Le tableau p - PowerPoint PPT Presentation

1 / 34
About This Presentation
Title:

Le tableau p

Description:

Le tableau p riodique – PowerPoint PPT presentation

Number of Views:26
Avg rating:3.0/5.0
Slides: 35
Provided by: Alai72
Category:

less

Transcript and Presenter's Notes

Title: Le tableau p


1
Le tableau périodique
2
Le développement du tableau périodique
  • à lépoque de Mendeleïev, on navait même pas
    encore découvert lélectron
  • Mendeleïev était convaincu que les propriétés des
    éléments avaient une périodicité si lon classait
    les éléments en ordre de masse atomique croissant
  • il avait tellement confiance en la périodicité
    des propriétés quil a proposé que certains
    éléments restaient à être découverts, et il a
    laissé des trous dans son tableau pour les
    accomoder lors de leur découverte
  • il a aussi très bien prédit les propriétés de ces
    éléments qui restaient à être découverts
  • un problème était le fait que lAr (élément 18)
    était plus massif que le Na (élément 19)
  • après la découverte du noyau par Rutherford, on a
    trouvé que le nombre de protons dans le noyaux
    était le critère important (et non pas la masse)

3
La classification périodique des éléments
  • chaque colonne (groupe) du tableau périodique
    moderne partage la même configuration
    électronique pour ses électrons de valence
  • il y a quelques exceptions pour les métaux de
    transition, les lanthanides, et les actinides

4
La classification périodique des éléments
  • les électrons de valence sont les électrons
    périphériques (de la couche de nombre quantique
    principal le plus élevé) dun atome
  • les électrons de valence sont ceux qui
    participent à la formation des liaisons chimiques
  • le fait que chaque membre dun groupe partage le
    même nombre délectrons de valence explique les
    similitudes dans leur réactivité
  • N.B. les propriétés des éléments des groupes IA,
    IIA, et VIIA sont très similaires à travers
    chaque groupe
  • dans les groupes IIIA, IVA, VA, et VIA, les
    propriétés des éléments changent parfois beaucoup
    en descendant le groupe

5
Les configurations électroniques des cations et
des anions
  • dans un composé ionique, le cation dun élément
    représentatif est produit en libérant des
    électrons afin que le cation atteigne la
    configuration électronique dun gaz rare
  • dans un composé ionique, lanion dun élément
    représentatif est produit en acceptant des
    électrons afin que lanion atteigne la
    configuration électronique dun gaz rare

6
Les configurations électroniques des cations et
des anions
  • ces ions des éléments représentatifs et les gaz
    rares sont isoélectroniques (possèdent le même
    nombre délectrons et donc partagent la même
    configuration électronique)
  • pour les métaux de transition, on peut souvent
    trouver plus dun type de cations et ces cations
    souvent ne sont pas isoélectroniques avec un gaz
    rare
  • ex. ni Fe2 ou Fe3 nest isoélectronique avec
    un gaz rare, mais chacun se trouve dans la
    nature
  • même si lorbitale ns se remplit avant lorbitale
    (n-1)d, lorsquun métal de transition forme un
    cation, ce sont les orbitales ns qui se vident en
    premier
  • les orbitales ns et (n-1)d sont très proches en
    énergie, et les interactions électron-électron et
    électron-noyau changent en allant de latome au
    cation, et lordre énergétique entre ns et (n-1)d
    change
  • ex. Mn2 a la configuration Ar3d5 et Zn2 a la
    configuration Ar3d10

7
La charge nucléaire effective
  • la charge nucléaire effective, Zeff, est la
    charge positive vue par un électron de valence
  • Zeff ? Z (où Z est la charge nucléaire) car les
    autres électrons forment un écran entre les
    électrons de valence et le noyau
  • Zeff Z - ? où ? est la constante décran
  • comme exemple de limportance de leffet écran,
    considère les deux énergies dionisation de lHe
  • le premier électron est arraché avec 2373 kJ
    dénergie
  • ça prend 5251 kJ pour enlever le deuxième
    électron
  • sans leffet écran, les deux énergies
    dionisation seraient identiques

