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EXANTHEMES

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EXANTHEMES V.VISEUX, DERMATOLOGIE, CHU SUD AMIENS DIAGNOSTIC POSITIF Exanth me = ryth me diffus d apparition aigu Enanth me = l sions ryth mateuses ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: EXANTHEMES


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EXANTHEMES
  • V.VISEUX, DERMATOLOGIE, CHU SUD AMIENS

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DIAGNOSTIC POSITIF
  • Exanthème érythème diffus dapparition aiguë
  • Enanthème lésions érythémateuses muqueuses
    accompagnant parfois un exanthème
  • Erythème rougeur transitoire de la peau en
    rapport avec une vasodilatation des vaisseaux
    cutanés superficiels disparaît à la
    vitro-pression

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DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
  • purpura ne disparaît pas à la vitropression
  • urticaire
  • Angiomes et télangiectasies
  • érythèmes vaso-moteurs couperose, érythème
    pudique du décolleté
  • érythèmes de cause exogène (piqûres dinsectes,
    brûlures, érythème photototoxique)
  • érythrodermie

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EXANTHEMES GENERALITES
  • Question n 94
  • 3 types principaux scarlatiniforme,
    morbilliforme, roséoliforme
  • Scarlatiniforme vastes placards rouges
    uniformes sans intervalle de peau saine,
    légèrement granités à la palpation, desquamation
    secondaire en lambeaux
  • Morbilliforme maculo-papuleux rouges, pouvant
    confluer en plaques séparées par des espaces de
    peau saine avec une surface douce, veloutée à la
    palpation
  • Roséoliforme ou rubéoliforme petites macules
    rosées, pâles, bien séparées les unes des autres

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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
  • Chez lenfant viroses , toxidermie
  • Chez ladulte viroses, toxidermie, maladies
    sexuellement transmissibles.

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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
  • Arguments en faveur dune atteinte virale 
  • -contexte épidémique,
  • -notion de contage,
  • -une seule variété déruption (sauf
    Kawasaki)
  • -fièvre /- (possible aussi dans
    certaines toxidermies)
  • -syndrome grippal,
  • -énanthème de type viral
  • -adénopathies.
  • -absence de prurit

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ORIENTATION DIAGNOSTIQUE
  • Arguments en faveur dune cause médicamenteuse
  • -Interrogatoire précisant la chronologie des
    différentes prises de médicaments par rapport à
    léruption rechercher la notion dintroduction
    dun médicament 5 à 14 jours avant léruption
  • -Polymorphisme de léruption
  • -Evolution favorable à larrêt du médicament
    responsable
  • -Absence darguments en faveur dune virose
    absence de contexte épidémique, absence
    dénanthème de type viral (attention à Lyell et
    stevens-Johnson)
  • -Prurit
  • -/- éosinophilie sanguine.
  • Si certains érythèmes sont très évocateurs, il
    nexiste pas de correspondance stricte entre un
    type dérythème et une cause.

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EXANTHEMES SCARLATINIFORMES
  • La scarlatine
  • Origine due à la sécrétion dune toxine
    érythrogène par un streptocoque beta-hémolytique.
  • rarement staphylocoque (toxine exfoliante)
  • début brutal chez un enfant dâge scolaire (5
    10 ans)
  • angine rouge avec fièvre à 39-40C,tachycardie,
    céphalées, vomissements
  • adénopathies sous-maxillaires / latéro-cervicales
  • 24 heures plus tard exanthème débutant sur le
    tronc et la racine des membres, légèrement
    granité, qui se généralise et atteinte plus
    importante des plis de flexion.
  • Erythème des joues

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EXANTHEMES SCARLATINIFORMES
  • Enanthème avec une gorge rouge et une langue
    blanche qui va desquamer de la pointe et des
    bords vers la base, prenant un aspect framboisé
    en 4 à 6 jours. Aspect de V lingual pointe et
    bords rouges
  • Lévolution de lexanthème se fait vers une
    desquamation secondaire en larges lambeaux entre
    le 10ème et le 20ème jour (aspect en doigts de
    gants sur les mains et les pieds).
  • Complications
  • - rhumatisme articulaire aigu (rare)
  • - glomérulonéphrite post-streptococcique
    toujours faire une protéinurie des 24 heures à
    distance de lépisode

