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Ent robact ries 1 - D finition des ent robact ries La famille des ent robact ries se d finit par les caract res suivants : 1- bacilles Gram n gatif ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Ent


1
Entérobactéries
2
  • 1 - Définition des entérobactéries
  • La famille des entérobactéries se définit par
    les caractères suivants 
  • 1- bacilles à Gram négatif (2 à 4 µm de long
    sur 0,4 à 0,6 µmde large),
  • 2 - mobiles avec ciliature péritriche ou
    immobiles,
  • 3 - poussant sur milieux de culture
    ordinaires,
  • 4 - aérobies - anaérobies facultatifs ( AAF),
  • 5 -fermentant le glucose avec ou sans
    production de gaz,
  • 6 - réduisant les nitrates en nitrites,
  • 7 - oxydase négatif.

3
  • 2 - Caractères bactériologiques
  • 1 - Morphologie
  • habituellement typique
  • bacilles à Gram négatif
  • de 2-4 µ X 0,4-0,6 µ,
  • mobiles (péritriches) ou immobiles
    (Klebsiella),
  • quelquefois capsulés (Klebsiella).
  • 2 - Culture
  • poussent facilement sur les milieux usels en
    24 h à 37 C en aérobiose et en anaérobiose
  • 3 Biochimie
  • caractères communs glucose , oxydase -,
    nitrates ? nitrites sinon gde diversité
    enzymatique ? identification biochimique.

4
  • 4 - Structure antigénique
  • Antigènes O Ag de paroi toujours
    présents Antigènes H Ag flagellaires Ant
    igènes K Ag de capsule ou d'enveloppe
  • Localisation des antigènes H, 0 et K dans une
    entérobactérie  
  • Professeur A. PHILIPPON -Faculté de Médecine
    COCHIN-PORT-ROYAL, Université PARIS V

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  • Antigènes O antigènes de la paroi des
    entérobactéries sont
  • - thermostables (résistants 2 heures à un
    chauffage à 100C) - une fraction protéinique
    rend le complexe antigénique - une fraction
    polyosidique détermine la spécificité de
    l'antigène - très toxiques (1/20 de mg
    suffit pour tuer la souris en 24 h) une fraction
    lipidique liée au polyoside, est responsable de
    la toxicité (endotoxine)
  • Injecté à l'homme ou à l'animal, l'antigène 0
    provoque de la fièvre, une leucopénie suivie
    de leucocytose avec lymphopénie et éosinopénie
    (cf fièvre typhoïde et choc endotoxinique). -
    peuvent permettre l'agglutination en présence
    d'un immunsérum spécifique.
  • L'étude de ces antigènes permet de classer en
    sérotype ou sérovar, les bactéries appartenant
    à une espèce. Elle revêt une grande signification
    clinique et épidémiologique

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  • Antigènes H Antigènes flagellaires  - de
    nature protéique - thermolabiles, détruit par
    l'alcool à 50 et par les enzymes
    protéolytiques - agglutination en
    présence d'un immunsérum spécifique
  • L'étude des différents antigènes permet
    d'établir la fiche d'identité antigénique de
    certains germes dont les Salmonella
    intérêt épidémiologique

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  • 3 Classification
  • Genre Espèces
  • Escherichia E. coli
  • Shigella S. dysenteriae, S. sonnei, S.
    boydii, S.flexneri
  • Salmonella S. enterica sérotype Typhi.. gt
    2000 sérotypes
  • Klebsiella K. pneumoniae, K. oxytoca.
  • Enterobacter E. cloacae, E. aerogenes.
  • Serratia S. marcescens
  • Proteus P. mirabilis, P. vulgaris
  • Providencia P. rettgeri, P. stuartii.
  • Morganella M. morganii
  • Citrobacter C. freundii..
  • Hafnia H. alvei
  • Yersinia Y.pestis, Y. enterocolitica,
    Y.pseudotuberculosis