8
La charge nucléaire effective
  • tous les électrons contribuent à leffet écran,
    mais dans le modèle le plus simple, ? est le
    nombre délectrons dans les couches avec des
    nombres quantiques principaux inférieurs à celui
    des électrons de valence
  • ex. Mg 1s22s22p63s2 Z 12, ?
    10, Zeff 2
  • ex. Mg2 1s22s22p6 Z 12, ?
    2, Zeff 10
  • N.B. ces charges nucléaires effectives sont
    celles vues par les électrons de valence (n 3
    pour latome, et n 2 pour le cation, dans ces
    exemples)
  • pour un atome neutre dun élément représentatif,
    la charge nucléaire effective est le numéro du
    groupe (selon ce modèle simple)

9
Le rayon atomique
  • le rayon est une propriété mal définie car la
    densité électronique, en principe, sétend
    jusquà linfini
  • on peut estimer la taille dun atome à partir des
    données expérimentales
  • dans un métal, le rayon atomique est la moitié de
    la distance qui sépare deux atomes adjacents
  • pour un élément qui existe comme une molécule
    diatomique, le rayon atomique est la moitié de la
    longueur de la liaison

10
Le rayon atomique
  • en allant de gauche à droite, les rayons
    atomiques des éléments tendent à devenir plus
    petits
  • le plus petit rayon atomique est dû à
    laugmentation de la charge nucléaire effective
    en allant de gauche à droite
  • les électrons de valence sont retenus plus près
    du noyau par sa plus grande charge nucléaire
    effective

11
Le rayon atomique
  • en descendant un groupe, le rayon atomique
    augmente
  • lorsquon descend un groupe, la charge nucléaire
    effective vue par les électrons de valence
    demeure plus ou moins la même
  • cependant, les électrons de valence occupent un
    niveau quantique principal plus élevé et leur
    distance moyenne du noyau augmente

12
Le rayon ionique
  • le rayon ionique est le rayon dun cation ou dun
    anion
  • lorsquun atome devient un anion, sa taille
    augmente car laugmentation de la répulsion entre
    les électrons cause les électrons à occuper un
    plus grand volume
  • lorsquun atome devient un cation, linverse se
    produit, et le rayon diminue
  • en plus, dans plusieurs cas, on vide un niveau
    quantique principal n entièrement et la couche de
    valence devient celle avec le nombre quantique
    principal (n-1)

13
Le rayon ionique
  • même si N3-, O2-, F-, Na, Ca2, et Al3 sont
    isoélectroniques, leurs rayons ioniques sont très
    différents à cause de leurs charges nucléaires
    effectives
  • leur configuration est 1s22s22p6 et ?2 donc Zeff
    5, 6, 7, 9, 10, et 11, respectivement, en
    allant de N3- à Al3
  • une plus grande charge effective nucléaire attire
    les électrons plus fortement et le rayon ionique
    devient plus petit

14
Le rayon ionique
  • N.B. les rayons atomiques et ioniques peuvent
    être très différents

15
Les rayons atomiques et ioniques
  • Exemple Classez les atomes suivants par ordre
    décroissant de leurs rayons C, Li, Be.
  • Solution En général, le rayon diminue en allant
    de gauche à droite, donc Li gt Be gt C
  • Exemple Dites quel ion est le plus petit dans
    chacun des couples suivants (a) K, Li (b)
    Au, Au3 (c) P3-, N3-
  • Solution (a) Li, car le niveau
    quantique rempli est n1 plutôt que n3 pour K
    (b) Au3 car il y aura moins de répulsion entre
    les électrons (c) N3- car le
    niveau quantique rempli est n2 plutôt que n3
    pour P3-

16
Lénergie dionisation
  • lénergie dionisation est lénergie minimale
    requise pour arracher un électron dun atome
    gazeux à létat fondamental énergi
    e X(g) ? X(g) e-
  • plus lénergie dionisation est élevée, plus il
    est difficile darracher un électron de latome
  • on a aussi les deuxième, troisième, ., énergies
    dionisation énergie X(g) ?
    X2(g) e- énergie X2(g) ? X3(g)
    e- .
  • ça devient plus difficile darracher les
    deuxième, troisième, ., électrons car la
    répulsion entre les électrons diminue après
    chaque ionisation et il est très difficile de
    séparer un électron dun cation dû à
    linteraction électrostatique favorable entre ces
    deux charges opposées

