Barack Obama - PowerPoint PPT Presentation

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Barack Obama

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VENTS DE CHANGEMENT LUEURS D ESP RANCE Elle a v cu dans plus de treize pays et dans tous, elle se sentait chez elle.. Elle se consid rait une citoyenne du monde. – PowerPoint PPT presentation

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Transcript and Presenter's Notes

Title: Barack Obama


1
VENTS DE CHANGEMENT LUEURS DESPÉRANCE
2
Le commencement dune nouvelle ère, conforme à
ce que plusieurs croient.
3
On a écrit beaucoup sur Barack Obama , au sujet
de sa race, son origine
Mais on na pas mentionné le plus significatif de
son inspiration intime
Sa jeune mère.
4
(No Transcript)
5
Devant la mer de possibilités de la vie ,
Il incombe aux parents de conduire les pas de
leurs enfants dans le meilleur chemin

6
Obama considère sa mère comme un vif exemple de
générosité et de service envers le prochain

7
Delle Obama a hérité certaines façons de voir
et les choses et la vie.
8
Aie le courage daller à travers le monde , pour
y chercher la vie...
9
Ann Dunham est née dans létat du Kansas, en
novembre 1942.
10
Le meilleur héritage quelle a laissé a Obama a
été , certainement, sa façon de se relationner
avec les gens qui lentouraient et
Aussi sa vision de solidarité et de compassion.
11
Fille unique Ann grandit dans la famille Dunham
de classe moyenne nord américaine, dans létat
de Hawaii.
12
Son père, Stanley, travaille dans una firme de
vente de meubles, et sa mère, Madelyn, maîtresse
de maison.
13
Dès le bas âge, Ann se distingue dans ses études,
et encore adolescente, avant de terminer ses
cours du secondaire, elle gagne une bourse pour
lUniversité de Chicago.
14
Mais son père lui demande dy renoncer pour
demeurer au sein de sa famille.
15
Les petits oiseaux doivent voler près de leur
nid , pense son père,
sans pouvoir imaginer les conséquences dune
telle décision...
16
Il existe des foyers, et il existe des familles...
17
Et Ann, comme un fille obéissante, demeure auprès
de ses parents et après le cours secondaire,
entre à luniversité de Hawaii.
18
La jeune universitaire, réservée et
réfléchie, valorise les amitiés et dévelpppe
un goût spécial pour la culture.
19
Dans les cours dantropologíe elle montre un
interêt spécial pour les mouvements de droits
civils.
20
Que lui réserve lavenir ?
Le futur, le destin, le hasard, l inévitable
sont différentes façons de dire la même chose...

21
En vérité la vie est faite de plusieurs choix .
22
Les choix de la tête,
Les choix du coeur...
23
De plus au commencement de sa carrière, Ann
devient amoureuse d un estudiant africain venu
aux Estats -Unis dans un programme déchange.
24
Elle est une jeune fille de dix-neuf ans,
intelligente, réservée et timide.
Lui, jeune intelligent et carismatique, est le
centre dattraction constante, avec milles
histoires à raconter de sa terre natale, le
lointain Kenia.
25
Qui montrera les secrets de son coeur,
les mystères de la passion?...
26
Et ils décident de se marier.
27
Au moment dêtre enceinte les enfants brillent
déjà dans les yeux de leur mère
A écrit une fois un poète.
Le 04 août 1961,
la maternité sourit à Anne et lui fait cadeau du
petit Barack Obama
28
Lénorme joie dune jeune mère qui porte dans ses
bras son premier né.
29
L énorme félicité dune jeune mère qui porte
sur son sein son premier-né.
Vraiment elle vit des moments de bonheur...
30
Que lui réserve son destin?
Destin, futur, hasard, inévitable,
différentes façons de dire la même chose.....
31
Un famille typique au début.
32
Mais un jour, , M. Obama dit quil va à l
Université de Harvard.
33
Ann nest pas daccord avec la décision, parce
que le changement implique le retrait de la
bourse détudes. Comment pourra-t-il maintenir sa
famille?
34
Mais M. Obama se montre décidé ,
y allègue la supériorité du niveau de
lenseignement.
35
Le petit Barack Obama na pas encore deux ans
quand son père laisse la famille et sen va de
Hawaii.
36
Peu de temps après, il informe quaprès avoir
terminé sa carrière, il décide de retourner en
Afrique. .
37
M. Obama retourne à sa tierre natale abandonnant
son épouse et son enfant.
38
On dit que les premiers souvernirs conscients
que nous gardons en mémoire remontent
à lâge de trois ans.
Barack Obama passe sa première enfance, sans les
souvenirs de la présence de son père.
39
Il y a plus de présence en moi que ce qui me
manque
A écrit un poète, un jour.
40
Que peuvent faire la mère y les grands parents
de Barry (surnom affectueux utilisé par la
famille),sinon de laimer doublement?...
41
Au fur et à mesure quil grandit, surgissent les
inévitables questions
Où est mon papa, pourquoi est-il parti? Quand
reviendra-t-il ?
42
Et sa famille,
composée maintenant de sa mère, et de ses
grands-parents, sans avoir les réponses suppléent
avec leur amour.
.
43
Grand-père et petit fils
à la plage de Hawaii.
Lamour sincère fait fleurir les sourires