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EXANTHEMES SCARLATINIFORMES
  • Diagnostic
  • prélèvement de gorge (parfois, autre porte
    dentrée, comme un intertrigo) streptocoque
    béta-hémolytique
  • élévation des antistreptolysines (ASLO, ASD).
  • Traitement pénicilline pendant 10 jours.
  • Ex oracilline 50000 à 100000 UI/kg/jour
  • Hyperleucocytose à PNN
  • Recherche à 3 semaines dune protéinurie
  • Autres infections donnant un exanthème
    scarlatiniforme
  • Typhoïde
  • Septicémie à méningocoque, streptocoque,
    staphylocoque
  • Viroses (VIH )
  • Syndrome du choc toxique staphylococcique (toxine
    TSST1 du staphylocoque doré)

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SYNDROME DE KAWASAKI
  • Origine syndrome inflammatoire, probablement en
    réaction à un agent infectieux ou toxique (qui a
    un rôle de superantigène) qui saccompagne dune
    vascularite des artères de moyen calibre avec un
    risque de décès par anévrysme coronarien.
  • Terrain survient principalement chez lenfant
    avant 5 ans et surtout avant 2 ans.
  • Définition reposant sur lassociation de critères
    majeurs

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SYNDROME DE KAWASAKI
  • Fièvre gt385 évoluant depuis au moins 5 jours
    résistant aux antibiotiques
  • Au moins 4 des 5 critères
  • 1.Modifications des extrémités des membres avec
    érythème et œdème des mains et pieds en phase
    aiguë et desquamation en doigts de gants en phase
    de convalescence (3eme semaine)
  • 2.Exanthème, polymorphe dans son aspect clinique
  • 3.Hyperémie conjonctivale bilatérale indolore non
    purulente
  • 4.Modifications des lèvres et de la cavité
    buccale cheilite, langue framboisée, érythème
    diffus de la muqueuse orale et pharyngée
  • 5. Adénopathies cervicales non purulentes de
    taille gtou à 1,5 cm de diamètre (en général,
    unilatérales) dapparition aiguë

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SYNDROME DE KAWASAKI
  • Exanthème du tronc
  • -Apparaît entre le troisième et le cinquième jour
  • -Caractère polymorphe de latteinte
    morbilliforme, scarlatiniforme, lésions
    urticariennes avec pseudo-cocardes
  • -Parfois vésicules, pustules, purpura
  • -Atteinte du siège évocatrice érythème en
    culotte avec desquamation rapide

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SYNDROME DE KAWASAKI
  • Critères mineurs
  • 1. digestifs diarrhées, vomissements, douleurs
    abdominales, hydrocholécyste
  • 2. Respiratoires toux, rhinorrhée
  • 3. Signes neuroméningés irritabilité,
    encéphalite, méningite lymphocytaire aseptique
  • 4.Signes oculaires uvéïte antérieure
  • 5. Signes articulaires arthralgies des grosses
    articulations
  • 6. Signes rénaux pyurie, protéinurie,
    hématurie, insuffisance rénale aiguë
    orchiépididymite, vulvovaginite, hydrocèle

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SYNDROME DE KAWASAKI
  • Biologie pas de signe biologique spécifique
    mais souvent syndrome inflammatoire et
    hyperleucocytose à polynucléaires puis
    thrombocytose.
  • Complications
  • risque principal cardiaque
  • -anévrysmes coronariens qui apparaissent dès la
    2ème à 4ème semaine, trouble du rythme cardiaque
  • -causes de mortalité infarctus, myocardite,
    rupture danévrysme, péricardite, endocardite,
    embolie cérébrale.
  • Traitement Hospitalisation pour surveillance
    évolutive, échographie cardiaque, et mise en
    route dun traitement associant immunoglobulines
    intraveineuses (2g/kg sur 10 heures ou 400
    mg/kg/jr pdt 4 jrs) et aspirine.

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ERYTHEMES MORBILLIFORMES
  • Rougeole
  • Origine due à un virus du groupe des
    paramyxovirus,
  • Terrain survient plutôt chez des enfants entre
    3 et 7 ans
  • Notion de contage 10 à 15 jours avant léruption
  • Tableau
  • 1ère phase phase de catarrhe oculo-naso-pharyngé
    e pré-éruptive
  • Et hyperthermie à 39 40C et toux
  • Enanthème avec signe de Köplick petits
    points blancs entourés dun halo inflammatoire
    rouge en regard de la seconde pré molaire
    supérieure
  • Puis 2ème phase éruptive
  • poussée dévolution descendante, commençant
    derrière les oreilles puis sétendant au visage
    et au tronc et qui guérit en quelques jours.