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  • 4 Habitat - Pouvoir pathogène
  • ? largement retrouvés sur les plantes,dans le
    sol,leau et le TD de lhomme et des animaux
    doù leur nom
  • (exception S.Typhi que chez lhomme)
  • ? constituent 1 part prépondérante de la flore
    intestinale de lhomme
  • ? st retouvées ds ts les pts
  • rôle majeur ds infections nosocomiales
    (40),prédominance d E. coli
  • ? 50 septicémies  70 IU
  • ? critère de gravité  svt R multiple aux ATB
  • 1 Pathogènes opportunistes
  • Beaucoup peuvent à des degrés divers, être
    agressives pour l'homme

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  • 2 - Pathogenes spécifiques Ce sont les
    Salmonella, les Shigella, certains pathovars d
    Escherichia coli et les Yersinia (yersiniose,
    peste).
  • 5 - Diagnostic
  • 1 - Direct recherche de la bactérie à partir
    d'un produit pathologique 1-1- Prélèvements
  • Urines, Sang, Selles, LCR, Expectoration
    ...................
  • 1-2 - examen macroscopique 1-3 - examen
    microscopique 1-4 - isolement 1-5 -
    identification biochimique, quelquefois
    antigénique
  • 2 - Indirect Sérodiagnostic

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  • ESCHERICHIA COLI
  • I Taxonomie
  • Famille  Enterobacteriaceae
  • Genre Escherichia
  • Espèce type  E .coli
  • Autres espèces (incidence faible 1) 
  • E. hermanii
  • E. vulneris
  • E. fergusonii

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  • II Habitat Pouvoir pathogène
  • ? commensale TD
  • espèce dominante flore aérobie  107108/g de
    selles chez ladulte.
  • ? bon indicateur de pollution fécale
  • ? pouvoir patho. important et varié 
    infections intestinales et extra- intestinales 
    IU , suppurations diverses, méningites et
    septicémies
  • ? les souches pathogènes ont des ptés
    spécifiques (toxines,
  • facteurs de colonisation.) qui permettent de
    les regrouper dans des  pathovars  (
    variétés pathogènes).
  • Chaque pathovar est associé à 1 syndrome
    infectieux spécifique ? identifier les
    pathovars

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  • II-1 - E. coli responsables dinfections
    intestinales
  • 6 pathovars
  • a - EPEC E.COLI entéropathogènes
  • Autrefois ? infections intestinales
    infantiles graves ds le monde
  • Maintenant ? cause importante de diarrhées
    infantiles ds les gdes villes des pays en
    voie de dvpt
  • Clinique
  • Apparition brutale
  • Emission de selles aqueuses contenant du
    mucus  pas de leucos ni de GR
  • fréquemment fièvre, malaise, vomissements (
    6 à 18 mois)

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  • Pouvoir pathogène
  • adhésion aux entérocytes de l I grêle par
    fimbriae ( pili)
  • (sous la dépendance d 1 gène chromosomique
    appelé eaf)
  • puis destruction des microvillosités de la
    bordure en brosse de l entérocyte (lésion
    sous la dépendance d 1 gène chromosomique
    appelé eae)
  • 12 sérotypes d EPEC
  • il est nécessaire de mettre en évidence les
    facteurs de pathogénicité ( détection des
    gènes eae et eaf)

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  • b - ETEC E.COLI entérotoxinogènes
  • ? principale cause de diarrhées infantiles ds
    pays en voie de dvpt
  • ? fréquemment resp. de la diarrhée du
    voyageur (  turista )
  • Clinique
  • Diarrhée liquidienne aiguë  crampes abdo 
    nausée  fièvre légère
  • Contamination par ingestion de nourriture ou
    deau contaminée.
  • Pouvoir pathogène
  • ? adhésion, colonisation des entérocytes
  • ? sécrétion de 2 types d entérotoxines 
  • 1 toxine LT, thermolabile ( structure
    cplexe et ptés très voisines de la toxine
    cholérique)
  • 1 toxine ST
  • Recheche des entérotox. par réaction
    immunologique

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  • c- EIEC E.COLI entéroinvasifs
  • ? pathogènes pr enfants et adultes
  • ? syndrome dysentérique identique à celui ?
    Shigelles
  • fièvre, diarrhée sanglante et purulente
  • ? dose minima infectante 108 bies ( 102 à
    103 pr Sh. dysenteriae)
  • ? incidence faible ( diff. à identifier 
    confusion possible avec Shigella)
  • Pouvoir pathogène
  • Invasion et multiplication ds cellules
    épithéliales du colon
  • Avant l invasion  action d 1 entérotoxine
    et/ou 1 cytotoxine qui ? diarrhée