17
Lénergie dionisation
  • lénergie dionisation diminue en descendant un
    groupe
  • la charge nucléaire effective ne change pas, mais
    lélectron de valence qui est enlevé est plus
    loin du noyau, et donc plus faiblement retenu
  • lénergie dionisation augmente, en général, en
    allant de gauche à droite dans le tableau
    périodique
  • en allant de gauche à droite, la charge nucléaire
    effective augmente et lélectron de valence qui
    est enlevé est plus fortement retenu

18
Lénergie dionisation
  • il y a deux exceptions en allant de gauche à
    droite
  • un élément du groupe IIIA (ns2np1) est plus
    facile à ioniser quun élément du groupe IIA
    (ns2)
  • pour lélément du groupe IIIA, on enlève
    lélectron dune orbitale np qui est plus haute
    en énergie que lorbitale ns de lélément du
    groupe IIA
  • la plus grande charge effective redevient le
    facteur dominant quand on parvient au groupe IVA

19
Lénergie dionisation
  • un élément du groupe VIA (ns2np4) est plus facile
    à ioniser quun élément du groupe VA (ns2np3)
  • pour lélément du groupe VIA, on a deux électrons
    dans une des orbitales np, et ces deux électrons
    subissent une forte répulsion et un des deux est
    donc plus facilement enlevé que les électrons np
    de lélément du groupe VA qui occupe chacun tout
    seul une orbitale np
  • la plus grande charge effective redevient le
    facteur dominant quand on parvient au groupe VIIA

20
Le caractère unique de la deuxième période
  • les éléments de la deuxième période sont le Li au
    F
  • les propriétés du premier membre de chaque groupe
    représentatif sont souvent très différentes des
    autres membres du groupe, i.e., le premier membre
    est unique
  • eg. la chimie du Si ressemble beaucoup plus à
    celle du Ge quà celle du C
  • eg. la capacité à former de bonnes liaisons
    doubles est limitée presque exclusivement aux
    atomes de la deuxième période
  • cet effet est surtout dû au relativement très
    petit rayon atomique du premier membre du groupe

21
La parenté diagonale
  • la parenté diagonale fait référence aux
    similitudes qui existent entre deux éléments
    immédiatement voisins de différents groupes et de
    différentes périodes du tableau périodique (ie.,
    en diagonal)
  • leffet est surtout important pour le Li/Mg,
    Be/Al, et B/Si
  • leffet est en grande partie dû au fait que les
    rapports charge/rayon de leurs cations sont très
    similaires

22
Lhydrogène (1s1)
  • lhydrogène agit parfois comme un métal alcalin
    dans le sens quil perd un électron pour devenir
    H
  • N.B. H, cependant, nexiste pas tout seul et
    formera toujours des composés covalents, et non
    pas ioniques
  • lhydrogène agit parfois comme un halogène car il
    forme lion H- qui se trouve dans les hydrures
    ioniques (qui se forment seulement avec des
    métaux qui sont très peu électronégatifs)
  • les hydrures ioniques réagissent avec leau pour
    donner un hydroxyde et du H2(g)
    eg. CaH2(s) 2 H2O(l) ? Ca(OH)2(aq) 2
    H2(g)
  • lhydrogène réagit avec lO2(g) pour donner
    leau 2 H2(g) O2(g) ? 2 H2O(l)

23
Les éléments du groupe IA (ns1, n?2)
  • les membres du groupe IA sont les métaux alcalins
  • tous les métaux alcalins ont une faible énergie
    dionisation
  • dans presque tous leurs composés, le métal
    alcalin est un cation de charge 1
  • les métaux alcalins sont trop réactifs pour les
    trouver dans leur état natif (i.e., non combiné
    avec dautres éléments)
  • les métaux alcalins réagissent avec leau pour
    donner le H2(g) et lhydroxyde du métal
    correspondant 2 M(s) 2 H2O(l) ? 2
    MOH(aq) H2(g)
  • les métaux alcalins réagissent avec lO2(g) pour
    donner un mélange doxydes (O2-), de peroxydes
    (O22-), et de superoxydes (O2-)
  • 4 Li(s) O2(g) ? 2 Li2O(s)
    (oxyde) 2 Na(s) O2(g) ? Na2O2(s)
    (peroxyde) K(s) O2(g) ? KO2(s)
    (superoxyde)
  • les oxydes sont plus communs pour les petits
    métaux alcalins et les peroxydes et superoxydes
    deviennent plus communs avec les plus gros métaux
    alcalins