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ERYTHEMES MORBILLIFORMES
  • Complications viscérales rares
    méningo-encéphalite, pneumopathies, myocardite,
    kératite. Otite, bronchite, surinfection
    bactérienne
  • Prévention vaccination avec ROR

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ERYTHEMES MORBILLIFORMES
  • Mégalérythème épidémique
  • Origine parvovirus B19.
  • Terrain enfant de 5 à 10 ans après une
    incubation denviron une semaine
  • Tableau exanthème très caractéristique en
    dentelle ou en carte de géographie touchant les
    convexités du visage (joues rouges) puis les
    membres surtout. Eruption parfois très discrète,
    pouvant durer quelques heures à quelques jours.
    Aggravée par une exposition solaire
  • Complications tropisme du virus pour les
    érythroblastes médullaires risque de survenue
    dune anémie aiguë, en particulier chez lenfant
    avec anémie hémolytique chronique
  • Recherche femme enceinte dans lentourage
    embryofoetopathie
  • Adulte possibilité déruption en gants et
    chaussettes /-arthralgies

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ERYTHEMES MORBILLIFORMES
  • Mononucléose infectieuse
  • Origine virus Epstein-Barr (EBV).
  • Lexanthème est inconstant
  • Tableau
  • ---1ère phase fièvre, angine, asthénie avec
    adénopathies et splénomégalie.
  • ---2ème phase (une semaine après)
  • Eruption le plus souvent morbilliforme et
    régresse en quelques jours.
  • Parfois, elle est remplacée par une
    toxidermie lors de la prise de bétalactamines
    avec une éruption maculo-papuleuse confluente
    (mais ne signe pas une allergie définitive).
  • Les complications viscérales sont rares
    hépatites, méningo-encéphalite

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ERYTHEMES MORBILLIFORMES
  • Autres causes
  • Certaines infections à entero-virus (coxsackie,
    virus écho 9) saccompagnent souvent dune
    éruption fugace, surtout chez lenfant de moins
    de 3 ans .
  • Les infections à coxsackie peuvent saccompagner
    de vésicules ovalaires des mains et des pieds
    (syndrome mains-pieds-bouche) avec un énanthème
    vésiculeux du voile du palais  souvent, le
    tableau est incomplet.
  • Les adéno-virus associent une atteinte
    adéno-pharyngo-conjonctivale avec parfois une
    pneumopathie ou une atteinte digestive et un
    exanthème morbilliforme, parfois purpurique,
    touchant surtout lhémicorps supérieur et durant
    2 à 3 jours.

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ERYTHEMES MORBILLIFORMES
  • Méningococcies
  • Hépatite B peut saccompagner de poussées
    urticariennes en phase pré-ictérique avec
    céphalées, arthralgies, nausées, vomissements, et
    asthénie. On peut observer une éruption
    morbilliforme ou scarlatiniforme.
  • CMV, VIH, toxoplasmose, rickettsiose (fièvre
    boutonneuse méditerranéenne), infections à
    Mycoplasma pneumoniae
  • Infections exotiques fièvre jaune, dengue
  • Maladie de Still ou arthrite juvénile

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ERYTHEMES ROSEOLIFORMES
  • La roséole infantile ou exanthème subit du
    nourisson,
  • Origine infection à lHHV6 (human herpes virus
    6) ou HHV7.
  • Terrain nourrissons entre 6 mois et 2 ans
  • Incubation une dizaine de jours.
  • Tableau
  • - début brutal par fièvre à 39-40C.
  • - J3 de la fièvre éruption, discrète,
    transitoire, touchant principalement le tronc.
  • Parfois, pas de fièvre ou déruption
  • Complications
  • - convulsions hyperthermies du nourrisson
  • - complications viscérales rares adénopathies,
    méningite, hépatites ou pneumopathies.