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  • d - EHEC E.COLI entérohémorragiques
  • ? colites hémorragiques sporadiques ou
    épidémiques
  • pvt se compliquer (surtt chez lenfant) dun
  • syndrome hémolytique urémique (SHU) ? IRA
  • ? 1ers cas USA (1982) dûs à E. coli O157  H7
  • ds viande de hamburgers
  • ? actuellement, majorité des souches
    appartiennent au sérogroupe O157
  • rarement O111, O26, O103, O55 et O128.

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  • Clinique
  • ? symptômes principaux  diarrhée aqueuse
    suivie d 1 colite hémorragique ( crampes abdo
    diarrhées sanglantes)  surtt jeune enfant
    et vieillard
  • ? pas de fièvre
  • ? pas de leucocytes ds les selles ( ? EIEC ou
    Shigella)
  • ? ds de 10 des cas  aggravation EG et
    évolution vers SHU où IRA purpura
    thrombocytopénique.
  • ? taux de mortalité peut ? 35
  • ? séquelles rénales fréquentes et durables.

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  • Pouvoir pathogène
  • Adhérence des bies aux CE humaines synthèse
    d exotoxines
  • ? les exotoxines st appelées   Shiga like
    toxins I et II  SLT-I et SLT-II ou Stx1 et
    Stx appelées aussi Vérotoxines VT I et VT II
    car action sur les cellules Véro
  • elles pvt diffuser par voie systémique à
    partir de l intestin et ont une affinité
    particulière pour les cellules du parenchyme
    rénal.
  • e - E. coli entéroaggrégatifs
  • ? diarrhées nourrisson et jeune enfant ds les
    pays émergents
  • troubles intestinaux identiques EPEC ms
    plus persistants.
  • f - E. coli à adhésion diffuse

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  • II-2 - E. coli responsables dinfections
    urinaires
  • ? E.coli responsables de la majorité des IU
    sur 1 arbre urinaire anatomiquement normal
    (cystites,pyélites, pyélonéphrites)
  • ? appartiennent à cert. sérogpes et ont en
    majorité des spécificités de lAg K (K1, K2,
    K3, K5 et K12)
  • ? pouvoir pathogène  adhérence aux cellules
    uroépithéliales grâce à des adhésines
  • autres facteurs  hémolysines,
    sidérophores.

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  • II- 3 Autres
  • septicémies 50
  • méningites 4 ( n.nés  neurochir.)
  • E. coli K1 ( possède lAg capsulaire K1)
  • ? 80 méningites néonatales et 40
    septicémies
  • Ag K1 polymère dacide N acétyl
    neuraminique ayant 1 activité
    antiphagocytaire importante et 1 communauté Ag
  • avec le polysaccharide B du Méningo
    (agglutination croisée)
  • contient des facteurs cytotoxiques et
    nécrotiques.
  • suppurations abdo. qd appendicites,
    cholécystites et péritonites.
  • prostatites
  • infections ostéoarticulaires

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  • III Diagnostic biologique.
  • uniquement direct
  • 1- Prélèvements
  • urines, hémocultures, LCR,selles,
    suppurations..
  • 2- Isolement
  • facile
  • milieux ordinaires  gélose nutritive, BCP
    .
  • Incubation 18 heures à 37C E.coli
    sur GS
  • Col. Rondes, 2 à 3 mm de diamètre
  • Autres milieux  Mac Conkey,
    Drigalski, CLED
  • Milieux chromogènes

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  • 3- Identification
  • espèce  caractères biochimiques
  • Exemple de galerie Api20E, appliquée sur
    Escherichia coli
  • ou spectrométrie de masse
  • sérotypes,sérogroupes
  • pas indispensable
  • par agglutination sur lame ( antisérums pr
    EPEC, EHEC)
  • recherche de facteurs de pathogénicité