Vraiment, ils vivent des moments de bonheur.
44
Une enfance amoureuse et ordonnée est le chemin
que nous empruntons jusquà la vieillesse.
45
...et notre aventure existencielle aura plus ou
moins de chance dans la mesure que ce chemin
soit fiable,
a écrit une fois une certaine poétesse.
46
Une enfance heureuse y ordonnée est le chemin
que nous emprunterons jusquà la vieillesse.
47
Ann a vingt-deux ans ,
elle garde la fraîcheur de lenthousiasme qui lui
fait voir la vie comme une mer de possibilités
positives.
48
Elle sait que léchec dun amour nest pas
léchec de lamour.
Ni léchec dun mariage nest pas léchec du
mariage.
Et elle tombe encore en amour.
49
Chaque jour a son histoire.
Quand un nouvel amour fleurit, le sol apparaît
plus beau dans le ciel et les couleurs du jours
ont une brillance différente.
50
Et en 1967, dans lardeur de ses vingt-cinq ans.
Ann décide de se marier une autre fois.
51
Dans peu de temps, le destin lui sourira une
autre fois. lui sourira de nouveau.
Et la maternité passera doucement , le destin
Le 15 août de 1970 naît une fille
Qui sappellera Maya.
52
Un poète a écrit que les yeux des mamans
continuent de briller dans la pénombre de la nuit
quand toutes les lumières sont éteintes. .
Ceci arrive à toutes les mères depuis le début du
monde...
53
Maintenant les yeux de Ann brillent doublement
avec la naissance de sa petite fille.
54
Et avec sa nouvelle famille, en plus dune soeur,
Obama gagne un beau-père, Lolo Soetoro, de
nacionalité indonésienne
55
Dans les premières années, la famille vit à
Hawaïï, où Lolo Soetoro complète ses études en
géologie.
56
Lorsque Barack Obama a six ans, la familia
décide de déménager à Jacarta capitale de
lIndonésie.
57
Ils vont vivre dans un quartier pauvre dans la
banlieue de la ville. Ce sont les premiers
étrangers du voisinage.
58
Au début, Obama est la cible de plaisanteries non
seulement pour sa couleur mais aussi parce quil
est plus gras que les enfants de lendroit.
59
Très tôt, il se voit dans la tâche de construire
des ponts et en peu de temps, il crée des
amitiés, passant les après-midis jouant dans la
rue ou grimpant dans les arbres pour cueillir un
fruit.
60
Pour la première fois, Anne prend contact avec
la dure réalité des familles qui vivent en marge
de la société, et la misère nest plus quune
vague abstraction qui devient quelque peu
palpable.
61
Au début, Ann aide celui qui frappe à sa porte
demandant laumône et peu à peu, une caravanne
de la misère se forme à la porte de sa maison
lobligeant à être sélective dans la miséricorde.
62
Elle divise son temps entre las classes danglais
quelle donne dans l Embassade des E-U
Et son appui dans les projets dactions
communautaires afin daméliorer les conditions
socio-économiques des familles oubliées par le
destin .
63
Lolo Soetoro obtient un emploi dans la filiale d
une compagnie pétrochimique américaine du nord
et il est promu chef de lentreprise.
64
La famille déméngage dans un meilleur quartier.
Ils passent leur temps à fréquenter les gens de
la haute société.
65
Au fur et à mesure que Ann sintègre dans la
réalité du pays, elle prend conscience de la
misère et que son mari devient de plus en plus
occidental . Il fréquente les terrains de golf et
rève de demeures luxueuses, et est séduit par le
comunisme.
66
Le couple discute rarement ,et de plus en plus
ils ont moins en commun.
67
Le silence sinstalle peu à peu.
Dans une relation , il y a deux sortes de
silence
68
Le premier est le silence de la communion,
qui représente la rencontre de lessentiel où
les deux viennent à sunir.
69
Un silence qui libère et va au-delà des paroles.
70
Et il existe un deuxième silence,
celui qui est le silence des paroles non
exprimées.
71
Le silence de chacun habitant son île isolée.
72
Un silence où les aspirations intimes, et les
mouvements de lâme ne sont partagés.
73
Obama raconte plus tard que sa mère nétait pas
prête à vivre la solitude et pour elle la
solitude était comme un manque constant dair.

