dans les communes
  • Pas beaucoup de diffĂ©rences avec les parlement
    dans les cantons
  • Moins de 20 pourcent des communes ont un
    parlement
  • Plus de parlements locaux en Suisse romande (NE,
    GE)
  • AssemblĂ©e communale ou parlement?

72
The political system of the bigger Swiss
municipalities
Citizens (about 5000 360000 inhabitants)
Direct Elections
Direct Democracy
Local Parliament (20 -125 members)
Local Executive (5 or 7 members)
Mayor
The Mayor is a member of the local executive
73
The political system of the small Swiss
municipalities
Citizens (about 50 20000 inhabitants)
Municipal assembly
Direct Democracy
Direct Elections
Local Executive (5 or 7 members
Mayor
The Mayor is a member of the local executive
74
5. Problèmes et enjeux
  • Les rĂ©formes des districts Ă©lectoraux
  • La taille des parlements
  • Les commissions
  • Support professionnel des parlementaires
  • La planification/gestion politique

75
La planification et le rĂ´le du parlement (au
niveau cantonal)
76
NGP
  • Pilotage politique (les grandes lignes, la
    direction, les normes) renforcé
  • La planification Ă  moyen terme devient
    indispensable!

77
Perte de pouvoir et compensation
  • NGP Transfert de compĂ©tences stratĂ©giques et
    opératives vers lexécutif et ladministration
  • Compensation de la perte dinfluence par de
    nouveaux instruments, des secrétariats
    parlementaires et des commissions permanentes

78
Programme de législature (Legislaturplan)
  • Formulierung der politischen Absichtserklärungen
  • Setzen von politischen Schwerpunkten in
    ausgewählten Aufgabenbereichen
  • Formulierung der politischen Ziele in Form von
    Wirkungszielen
  • Konkretisierung der Massnahmen fĂĽr die jeweiligen
    Produktegruppen
  • Tabellarische Ăśbersicht ĂĽber die finanziellen
    Konsequenzen
  • Gesetzgebungsfahrplan

BrĂĽhlmeier et al. 2001 115 f.
79
Plan intégré dobjectifs et de finances
(Integrierter Aufgaben- und Finanzplan)
  • Prognostizierte, noch nicht korrigierte
    Ist-Entwicklung der Aufgaben
  • GewĂĽnschte, korrigierte Soll-Entwicklung der
    Aufgaben
  • Prognostizierte Ist-Entwicklung der Finanzen
  • GewĂĽnschte, korrigierte Soll-Entwicklung der
    Finanzen
  • Notwendige Massnahmen zum Erreichen der
    Soll-Entwicklung
  • Substanzwert des Finanz- und Verwaltungsvermögens
  • Höhe der Steuersätze und daraus resultierende
    Verschuldung
  • Problemfelder und Handlungsspielräume

BrĂĽhlmeier et al. 2001 117
80
La planification
  • Un Ă©lĂ©ment du travail parlementaire (les autres
    légiférer, haute surveillance, contrôle des
    ressources)
  • Plus importante
  • Un processus mutuelle entre exĂ©cutif et
    législatif

81
Le rôle des parlement le débat
  • http//www.sgp-ssp.net/cont/53.0.html

82
Le programme de legislature
  • Bottom-up?
  • Programme contraignant?
  • Vision politique?
  • Lien avec le plan financier?

83
www.badac.ch
Lindice BADAC du degré de développement du programme gouvernemental mesure quatre critères qui renforcent la valeur contractuelle du programme a) élaboration top-down (C2.12) b) objectifs mesurables (C2.12a) c) liaison entre programme gouvernemental et plan financier (C2.20d) d) programme soumis au parlement pour approbation uniquement0.5, avec possibilité de changement1 (C2.13).
84
Bilan 2004
  • En 2004, Ă  lexception de Saint-Gall, tous les
    cantons ont élaboré au cours de la législature un
    programme gouvernemental du type grandes lignes
    de la politique gouvernementale (BS, ZG
    lélaborent même chaque année).
  • Pour 15 cantons, le mode dĂ©laboration sopère
    plutĂ´t top-down, cest-Ă -dire du Conseil d'Etat
    vers les départements (AI, BE, GE, GL, GR, JU,
    LU, OW, SO, SZ, TG, TI, UR, VD, ZH) et pour 9
    autres plutĂ´t bottom-up.
  • 16 cantons ont la possibilitĂ© de mesurer les
    objectifs quils se sont fixés
  • Et 17 ont liĂ© leur programme gouvernemental au
    plan financier.
  • Dans trois cantons (LU, OW et VD), le programme
    est délibéré et approuvé par le parlement.
  • Trois autres cantons (AG, BL et VS) vont encore
    plus loin puisque le parlement a la possibilité
    de modifier le programme de législature.

85
Comment justifier lintervention du parlement
dans la planification?
  • La phase parlementaire intervient tardivement
  • Une participation du parlement renforce le poids
    de la planification

Sciarini 2004
86
DĂ©bats deux positions
  • Position juridique
  • Les dĂ©cisions du parlement sur la planification
    ont un caractère juridique trop contraignant et
    risquent de violer la répartition des compétences
    entre exécutif et législatif.
  • Il est aussi trop contraignant pour le lĂ©gislatif
    de se lier inutilement.
  • Position politique
  • On peut et il faut lier lexĂ©cutif politiquement.
    Il peut sen Ă©carter mais il doit le justifier.

87
Compatibilité avec nos institutions?
  • Selon Sciarini (2004) incompatibilitĂ© avec nos
    institutions (la concordance, la
    non-responsabilité et lindépendance du
    gouvernement)
  • Pas de programme de coalition! Manque de
    caractère contraignant.
  • Mais la NGP, force lexĂ©cutif et le lĂ©gislatif Ă 
    travailler ensemble dans la définition des
    objectifs stratégiques (cette fois-ci en
    intégrant les objectifs et le financement)

88
Dautres instruments déclaration de
planification du Grand Conseil du canton de Berne
89
Exemple le cas de la stratégie en faveur des
agglomérations
90
BE Loi sur le Grand Conseil (LGC)
91
(No Transcript)
92
Dautres instruments (BE) les mandats
Loi sur le Grand Conseil (LGC)
93
Dautres instruments (BE) arrêté de principe
Constitution du canton de Berne
94
Les commissions
95
(No Transcript)
96
(No Transcript)
97
Rapport gouvernement - parlement
  • Le gouvernement garde la responsabilitĂ© pour la
    planification.
  • Le parlement ne doit/ne peut pas approuver le
    programme de législature et le plan financier, il
    suffit quil en prenne connaissance.
  • Mais il faut des instruments parlementaires pour
    influencer de manière directe ou indirecte la
    planification politique.
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