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  • IV Sensibilité aux ATB. Traitement
  • Gpe 1 des Entérobactéries
  • R acquise stable
  • 30 à 50 R Ampi par production dune
    ßlactamase plasmidique.
  • Traitement fonction de la localisation 
  • -IU  ATB à bonne diffusion urinaire,dose et
    durée suffisante.
  • Cystite  ttt court,dose unique
  • - Infections extra-intestinales localisées 
    en général monothérapie
  • Si méningite ou septicémie  ßlactamine
    aminoside
  • - Infections intestinales  base du ttt
    réhydratation

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  • SALMONELLA
  • I - Considerations taxonomiques
  • Genre Salmonella phylogénétiquement proche
    des Escherichia et des Citrobacter.
  • Hybridations ADN ADN ? 2 espèces
    génomiques ds le genre Salmonella 
  • Salmonella enterica, espèce habituelle.
  • Salmonella typhi devient Salmonella enterica
    sous espèce enterica sérotype Typhi ou
    simplement Salmonella sérotype Typhi.

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  • II - Habitat Pouvoir pathogène
  • II- 1 Habitat
  • st essentiellement des parasites intestinaux
    des vertébrés.
  • Sous espèce enterica adaptée aux animaux à
    sang chaud et à l homme
  • sérotypes strictement humains 
  • ex  Typhi, Paratyphi A, Sendai.
  • L homme se contamine par ingestion d eau
    ou d aliments contaminés
  • ( contamination fécale d origine humaine)
  • Paratyphi A  bactérie importée, non
    implantée en France.
  • Foyers français de Typhi st de en
    nombreux  la plupart des cas st importés du
    Magreb en Sept Oct.
  • sérotypes strictement animaux 
  • ex  Abortus-ovis ( ovins) et Gallinarum
    Pullorum ( volaille)
  • sérotypes ubiquistes 

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  • II- 2 Pouvoir pathogène.
  • II-2-1 la fièvre typhoïde
  • S. Typhi entre par le tractus digestif.
  • La part des bies st inactivées par l
    acidité gastrique.
  • S. Typhi franchit la barrière épith
    rapidement (15mn) et massivement.
  • ? dégénérescence de qq cellules ? trous ds
    lépith.
  • ? contact avec Ly et macrophages de la sous
    muqueuse ? grossissement plaques de Peyer ?
    douleurs abdo.
  • Phagocytées par cellules du SRE où
    longtemps.
  • S accumulent ds gg lymphatiques, rate, foie,
    MO.
  • Qq bies ? vésicule biliaire où échappent à tt
    méca immunitaire
  • Bile infectée cause de réinfection continue
    de lintestin.
  • Les Salmonelles survivent ds les macrophages
    pal moyen de dissémination extradigestive (
    tuées facilement par polys neutros)
  • incubation  1 à 2 semaines puis bactériémie
    et symptômes cliniques
  • maladie fonction de l inoculum
  • 50 à 80 des cas  excrétion ds selles

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  • II-2-2 les autres salmonelloses
    entérocolites
  • pathogénie mal connue
  • 1 entérotoxine est produite ms n explique
    pas tout.
  • II- 2- 3 Gènes de pathogénicité
  • III - DIAGNOSTIC
  • III-1 Diagnostic direct
  • III-1-1 - Prélèvements
  • A typhoïde
  • - sang ( hémocultures ) pt essentiel
  • - selles ( coprocultures)
  • - occasionnellement ? liq. biologiques ( pus,
    LCR, urine, liq. d épanchement)

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  • ? hémoc POS. 75 des malades 1ère semaine
    surtt.
  • il faut faire 3 hémocs à 1 ou 2 jours
  • bies en faible nb ( 1 à 10 /ml) ?
    prélever 10 ml et les diluer
  • au 1/5 ou au 1/10ème.
  • ? copro NEG.début 1ère semaine
  • peut rester lgtps POS. ( convalescents,
    porteurs sains)
  • ? ttt ATB ? les chances d isolement
  • ? hémoc copro diagnostic ds 90 des cas.
  • B Salmonelles ubiquistes
  • - selles et autres pts selon le type d
    infection.
  • - si épidémies  recherche ds les aliments