24
Les éléments du groupe IIA (ns2, n?2)
  • les membres du groupe IIA sont les métaux
    alcalino-terreux
  • les métaux alcalino-terreux sont moins réactifs
    que les métaux alcalins
  • leurs énergies dionisation sont plus élevées que
    celles des métaux alcalins
  • dans presque tous les composés, le métal
    alcalino-terreux est un cation de charge 2
  • les hydrures du Ca, Sr, et Ba sont ioniques (ceux
    de Be et Mg sont covalents)
  • la réactivité des métaux alcalino-terreux avec
    leau et loxygène moléculaire augmente en allant
    du Be (pas de réaction) au Ba (réaction
    rapide) Ba(s) 2 H2O(l) ?
    Ba(OH)2(aq) H2(g) 2 Ba(s) O2(g) ? 2
    BaO(s)
  • tous les métaux alcalino-terreux réagissent avec
    un acide pour produire le H2(g) M(s)
    2 H(aq)?? M2(aq) H2(g)

25
Les éléments du groupe IIIA (ns2np1, n?2)
  • le B est un métalloïde
  • tous les autres membres du groupe sont des métaux
  • lAl forme seulement des cations de charge 3
  • le Ga, In, et Tl forment des cations de charges
    1 et 3 (le cation de charge 1 devient plus
    commun/stable lorsquon descend le groupe)
  • le B ne réagit pas avec leau ou loxygène
    moléculaire
  • lAl réagit avec loxygène moléculaire 4
    Al(s) 3 O2(g) ? 2 Al2O3(s)
  • lAl réagit avec un acide 2 Al(s) 6
    H(aq) ? 2 Al3(aq) 3 H2(g)

26
Les éléments du groupe IVA (ns2np2, n?2)
  • le C est un non-métal
  • le Si et le Ge sont des métalloïdes
  • le Sn et le Pb sont des métaux
  • létain et le plomb réagissent avec des solutions
    acides eg. Sn(s) 2 H(aq) ? Sn2(aq)
    H2(g)
  • lorsquon descend le groupe, létat doxydation
    4 devient moins stable et létat doxydation 2
    devient plus stable eg. CO2(g) est plus
    stable que CO(g), mais PbO(s) est plus
    stable que PbO2(s)
  • le fait que létat doxydation 2 devienne plus
    stable dans ce groupe (et 1 dans le groupe IIIA)
    lorsquon descend est dû au fait les électrons ns
    ne réagissent pas (leffet de la paire
    délectrons s inerte)
  • les états doxydation les plus stables lorsquon
    descend les groupes VA et VIA seront 3 et 4,
    respectivement, pour la même raison

27
Les éléments du groupe VA (ns2np3, n?2)
  • les éléments du groupe VA sont les pnicogènes
  • le N et le P sont des non-métaux
  • lAs et le Sb sont des métalloïdes
  • le Bi est un métal
  • lazote se trouve sous forme de N2(g)
  • le phosphore se trouve sous forme de P4(s) (le
    phosphore blanc) ou un polymère (le phosphore
    rouge)
  • dans les composés ioniques, lazote se trouve
    sous forme de lion nitrure, N3-
  • lazote a plusieurs oxydes NO, N2O, NO2, N2O4,
    et N2O5
  • le phosphore a deux oxydes P4O6 et P4O10
  • on obtient des oxacides lorsque certains de ces
    oxydes réagissent avec leau
    N2O5(s) H2O(l) ? 2 HNO3(aq) P4O6(s) 6
    H2O(l) ? 4 H3PO3(aq) P4O10(s) 6 H2O(l) ? 4
    H3PO4(aq)