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ERYTHEMES ROSEOLIFORMES
  • Rubéole ou 3ème maladie
  • Origine affection virale banale de lenfant due
    à un togavirus
  • Incubation 2 à 3 semaines
  • Tableau passe totalement inaperçue dans un cas
    sur deux.
  • exanthème frustre, pale et fugace (2 à 3 jours)
  • peu de signes généraux
  • parfois adénopathies cervicales postérieures
  • parfois arthralgies ou conjonctivite
  • Problème principal rubéole de la femme
    enceinte à lorigine dune rubéole congénitale
    malformations cardiaques, encéphalite,
    malformations oculaires.

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ERYTHEMES ROSEOLIFORMES
  • - nécessité de vacciner les enfants entre lâge
    de 12 et 18 mois par le ROR (vaccin à virus
    vivant atténués rougeole, oreillons, rubéole)
    avec un rappel entre 11 et 13 ans.
  • - La recherche danticorps anti-rubéole est
    obligatoire lors de lexamen prénuptial et lors
    de la surveillance de la grossesse. Les femmes
    séronégatives doivent être vaccinées en évitant
    toute grossesse dans les 3 mois après le vaccin.

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ERYTHEMES ROSEOLIFORMES
  • Primo-infection par le VIH
  • - symptomatique une fois sur deux après une
    incubation de 2 à 3 semaines.
  • - syndrome fébrile pseudo-grippal
  • Syndrome mononucléosique possible pharyngite,
    asthénie fébrile, adénopathies, asthénie fébrile,
    érosions buccales et génitales
  • - éruption érythémato-maculeuse du tronc avec
    parfois une atteinte du visage ou des paumes et
    des plantes.
  • - parfois érosions buccales et génitales.
  • Diagnostic sérologie VIH négative mais
    antigénémie P24 positive, dosage de la charge
    virale

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ERYTHEMES ROSEOLIFORMES
  • Syphilis secondaire
  • - survient environ 45 jours après le chancre
  • - 6 à 8 semaines après le contage vénérien
  • - roséole (première floraison) formée de macules
    de 5 à 10 mm arrondies, roses, planes, touchant
    principalement le tronc et qui vont durer
    quelques semaines, laissant parfois des séquelles
    dyschromiques (collier de Vénus).
  • - rechercher une cicatrice éventuelle de chancre
  • Le diagnostic est confirmé par la positivité des
    sérologies de dépistage VDRL et TPHA.
  • Autres maladies infectieuses
  • - fièvre typhoïde (éruption fugace lenticulaire
    du tronc dans la 2ème semaine dun tableau
    fébrile bruyant)
  • - infections virales à entero-virus (echo,
    coxsackie, arbovirus.).

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ERYTHEMES MEDICAMENTEUX TOXIDERMIES
  • Rappel Ils peuvent réaliser tous les types
    déruptions précédemment décrites.
  • Anamnèse et chronologie des différentes prises
    médicamenteuses
  • Prurit
  • /-hyperéosiniphilie
  • /-hyperthermie
  • Médicaments les plus souvent en cause
  • - antibiotiques et en particulier les
    bétalactamines et les sulfamides
  • - les anticomitiaux
  • - les anti-inflammatoires non stéroïdiens.

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EXAMENS COMPLEMENTAIRES PERTINENTS
  • Enfant bilan si on suspecte une scarlatine
    (NFS, prélèvement de gorge) ou un syndrome de
    Kawasaki (NFS, plaquettes, échographie cardiaque)
  • Adulte si pas de cause évidente NFS, bilan
    hépatique, sérodiagnostic de MNI, TPHA-VDRL,
    sérologie VIH, antigène p 24, charge virale VIH
  • En plus chez la femme enceinte regarder les
    statuts sérologiques, en fonction toxoplasmose,
    rubéole, CMV, (syphilis)
  • Biopsie cutanée non justifiée

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CONCLUSION
  • Les érythèmes surviennent au cours daffections
    très variées, infectieuses, médicamenteuses ou
    inflammatoires.
  • Le tableau peut être typique ou totalement non
    caractéristique.
  • Chez le nourrisson attention au KAWASAKI
  • Chez ladolescent penser à la MNI
    aminopenicilline
  • Chez l'adulte penser à toxidermie, virose
    (primo-infection VIH et autres MST).
  • Parfois signes généraux majeurs et
    complications viscérales nécessitant une
    hospitalisation rapide pour prise en charge
    thérapeutique et surveillance évolutive.
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