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  • III -1- 2 Isolement
  • la part des Salmonelles ne st pas exigeantes.
  • ? si prélèvement monomicrobien  (sg, LCR) 
    milieux ordinaires
  • ? pts polymicrobiens ( selles)  milieux
    sélectifs obligatoires ( ex SMID)
  • III -1-3 Identification de lespèce
  • biochimie, spectro. de masse.
  • III 1-4 Identification du sérotype
    déterminations
  • des Ag O et H.
  • étape indispensable après 1 identification
    bioch précise ( Ag somatiques communs à
    plusieurs germes)
  • réaction d agglutination sur lame avec 1
    culture humide ( surtt pr AgH)

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  • III-2 Serodiagnostic WIDAL ET FELIX
  • que pr la fièvre typhoïde.
  • Suspensions standardisées O et H
  • - suspension O et H de S. Typhi TO TH.
  • - suspension O et H de S. para A AO
    AH.
  • - suspension O et H de S. para B BO
    BH.
  • Réactions d agglutination en tubes
  • Négatif 1ère semaine de la maladie
  • apparition des Ac antiO ? 800 à 1600
  • puis anti H ? 3200
  • O disparaissent  H persistent

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  • IV - Resistance aux antibiotiques Traitement
  • ATB utilisés ds la fièvre typhoïde  Ampi,
    Chloramphénicol, Sxt
  • R au C ( plasmidique) apparue en Inde
    (1970)
  • Puis souches R au C et Ampi (Mexique 1972) ?
    utilisation du Sxt
  • Et souches R C et Sxt (1981) R plasmidique
  • 1984  souches R Ampi, C et Sxt
  • alternative fluoroquinolones ms onéreuses
    pr pays en voie de dvpt et pas utilisables chez
    les enfants.
  • S. Typhi reste très sensible aux autres ATB
    actifs sur les bg-
  • Les autres Salmonelles  résistance ? Ampi,
    AMC, Sxt, cyclines.
  • BLSE exceptionnelle
  • Pb du portage ( enfants, cuisine) . Faut-il
    traiter ?

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  • V - Prophylaxie
  • La prévention repose sur 
  • - surveillance épidémio nationale
  • - réduction de la dissémination
  • - vaccination  obligatoire pr personnes
    exposées
  • injection parentérale de bies tuées
  • ? TAB  mal toléré, efficacité discutée
  • ? nouveau vaccin à base de polysaccharide Vi
    Typhim Vi
  • effet protecteur 3 ans,gt TAB,
    uniquement pour Typhi
  • tx de protection 60 en zone d
    endémie
  • tolérance très bonne
  • VO vaccin vivant
  • ? résultats satisfaisants (Egypte)
  • surtt efficace en zone d endémie

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  • SHIGELLA
  • I TAXONOMIE
  • Famille des Enterobactéries
  • Genre Shigella
  • 4 espèces  Sh. dysenteriae ? 13 sérotypes
    ou sérovars désignés par des chiffres
  • Sh. flexneri ? 8 sérotypes
  • Sh. boydii ? 18 sérotypes
  • Sh. sonnei ? 1 sérotype
  • Hybridation ADN ? espèces des genres Shigella
    et Escherichia appartiennent au même gpe
    génomique
  • ? Caractères ? Shigella / Escherichia peu
    nbx 

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  • II - POUVOIR PATHOGENE
  • bies strictement humaines
  • Pouvoir invasif caractéristique niveau
    épithélium colique et rectal
  • rectocolite inflammatoire aigüe fébrile pvt ?
    syndrome dysentériforme
  • dose minima infectante 10 à 100 bies
  • Invasion et multiplication restent
    localisées à la couche sup. de
  • lépithélium ? nécrose inflammatoire du colon
    ? formation
  • d ulcérations et de micro abcès avec
    élimination ds les selles de mucus,
    granulocytes, GR et débris cellulaires.
  • Pouvoir pathogène essentiellement pouvoir
    invasif toxine dysentérique ( cytotoxine)
    ? phénomènes ischémiques et hémorragiques.