28
Les éléments du groupe VIA (ns2np4, n?2)
  • les éléments du groupe VIA sont les chalcogènes
  • lO, le S, et le Se sont des non-métaux
  • le Te et le Po sont des métalloïdes
  • loxygène se trouve sous forme de O2(g)
  • le soufre et le sélénium se trouvent sous forme
    de S8 et Se8
  • dans les composés ioniques, loxygène se trouve
    sous forme de lanion oxyde, O2-
  • les principaux composés du soufre sont le SO2,
    SO3, H2S, et H2SO4
  • le SO3(g) réagit avec leau pour donner lacide
    sulfurique SO3(g) H2O(l) ?
    H2SO4(aq)

29
Les éléments du groupe VIIA (ns2np5, n?2)
  • les éléments du groupe VIIA sont les halogènes
  • tous les halogènes sont des non-métaux
  • les halogènes se trouvent tous sous forme
    diatomique mais on ne les trouve jamais à létat
    natif car ils sont trop réactifs
  • le F2 et le Cl2 sont des gaz, le Br2 est un
    liquide, et le I2 est un solide
  • le F2 est si réactif quil réagit avec leau 2
    F2(g) 2 H2O(l) ? 4 HF(aq) O2(g)
  • les halogènes peuvent réagir ensemble pour
    produire des halogènes mixtes (eg. ICl, BrF3)
  • les halogènes aiment former des anions de charge
    -1 appellés halogénures
  • tous les halogènes réagissent avec le H2(g)
    X2(g) H2(g) ? 2 HX(g)
  • HF est un acide faible tandis que HCl, HBr, et HI
    sont des acides forts

30
Les éléments du groupe VIIIA
  • les éléments du groupe VIIIA sont les gaz rares
  • tous les gaz rares se trouvent sous forme de gaz
    monoatomique
  • les gaz rares ont des très grandes énergies
    dionisation et des affinités électroniques qui
    sont presque nulles
  • les gaz rares ne veulent pas donner ou accepter
    des électrons, donc ils sont très peu réactifs
  • on a réussi à synthétiser plusieurs composés de
    Xe et quelques composés de Kr
  • le Xe et le Kr ont des plus basses énergies
    dionisation que les autres gaz rares, donc un
    oxydant fort peut induire le Kr et (surtout) le
    Xe à réagir
  • ex. XeF4, XeO3, XeO4, XeOF4, et XePtF6 (le
    premier composé dun gaz rare)

31
Les propriétés des oxydes dans une période
  • prenons la troisième période comme exemple (Na à
    Cl)
  • le Na2O, MgO, et Al2O3 sont des composés ioniques
  • le SiO2 est un polymère covalent
  • P4O10, SO3, et Cl2O7 sont des molécules
    covalentes distinctes
  • le Na2O et MgO sont des oxydes basiques car le
    premier réagit avec leau et le deuxième réagit
    avec lacide (MgO ne réagit pas avec leau car il
    est insoluble) Na2O(s) H2O(l) ? 2
    NaOH(aq) MgO(s) 2 HCl(aq) ? MgCl2(s)
    H2O(l)
  • le Al2O3 est un oxyde amphotère car il réagit
    avec les acides et les bases Al2O3(s)
    6 HCl(aq) ? 2 AlCl3(aq) 3 H2O(l) Al2O3(s)
    3 NaOH(aq) 3 H2O(l) ? 2 NaAl(OH)4(aq)

32
Les propriétés des oxydes dans une période
  • le SiO2 est insoluble dans leau, mais il réagit
    avec les bases, et il est donc un oxyde acide
    SiO2(s) 2 NaOH(aq) ? Na2SiO3(aq) H2O(l)
  • pour cette raison, on ne doit pas garder une base
    une contenant de verre
  • le P4O10, le SO3, et le Cl2O7 sont des oxydes
    acides car ils réagissent avec leau pour
    produire des oxacides
  • un oxacide (XOnHm) devient un acide plus fort
    lorsque le nombre doxygènes non-liés à des
    hydrogènes (n-m) augmente et lélément central
    (X) devient plus électronégatif (la valeur de m
    na aucun effet)
  • une base M(OH)n devient une base plus forte
    lorsque M devient moins électronégatif et le
    rayon de M devient plus grand (la valeur de n na
    aucun effet)

33
(No Transcript)
34
(No Transcript)
Write a Comment
User Comments (0)
About PowerShow.com