74
Lamour nexiste pas si on ne se dit pas tout.
75
Et après six ans de mariage, Ann décide de se
séparer.
76
Après plusieurs années Maya se rappekkera,
que sa mère même après deux mariages e,
défaits, en aucun moment se plaignait de sa vie.

Elle a su ne pas faire peser sur ses enfants
ses déceptions amoureuses ou ses possibles
ressentiments affectifs.
77
Elle savait que lAmour est plus que deux amours
fracassés...
78
Devant ses enfants, elle ne sest jamais plainte
de l amour o du mariage.
Loin de se lamenter des relations brisées, elle
remerciait constamment pour les beaux enfants que
la vie lui avait donnés.
79
Petits détails, qui souvent passent inaperçus
mais qui font une énorme différence...
80
Notre mal est de croire que seules les grandes
choses sont importantes,
quand ce sont les petits détails de l existence
qui réellement importent.
81
Il y a celui qui dit que vivre est danser sur la
corde de linespéré.
Nest- ce pas ce que doit faire une jeune mère
et ses deux petits rejetons en terre
étrangère?
82
Peut-être serait-il mieux de retourner au premier
nid?
Et Ann achète trois billets de retour aux
États- Unis.
83
Le couple Dunham reçoit sa fille et ses deux
petits enfants avec les bras ouverts.
84
Les parents affectueux sont et seront toujours le
port le plus sûr.
85
M. Stanley Dunham, Ann, Maya et le jeune Obama.
86
Les mains qui se touchent
le sourire facile et accueillant est le propre
de ceux qui savent valoriser la vie et
lessentiel....
87
Ils ont des moments de bonheur intense et profond
sans raison, seulement pour la grâce de respirer.
88
La pureté des petits enfants,
Les êtres que nous chérissons, lherbe , le
soleil, nous aimons,
89
Père et fille
Mère et garçon ,
Grands-parents et petits-enfants,
Frères....
90
Toutes les familles sont semblables, ce qui
change ce sont les histoires....
91
Cierta vez, escribió alguien que la verdadera
felicidad radica en el seno de la familia,...
92
...quand il y a affinité sensibilité et esprit.
93
Vraiment, ils vivent des moments de bonheur
94
Et la vie continue.
Barack Obama, à dix ans est matriculé dans une
école de Hawaii.
Encore très jeune, avec tant de changements, si
petit avec tant de bouleversements...
95
Il est l unique jeune noir dans une promotion
de trente étudiants.
96
Quant à sa mère, avec Maya, continue à
simpliquer dans les projets sociaux dans le
monde.
Obama va vivre avec ses grands parents
et étudie aux États-Unis.
97
Deux fois lannée, pendant les vacances dété et
les fêtes de fin dannée, toute la famille se
réunit.
98
Deux fois lannée, pendant les vacances dété et
les fêtes de fin dannée, toute la famille se
réunit.
99
Le temps passe et transforma les enfants en
adolescents, jeunes adultes.
100
Une famille multiraciale multiethnique, multinacio
nale.
101
Étant neuf ans laîné Obama, aide dans
léducation de sa soeur.
Il la reprend, quand elle passe trop de temps
devant le téléviseur.
  • Il lui indique les bons livres, disques , comme
    le fait tout bon frère.