35
  • CLINIQUE
  • ? Dysenterie bacillaire shigellose ?
    Shigella dysenteriae
  • ? entérites infectieuses ? autres espèces
  • ds les 2 cas  incubation 1 à 3 jours
  • début brutal diarrhée cholériforme ,
    brève en général
  • puis syndrome dysentérique.
  • forme typique  émission quotidienne
    fréquentes de selles glairo sanglantes
    crampes intestinales et ténesmes rectaux.
  • hyperthermie constante, svt gt 39C.
  • le svt  ATB ? diarrhée cède en 2-3 jours
    et peut ? constipation sévère
  • Complications possibles  digestives (
    perforation péritonite, prolapsus
    rectal..)
  • extradigestives  bactériémies ( 4 à 5
    des cas ), neurologiques ( convulsions
    chez l enfant), SHU.

36
  • EPIDEMIOLOGIE
  • ? Contamination orofécale ? enfants lt 5 ans
    surtt atteints (plusieurs millions de cas
    /an  mortalité 10 )
  • ? Endémique ds le monde
  • ? Liées aux conditions d hygiène
  • III DIAGNOSTIC
  • III - 1 Prelevements
  • ? pendant la phase aiguë
  • ? tjrs ds les selles où glaires, mucus et / ou
    sang
  • ? écouvillonnage rectal possible ( jeune
    enfant, épidémio )
  • ? transport rapide (Shigella S à l
    acidification)
  • R qq heures à 4C
  • ? Hémoc et urocultures pvt être utiles

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  • III - 2 Culture Isolement
  • ED selles ? nbx polys neutros ?? invasif et
    diagnostic ? dysenterie amibienne.
  • Svt  flore déséquilibrée avec de très nbx bg-
  • Géloses sélectives
  • III - 3 Identification
  • genre biochimique (ID32E, API20E, ..),
    spectro de masse.
  • espèce par agglutination sur lame avec
    antisérums
  • puis envoi au CNR.

38
  • III - 4 Serodiagnostic
  • peu de valeur car nbses réactions croisées
    et ? des Ac tardive.
  • Peut être intéressant pr troubles
    rhumatismaux sur 2 sérums à 15 jours.
  • IV Résistance aux ATB Traitement
  • En Europe  restent assez S aux ATB des BGN
  • Ds pays où endémo épidémies  R plasmidique
    sulfamides, Strepto, cyclines, Chloramphénicol,
    Ampi.
  • Ttt rééquilibration hydroélectrique ATB
  • Si ATB  Sxt, fluoroquinolones ou
    bétalactamines.
  • Prophylaxie hygiène  il n existe pas de
    vaccin.

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  • Klebsiella, Enterobacter, Serratia
  • ont en commun les caractères suivants
  • - sont des BPO
  • - st svt multiR aux ATB
  • - production dacétoïne ( réaction de Voges
    Proskauer VP )
  • 1 Genre Klebsiella
  • 6 espèces
  • 4 ont 1 pr patho. pr lH. K pneumoniae, K
    oxytoca, K ozenae,
  • k rhinoscleromatis.
  • pouvoir pathogène
  • K pneumoniae, K oxytoca ? bronchopneumopathies
    aiguës ou
  • sub aiguës, IU, inf. hépato biliaires, pus
    divers..
  • sensiblité aux ATB cf cours ATB

40
  • 2 Genre Enterobacter
  • espèces les fréquentes E. cloacae, E.
    aerogenes.
  • pouvoir pathogène IU, suppurations
    diverses, septicémies
  • sensiblité aux ATB cf cours ATB
  • 3 Genre Serratia
  • espèces les fréquentes S. marcescens,
    S. liquefaciens
  • pouvoir pathogène
  • ? infections hospitalières parfois
    épidémiques.
  • ( IU, inf. respiratoires)
  • sensiblité aux ATB cf cours ATB

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  • Proteus, Providencia, Morganella
  • ont en commun de posséder des enzymes
    permettant la
  • désamination oxydative des AA en corps
    cétoniques (TDA, PDA)
  • Entérobactéries TDA
  • espèces les fréquentes
  • Genre Proteus P. mirabilis, P. vulgaris
  • Genre Providencia P. rettgeri, P.
    stuartii.
  • Genre Morganella 1 sele espèce M.
    morganii
  • pouvoir pathogène
  • IU surtt P. mirabilis.
  • isolées de produits pathologiques divers.
  • sensiblité aux ATB cf cours ATB
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