102
Pendant ce temps, Ann, passe une bonne partie de
son temps occupée dans les projets sociaux,
acompagnant de près la routine de ses enfants
les couvrant damour et daffection .
103
Dans un monde où le différent est vu comme
froideur et manque de confiance
elle cherche à doter ses enfants dun regard qui
accueille et qui est capable dapprécier la
beauté et la variété .
104
Dans notre maison, la Bible, le Coran, le
Bhagavad Gita
Étaient disposés sur la console...
Barack Obama
105
Toutes les religions étaient vraies pour son
temps .
Qui était capable de reconnaître l aspect non
périssable de sa vérité y le séparer de ce qui
est circonstanciel, naura rien appris.
Joseph Campbell
(uno de los escritores favoritos de Ann)
106
Avec sa mère y sa soeur constamment en voyage,
le port certain de Obama étaient ses
grands-parents, M. Stanley et Mme Madelyn.
107
Pour mieux comprendre lesprit du couple Dunham,
il est bon de rappeler avec quelle sérénité ils
ont reçu la nouvelle que leur unique fille se
marie avec un étudiant africain.
108
Rappelons quau début de 1960 le mariage
inter-racial était considéré comme un crime dans
la moitié des états unis nord américaines,
Et même dans les autres étaits où il était toléré
comme a Hawaïï
le mariage entre blancs et noirs nétait pas bien
vu dans la société.
109
Cependant confiant sur léducation quils avaient
donné è leur fille, ils lappuyaient dans les
choix quelle faisait.
Et cest avec beaucoup damour quils ont élevé
et accueilli leur bien-aimé petit -fils dans le
modeste appartement de deux pièces où ils
vivaient.
110
Cest dans les petits détails de lexistence que
se manifeste le vrai caractère.
Et le temps passe
Et tous, un jour nous devons partir...
111
En février 1992, M. Stanley Dunham meurt à 74
ans .
112
(sur la photo, avec Ann Madelyn
son épouse affecteuse
113
Un grand-père et père qui a aimé avec plénitude
ses chers petits enfants.
114
La vie ne se mesure pas par le nombre des
années....,
115
La vie se mesure par le nombre de joies que lon
distribue ,
A écrit un jour un poète.
116
Et la vie continue,
entre la tristesse de les
départs et la joie des arrivées.
Personnes aimées qui partent,
Personnes aimées qui arrivent
117
Cest dans ses études davocat à Chicago où il
travaille que Barack Obama connaît la jeune
avocate Michelle Robinson.
118
Et ils ne tarderont pas à se décider à se marier.
119
Le mariage est un pont qui conduit au ciel , a
dit un ancien sage.
.
120
(No Transcript)
121
Marian Robinson avec sa fille, Michelle
Ann Dunham avec son fils, Barack Obama
122
Dos familias que se unen,
historias, memorias, sueños, recuerdos que se
entrelazan...
123
Ils vivent des moments de vrai bonheur.
124
Mais la vie est une danse sur une corde
oscillante de linespéré.
Personnes aimées qui arrivent, Personnes aimées
qui partent.
125
En 1995, Ann interrompt ses activités dans ses
projets socio-économiques en Asie pour prendre
soin de sa santé aux États-Unis.
Depuis près dun an, elle a comencé à sentir des
douleurs destomac, dont la cause ne peut être
découverte par les médecins locaux. .
126
Les nouveaux examens diagnostiquent un cancer.
Et elle commence le pénible traitement à
Hawaii.
Le diagnostique découvert trop tard, réduit les
chances de vaincre la maladie et elle perd sa
lutte pour la vie vie à 52 ans....
127
Son départ prématuré laisse sa famille dans la
consternation, à cause de son amour et sa passion
pour la vie...
Elle racontait quelle voulait adopter une petite
réfugiée, rêve quelle na pas eu le temps de
réaliser.
128
Barack Obama affirme que sa plus grande erreur
dans la vie a été de navoir pas été présent à
ses côtés dans ses derniers moments.
Tant la famille comme les médecins avaient
dénormes espoirs quelle gagnerait la bataille.
129
Sa fille se rappelle quelle avait un coeur très
sensible et quelle pleurait facilement,
Il suffisait de voir un animal maltraté ou un
enfant victime dinjustice ou cruauté. Une
nouvelle ou un film triste.
Dun autre côté, elle nétait pas craintive et
était décidée dans ses actions.
130
Elle a vécu dans plus de treize pays et dans
tous, elle se sentait chez elle..
Elle se considérait une citoyenne du monde.
Durant toute sa vie elle se levait avant laube
et sest dévouée inlassablement dans les oeuvres
sociales, spécialement celles qui favorisaient
les exclus et les marginés de la société.
131
Répondant à son désir et celui de sa famille
ainsi que quelques amis, on a jeté à la mer ses
cendres dans une plage de Hawaï de locéan
Pacifique.
132
Ann Dunham
(29/11/1942 - 07/11/1995)
133
(No Transcript)
134
(No Transcript)
135
Elle a vécu assez pour voir le mariage de son
fils.
Mais la destinée la emportée avant que sa fille
se marie,
Ou que naissent ses petits enfants, elle qui
aimait tant les enfants...
136
Dans sa brève vie terrestre, elle a joué le rôde
de mère, de grand mère.
Celle qui abrite et protège les enfants.
137
Non seulement ceux quelle a engendrés sinon les
enfants du monde quelle a engendrés dans son
ventre.
Spécialement les enfants manquant damour,
oubliés, excluis, nécessiteux.
138
Et ce fut cette inspiration intime que
certainement elle a donné à ses enfants, cet
héritage si noble.
139
Puisse le regard de compassion de sa mère
continuer à briller dans les yeux du fils , dans
les prochains défits importants quil aura à
affronter....

140
(No Transcript)
141
(No Transcript)
142
(No Transcript)
143
(No Transcript)
144
(No Transcript)
145
Les responsabilités et les espoirs que suscitent
Barack Obama réveille , ne rencontrent aucun
paralllèle dans la récente histoire.
146
Certainement les prières et les pensées de tous
ceux qui espèrent un monde meilleur,
laccompagneront dans cette mission qui lui est
destinée.
147
Et sûrement léternelle présence de sa mère
bien-aimée laccompagnera, celle qui fut la
source la plus significative de son inspiration
intime.
148
Et le coeur de sa jeune mère, se réjouit des
fleurs et des fruits de lamour que ses efforts
on produit ....
149
Barack Obama y sa soeur Maya, Avec leur
famille respective.
150
La famille Obama avec les filles ,
Malia Ann (10
ans) et Natasha (7 ans).
151
Maya Soetoro est professur d Histoire,
Mariée à Konrad Ng, canadien dascendencechinois
e
Et mère de la petite Suhaila, de quatre ans.
152
Les amis et les proches familles se rappellent
de laffinité qui unit une mère et son fils.
Se souvenant quils étaient unis,
extraordinairement unis..
153
Pour partager ce quils ressentaient, en
plusieurs occasions, il navaient pas besoin de
parler
.
154
Il y a des sentiments que
transcendent cette ressource limitée que nous
utilisons, - les paroles...
155
Les rêves de la mère, Et les rêves du fils.
156
Le fêve dun monde meilleur, dun mundo
plus juste, fraternel, solidaire.
157
Ce sont les rêves qui soustiennent le monde dans
son orbite.
158
Que serait-il de nous si nous ne rêvions pas? ...

159
Thème musical Magic City, interprété par
Johannes Linstead e Nicholas Gunn
Formatage um_peregrino_at_hotmail.com
160
(No Transcript)
161
(No Transcript)
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